[Récit] Aurora Love

  • Auteur de la discussion DeletedUser34693
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DeletedUser34693

Guest
Bonjour à vous, mes chers amis! ^^

Wow!! Je ne suis plus revenue ici depuis longtemps, et quand enfin je pense à revenir, c'est à dire aujourd'hui, je découvre avec surprise que j'ai un titre d'écrivain! Merci à tous! (J'avais délaissé ce compte depuis l'année dernière il me semble... )

En tout cas, je suis de retour pour vous présenter un texte que, normalement, je pourrai finir sans m'interrompre en cours! (Je pense que je vais abandonner mon précédent récit... )



Malheureusement, je n'ai pas encore trouvé de nom à cette histoire, mais je le rajouterai dès que j'en aurai trouvé un!


(Bien que l'héroïne se nomme aussi "Aurora", ce n'est pas pour m'identifier à elle, c'est juste que quand je ne sais pas quel nom donner, je prends "automatiquement" ce prénom, étant donné qu'il est mon préféré ^^' )





Il y a quelques années, je fus invitée, ainsi qu'une de mes amies, Azuria Milkovitch, à passer quelques semaines dans un vieux manoir à Paris.

Le propriétaire du manoir, un certain Gerald Strauss, était un ancien ami de la famille Milkovitch. Ne le connaissant pas très bien, je me remettais donc entièrement à Azuria, qui m'emmenait jusqu'à la maison de notre cher hôte.

La sinistre demeure était perchée au bord de la Seine, surplombant ses eaux noires et jetant des ombres inquiétantes à sa surface.

Mais je ne fus nullement dérangée par cela, tellement ma fatigue était grande. La seule chose qui m'importait était de dîner d'un copieux repas et de pouvoir laisser mon âme vagabonder jusqu'au Royaume d'Hypnos. En bref, dormir.

Gerald était un homme de noble allure et d'une grande beauté. Il avait des yeux d'un vert profond et sombre et une chevelure châtain clair. Son regard déterminé et héroïque ne pouvait qu'inspirer aux autres respect et admiration.

Après avoir dîné, on me conduisit jusqu'à ma chambre. La journée m'ayant épuisée, je m'endormis immédiatement.

Brusquement, après peut-être une ou deux heures de sommeil, je me réveillai en sursaut, les sens en alerte. Mon cœur battait si fort que j'en eus la nausée, ma respiration était haletante, j'étais recouverte de sueur. J'avais peur. Mais de quoi? J'attendis un instant dans mon lit, désorientée. Les secondes défilaient, qui me paraissaient être une éternité. Finalement, inconsciemment, je me levai et m'emparai de mon manteau. C'est alors que je remarquai le décor de ma chambre. En effet, la veille, harassée par l'épuisement, je ne m'étais point intéressée à ce qui m'entourait. J'avançai lentement, éperdue, hésitante, dans cette obscurité mystérieuse. Je m'arrêtai jusqu'à une bougie et l'allumai. J'ai toujours eu peur de l'inconnu, et mon état actuel ne faisait rien pour m'aider face à cette crainte instinctive. Fort heureusement, un petit feu, chaud et lumineux, animait le foyer, projetant sa lueur claire et rougeâtre contre les murs, illuminant légèrement la pièce de sa lumière rassurante. Mais ce n'était pas suffisant pour dissiper entièrement les ténèbres qui m'entouraient.

Je commençai à déambuler dans ma chambre, m’attardant sur certains objets. Un pressentiment déplaisant m’envahissait peu à peu, à mesure que j’explorais la pièce. Pourtant, jusqu’ici, je n’avais encore rien remarqué d’anormal. Quand soudain, quelque chose attira mon attention. Sur une commode antique surchargée d’ornements d’or et d’argent, à côté d’un haut vase de cristal où flottaient une multitude de pétales de roses dont le parfum doux et envoûtant embaumait la pièce, reposait un pendentif d’argent en forme de croix.
Comme envoûtée, je m’en approchai, le cœur battant, le souffle court, effrayée mais intriguée.
Je laissai courir mes doigts sur l’objet : il était glacé. Inconsciemment, je le pris et le serrai contre mon cœur. Étrangement, son froid contact me plongeait comme dans un état d’extase et de béatitude suprême. Étais-ce à moi que j’obéissais, ou à autre chose ? Je regardai le bijou, attendrie, et le serrai contre ma main. Je ne savais pourquoi, mais j’avais l’impression que cette chose était importante, qu’elle allait bouleverser ma vie.
Hésitante, tremblante comme une feuille, je me dirigeais vers la porte de la chambre. Ma main se posa sur la poignée, la tourna. Lentement, la porte s’ouvrit, dévoilant un couloir plongé dans les ténèbres nocturnes. Armée seulement de la bougie et du pendentif, je m’aventurai dans l’obscurité du manoir. J’avançais, seule, tremblante, effrayée dans ce noir absolu.
J’avais peur, mais ce sentiment de curiosité l’emportait, et lui obéissant, j’errais, seule, désarmée, dans un manoir sinistre et inconnu. Un vide sous mon pied, je me rattrapai de justesse pour ne pas tomber. J’étais arrivée devant un escalier. Un escalier qui s’enfonçait dans les entrailles du manoir. Un sentiment puissant de malaise m’envahit. Mais, prenant mon courage à deux mains, je m’y aventurais.
A mesure que je descendais, le froid et l’obscurité devenaient plus mordants encore. Je serrais le manteau autour de moi. Mes dents claquaient, mes mains étaient glacées.

Enfin, j’arrivai au pied de l’escalier. Un long corridor s’étendait sous mes yeux. Ceux-ci s’ayant habitués à l’obscurité, je distinguais sans peine les contours des murs, les cadres des portes. Ici aussi, les ténèbres étaient grandes. Je dirai même que l’obscurité était encore plus dévorante ici qu’à l’étage supérieur.

« Je suis heureux que tu sois enfin arrivée, Aurora. Cela faisait si longtemps que Grey et moi t’attendions. »

Je sursautai. Quelle était donc cette voix inconnue ? Ainsi, je n’étais donc pas seule ! La peur m’envahit brusquement et pleinement. Qui était donc cette personne qui connaissait mon nom ? Je restais figée de terreur. Ce fut lui qui vint à moi, et, lentement, je vis se détacher de l’obscurité ambiante une silhouette humaine. Puis un visage d’homme. Un beau visage. L’inconnu avait la pâleur de la mort, mais l’élégance, la grâce et la beauté d’un félin. Il sourit, dévoilant de longues dents blanches. Et ces dents – je reculai de terreur – étaient démesurément longues.

Horrifiée, je dévisageais le bel inconnu qui se dressait devant moi. Sa chevelure argentée était presque blanche et elle scintillait de mille feux. Ses yeux noirs brillaient comme des étoiles. Il était la beauté et la perfection incarnée. L’inconnu portait une cape noire et rouge, et ses habits, d’un bleu presque noir, traduisaient une indéniable élégance.
- Je crois que tu as le pendentif de mon cher frère. Dit-il calmement.
Je restais stupéfaite et pétrifiée. Dans mon état de confusion, je ne compris pas immédiatement ses paroles. Le pendentif de son frère ? Serait-il en train de parler de celui que j’avais trouvé, quelques heures plus tôt, sur la commode disposée dans ma chambre ? Mais je m'en rendis compte avec une seconde de retard. Déjà, il s’approchait de moi. Je restais tétanisée sur place.

- Ah… c’est vrai… je m‘excuse de l’impolitesse dont j'ai fait preuve, Aurora. J’aurais dû me présenter. Je me nomme Léon Wieland. Mais je t’en prie, appelle-moi Léon.

Sensuel. C’était tout ce que j’avais à dire. La sensualité émanait de sa personne. Enfin, je me résolus à parler.

- Aurora Lockser. Vous disiez que ce pendentif appartient à votre frère ?
Je lui tendis le bijou, tremblante de terreur. Il sourit. C’était le plus beau sourire que j’aie jamais vu. Il me rappelait la beauté de la nuit, de la Lune, et des étoiles.

- Je suis heureux de faire ta connaissance, ma chère Aurora. Oui, il appartient mon frère.

Ce fut alors que je compris sa vraie nature. J’avais envie de défaillir. Non, c’était impossible ! Je devais être en train de rêver. J’avais envie de pleurer. De me réveiller de ce cauchemar. Car j’étais sûr que c’en était un. J’avais peur. Oui, très peur. Peur de ce qui pourrait arriver par la suite. Mais était-ce seulement un cauchemar ? Et si c’en était pas un ? Cela paraissait pourtant… tellement réel ! Des larmes me montèrent aux yeux. Léon semblait avoir remarqué mon état de confusion, car il me demanda avec inquiétude.

- Que t’arrive-t-il, Aurora ? Quelque chose ne va pas ?

J’avais peur, trop peur pour réfléchir correctement.

- Ce n’est pas un rêve, Aurora.

Je sursautai. Quelqu’un d’autre avait parlé. Je me retournai et je distinguai, dans l’obscurité qui nous entourait, une silhouette masculine. L’inconnu s’approcha. Lentement, progressivement, je distinguai son visage. Un beau visage. Tout aussi beau que celui de Léon. Sa chevelure était noire comme la nuit. Tout comme Léon, ses yeux étaient noirs et ils scintillaient comme des étoiles. Sa chemise était bleu foncé, et sa veste, déboutonnée, avait la noirceur des ténèbres. Il était beau. C’était sans doute un être de la même espèce que Léon.

C’était bizarre, tout de même. L’un avait les cheveux noirs, l’autre avait les cheveux presque blancs.
Je secouai la tête. Non. Impossible ! Cela ne pouvait être réel ! Si, d’après lui, ce n’était pas un rêve, alors c’était que je devenais folle, moi! Ou que j’étais proie à des hallucinations fantastiques. Je regardai autour de moi. J’avais envie de m’enfuir. L’escalier ! Où était-il passé ? Il avait disparu ! Ce n’était plus de la peur, mais une véritable panique qui s’emparait de moi.

Léon se rapprocha.

- Mon cher Grey, je crois bien que nous l’avons effrayée.

Grey hocha la tête.

- Si c’est l’escalier que tu cherches, sache bien que tu ne la retrouveras plus. Un mécanisme magique l’a fait disparaître, ou plutôt, nous a isolés du manoir. Il n’y a plus moyen pour toi de ressortir d’ici.

Il s’approcha de moi. Il souriait. C’était presque un sourire menaçant. Je hurlai, j’avais peur.

- La magie n’existe pas ! Les vampires n’existent pas !

J’avais les larmes aux yeux. À vrai dire, je pleurais littéralement.

- Grey. Elle est déjà suffisamment paniquée comme ça. Inutile de l’effrayer davantage.

C’était Léon qui avait parlé.

- C’est vrai. Tu as raison, Léon. Répondit Grey.

Je reculai et je commençai à courir le long du couloir. Je trouverai bien une issue ! N’importe laquelle, tant que je ne sois plus à la portée de ces deux individus ! Finalement, je m’arrêtai, épuisée. Alors je m’appuyai contre le mur, respirai de toutes mes forces, et m’évanouis.
 

DeletedUser

Guest
J'aime bien. Un début intéressant et bien écrit.
J'attends la suite. Continue comme ça.
Et en passant, bravo pour ton titre . Tu as du l'avoir il y a pas mal de temps car on est deux à postuler pour un titre depuis plus de quatre mois sans résultats ;)
 

DeletedUser34693

Guest
Merci!! Oui, j'ai reçu mon titre l'année dernière ^^'

J'espère que tu recevras vite le tien!!
 

DeletedUser

Guest
Je l'espère également mais ce ne sera sans doute demain la veille.
Je t'invite à passer lire mon sujet et à réagir, entre auteurs ... ;)
 

DeletedUser44469

Guest
J'aime bien ^^

Te serais-tu présentée, afin que je puisse en apprendre d'avantage sur l'auteur? :)
 

DeletedUser34693

Guest
Il me semble que j'ai déjà parlé de moi dans un onglet de présentation, mais il y a 2 ans ^^' cela doit être la raison pour laquelle tu ne sais pas grand chose sur moi. Mais sinon je peux faire une petite présentation rapide ici j'imagine? (Puisque ce ne sera pas vraiment du flood)

J'ai à présent bientôt 16 ans, je suis d'origine genevoise (Suisse). J'ai commencé à jouer à Grepolis il y a 3 ans, mais j'ai arrêté (malheureusement?). C'est pour cette raison que j'ai abandonné le Forum de Grepolis pendant si longtemps. J'ai toujours aimé l'écriture, et être écrivain a toujours été un de mes rêves.

Voilà ^^ (Si les modérateurs ne sont pas contents que je me présente ici, je peux refaire ma présentation dans l'onglet crée spécialement pour ça )
 

DeletedUser44469

Guest
Merci :) content de voir que même à 15 le goût de l'écriture peut prendre ^^
 

DeletedUser34693

Guest
Voilà, désolée pour le retard, la suite est postée!!


Combien d’heures avais-je dormi ? Je ne le savais point. Lentement, je repris connaissance, et péniblement, j’entrouvris les yeux. La pièce était relativement bien éclairée. Le plafond semblait être fait de pierre, et les reflets de multiples feux y dansaient gracieusement, projetant des reflets rougeâtres dans la pièce.
Je tournai la tête. J’étais dans une vaste salle aux murs de pierre, entourée de toute part par des sillons de flammes. Des chandelles et des torches éclairaient la salle, déjà rougeoyante de feu. Je me frottai les yeux, me demandant comment j’ai bien pu arriver ici. Péniblement, je tentais de m’asseoir. Mes membres étaient engourdis. Je constatai avec étonnement que j’étais couchée dans une sorte de lit en bois, incrusté d’or. Des draps de soie et de velours rouges le recouvraient, rendant le lit beaucoup plus confortable. J’allais me lever quand j'entendis des bruits de pas. Ils se rapprochaient de plus en plus de la salle où j'étais. Je recommençais à paniquer. Précipitamment, je me recouchais sur le lit et feignais de dormir.
La porte s'ouvrit. Quelqu'un entra. Malheureusement, j'étais de dos à la porte.
« Tu t'es donc enfin réveillée, Aurora.
C'était la voix de Grey. Je me mordis les lèvres. Ainsi, ils m'avaient retrouvée.
- Mais, dis-moi. Reprit-il. Pourquoi nous crains-tu ? Pourquoi nous fuis-tu ? Nous ne te voulons aucun mal, pourtant.
Enfin, je pris mon courage à deux mains.
- Qui êtes-vous vraiment ? Je ne veux pas vos noms. Vos noms m'importent peu. Ce que je veux savoir, c'est ce que vous êtes, et ce que vous me voulez.
Je me retournai, je m'assis. Et, pour la toute première fois, je le regardais dans les yeux. Ses si beaux yeux noirs. Il sourit. Comme toujours, de son sourire si charmant.
- Tu ne l'as toujours pas deviné ?
Il se rapprocha de moi.
- Nous sommes ceux qui craignons le jour, mais qui aimons la nuit. Nous semblons vivants, mais nous ne le sommes point. Pourtant, nous sommes éternels, et presque immortels. Mais par dessus tout, nous nous délectons de sang. De sang frais, vivant, et humain, notamment.
Il se rapprocha davantage.
- Et ce que nous te voulons, c'est de faire de toi une des nôtres. Tu nous plait énormément, vois-tu
Tant de franchise pour un aveu aussi terrible me terrifia. Je restai pétrifiée, assise sur le lit.
Un claquement de porte. Je me retournai en un éclair. Une silhouette s'avança, une chevelure argentée brilla à la lueur des torches. Désormais, je pouvais distinguer le visage beau et raffiné du vampire aux cheveux d'argent.
- Léon... dit tranquillement Grey. Tu as dû avoir entendu notre conversation.
- Oui. Les vampires ont l'ouïe fine.
Il s'avança jusqu'à moi. Et délicatement, posa ses mains sur mes hanches. Je tressailli sous ce contact si froid. Il s'inclina légèrement pour être à la hauteur de ma tête. On était tout proches, maintenant. Je retins mon souffle.
- Veux-tu de nous, ou pas ? Susurra-t-il doucement. Il souriait. Son visage était si beau. J'étais troublée. Tant de sensualité qui émanait de sa voix, je ne savais que dire. Alors je me tus et le regardai d'un air effaré. Mon expression dût lui plaire, car il éclata de rire. Ce n'était pas un rire froid ou cruel qu'on attribue d'ordinaire aux vampires, mais un rire débordant de tendresse et de bienveillance. De chaleur, aussi. Je songeai à sa question. Quelle femme au monde ne voudrait pas d'eux ? Ils étaient la beauté incarnée. Mais une femme abandonnerait-elle son humanité pour des vampires qu'elle ne connaît même pas ?
- Ai-je le choix ?
Il sourit.
- On a toujours le choix.
Ses paroles me réconfortèrent.
- Et si je refusais ? Que me feriez-vous ?
- Rien. Nous te laisserons repartir. Mais un vivant qui voit un revenant voit sa vie bouleversée à jamais. Il restera angoissé et craintif jusqu'à la fin de ses jours. Veux-tu vraiment que cela t’arrive ? Ce serait dommage de gâcher la courte vie d’une aussi belle femme par ces sottes frayeurs, alors qu’elle pourrait parfaitement jouir d’une vie éternelle en notre compagnie. Et nous ferons tout pour assurer son bonheur. Tu peux me croire, Aurora.
- Et si j’acceptais ? Demandai-je.
Ce fut Grey qui répondit. Il se rapprocha de moi en souriant d’un doux sourire.
- Alors nous t’accueillerons parmi nous comme on accueille une reine. Tu seras notre reine, Aurora. En notre compagnie, il ne te manquera de rien. Et tu seras plus heureuse que jamais. Nous t’en faisons le serment.
- Il suffirait d’une morsure ?
- Il suffirait d’une morsure. Assura Grey.
- Pourquoi moi, et pas une autre ?
- Nous te l’avons déjà dit. Parce que tu es la seule que nous ayons autant ardemment désirée en l’espace de deux cents ans.
- Ah… le désir… pas l’amour. Dis-je, attristée.
- Un peu des deux, peut-être. Répondit Léon en souriant d’un sourire réconfortant.
Je posai encore une dernière question.
- À mon réveil, je deviendrai une vampire, moi aussi ?
- Oui. Tu deviendras une vampire. C’était Grey qui avait parlé. Il tenait son pendentif dans les mains et le serrait fort, très fort.
- Alors je suis prête.
Léon s’assit à côté de moi. J’aurai voulu voir le soleil encore une dernière fois, mais je savais que c’était impossible. C’était maintenant ou jamais. Je fermai les yeux et m’abandonnai dans les bras de Léon. Il m’accueilli dans ses bras glacés et me souleva délicatement.
- Ne t’inquiète pas. Ce sera comme un long sommeil. Quand tu te réveilleras, tu ne seras plus la même. Tu seras comme nous.
Une larme coula sur ma joue. Je rouvris lentement mes yeux et contemplai Léon.
- Serait-ce douloureux ? Demandai-je.
- Oui, un peu, mais ne t’inquiète pas. Nous resterons auprès de toi. Nous resterons toujours auprès de toi.
Je sentis le souffle froid de Grey me caresser les cheveux. Lui aussi me tenait. Je souris et je fermai les yeux. Quand je les rouvrirai, je ne serai plus la même.




Maintenant, je voudrais savoir si vous souhaitez une suite ou est-ce que cette fin vous convient?
 

DeletedUser

Guest
Pour ma part, je suis pour une suite. Récit intéressant bien écrit. Continue ainsi.
 

DeletedUser44469

Guest
J'aime bien, une suite serait la bienvenue :)

Juste un petit truc par contre: quand on dit des choses comme répondit-il, dit-elle etc, on ne met pas de majuscule ^^

Exemple:

Je ne suis là que depuis une heure, répondit Adrien.
 
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