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En se levant se matin là, le terrible Gorgorax avait envie de sang. Il sortit sur le balcon de sa superbe demeure de la ville qu'il occupait actuellement pour étendre son regard fier sur son vaste domaine. Il était fier de ce qu'il avait accompli et son ascension avait été le fruit d'un dur labeur et d'une stratégie réfléchie... Il n'avait rien à devoir à personne, mais gardait les pieds sur terre. Il fallait avoir une poigne de fer pour tenir l'alliance qu'il avait fondé avec ses accolites. L'armée styxiènne était redouté aux alentours, pourtant, il restait toujours des têtes qui se levaient avec audace pour les defier, lui et les siens.
Il y en avait un pas loin de lui. Un irréductible ennemi. Cela faisait des semaines que les escarmouches entre les styxiens et les Fighting spirit duraient, et il fallait y mettre bon ordre. Gorgorax le savait, et il s'était levé ce matin là avec la féroce envie d'en découdre. Après un court petit déjeuné, il fit le tour de ses armées . Ses hommes l'aimaient et le respectaient. Il pouvait leur faire confiance et savait comment leur donner la soif de vaincre. Quand il quitta la caserne, il avait pu lire la victoire prochaine dans le regard de ses troupes et s'en était lui même enorgueilli. Il alla ensuite visiter son port, où il trouva le même accueil que dans la caserne. Ses troupes étaient prête à embarquer.
Leur cible étaient le vaste domaine de Ralphus II, un impudent qui se dressait face à l'autorité styxiene et qu'il fallait châtier sans attendre. Le voyage fut long jusqu'aux côtes de l'ennemi et le terrible chef de guerre se doutait que ça laisserait une certaine marche de manœuvre à l'ennemi. Pourtant, il ne doutait pas que l'adversaire soit au rendez vous, après tout, Ralphus II avait déjà prouvé sa valeur lors d'autres affrontements. c'est donc sans l'appréhension de priver ses hommes du carnage qu'ils attendaient qu'il vit poindre les côtes rivales dans sa longue vue.
Gorgorax savait que Ralphus II aurait le temps d'avertir ses alliés qui ne manqueraient pas de se porter à son secours. Pourtant, le sanguinaire n'en avait cure. au contraire, ce soutien, il l'attendait, sans aller même jusqu'à le désirer. Depuis quelques temps, il avait du mal à trouver des adversaires à sa taille et ses hommes se lassaient de ces victoires trop faciles qui n'apportaient aucune gloire à leurs noms. Peut être qu'en se réunissant pour faire front à ses assauts, les Fighting spirit, Ceux d'Epsilon et les derniers Unions de Zeus réussiraient à pimenter un peu cette bataille.
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pspas tout a fait finit j'ai oublier quelques rc, je finit bientot
ps2 voila finit je pense^^
Il y en avait un pas loin de lui. Un irréductible ennemi. Cela faisait des semaines que les escarmouches entre les styxiens et les Fighting spirit duraient, et il fallait y mettre bon ordre. Gorgorax le savait, et il s'était levé ce matin là avec la féroce envie d'en découdre. Après un court petit déjeuné, il fit le tour de ses armées . Ses hommes l'aimaient et le respectaient. Il pouvait leur faire confiance et savait comment leur donner la soif de vaincre. Quand il quitta la caserne, il avait pu lire la victoire prochaine dans le regard de ses troupes et s'en était lui même enorgueilli. Il alla ensuite visiter son port, où il trouva le même accueil que dans la caserne. Ses troupes étaient prête à embarquer.
Leur cible étaient le vaste domaine de Ralphus II, un impudent qui se dressait face à l'autorité styxiene et qu'il fallait châtier sans attendre. Le voyage fut long jusqu'aux côtes de l'ennemi et le terrible chef de guerre se doutait que ça laisserait une certaine marche de manœuvre à l'ennemi. Pourtant, il ne doutait pas que l'adversaire soit au rendez vous, après tout, Ralphus II avait déjà prouvé sa valeur lors d'autres affrontements. c'est donc sans l'appréhension de priver ses hommes du carnage qu'ils attendaient qu'il vit poindre les côtes rivales dans sa longue vue.
Gorgorax savait que Ralphus II aurait le temps d'avertir ses alliés qui ne manqueraient pas de se porter à son secours. Pourtant, le sanguinaire n'en avait cure. au contraire, ce soutien, il l'attendait, sans aller même jusqu'à le désirer. Depuis quelques temps, il avait du mal à trouver des adversaires à sa taille et ses hommes se lassaient de ces victoires trop faciles qui n'apportaient aucune gloire à leurs noms. Peut être qu'en se réunissant pour faire front à ses assauts, les Fighting spirit, Ceux d'Epsilon et les derniers Unions de Zeus réussiraient à pimenter un peu cette bataille.














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