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45h pour venir. Le trajet est long, les hommes s'ennuient, pressés d'en découdre, de s'installer dans leurs nouveaux murs.
Freed des PRETORIENS? leur amiral, ne sait plus quoi faire pour les occuper.
Les côtes sont enfin en vue, tout le monde se prépare.
L'amiral fait la revue de ses troupes, des bateaux qui les suivent.
Les birêmes ? prêtes chef !!
Les frondeurs ? prêts chef !!
Les chars ? prêts chef !!
Les hoplites ? prêts chef !!
Les archers ? prêts à défendre chef !!
Les épéistes ? prêts à défendre chef !!
Les cavaliers ? ... pas de réponse...
Pas de cavaliers ? Bon de toutes façons nos alliés nous ont dit que la ville était vide et tomberait sans problème.
Les bateaux-feu ?... pas de réponse...
Où sont les bateaux-feu ?? Où sont-ils ? rugit l'amiral hors de lui
Vous ! dit-il en montrant son second du doigt, où sont-ils ?
Chef, vous êtes parti trop vite, ils étaient en cale sèche, ils n'ont pas pu nous suivre.
Et comment voulez-vous que nous débarquions sans bateaux-feu espèce d'incapable ???
Les bâteaux coulèrent sans laisser de survivant. A si ... l'amiral réussit à se glisser de justesse dans une chaloupe de secours.
Se laissant voguer sans ramer, il s'arrachait les cheveux en pensant aux incompétents qui étaient dans son armée, sa belle armée toute décimée, sa belle flotte toute neuve et déjà au fond de l'eau.
Il vit arriver vers lui une birême. Il se crut perdu. C'était la fin, les ennemis allaient le tuer. Il pria pour que sa fin soit rapide et qu'il n'ait pas le temps de parler sous la torture.
Ohé Amiral Freed !!! Ohé !!! quelle ne fut pas sa surprise de s'entendre héler ainsi. C'était un navire du seigneur Chris27 du royaume des Terroristes.
Il monta à bord où il fut réconforté, réchauffé et emmené dans le bureau du capitaine où il retrouva son allié.
Après s'être restauré, il essaya de comprendre pourquoi tout avait raté. Pourquoi le port qui devait être vide était rempli de birêmes.
Le seigneur Chris27 ne le regardait pas dans les yeux, évitait de lui répondre franchement.
Tapant du point sur la table, l'amiral exigea des réponses. Ses hommes venaient de mourir pour une guerre qui ne les concernait pas vraiment, simplement parce que les Terroristes, leurs alliés, leur avait demandé de l'aide.
S'échauffant, au bord de l'apoplexie, il prit Chris27 à la gorge et le somma de s'expliquer.
Ce dernier fit un signe affirmatif de la tête, confirmant que dès qu'il aurait retrouvé son souffle il parlerait.
Crachant, toussant, le seigneur repris enfin assez de souffle pour dire d'une voix faible : je me suis trompé dans les heures d'arrivée de mes bateaux de soutien. Vous avez mis tellement de temps que j'ai cru que vous étiez déjà en place. Mes soutiens sont arrivés depuis ce matin déjà.
et encore du soutien par chris27 après la colo
Freed :Et pourquoi n'aviez-vous pas envoyé d'attaques avant pour être sur que le port était bien vide ?
Chris27 : le générallissime Dams347 ne nous l'a pas demandé. Vous deviez vous débrouillez seuls. Seul le soutien était demandé.
Se prenant la tête entre les mains, les deux hommes se dirent qu'elle ne restera pas très longtemps sur leurs têtes une fois que le générallissime serait au courant...
Ils l'entendaient déjà d'ici, les traitant d'incapables, les menacer de les jeter aux lions, comme après la défaite du seigneur bibifok75. Ce dernier avait eu de la chance, il avait eu sa peine commuée en exil (on raconte qu'il est en fin de compte dans un centre de remise à niveau... )... mais eux n'étaient pas aussi protégés que lui et ils avaient vraiment peur.
FIN
Et voilà encore une petite (més)aventure de nos chers amis les terroristes
Freed des PRETORIENS? leur amiral, ne sait plus quoi faire pour les occuper.
Les côtes sont enfin en vue, tout le monde se prépare.
L'amiral fait la revue de ses troupes, des bateaux qui les suivent.
Les birêmes ? prêtes chef !!
Les frondeurs ? prêts chef !!
Les chars ? prêts chef !!
Les hoplites ? prêts chef !!
Les archers ? prêts à défendre chef !!
Les épéistes ? prêts à défendre chef !!
Les cavaliers ? ... pas de réponse...
Pas de cavaliers ? Bon de toutes façons nos alliés nous ont dit que la ville était vide et tomberait sans problème.
Les bateaux-feu ?... pas de réponse...
Où sont les bateaux-feu ?? Où sont-ils ? rugit l'amiral hors de lui
Vous ! dit-il en montrant son second du doigt, où sont-ils ?
Chef, vous êtes parti trop vite, ils étaient en cale sèche, ils n'ont pas pu nous suivre.
Et comment voulez-vous que nous débarquions sans bateaux-feu espèce d'incapable ???
Les bâteaux coulèrent sans laisser de survivant. A si ... l'amiral réussit à se glisser de justesse dans une chaloupe de secours.
Se laissant voguer sans ramer, il s'arrachait les cheveux en pensant aux incompétents qui étaient dans son armée, sa belle armée toute décimée, sa belle flotte toute neuve et déjà au fond de l'eau.
Il vit arriver vers lui une birême. Il se crut perdu. C'était la fin, les ennemis allaient le tuer. Il pria pour que sa fin soit rapide et qu'il n'ait pas le temps de parler sous la torture.
Ohé Amiral Freed !!! Ohé !!! quelle ne fut pas sa surprise de s'entendre héler ainsi. C'était un navire du seigneur Chris27 du royaume des Terroristes.
Il monta à bord où il fut réconforté, réchauffé et emmené dans le bureau du capitaine où il retrouva son allié.
Après s'être restauré, il essaya de comprendre pourquoi tout avait raté. Pourquoi le port qui devait être vide était rempli de birêmes.
Le seigneur Chris27 ne le regardait pas dans les yeux, évitait de lui répondre franchement.
Tapant du point sur la table, l'amiral exigea des réponses. Ses hommes venaient de mourir pour une guerre qui ne les concernait pas vraiment, simplement parce que les Terroristes, leurs alliés, leur avait demandé de l'aide.
S'échauffant, au bord de l'apoplexie, il prit Chris27 à la gorge et le somma de s'expliquer.
Ce dernier fit un signe affirmatif de la tête, confirmant que dès qu'il aurait retrouvé son souffle il parlerait.
Crachant, toussant, le seigneur repris enfin assez de souffle pour dire d'une voix faible : je me suis trompé dans les heures d'arrivée de mes bateaux de soutien. Vous avez mis tellement de temps que j'ai cru que vous étiez déjà en place. Mes soutiens sont arrivés depuis ce matin déjà.
et encore du soutien par chris27 après la colo
Freed :Et pourquoi n'aviez-vous pas envoyé d'attaques avant pour être sur que le port était bien vide ?
Chris27 : le générallissime Dams347 ne nous l'a pas demandé. Vous deviez vous débrouillez seuls. Seul le soutien était demandé.
Se prenant la tête entre les mains, les deux hommes se dirent qu'elle ne restera pas très longtemps sur leurs têtes une fois que le générallissime serait au courant...
Ils l'entendaient déjà d'ici, les traitant d'incapables, les menacer de les jeter aux lions, comme après la défaite du seigneur bibifok75. Ce dernier avait eu de la chance, il avait eu sa peine commuée en exil (on raconte qu'il est en fin de compte dans un centre de remise à niveau... )... mais eux n'étaient pas aussi protégés que lui et ils avaient vraiment peur.
FIN
Et voilà encore une petite (més)aventure de nos chers amis les terroristes
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