DeletedUser
Guest
Bonjour à tous
J'aimerais vous faire partager quelques textes que j'ai écris et si vous avez des avis (favorables ou défavorables (tant qu'ils sont constructifs et me permettent d'avancer sur cet art, ils sont la bienvenue ) Je vous remercie de me lire, je suis honoré de l'attention que vous porterez à ce post qui j'espère suscitera des échanges.
Premier texte:
Ville pavée de mauvaises intentions/ Les rois dans leurs palais s'amusent sans d'autres prétentions/ Peuple sous-tension/ C'est pas vrai ne me dis pas que ça te donne envie de rêver/ C'est ça que tu fais de ta liberté?/ C'est comme les préjugés trop vite avancés, une fois lancés, seule ta connerie saura les rattrapés/ Prisonnier de la caverne, crois-tu encore au baliverne d'un système qui loue ton ignorance/ Propagande télévisuelle qu'il répande au sein d'un obscurantisme moderne/ Un effet culturel d'une société d'abondance, consommation et d'intolérance/ regarde le tumulte actuel/ ça descend dans les ruelles/ Finance occulte/ le luxe te paraît sensuel, il fait couler le sang et toi tu veux de gros diamants payés au prix de leurs vies/ Industrie bancaire qui s'accapare l'énergie/ça fabrique des guerres, construit l'enfer, la population s'appauvrit, la révolte gronde et vous balayera comme un tsunami/ Se mettre ivre et rire autour d'un bon livre comme les amours sans lendemain, tu déchante/ Retrouvons le droit chemin/ un esprit libre comme dans l'innocence de la naissance/ embrasse la connaissance/ dans la vérité tu retrouveras ton essence/ Art de la guerre qui mène vers la paix que j'aiguise à ma guise ainsi je m'assagis dans la patience faisant preuve de clairvoyance/ le soleil qui se lève est une nouvelle espérance/ Agir sans faiblesse quand on nous assaille/ Nous n'avons pas le permis de tuer/ Assieds toi allume le calumé, écoute on va parler, levons notre verre à la lumière qu'elle nous éclaire de sa bonté/ Ton cœur est emprisonné/ prends place la parole est libérée/ Assis en tailleur dans la Nature/ perçant les secrets de mon ossature/ Le Ciel et la Terre le protège/ le forgeron met toute son âme dans son Œuvre/ une esthétique de l'âme ou s'y mêlerait la beauté de la création, délivré des passions il peut avancer sur la Voie.
Deuxième texte:
Sans l'ombre d'un regret, je passerais ma vie à vagabonder sous un ciel étoilé qui ne cesse jamais de briller comme cette lueur dans le regard, regarde mon cœur prendre les amarres, malgré les tempêtes qu'il a traversé, le trésor est préservé, il demeure une richesse inestimable comme ces rencontres qui ont pour nous tant compter, de nos mémoires ne seront jamais effacer. Je veux danser comme le vent à la manière des mohicans qui a leur mort laisse leur âme prendre l'envol et quitter l'enfer de Babylone. Préservons la pureté des sentiments, un feu qui jamais ne s'éteint, profite de l'instant, il est entre tes mains, un temps qui demeurera au passé, fixé à jamais dans l'éternité. Que Dieu m'en soit témoin, ne laisse pas le malin dominer à la manière de ces gens qui sont de plus en plus mesquin. Se quitter sur un dernier refrain, j'ajoute ma part au butin, j'entame le commencement de ce que sera une libération, la récession du mal même si les idiots me blâment, regarde j'en fais pas un drame, dans la vie rien n'est banal surtout quand tu te balade sur des rythmes enchanteurs, un imprévu trop bien perçu, provoquons notre Salut. Le paradis est là, il suffit de le voir avec ces yeux, qu'ils s'occupent de l'homme et ses déboires, que pouvons-nous faire pour eux? Une pensée pour tous les malheureux qu'on leur vienne en aide qu'il retrouve le sourire, chanceux sont les bienheureux. Repousser les limites d'un système qui ne s'entend pas propager la haine, schéma comportemental que tu suis parce que t'as la dalle, train de vie à l'américaine, se complaît dans la vie mondaine, ils n'en tireront aucune gloire une fois arrivée aux portes du Ciel
Troisième texte:
Un prêtre de lumière à l'élégance d'un cygne,
dans l'horizon déploient ses ailes, une sentence se dessine,
Guerrier qui fait allégeance aux valeurs martiales
Son apparence est un leurre qui dissimule son côté bestial
A ma mort, il n'y aura aucune oraison, à tort ou a raison,
ne suis-je donc qu'un nom? Hors des tours de bétons
le destin me fait signe, m'invite à le suivre,
fait vibrer mon être, enfin finit de survivre.
J’essuie les revers de la Fortune, à l'aube du scrutin,
dans les dunes, on laboure, pour que des vautours
s'abrite derrière notre dur labeur.
D'un mur je fais une libre tribune, c'est pas Victor Hugo et sa plume,
assimilation de l'égo, mes prières se perdent sous le regard de la lune,
loin du paraître, près de la sagesse de nos ancêtres,
faire les cent pas pour dissiper la brume,mental civilisé,
Ressens les pulsations de notre terre, mère nourricière,
homme soumis aux passions, à l'air autoritaire
Résidu patriarcal d'une tradition aujourd'hui bancale
enchante ton atmosphère, dans le ciel étoilé saisis ces vers.
Écarte la parole des médisants, de ton feu intérieur,
miroir du coeur, ils ont eu peur, comportement alarmant,
l'amour est le ciment de la vie, ils fuient l'instant présent,
mes paroles provoquent des secousses qui font s’effondrer tes fondations.
Elevage industriel de consommateur, c'est pas le Meilleur des Mondes d'Aldous Huxley, on s'y croirait presque,
les gardes-fou un brin baratineur veulent faire taire ces bruits
pendant que continue l'asservissement d'Autrui.
Pas d'argent dans la mallette, seulement du papier, une plume
et des rêves pleins la tête,
mais on reste par le progrès mains et poings liés.
Ma planète est dans un sale état,c'est urgent, le changement
c'est nous, c'est maintenant,
canal de l'empire céleste, même les saints protestent.
En Idiocratie, les imbéciles sont biens lotis
rassure-toi la société de consommation les as bien instruits.
Réveillons les bas-fonds, c'est pas Saroumane dans l'Isengard
on ne signe jamais d'abandon, ceci est une mise en garde,
parole débusquée sous le déguisement d'un barde,
de la puissance vitale, la force émane,la maîtrise à la manière des Jedis, chez nous aucun esclave, même si ce système est une enclave.
Oeuvre de mon cru, aucun acte héroïque à mon compteur
malgré les épreuves on reste stoïque témoignage d'un conteur,
Aucun rôle à m'attribuer, conformisme social expédiée
hors de son orbite, ils n'ont pas le monopole de la pensée
on l'a toujours su, souvent déçu, lâche du leste, pactise avec les anges, qu'ils t'éclairent de leurs sciences.
Quatrième texte:
Un monarque en pleine ascension, c'est pas le Roi de Saxe,
hommage à la compréhension, chaque seconde offerte est une leçon,
champ sonore des baleines, communiquent par les ondes,
un mage combattant l'axe du mal, les envoient paître sur instrumental,
on fait dans le détail quand on manifeste ces émotions par trois points de suspension,
investi d'aucune mission, de ma sensibilité je fais don de transmission,
on avance tambour battant en chantant un hymne à la liberté, nous l'avons réinventée
On met dehors vos figures mythologiques, discours illusoires sur papier,
mensonge de l'histoire qui camoufle l'homme et ses déboires.
Dans le corps aucune tension, aucun geste brutal, trouve-tu le temps long?
Sous-estime encore mon implication, faire naître le nouvel-âge,
connaître l'héritage de nos ancêtres sous la forme d'anciens adages,
pouvoir prendre le large, voler parmi les nuages, se nourrir d'énergie cosmique,
c'est pas Aristophane et son ton comique, crame des sticks,
écouter la terre comme les indiens, autour du feu entonner quelques refrains,
creuser sa tombe sous un arbre, écrire un tome remplis d'axiomes de philosophie,
ils me disent atteint de folie,eux-mêmes savent qu'ils sont surpris,
car sous le ciel je suis toujours chez moi.
Nous faisons lien avec la vie, même toi qui habite dans le ciel pollué de Paris,
Déguste ce texte comme un arôme, c'est pas du nescafé mais ça en n'a fait trembler plus d'un,boit-le c'est mon seul bien, dans mes veines coulent le sang des huns, je mènerais mes troupes au combat comme Attila.
Mécène des arts antiques, de sa lumière purifie les atomes,
j'ai mis mes guenilles de barbare, une chenille depuis longtemps papillon,
ces paroles sont du miel qui réveillent tes papilles, plus énergisant que du redbull
Depuis l'espace, je zoom sur le monde ou les belles choses côtoient les immondes
Faites pleins usages de vos facultés, réfléchis éteint ta télé,
règles pour la direction de l'esprit, brise les limites des cartésiens,
quoi qu'on dira chaque chose à un prix, procédé alchimique,
transmutation de l'âme, symbole cyclique qui combat leur système pyramidal,
de curieuses choses ont été cachés sous les dalles, déclenchent les cascades de métaphores,à la sagesse j'ai mis la bague au doigt, je lui reste fidèle, avant de l'enlacer entre mes bras.
Grandit à l'école des mystères, soulève le voile de leurs secrets,
Cercle des sept étoiles qui de la Voie se drape,
enclenche les différents niveaux d'interprétation, brise les limites, lève les barrières mentales, et que de ton regard tu vois le champ des possibles.
Porter les valeurs humaines comme Atlas qui reste condamner à endurer le poids du monde, ça vous étonne, de petits problèmes ils en font des tonnes,se sentent mal dans leurs pompes, regarde les peuples du Tiers-monde, tu sera inspiré par leurs chaleurs.
Pense à ces mômes, la gorge asséché, qui disparaissent sous le sable du Sahel
L'occident demeurent sourd face au cri de la famine,
élever le dialogue,dénoncer les injustices, c'est pour ça qu'on écrit,
mais dans les yeux des lobbys, seule l'argent est en train de luire,
passe dans les mains des banquiers qui le blanchissent, élève les cours du marché,
ça devient dur de s'alimenter depuis qu'ils nous vendent leurs poisons...
Pendant que nos états font droit d'ingérence, Ils continuent à remplir le tonneau des Danaïdes, que la société est aride quand les peuples sont condamnés à de biens tristes pitances, partout se propage la révolution, mes factions sont prêtes à passer à l'action, matérialise le fight club,prête attention il prend forme, à nos côtés seule ton humanité sera regardé,
pas le temps de lézarder sur les plages ou profiter du sauna quand les américains jouent de leur sonar et dénoncent la Sunna.
C'est l'amiral qui débarque de son navire, à la guerre il ne veut plus repartir,
tiré une balle dans la tête d'un enfant, c'était sur ordre de
la hiérarchie, criminel aussi cruel que la mafia, chassez les traîtres,continuez à mentir,
les atrocités qu'ils ont commises, jamais Dieu ne les as admises,
condamne toute forme de violence, embrasse la paix,
des civils sous les bombes, et on se réjouit de la technologie,
prends du plaisir à tué devant call of duty,
l'honneur d'avoir tué leurs faits chanter la marseillaise, aucune vérité sous ces cyprès, de ces actes elle s'est bien trop éloignés, plus de cordes à mon arc,.
Décide de porter le masque pendant qu'il camoufle leurs mascarades,
monter sur les tables, c'est le Cercle des Poétes Disparus,
Ô capitaine, mon capitaine, dans le silence résonne encore ton Carpe Diem,
l'autorité broie du noir depuis qu'on a mis nos idées en musique,
ils se retrouvent devant un dilemme, le peuple veille à ce qu'ils ne franchissent pas le seuil de la haine.
Cinquième et dernier texte:
Nous ne sommes pas des produits, Remballe donc tes étiquettes,
on vendra notre âme contre aucune somme te rends-tu compte de ce que ça induit
qui que tu sois, on t'accepte,ton intériorité te révélera à ton être,
entends et ressens, le discours de cet itinérant,
errant au gré du vent, ce que la vie nous as instruits,
nous l'avons transmis,à travers le soleil levant,
poursuis ses rêves depuis ce jour,ou en attendant la mort,
il découvrit ce qu'était l'amour,depuis le cœur ne dort plus,
même si il a essuyé la pluie,c'était là, nous l'avons toujours su,
j'espère que cet entretien ta plu, nos esprits communiquent,
sortir du commun, ils trouvent ça tragique.
Se livrer à l'étude, jtrouve ça digeste,
répète mille fois le même geste, rien ne devient une habitude,
on s'épargne les actions mécanique, laisse place à la spontanéité,
et que par l'Âme du Monde tu te sente habité.
Goûte à la magie des mots, ces paroles sont ailées,
Ils peuvent bien parler dans notre dos, ça nous empêchera pas d'avancer.
L'assemblée c'est le peuple, démocratie directe comme au temps de l'Héliée,
qu'on échange, tous ensemble, sur l'Agora, goûte aux bienfaits célestes
sous la bénédiction de Dieu,Jah ou d'Allah,
Il nous accompagne à chacun de nos pas,on garde confiance même si on est condamné aux trépas,
on s'en fait pas, chacun de nos actes il n'oubliera pas.
On arrive comme des objets non-identifiés,aucun mot pour nous signifier,
sous la lumière les phénomènes sont amplifiés,tes préjugés tu déballe,
vas pas croire qu'on remballe,augmente mon ki à la sangoku,
tu pousse au scandale,vaut mieux pour toi que tu détalle, brise les tabous.Sous mes habits plus d'un atout, guerrier tribal au comportement instable,
un but et ça s'enflamme dans les stades,jpréférerais que ça soit pour la paix,
Pardonne leurs de n'avoir rien compris, dans l'oisiveté ils se sont bien installés.
Vivre pour toujours en harmonie avec la nature, c'est entré dans la marginalité,
ils se complaisent dans la dictature, on est depuis longtemps identifié à la bêtise de vos clichés,
arrête de nous ennuyer avec tes rumeurs,exprime de la douceur, retrouve le lien vers Le sacré,
de Lui nous n'avons jamais été séparé, même quand tu t'es senti abandonné...
Du haut des arbres, on vous regarde,
enchaînés par le Léviathan, un mode de vie que tu envies tant,
affalé sur son divan, distrait, il évite d'être seul,
avant que les larmes pleuvent, à nos appels il restent sourd
amènent un sac d'or et ils accourent, l'existence est courte, ne perds pas ton temps dans la vanité, avance lentement mais sûrement et choisis ce qui t'es destiné.
Interroge-toi sur ton éthique, ta morale et ces principes,
je déroge à vos coutumes, l'Aigle finira par perdre ses plumes,
Il a pillé la terre des Indiens, fait ingérence dans le monde,
Il se maintient, détruit le Zion et construit Sion,
dans le corps des civils, ce sont ses munitions,
derrière lui se cachent ceux qui ont volé tant de pays,
se sont emparés des richesses en massacrant les ethnies, acquises au prix du sang,
vous avez l'air surpris!!!!!
Vois ce qui se passe en réalité, il y a vraiment de quoi s'alarmer,
les peuples refusent de se tendre la main, chacun veut sa part du butin
même si pour ça il devra dominer d'autres êtres humains, transforme Thanatos en Eros,
héros de lumière, suis le courant de la rivière divine
et sur les annales de l'humanité grave quelques lignes.
Pour notre réconciliation, on fait de chaque jour une prière,
tu peux bien en rigoler, je tends le bâton à celui qui est en train de se noyer,
aucune gloire a en retirer, aussi léger qu'une plume à la pesée,
à la cérémonie se purifie des actes passés.
Le monde repose sur La Balance, équilibre parfait,
mais l'homme n'a eu de cesse d'oublier,le spirituel est la prochaine étape,
finit de se battre en duel,
je veux voir vos étoiles briller depuis la nuit des temps plongés dans le sommeil
aujourd'hui entends-tu sonner le son des Cloches? Notre éveil se prophétisera à notre réveil menée par le Grand Cocher, nos meilleurs voeux seront réalisés.
Je vous remercie encore humbles guerrières et guerriers, j'espère récolter vos avis.
J'aimerais vous faire partager quelques textes que j'ai écris et si vous avez des avis (favorables ou défavorables (tant qu'ils sont constructifs et me permettent d'avancer sur cet art, ils sont la bienvenue ) Je vous remercie de me lire, je suis honoré de l'attention que vous porterez à ce post qui j'espère suscitera des échanges.
Premier texte:
Ville pavée de mauvaises intentions/ Les rois dans leurs palais s'amusent sans d'autres prétentions/ Peuple sous-tension/ C'est pas vrai ne me dis pas que ça te donne envie de rêver/ C'est ça que tu fais de ta liberté?/ C'est comme les préjugés trop vite avancés, une fois lancés, seule ta connerie saura les rattrapés/ Prisonnier de la caverne, crois-tu encore au baliverne d'un système qui loue ton ignorance/ Propagande télévisuelle qu'il répande au sein d'un obscurantisme moderne/ Un effet culturel d'une société d'abondance, consommation et d'intolérance/ regarde le tumulte actuel/ ça descend dans les ruelles/ Finance occulte/ le luxe te paraît sensuel, il fait couler le sang et toi tu veux de gros diamants payés au prix de leurs vies/ Industrie bancaire qui s'accapare l'énergie/ça fabrique des guerres, construit l'enfer, la population s'appauvrit, la révolte gronde et vous balayera comme un tsunami/ Se mettre ivre et rire autour d'un bon livre comme les amours sans lendemain, tu déchante/ Retrouvons le droit chemin/ un esprit libre comme dans l'innocence de la naissance/ embrasse la connaissance/ dans la vérité tu retrouveras ton essence/ Art de la guerre qui mène vers la paix que j'aiguise à ma guise ainsi je m'assagis dans la patience faisant preuve de clairvoyance/ le soleil qui se lève est une nouvelle espérance/ Agir sans faiblesse quand on nous assaille/ Nous n'avons pas le permis de tuer/ Assieds toi allume le calumé, écoute on va parler, levons notre verre à la lumière qu'elle nous éclaire de sa bonté/ Ton cœur est emprisonné/ prends place la parole est libérée/ Assis en tailleur dans la Nature/ perçant les secrets de mon ossature/ Le Ciel et la Terre le protège/ le forgeron met toute son âme dans son Œuvre/ une esthétique de l'âme ou s'y mêlerait la beauté de la création, délivré des passions il peut avancer sur la Voie.
Deuxième texte:
Sans l'ombre d'un regret, je passerais ma vie à vagabonder sous un ciel étoilé qui ne cesse jamais de briller comme cette lueur dans le regard, regarde mon cœur prendre les amarres, malgré les tempêtes qu'il a traversé, le trésor est préservé, il demeure une richesse inestimable comme ces rencontres qui ont pour nous tant compter, de nos mémoires ne seront jamais effacer. Je veux danser comme le vent à la manière des mohicans qui a leur mort laisse leur âme prendre l'envol et quitter l'enfer de Babylone. Préservons la pureté des sentiments, un feu qui jamais ne s'éteint, profite de l'instant, il est entre tes mains, un temps qui demeurera au passé, fixé à jamais dans l'éternité. Que Dieu m'en soit témoin, ne laisse pas le malin dominer à la manière de ces gens qui sont de plus en plus mesquin. Se quitter sur un dernier refrain, j'ajoute ma part au butin, j'entame le commencement de ce que sera une libération, la récession du mal même si les idiots me blâment, regarde j'en fais pas un drame, dans la vie rien n'est banal surtout quand tu te balade sur des rythmes enchanteurs, un imprévu trop bien perçu, provoquons notre Salut. Le paradis est là, il suffit de le voir avec ces yeux, qu'ils s'occupent de l'homme et ses déboires, que pouvons-nous faire pour eux? Une pensée pour tous les malheureux qu'on leur vienne en aide qu'il retrouve le sourire, chanceux sont les bienheureux. Repousser les limites d'un système qui ne s'entend pas propager la haine, schéma comportemental que tu suis parce que t'as la dalle, train de vie à l'américaine, se complaît dans la vie mondaine, ils n'en tireront aucune gloire une fois arrivée aux portes du Ciel
Troisième texte:
Un prêtre de lumière à l'élégance d'un cygne,
dans l'horizon déploient ses ailes, une sentence se dessine,
Guerrier qui fait allégeance aux valeurs martiales
Son apparence est un leurre qui dissimule son côté bestial
A ma mort, il n'y aura aucune oraison, à tort ou a raison,
ne suis-je donc qu'un nom? Hors des tours de bétons
le destin me fait signe, m'invite à le suivre,
fait vibrer mon être, enfin finit de survivre.
J’essuie les revers de la Fortune, à l'aube du scrutin,
dans les dunes, on laboure, pour que des vautours
s'abrite derrière notre dur labeur.
D'un mur je fais une libre tribune, c'est pas Victor Hugo et sa plume,
assimilation de l'égo, mes prières se perdent sous le regard de la lune,
loin du paraître, près de la sagesse de nos ancêtres,
faire les cent pas pour dissiper la brume,mental civilisé,
Ressens les pulsations de notre terre, mère nourricière,
homme soumis aux passions, à l'air autoritaire
Résidu patriarcal d'une tradition aujourd'hui bancale
enchante ton atmosphère, dans le ciel étoilé saisis ces vers.
Écarte la parole des médisants, de ton feu intérieur,
miroir du coeur, ils ont eu peur, comportement alarmant,
l'amour est le ciment de la vie, ils fuient l'instant présent,
mes paroles provoquent des secousses qui font s’effondrer tes fondations.
Elevage industriel de consommateur, c'est pas le Meilleur des Mondes d'Aldous Huxley, on s'y croirait presque,
les gardes-fou un brin baratineur veulent faire taire ces bruits
pendant que continue l'asservissement d'Autrui.
Pas d'argent dans la mallette, seulement du papier, une plume
et des rêves pleins la tête,
mais on reste par le progrès mains et poings liés.
Ma planète est dans un sale état,c'est urgent, le changement
c'est nous, c'est maintenant,
canal de l'empire céleste, même les saints protestent.
En Idiocratie, les imbéciles sont biens lotis
rassure-toi la société de consommation les as bien instruits.
Réveillons les bas-fonds, c'est pas Saroumane dans l'Isengard
on ne signe jamais d'abandon, ceci est une mise en garde,
parole débusquée sous le déguisement d'un barde,
de la puissance vitale, la force émane,la maîtrise à la manière des Jedis, chez nous aucun esclave, même si ce système est une enclave.
Oeuvre de mon cru, aucun acte héroïque à mon compteur
malgré les épreuves on reste stoïque témoignage d'un conteur,
Aucun rôle à m'attribuer, conformisme social expédiée
hors de son orbite, ils n'ont pas le monopole de la pensée
on l'a toujours su, souvent déçu, lâche du leste, pactise avec les anges, qu'ils t'éclairent de leurs sciences.
Quatrième texte:
Un monarque en pleine ascension, c'est pas le Roi de Saxe,
hommage à la compréhension, chaque seconde offerte est une leçon,
champ sonore des baleines, communiquent par les ondes,
un mage combattant l'axe du mal, les envoient paître sur instrumental,
on fait dans le détail quand on manifeste ces émotions par trois points de suspension,
investi d'aucune mission, de ma sensibilité je fais don de transmission,
on avance tambour battant en chantant un hymne à la liberté, nous l'avons réinventée
On met dehors vos figures mythologiques, discours illusoires sur papier,
mensonge de l'histoire qui camoufle l'homme et ses déboires.
Dans le corps aucune tension, aucun geste brutal, trouve-tu le temps long?
Sous-estime encore mon implication, faire naître le nouvel-âge,
connaître l'héritage de nos ancêtres sous la forme d'anciens adages,
pouvoir prendre le large, voler parmi les nuages, se nourrir d'énergie cosmique,
c'est pas Aristophane et son ton comique, crame des sticks,
écouter la terre comme les indiens, autour du feu entonner quelques refrains,
creuser sa tombe sous un arbre, écrire un tome remplis d'axiomes de philosophie,
ils me disent atteint de folie,eux-mêmes savent qu'ils sont surpris,
car sous le ciel je suis toujours chez moi.
Nous faisons lien avec la vie, même toi qui habite dans le ciel pollué de Paris,
Déguste ce texte comme un arôme, c'est pas du nescafé mais ça en n'a fait trembler plus d'un,boit-le c'est mon seul bien, dans mes veines coulent le sang des huns, je mènerais mes troupes au combat comme Attila.
Mécène des arts antiques, de sa lumière purifie les atomes,
j'ai mis mes guenilles de barbare, une chenille depuis longtemps papillon,
ces paroles sont du miel qui réveillent tes papilles, plus énergisant que du redbull
Depuis l'espace, je zoom sur le monde ou les belles choses côtoient les immondes
Faites pleins usages de vos facultés, réfléchis éteint ta télé,
règles pour la direction de l'esprit, brise les limites des cartésiens,
quoi qu'on dira chaque chose à un prix, procédé alchimique,
transmutation de l'âme, symbole cyclique qui combat leur système pyramidal,
de curieuses choses ont été cachés sous les dalles, déclenchent les cascades de métaphores,à la sagesse j'ai mis la bague au doigt, je lui reste fidèle, avant de l'enlacer entre mes bras.
Grandit à l'école des mystères, soulève le voile de leurs secrets,
Cercle des sept étoiles qui de la Voie se drape,
enclenche les différents niveaux d'interprétation, brise les limites, lève les barrières mentales, et que de ton regard tu vois le champ des possibles.
Porter les valeurs humaines comme Atlas qui reste condamner à endurer le poids du monde, ça vous étonne, de petits problèmes ils en font des tonnes,se sentent mal dans leurs pompes, regarde les peuples du Tiers-monde, tu sera inspiré par leurs chaleurs.
Pense à ces mômes, la gorge asséché, qui disparaissent sous le sable du Sahel
L'occident demeurent sourd face au cri de la famine,
élever le dialogue,dénoncer les injustices, c'est pour ça qu'on écrit,
mais dans les yeux des lobbys, seule l'argent est en train de luire,
passe dans les mains des banquiers qui le blanchissent, élève les cours du marché,
ça devient dur de s'alimenter depuis qu'ils nous vendent leurs poisons...
Pendant que nos états font droit d'ingérence, Ils continuent à remplir le tonneau des Danaïdes, que la société est aride quand les peuples sont condamnés à de biens tristes pitances, partout se propage la révolution, mes factions sont prêtes à passer à l'action, matérialise le fight club,prête attention il prend forme, à nos côtés seule ton humanité sera regardé,
pas le temps de lézarder sur les plages ou profiter du sauna quand les américains jouent de leur sonar et dénoncent la Sunna.
C'est l'amiral qui débarque de son navire, à la guerre il ne veut plus repartir,
tiré une balle dans la tête d'un enfant, c'était sur ordre de
la hiérarchie, criminel aussi cruel que la mafia, chassez les traîtres,continuez à mentir,
les atrocités qu'ils ont commises, jamais Dieu ne les as admises,
condamne toute forme de violence, embrasse la paix,
des civils sous les bombes, et on se réjouit de la technologie,
prends du plaisir à tué devant call of duty,
l'honneur d'avoir tué leurs faits chanter la marseillaise, aucune vérité sous ces cyprès, de ces actes elle s'est bien trop éloignés, plus de cordes à mon arc,.
Décide de porter le masque pendant qu'il camoufle leurs mascarades,
monter sur les tables, c'est le Cercle des Poétes Disparus,
Ô capitaine, mon capitaine, dans le silence résonne encore ton Carpe Diem,
l'autorité broie du noir depuis qu'on a mis nos idées en musique,
ils se retrouvent devant un dilemme, le peuple veille à ce qu'ils ne franchissent pas le seuil de la haine.
Cinquième et dernier texte:
Nous ne sommes pas des produits, Remballe donc tes étiquettes,
on vendra notre âme contre aucune somme te rends-tu compte de ce que ça induit
qui que tu sois, on t'accepte,ton intériorité te révélera à ton être,
entends et ressens, le discours de cet itinérant,
errant au gré du vent, ce que la vie nous as instruits,
nous l'avons transmis,à travers le soleil levant,
poursuis ses rêves depuis ce jour,ou en attendant la mort,
il découvrit ce qu'était l'amour,depuis le cœur ne dort plus,
même si il a essuyé la pluie,c'était là, nous l'avons toujours su,
j'espère que cet entretien ta plu, nos esprits communiquent,
sortir du commun, ils trouvent ça tragique.
Se livrer à l'étude, jtrouve ça digeste,
répète mille fois le même geste, rien ne devient une habitude,
on s'épargne les actions mécanique, laisse place à la spontanéité,
et que par l'Âme du Monde tu te sente habité.
Goûte à la magie des mots, ces paroles sont ailées,
Ils peuvent bien parler dans notre dos, ça nous empêchera pas d'avancer.
L'assemblée c'est le peuple, démocratie directe comme au temps de l'Héliée,
qu'on échange, tous ensemble, sur l'Agora, goûte aux bienfaits célestes
sous la bénédiction de Dieu,Jah ou d'Allah,
Il nous accompagne à chacun de nos pas,on garde confiance même si on est condamné aux trépas,
on s'en fait pas, chacun de nos actes il n'oubliera pas.
On arrive comme des objets non-identifiés,aucun mot pour nous signifier,
sous la lumière les phénomènes sont amplifiés,tes préjugés tu déballe,
vas pas croire qu'on remballe,augmente mon ki à la sangoku,
tu pousse au scandale,vaut mieux pour toi que tu détalle, brise les tabous.Sous mes habits plus d'un atout, guerrier tribal au comportement instable,
un but et ça s'enflamme dans les stades,jpréférerais que ça soit pour la paix,
Pardonne leurs de n'avoir rien compris, dans l'oisiveté ils se sont bien installés.
Vivre pour toujours en harmonie avec la nature, c'est entré dans la marginalité,
ils se complaisent dans la dictature, on est depuis longtemps identifié à la bêtise de vos clichés,
arrête de nous ennuyer avec tes rumeurs,exprime de la douceur, retrouve le lien vers Le sacré,
de Lui nous n'avons jamais été séparé, même quand tu t'es senti abandonné...
Du haut des arbres, on vous regarde,
enchaînés par le Léviathan, un mode de vie que tu envies tant,
affalé sur son divan, distrait, il évite d'être seul,
avant que les larmes pleuvent, à nos appels il restent sourd
amènent un sac d'or et ils accourent, l'existence est courte, ne perds pas ton temps dans la vanité, avance lentement mais sûrement et choisis ce qui t'es destiné.
Interroge-toi sur ton éthique, ta morale et ces principes,
je déroge à vos coutumes, l'Aigle finira par perdre ses plumes,
Il a pillé la terre des Indiens, fait ingérence dans le monde,
Il se maintient, détruit le Zion et construit Sion,
dans le corps des civils, ce sont ses munitions,
derrière lui se cachent ceux qui ont volé tant de pays,
se sont emparés des richesses en massacrant les ethnies, acquises au prix du sang,
vous avez l'air surpris!!!!!
Vois ce qui se passe en réalité, il y a vraiment de quoi s'alarmer,
les peuples refusent de se tendre la main, chacun veut sa part du butin
même si pour ça il devra dominer d'autres êtres humains, transforme Thanatos en Eros,
héros de lumière, suis le courant de la rivière divine
et sur les annales de l'humanité grave quelques lignes.
Pour notre réconciliation, on fait de chaque jour une prière,
tu peux bien en rigoler, je tends le bâton à celui qui est en train de se noyer,
aucune gloire a en retirer, aussi léger qu'une plume à la pesée,
à la cérémonie se purifie des actes passés.
Le monde repose sur La Balance, équilibre parfait,
mais l'homme n'a eu de cesse d'oublier,le spirituel est la prochaine étape,
finit de se battre en duel,
je veux voir vos étoiles briller depuis la nuit des temps plongés dans le sommeil
aujourd'hui entends-tu sonner le son des Cloches? Notre éveil se prophétisera à notre réveil menée par le Grand Cocher, nos meilleurs voeux seront réalisés.
Je vous remercie encore humbles guerrières et guerriers, j'espère récolter vos avis.