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Khronos est resté à la porte du bureau du conseil de guerre cette nuit là.
Les experts de la guerre sont enfin d'accords, Eratos, passé maître dans la coordination des pigeons voyageurs se met à l'œuvre, la nuit sera longue.
Les entrailles des animaux sacrifiés à la gloire des dieux sont favorables, les présages annoncent la victoire.
Un dernier baiser aux femmes et aux enfants et l'armée la fleur à la pointe de la lance se met en marche.
Les présages sont favorables certes, mais le seigneur n'avait pas prévu l'implication directe des dieux.
C'est Poséidon qui donna l'ordre d'attaque.
- Nous sommes repérés Capitaine !!!
En effet au loin, on entend la cloche d'alerte, les feux des remparts s'allument un à un.
- Forcez la cadence nous devons prendre le port avant qu'ils puissent sortir !!!
C'est dans un bruit assourdissant de tambour et de coup de fouet, que la flotte illumine le ciel nocturne de ses bouches à feu.
- AH AH ce sera facile, nous avons surestimé notre adversaire.
Les marins sont heureux, pour eux c'est terminée sans livrer bataille. Quand sera-t-il des troupes terrestres ? Les murailles sont hautes et la tour de défense trône telle un donjon au milieu de la citadelle (note du scribe : c'est à cette époque que le terme de donjon fut inventé "donjunos" représentation phallique et signe de puissance... Si si...)
A peine sortie du port, la première flotte croise déjà le flot des assaillants qui se jettent sur les remparts.
Ce qu'ils ne savent pas, ils sont envoyés en sacrifice, tout comme la suivante, pour faciliter le passage du plus gros de la troupe. Et pourtant on leur à promis des femmes et du pillage... Ils ne trouveront que la mort malgré le soutien d'Athéna pleurant devant cette dévastation.
C'est sur ce champs de cadavres qu'arrive l'armée de siège.
Chez l'ennemi c'est la panique, les deux assauts précédents ont fais des ravages dans les rangs et voir cette armada débarquer... Tous se disent c'est la fin cette fois.
Pierre contre pierre, les catapultes pilonnent les remparts.
l'armée des assaillants ne bouge pas, elle se tient droite dans ce petit matin, les premiers rayons de soleil font leurs apparitions. Signe de vie ?
Non pas ce matin, l'astre se lève devant ce spectacle de peur et de sang. Va-t-il se recoucher de honte ? Non le roi soleil doit aimer ça, il en a vu d'autres et en verra encore beaucoup!!
Enfin la brèche... Puis l'assaut... puis le carnage...
.
Les experts de la guerre sont enfin d'accords, Eratos, passé maître dans la coordination des pigeons voyageurs se met à l'œuvre, la nuit sera longue.
Les entrailles des animaux sacrifiés à la gloire des dieux sont favorables, les présages annoncent la victoire.
Un dernier baiser aux femmes et aux enfants et l'armée la fleur à la pointe de la lance se met en marche.
Les présages sont favorables certes, mais le seigneur n'avait pas prévu l'implication directe des dieux.
C'est Poséidon qui donna l'ordre d'attaque.
- Nous sommes repérés Capitaine !!!
En effet au loin, on entend la cloche d'alerte, les feux des remparts s'allument un à un.
- Forcez la cadence nous devons prendre le port avant qu'ils puissent sortir !!!
C'est dans un bruit assourdissant de tambour et de coup de fouet, que la flotte illumine le ciel nocturne de ses bouches à feu.
- AH AH ce sera facile, nous avons surestimé notre adversaire.
Les marins sont heureux, pour eux c'est terminée sans livrer bataille. Quand sera-t-il des troupes terrestres ? Les murailles sont hautes et la tour de défense trône telle un donjon au milieu de la citadelle (note du scribe : c'est à cette époque que le terme de donjon fut inventé "donjunos" représentation phallique et signe de puissance... Si si...)
A peine sortie du port, la première flotte croise déjà le flot des assaillants qui se jettent sur les remparts.
Ce qu'ils ne savent pas, ils sont envoyés en sacrifice, tout comme la suivante, pour faciliter le passage du plus gros de la troupe. Et pourtant on leur à promis des femmes et du pillage... Ils ne trouveront que la mort malgré le soutien d'Athéna pleurant devant cette dévastation.
C'est sur ce champs de cadavres qu'arrive l'armée de siège.
Chez l'ennemi c'est la panique, les deux assauts précédents ont fais des ravages dans les rangs et voir cette armada débarquer... Tous se disent c'est la fin cette fois.
Pierre contre pierre, les catapultes pilonnent les remparts.
l'armée des assaillants ne bouge pas, elle se tient droite dans ce petit matin, les premiers rayons de soleil font leurs apparitions. Signe de vie ?
Non pas ce matin, l'astre se lève devant ce spectacle de peur et de sang. Va-t-il se recoucher de honte ? Non le roi soleil doit aimer ça, il en a vu d'autres et en verra encore beaucoup!!
Enfin la brèche... Puis l'assaut... puis le carnage...
