DeletedUser48357
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DeletedUser55375
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J'attends de voir
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DeletedUser48357
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DeletedUser25679
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DeletedUser19733
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DeletedUser48357
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DeletedUser19733
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DeletedUser25679
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maxdu59
Titan // Comédien Détendu
7Tu reviens fouetter et tu me préviens même pas
Tu veux peut-etre passer sous mes mains expertes :x ?
DeletedUser19733
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DeletedUser25679
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9 si je me souviens bien atocles nous appelait le couple sadique xD
DeletedUser42587
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10. Ato
edit: ça ne fera que le 2eme stock, va pas falloir que je collectionne comme chez les bisounours
edit: ça ne fera que le 2eme stock, va pas falloir que je collectionne comme chez les bisounours
maxdu59
Titan // Comédien Détendu
DeletedUser19733
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2 allez avant dodo, je vide mes stocks de fouet avec un tarif de groupe pour @Dubsa et @Snotra Antares
Alyssandre avait passé un peu de temps dans les contrées d'Elvenar où il était arrivé beaucoup de choses en peu de temps. Elle avait découvert dans ce pays elfique de jeunes tortionnaires désirant devenir maître dans l'art du fouet ainsi que certains de ses compatriotes qui s'étaient senti poussé des ailes au point de s'attaquer à elle. La jeune femme décida qu'il était l'heure d'une nouvelle leçon. On lui avait souvent répété qu'elle ferait une bonne enseignante, elle n'y avait jamais cru mais aujourd'hui elle y prenait un malin plaisir.
La jeune femme rentrait tranquillement en Grèce Antique avec un chargement particulier. En effet, elle avait décidé de ramener le lion Dubsa et la demi-déesse Snotra Antares. Au départ, elle voulait seulement s'occuper pendant le long voyage mais elle avait finalement décidé d'éduquer ses 2 invités. Après plusieurs jours de voyage en mer, les remparts de la cité se profilaient au loin alors que le soleil était déjà haut dans le ciel. Alyssandre était de retour chez elle. Alors que le bateau entrait au port, elle cria à ses 2 hommes de main :
- Faites gaffe avec les caisses, leur contenu est fragile.
Une fois les 2 caisses chargées sur une charrette, Alyssandre observa par des trous percés sur celles-ci que ses invités allaient bien. Elle les avait ligoté et bâillonné ne leur libérant la bouche que pour les nourrir régulièrement. Dubsa avait essayé de la mordre à plusieurs reprises et avait à chaque fois reçu un coup sur le museau.
La maîtresse du fouet donna des instructions précises pour le déchargement des 2 caisses à ses 2 hommes de main puis partit faire un tour à la taverne. Elle semblait un peu vide, beaucoup de ses victimes préférées se trouvaient actuellement en Elvenar mais sur place elle aperçut des personnes qu'elle n'avait pas croisé depuis longtemps. Mamou se tenait là, Alyssandre lui offrit un verre et s'accouda au bar pour observer les alentours. Cela faisait du bien d'être de retour à la maison mais la nuit tombant il était temps de disparaître dans les galeries souterraines de la cité pour s'occuper de ses « bagages ».
Alyssandre se dirigea d'abords vers la pièce où Dubsa était enfermé. Comme elle l'avait demandé il était attaché au mur par une lourde chaîne fixé à un collier. La jeune femme s'approcha de lui alors qu'il grognait et la menaçait. Elle détacha son fouet de sa ceinture et laissa la lanière traîner au sol derrière elle.
- Du calme chaton. Pas la peine de rugir, tu ne m'effraies pas. Tu pensais pouvoir jouer avec moi sans conséquence. Tu te trompais. Maintenant il est l'heure pour moi de te remettre à ta place.
La jeune femme fit claquer son fouet près de la tête du lion pour l'obliger à se déplacer là où elle le souhaitait. Lorsqu'il mettait trop de temps à bouger, elle le frappait directement. Rapidement le lion commença à se montrer plus docile mais Alyssandre savait que cela ne suffirait pas à faire de lui le parfait animal de compagnie. Après quelques heures, la maîtresse du fouet décida que cela suffirait pour aujourd'hui. Elle apprendrait de nouveaux tours à son nouveau jouet une prochaine fois, quelqu'un d'autre l'attendait. En sortant de la pièce, Alyssandre donna de nouvelles instructions à Hector, l'homme de main qu'elle avait chargé de s'occuper de Dubsa. Elle lui ordonna de ne pas le nourrir pendant un moment puis de le faire de manière irrégulière ainsi que de le laisser dans le noir pour lui faire perdre la notion du temps.
Alyssandre s'engouffra ensuite dans une série de couloir pour atteindre la pièce où elle avait fait enfermé Snotra. Marcus, son 2ème homme de main se tenait devant la porte attendant de nouvelles instructions de sa maîtresse. Elle l'informa qu'elle n'avait pas besoin de lui pour le moment et qu'il pouvait donc disposer. Avant qu'il ne disparaisse, elle lui ordonna d'être de retour à l'aube et de l'attendre dans sa chambre personnelle comme à l'accoutumé.
La maîtresse du fouet entra finalement dans la pièce bien après minuit. La pièce était vide mise à part une simple table en bois et une chaise au centre. Snotra était ligoté à la chaise et ses bras menottés à la table ne lui laissait qu'une faible liberté de mouvement. Plusieurs parchemins étaient entassé sur la table devant l'adolescente.
- Désolée mademoiselle de t'avoir fait attendre si longtemps mais je dressais mon nouvel animal de compagnie. Mais maintenant j'ai tout le temps pour m'occuper de toi.
Alyssandre esquissa un sourire et passa derrière l'adolescente, elle attrapa un parchemin et le déroula devant sa captive.
- Ne tremble pas comme ça, je ne te ferais pas de mal enfin pas autant que la dernière fois. J'ai prévu autre chose pour toi. Tu as montré ton manque de sang-froid et de discipline il y a peu de temps. J'ai pensé que t'apprendre la patience et la maîtrise de sois pourrait t'être bénéfique à l'avenir.
La maîtresse du fouet posa ses mains sur les épaules de sa prisonnière et enchaîna :
- Je me suis dis que quelques exemples de ce qui a pu se faire ici en Grèce Antique ferait une première base de travail. J'ai donc regroupé plusieurs récits des séances qui ont eu lieu dans les différentes tavernes du pays pour débuter.
La jeune femme repassa devant la table et fixa l'adolescente quelques instant avant de se diriger vers la porte. Comme elle lui avait demandé, Marcus avait laissé une cravache près de celle-ci. Alyssandre la saisit et retourna vers Snotra qui ne semblait pas décider à lire. La maîtresse du fouet lui mit un coup de cravache sur les doigts et lui expliqua :
- Si tu tiens à sortir d'ici un jour, tu devrais te mettre à travailler et ne croit pas que tu pourras t'en sortir en faisant semblant. J'ai bien l'intention de t'interroger à la fin, après tout qui dit leçon dit aussi devoir et j'espère que tu feras bien les tiens.
Alyssandre frappa une fois de plus l'adolescente qui attrapa douloureusement le premier parchemin. La jeune femme s'assit sur le coin de la table et observa la jeune fille. Elle la détaillait et la frappait quand celle-ci montrait des signes de somnolence.
Finalement, la maîtresse du fouet laissa Snotra s'endormir, l'aube devait déjà pointé le bout de son nez dehors et Marcus devait déjà l'attendre. Avant de partir, elle caressa la chevelure de la jeune fille et murmura :
- Profite de ses quelques heures de sommeil, nous reprendrons bientôt le cours.
La jeune femme rentrait tranquillement en Grèce Antique avec un chargement particulier. En effet, elle avait décidé de ramener le lion Dubsa et la demi-déesse Snotra Antares. Au départ, elle voulait seulement s'occuper pendant le long voyage mais elle avait finalement décidé d'éduquer ses 2 invités. Après plusieurs jours de voyage en mer, les remparts de la cité se profilaient au loin alors que le soleil était déjà haut dans le ciel. Alyssandre était de retour chez elle. Alors que le bateau entrait au port, elle cria à ses 2 hommes de main :
- Faites gaffe avec les caisses, leur contenu est fragile.
Une fois les 2 caisses chargées sur une charrette, Alyssandre observa par des trous percés sur celles-ci que ses invités allaient bien. Elle les avait ligoté et bâillonné ne leur libérant la bouche que pour les nourrir régulièrement. Dubsa avait essayé de la mordre à plusieurs reprises et avait à chaque fois reçu un coup sur le museau.
La maîtresse du fouet donna des instructions précises pour le déchargement des 2 caisses à ses 2 hommes de main puis partit faire un tour à la taverne. Elle semblait un peu vide, beaucoup de ses victimes préférées se trouvaient actuellement en Elvenar mais sur place elle aperçut des personnes qu'elle n'avait pas croisé depuis longtemps. Mamou se tenait là, Alyssandre lui offrit un verre et s'accouda au bar pour observer les alentours. Cela faisait du bien d'être de retour à la maison mais la nuit tombant il était temps de disparaître dans les galeries souterraines de la cité pour s'occuper de ses « bagages ».
Alyssandre se dirigea d'abords vers la pièce où Dubsa était enfermé. Comme elle l'avait demandé il était attaché au mur par une lourde chaîne fixé à un collier. La jeune femme s'approcha de lui alors qu'il grognait et la menaçait. Elle détacha son fouet de sa ceinture et laissa la lanière traîner au sol derrière elle.
- Du calme chaton. Pas la peine de rugir, tu ne m'effraies pas. Tu pensais pouvoir jouer avec moi sans conséquence. Tu te trompais. Maintenant il est l'heure pour moi de te remettre à ta place.
La jeune femme fit claquer son fouet près de la tête du lion pour l'obliger à se déplacer là où elle le souhaitait. Lorsqu'il mettait trop de temps à bouger, elle le frappait directement. Rapidement le lion commença à se montrer plus docile mais Alyssandre savait que cela ne suffirait pas à faire de lui le parfait animal de compagnie. Après quelques heures, la maîtresse du fouet décida que cela suffirait pour aujourd'hui. Elle apprendrait de nouveaux tours à son nouveau jouet une prochaine fois, quelqu'un d'autre l'attendait. En sortant de la pièce, Alyssandre donna de nouvelles instructions à Hector, l'homme de main qu'elle avait chargé de s'occuper de Dubsa. Elle lui ordonna de ne pas le nourrir pendant un moment puis de le faire de manière irrégulière ainsi que de le laisser dans le noir pour lui faire perdre la notion du temps.
Alyssandre s'engouffra ensuite dans une série de couloir pour atteindre la pièce où elle avait fait enfermé Snotra. Marcus, son 2ème homme de main se tenait devant la porte attendant de nouvelles instructions de sa maîtresse. Elle l'informa qu'elle n'avait pas besoin de lui pour le moment et qu'il pouvait donc disposer. Avant qu'il ne disparaisse, elle lui ordonna d'être de retour à l'aube et de l'attendre dans sa chambre personnelle comme à l'accoutumé.
La maîtresse du fouet entra finalement dans la pièce bien après minuit. La pièce était vide mise à part une simple table en bois et une chaise au centre. Snotra était ligoté à la chaise et ses bras menottés à la table ne lui laissait qu'une faible liberté de mouvement. Plusieurs parchemins étaient entassé sur la table devant l'adolescente.
- Désolée mademoiselle de t'avoir fait attendre si longtemps mais je dressais mon nouvel animal de compagnie. Mais maintenant j'ai tout le temps pour m'occuper de toi.
Alyssandre esquissa un sourire et passa derrière l'adolescente, elle attrapa un parchemin et le déroula devant sa captive.
- Ne tremble pas comme ça, je ne te ferais pas de mal enfin pas autant que la dernière fois. J'ai prévu autre chose pour toi. Tu as montré ton manque de sang-froid et de discipline il y a peu de temps. J'ai pensé que t'apprendre la patience et la maîtrise de sois pourrait t'être bénéfique à l'avenir.
La maîtresse du fouet posa ses mains sur les épaules de sa prisonnière et enchaîna :
- Je me suis dis que quelques exemples de ce qui a pu se faire ici en Grèce Antique ferait une première base de travail. J'ai donc regroupé plusieurs récits des séances qui ont eu lieu dans les différentes tavernes du pays pour débuter.
La jeune femme repassa devant la table et fixa l'adolescente quelques instant avant de se diriger vers la porte. Comme elle lui avait demandé, Marcus avait laissé une cravache près de celle-ci. Alyssandre la saisit et retourna vers Snotra qui ne semblait pas décider à lire. La maîtresse du fouet lui mit un coup de cravache sur les doigts et lui expliqua :
- Si tu tiens à sortir d'ici un jour, tu devrais te mettre à travailler et ne croit pas que tu pourras t'en sortir en faisant semblant. J'ai bien l'intention de t'interroger à la fin, après tout qui dit leçon dit aussi devoir et j'espère que tu feras bien les tiens.
Alyssandre frappa une fois de plus l'adolescente qui attrapa douloureusement le premier parchemin. La jeune femme s'assit sur le coin de la table et observa la jeune fille. Elle la détaillait et la frappait quand celle-ci montrait des signes de somnolence.
Finalement, la maîtresse du fouet laissa Snotra s'endormir, l'aube devait déjà pointé le bout de son nez dehors et Marcus devait déjà l'attendre. Avant de partir, elle caressa la chevelure de la jeune fille et murmura :
- Profite de ses quelques heures de sommeil, nous reprendrons bientôt le cours.
DeletedUser59112
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3 Sympa, le châtiment @Alyssandre
DeletedUser48357
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DeletedUser19733
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5 merci
DeletedUser59112
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