KATANE, la mystérieuse

Statut
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DeletedUser42587

Guest
Comme Lux avant moi, je suis friande de RP, ou du moins de ce qui s’en approche. Je vais donc prendre le relais de l’ancien gardien de Katane et vous emmener avec moi découvrir notre si singulier monde.

tout d'abord, nous allons introduire deux ou trois règles, afin quecela ne soit pas du grand n’importe quoi,. Vous êtes priés de vous y tenir sinon gare à mon fouet.

MISE EN PAGE :

- le récit sera en italique
- les paroles en normal, introduites par un tiret
- les pensées seront quant à elle entre * *

LES REGLES DANS KATANE

Vous allez jouer le rôle d'un personnage réagissant avec l'environnement et uniquement avec celui-ci. Vous ne pourrez pas imaginer la réaction des autres personnages. C'est aux autres joueurs de réagir en fonction de vos actions.

Je vous demanderai de rester soft dans vos propos lorsqu’il s’agit de combat ou violence. Afin de rester en accord avec les règles du forum.

Il est obligatoire d’écrire un minimum de 10 lignes à chaque fois que vous interviendrez afin que cela reste intéressant.

Enfin, seuls les RP seront postés ici. Pas de flood, vous avez la Katanière pour cela.
Pour commenter et donner votre avis, c'est par ici que ça se passera: Commentaires RP Groupe

En vous remerciant par avance pour votre respect et votre participation,
Princess.

PLANTONS LE DECOR

Katane. Ce nom résonne encore dans la tête des chanceux qui ont su en réchapper. En effet, cette partie du monde antique est reconnue pour abriter des personnes plus ou moins dérangées, mais pas moins guerrières. Leurs diverses personnalités, alliées à leurs aptitudes au combat, en ont fait des personnes redoutées, tant pour leur santé mentale que pour leur force physique.

Il y a deux sortes d’habitants à Katane, les soumis et les sadiques. Ces derniers assombrissent de leur sadisme les maisonnées les plus chaleureuses de Katane. Répandant leurs penchants pour la violence à qui veut y goûter et notamment sur leurs soumis. Ceux-ci, bien que valeureux, aiment à se fourrer dans des situations toujours plus loufoques et dangereuses, surtout en présence des sadiques. Leurs moyens financiers étant restreints, leurs armes sont faites maison et peu variées, des épées pour la plupart. Elles suffisent amplement à leurs activités guerrières mais elles ne sont pas grand-chose face à celle des sadiques, plus confortable financièrement, qui s’offrent des armes toujours plus complexes.
Cela étant, un certain équilibre perdure entre les deux communautés qui s’accordent sur un fait : L’alcool guéri bien des maux, qu’ils soient physiques ou mentaux !

 
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DeletedUser42587

Guest

La traversée de la forêt fut plus longue qu’elle ne l’aurait pensé. Mais le décor changeant, elle pensa qu'elle en voyait enfin le bout.

Les vieux arbres aux écorces rugueuses et foncées laissant peu à peu la place à des arbres plus jeunes, aux troncs clairs et fins. Le soleil commençait à s’infiltrer sérieusement entre les feuilles, rendant les formes se mouvant sur le sentier de terre moins effrayantes. L’odeur âcre des fleurs de sureaux se fit plus légère et elle senti une brise fraîche s’engouffrer entres les branches, comme pour la pousser à sortir enfin à découvert.
Pourtant la forêt, aussi désépaissie soit-elle, n’avait pas l’air de vouloir se finir. La brise ne lui envoyait pas la direction de la sortie, mais seulement celle d’un cours d’eau. En effet, le doux murmure d’un ruisseau était perceptible à présent. Invitant sa monture à allonger son pas, elle se dirigea donc vers cette promesse de fraîcheur, délaissant le sentier.

C’est une petite rivière qui fit son apparition en contrebas. Mettant pied-à-terre, elle laissa sa monture se désaltérer avant de l’attacher au tronc d’un vieux chêne blanc.
Elle plongea les mains dans l’eau fraîche et se débarbouilla le visage. Elle avait la sale impression d’être couverte de poussière.
Une grande pierre plate, baignée par les rayons du soleil, faisait mine de n’être là que pour elle.
Elle s’y étendit et fermant les yeux, elle laissa la chaleur de l’astre solaire l’emporter dans une sieste amplement méritée.

 
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DeletedUser11347

Guest

Il l'avait suivi furtivement tout le long du sentier depuis qu'elle était pénétré dans la foret. Rare était les voyageurs qui sillonnait cette foret. Encore plus rare était l'occasion de voir une femme seul. Il faisait attention a chaque brindille, cailloux, feuillage pour ne pas se faire remarquer et continuer sa fillature. Elle avait les sens affuté, il le sentait. Ce n'est pas une simple paysanne qui se trouve sur ce cheval. Mais plus une guerrière ou alors une noble vue la façon qu'elle avait de faire avancer sa monture et de surveiller les alentours. Il était curieux et avait envie de décider de la suivre pour savoir jusqu’où elle allait. Elle s’arrêta et il la vue s'allonger sur une pierre.

*Mais que fait elle ? Elle est folle ? Elle se pose comme ça sur une pierre et se mets à faire une petite sieste dans cette foret. Soit elle est complétement inconstante du danger, soit elle est suicidaire, soit elle est complétement barge. Mais c'est une occasion rêver de se rapprocher d'un peu plus près.*

 

DeletedUser43193

Guest
Cela faisait presque deux heures qu'il pistait ce cerf, il sillonnait cette forêt depuis longtemps mais pourtant ce cerf rusé réussissait à le perdre dans des taillis ...
Soudain il se stoppa net ,par terre, il y avait une empreinte masquée à la hâte , mais pas de doute, c'était une empreinte humaine.
Sa main se fit plus ferme sur la poignée de son arbalète double et tout ses sens furent soudain en éveil.

La trace était fraîche, il oublia le cerf et suivis ces nouvelles traces
*Rare son les gens à s'aventurer dans cette forêt*

Sa curiosité grandit quand il arriva sur la route et qu'il découvrit d'autres traces, celles là étaient d'un cheval, c'était surement une cavalière car les empreintes étaient moins marquées , or, un homme plus lourd, aurait laisser des empreintes bien enfoncées dans le sol ...

Il se rendit vite compte que les premières traces suivaient assez discrètement celles de la cavalière.
Son instinct d'ancien chevalier refit surface et même s'il se faisait surement des idées, cette cavalière pouvait être en danger ... et il avait horreur des bandits.

Plus bas il y avait le cours d'eau Ëowki, les deux traces y allaient tout droit, il prit donc aussi cette direction, d'un pas décidé.
 

DeletedUser

Guest
Alors que Mercure lui offrit les armes pour s’affranchir de ces règles divines, le Gaulois poursuivi son inaccessible, irréversible… Son Irrésistible quête.
Guidé par ses pensées les plus lointaines, il était bien déterminé à la retrouver, celle qui par son regard tel un flambeau embrasé le réchauffait, l'éblouissait.
Il se mit en marche, perdu dans les bois.
Cela faisait des semaines qu’il marchait, trainant douloureusement sa carcasse derrière lui, laissant ses muscles faire avancer ce corps décharné et presque sans vie, mais pourtant remplit d’espoir, animé par le seul besoin de retrouver cette femme incarnée par tant de grâce.

Maints obstacles il dût franchir pour atteindre ces bois. Les Dieux se mêlant de sa quête, il eut dû faire face à une horde de Harpies venues des cieux, et une fois les océans atteint c’est face aux muses de Neptune qu’il eut dû résister et ne pas succomber. Il brava ces difficultés tant bien que mal jusqu’à enfin atteindre ces bois.
Ces derniers lui inspiraient peu, réputés pour être le terrain de chasse des terribles Cyclopes. Mais c’est avec une détermination sans faille, que ses pas se succédaient, le gourdin serré à la main.

Après quelques heures de marche, il sentit une légère brise humide. Celle-ci provenait d’un léger court d’eau. Assoiffé, il s’empressa de le rejoindre.
 

DeletedUser43193

Guest
Arrivé en vue du cours d'eau il prit de la hauteur et s'installa sur un surplomb assez éloigné de façon à pouvoir voir sans être vu.

Il vit d'abord la cavalière, siestant nonchalamment sur un rocher plat, à proximité d'un arbre où son cheval était attaché.

Au loin il aperçu ensuite un barbare -qui lui paraissait à première vue plutôt décharné- s'abreuvant comme s'il ne l'avait pas fait depuis des jours.
Celui là ne pouvait être celui qui suivait la cavalière, il arrivait d'une partie de la forêt encore inexplorée.

Ne voyant pas encore le bandit mais sentant sa présence, il s'écarta du promontoire puis déroula une couverture où étaient entreposées ses différentes armes, et commença à affûter ses couteaux.
 

maxdu59

Titan // Comédien Détendu
Les craquements de branches à répétition portèrent jusqu'en aval, et réveillèrent un homme dans sa forge. Il avait peu dormi ces derniers jours, réparant ses dagues et affinant toujours plus l'aiguisage de son sabre. Cela dit, le réveil était agréable pour une fois, aucun oiseau ne roucoulait à proximité. Il se leva et alla relever les pièges qu'il plaçait autour de sa demeure, la faim le tiraillant. Deux lapins et un faisan. Très bonne prise pour une seule journée. Il plaça le volatile et un lapin dans un sac, et dépeça le second pour en retirer le foie et l'avaler rapidement. Il remarqua, après ce bref repas, que le ruisseau à proximité avait pris une légère teinte noire, visible uniquement par un être averti. Il rentra chez lui, et se prépara à remonter la rivière, pour aviser de ce qui a perturbé la quiétude du lieu. Endroit si tranquille qu'il s'y reposait entre deux assassinats. Il fallait cependant se préparer à un voyage. Il dépeça le faisan et le pluma, récupérant le maximum de viande possible, le fit cuire et le plaça dans un sac de cuir, avant de se draper de sa légère armure, d'une tunique noire à capuches, et de placer ses dagues dans leurs emplacements avant de s'armer de son sabre. Il était près à partir, ses sombres intentions luisant dans son regard
 

DeletedUser11347

Guest
Il y a beaucoup de monde dans la foret aujourd'hui. Pour lui l'enfant de ses bois c'était inhabituel. Alors qu'il pensait pourvoir chaparder quelque bricole à l'aventurière il vue au loin un homme s'abreuvant à la rivière, il sentait également une autre présence mais n'arrivais pas à la localiser. Mais il était observé ça il en était sur et certainement un chasseur pour dissimuler sa présence de cette manière. il est assez rare que les chasseurs s'aventure aussi loin dans cette foret. Mais la chose qu'il l'inquiétait le plus c'était le silence pensant qu'il venait juste de remarquer. Les oiseaux habituellement si nombreux le long du ruisseau étaient absent. La seul chose qui pouvait faire fuir les animaux de cette manière ce sont les Cyclopes.

Il ne devait pas trainé. Mais les dangers aux alentours était nombreux. Tout d'abords cette femme savait certainement se battre et il ne voulait pas combattre car avec les Cyclopes qui rodent dans le coin engager un combat difficile maintenant c'était se retrouver dans l'estomac d'un de ses monstres. Ensuite cette homme au loin avec son gourdin paraissait monstrueusement fort malgré sa fatigue apparente. Et le troisième il ne savait vraiment pas ou il se trouvait et le moindre faux pas il se voyait le corps criblé de flèche. *Pour le moment la meilleur des solutions est de monté à un arbre et d'observé comment les chose vont se dérouler.*
 
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DeletedUser43193

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Ce fut bref mais il le vit.
Une nuée d'oiseaux s'envola rapidement plus loin dans la forêt ... il connaissais la région par coeur et cela ne pouvait signifier qu'une chose, des Cyclopes.

Mais si il ne l'avait pas remarquer avant c'est qu'ils ne devaient pas être nombreux, voir même un seul individu ...

Son instinct guerrier le convainquit de ne pas fuir, du moins pas avant d'avoir alerté la cavalière.

Il s'équipa donc prestement de ses armes, épée et dagues dans leurs étuis mais pour finir il garda son arbalète dans sa main gauche, cachée dans un pli de sa cape, surprendre une femme qui dormait mais qui était armée donc devait savoir se battre pourrait peut-être s'avérer dangereux.
Pourtant il devait le faire.

S'approchant de la guerrière il remarqua qu'elle était d'une incroyable beauté ... une beauté dangereuse ...
 
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maxdu59

Titan // Comédien Détendu
Il remontait rapidement le long de la rivière, quand il fut coincé par une cascade d'eau à reflets bien plus sombres que lors de son départ. Il n'était plus très loin, et décida alors de s'enfoncer dans la forêt, continuant d'avancer d'un pas léger mais vite, extrêmement furtif. Son regard fut alors attiré par une ombre sous un arbre, à plusieurs mètres de lui. Il leva les yeux et vit un enfant, le regard absorbé par quelque chose. Intéressant. Il grimpa à un arbre à proximité, atteint un hauteur supérieur à celle de la branche où se tenait l'individu, et sauta à quelques centimètres de lui.L'enfant avait le visage émacié. La faim sans doute. L'assassin sorti une cuisse de faisan de son sac et la déposa sur les genoux du gamin, avant de regarder dans la même direction que ce dernier. Là, il vit une femme allongée sur un rocher, ainsi qu'un homme s'approchant d'elle doucement, le soleil luisant au niveau de sa manche gauche. Un carreau d'arbalète donc. Ou deux au vu du reflet. Intéressant, encore une fois. Un rictus para son visage. Quoi que fut cet homme, il devait avoir une bonne raison d'agir ainsi. * Je verrai cela plus tard * pensa-t-il.
 

DeletedUser

Guest
Alors que le Gaulois s'abreuvait sans retenue de cette source d'eau fraîche, le silence se fit soudain autour de lui. Un silence que nous connaissons tous et qui ne présageait rien de bon.
Il se releva aussitôt et lança son regard dans les alentours.
Au loin, entre deux arbres, il vit le feuillage trembler, et alors que le vent se faisait plus violent, une nuée d'oiseaux le survola dans les cieux.

Il avait beau être épuisé, nulle crainte ne pouvait le faire tressaillir.
Le mouvement des feuilles se faisant plus brusque, il essuya ses mains humides sur son chanvre et saisit fermement son gourdin qu'il avait au préalable posé à même le sol et se tenu prêt à faire face à ce nouvel obstacle, les pieds ancré au sol.
Ce dernier paré et aussi dur que le roc, nul ne pouvait le renverser.
 
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DeletedUser42587

Guest

Toujours étendue sur son rocher plat, elle n'osait bouger. Elle tentait de contrôler sa respiration, mais les divers craquements de brindilles qu'elle entendait depuis de longues minutes ne la rassurait pas. Quelque chose de l'autre côté de la rivière, en hauteur, et cet autre tout près d'elle. Quelqu'un marchait vers elle, elle le sentait.
Elle savait que la force n'était pas sa plus grande qualité, mais sa rapidité lui permettait souvent, pour ne pas dire toujours, à se sortir des situations les plus pénibles. Elle décida donc de garder ses yeux clos, attendant le moment propice pour bondir sur sa proie.

Mais le bruissement des ailes des oiseaux, un certain nombre d'ailes d'ailleurs, capta toute son attention.
*Un feu de forêt?*
Se concentrant sur son odorat, elle ne détecta pourtant pas l'odeur de la fumée.
Ces bois étaient emplis de légendes multiples et variées, auxquelles elle n'avait pas prêté suffisament attention.

Ne pouvant plus se retenir, elle bandit ses muscles et se retrouva debout sur le rocher, en moins de temps qui ne faut pour le dire. Ses iris argentés fixèrent rapidement l'homme qui se trouvait en face d'elle. Elle n'analysa pas la silhouette pour autant, son regard se porta vers quelque chose qui brillait sous sa cape, relevant les yeux vers l'homme, elle sauta avec légèreté vers son cheval et s'empara d'un arc et d'un carquois de flèches métalliques et l'arma en direction de l'individu. Ses nombreuses dagues, mal dissimulées sous sa robe en côté de maille, ne lui servant que pour les combats au corps-à-corps.

Elle entendit sa monture s'agiter nerveusement derrière elle. Elle qui d'habitude paraissait si sûre d'elle, elle était morte d'inquiétude. Malgré ses sens aiguisés, quelque chose lui échappait...quelque chose dans cette forêt qui semblait fondre sur eux. Ne voyant pas l'individu bouger, surpris par sa rapidité d'action sans doute, elle changea de cible et dirigea sa flèche vers la forêt, de l'autre côté de la rivière.

 
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DeletedUser43193

Guest
La cavalière se réveilla avant qu'il n'ait eu le temps d'arriver jusqu'à elle. *Mais dormait-elle?*
Quoi qu'il en soit cela l’arrangeait -il n'avait volontairement pas été trop discret pour ne pas la surprendre-.
Ce qui suivit ensuite fut presque flou, elle se leva et dans le même temps bondit vers son cheval avant d'attraper un arc et de le bander dans sa direction ... sa vitesse était époustouflante!
Néanmoins ses dernières années de chasseurs de primes avaient aiguisé ses réflexes au delà du possible et le temps qu'elle attrape son arc lui aurait suffit pour envoyer deux carreaux dans ses flancs ou son dos.

Il resta cependant immobile, espérant qu'elle prenne ceci comme une preuve qu'il ne lui voulait aucun mal.
Mais un craquement sinistre dans les bois de l'autre côté du cours d'eau et beaucoup plus proche qu'avant les fit se retourner d'un même temps vers sa source ...

Le temps leur manquait, les cyclopes pouvaient être très rapide et déterminés s'ils avaient faim et qu'ils avaient flairé l'odeur d'éventuelles proies ...
 

DeletedUser11347

Guest
L'arrivé soudaine de l'homme à ses côté ne l'avais pas vraiment surpris. Ce qui l'avait le plus surpris c'est d'avoir reçut de sa part une cuisse de faisan. Il n'avait certes rien manger depuis 2 jours mais il avait bien autre chose en tête. Les voilà maintenant 5 humains au même endroit avec au moins un Cyclopes au alentour. La situation devenait dangereuse. Et l'hiver approchant à grand pas les Cyclopes commençait a préparer leur réserve. Et il n'allait certainement pas laisser passer 5 humains appétissant sous leur nez.

Ce fut à se moment que le chasseurs qu'il avait repéré depuis un petit moment fit sont entrée. Il faisait exprès de se déplacer de façon bruyantes.
*Que fait il ?* Un fois arriver à une vingtaine de pas de l'aventurière. Elle se leva et se dirigea vers son cheval à une vitesse incroyable et attrapa un arc. *J'ai bien fait de ne pas m'amuser à lui voler quelque chose tout à l'heure, elle m'aurait certainement pris la main dans le sac mais au sens littéral* Elle changea d'un coup de cible. Alors que ne lâchait pas des yeux le chasseur, la voilà tourné vers l'autre côté de la rive.

L'enfant se tourna vers l'homme qui venait de lui donner de la viande et lui dit.

- Et toi. Ils sont en danger la en bas. Il faut faire quelque chose avant l'arrivé du Cyclope. Car si il y en a un. Soit en sur que 2 autres ne sont pas très loin il se déplace toujours par 3 surtout en cette saison.
 

maxdu59

Titan // Comédien Détendu
Il fut agréablement surpris de la vitesse d’exécution de la demoiselle, et se préparait à regarder un bain de sang fort distrayant quand elle changea de cible. C'est alors qu'il perçut les paroles du gamin à sa gauche. «*Et toi. Ils sont en danger la en bas. Il faut faire quelque chose avant l'arrivé du Cyclope. Car si il y en a un. Soit en sur que 2 autres ne sont pas très loin il se déplace toujours par 3 surtout en cette saison.*»
Un cyclope donc. Voilà ce qui avait fait pivoter la guerrière. Enfin, si elle sait ce que c'est, pensa-t-il en se remémorant ses anciennes rencontres avec quelques représentants de cette race étrange. Créatures humanoïdes, un seul œil, grands, une très bonne ouïe. La discrétion est donc de mise, et ne pas aider ces guerriers au bord de la rivière serait un déshonneur, surtout face à un, ou plusieurs, adversaire aussi puissant. Il se tourna alors vers l'enfant*:
«*Gamin, je vais descendre. Je ne connais pas la valeur de ton bras, mais tu sembles avoir l'expérience du terrain. Suis-moi si tu le souhaites*»
Il sauta du haut de la branche et atterrit sans bruit sur le sol, et avança, le visage toujours recouvert par sa capuche, vers la rivière. Une fois à portée de vue de tous, il s'arrêta.
 

DeletedUser

Guest
Tout se précipita autour de lui, et alors que le feuillage continua de trembler, davantage de bruit se fit entendre derrière lui. Cependant, il ne se retourna pas et resta fixé vers cette première source de danger.

Soudain, les feuilles cessèrent de danser et le vent se calma, le silence si fit davantage sourd. Le danger était imminent.
Il ne fallut attendre qu'une vingtaine de secondes pour voir surgir de la forêt, un Cyclope.
Ce dernier avait beau être seul, il était pourvu d'une taille ainsi que d'une carrure impressionnante. Le Gaulois su qu'il ne serait pas chose aisée que de surmonter ce nouvel obstacle. Il décida alors d'user de sa ruse plutôt que de sa force. Et se mit à genoux, écoutant ses Dieux.

Le cyclope, à la fois affamé et intrigué, s’avança vers notre Gaulois et s'arrêta face à lui. Ce dernier se rappela des paroles de Mercure et fit confiance à ses Dieux. Il détacha de son chanvre et offrit au Cyclope, une grande gourde de vinasse.
La créature mythique accepta ce présent et s'en délecta goulûment. Sa vision devenant de plus en plus floue, elle s'écroula au sol, souffrante d'ivresse. Notre Gaulois saisit alors l'opportunité de lui asséner un violent coup dans l’œil.
Le Cyclope cria de douleur. Ses cris résonnèrent au cœur de la forêt et firent venir, deux autres Cyclopes...
 
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DeletedUser42587

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Ce qu’elle vit sortir des bois lui donna la nausée. Une créature hideuse, monstrueusement grande, avec cet œil trop gros au milieu de sa tête difforme. Il sorti des bois sur la gauche, sur l’autre bord de la rivière. C’est à ce moment qu’elle distingua d’autres humains. Deux sortirent des bois derrière elle et se postèrent à ses côtés. Un autre, sale et peu vêtu se trouvait face à la bête.
Tous leurs regards étaient portés vers cette chose mais seul le barbare, le plus proche d'elle, agit. Elle le regarda s’agenouiller.


*Est-il fou ou simple d’esprit ?*

Elle ne vit pas ce que l’homme tendit au cyclope, mais le barbare fondit sur son œil comme une brute et l’œil du cyclope du encaisser son assaut bestial. La plainte douloureuse de la bête lui glaça le sang.
Mais elle n’eut pas le temps de frissonner, déjà deux autres cyclopes sortaient des bois, toujours sur l'autre berge, mais face à eux.
Sa flèche atterrit en plein dans l’œil du premier, faisant jaillir un flot de sang et lui arrachant la même plainte qu’à son congénère, il chancela mais resta debout, ils avaient l'air coriaces.
 
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DeletedUser43193

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Il devait agir vite, ces immondes bêtes faisaient ressortir ce qu'il y avait de pire en lui, il s'élança et commença à traverser la rivière glacée en hurlant à l'archère inconnue de rester à l'abri de ce côté de la rivière.
Il avait déjà eu affaire a ces monstres, cela remontait à l'époque où il était chevalier, mais il avait toute une compagnie avec lui ...
Néanmoins il connaissait leurs points faibles ... enfin il pensait les connaître, car il avait vu la flèche atteindre l’œil du plus proche mais c'est à peine si il avait bronché ...

Sa main gauche esquissa un mouvement fluide et deux carreaux noirs fendirent les airs , frappant le gourdin du Cyclope presque aveugle de telle façon qu'il lui échappa des mains ...
L'abomination essaya ensuite de l'écraser avec sa main mais il dégaina son épée et envoya un coup d'estoc à la rencontre da la main hirsute.
Le choc le projeta au sol mais il se releva rapidement et eut la satisfaction de voir son épée transperçant de par en par la main du monstre ... profitant de la brève déconcentration de son adversaire, il se faufila sous son bras, dégaina une longue dague incurvée et sectionna largement l'aine du Cyclope.

Le sang coula à flot de cette nouvelle blessure et cette fois l'engeance des enfers s'écroula lourdement.
Mais il en restait encore un et il n'avait plus que ses deux dagues pour l'affronter, son épée étant coincée sous le poids du premier ...
 

DeletedUser11347

Guest
Tout est aller si vite depuis que l'homme encapuchonné avait quitter l’arbre. Un premier Cyclope était blésé mais il est encore conscient est près à se battre mais très largement diminué. Un autre était sol après avoir reçut les coups du chasseur. Mais il en restait un dernier. Il devait les aider a se débarrasser des dernier avant que d'autre ne rapplique à cause du bruit. *Qui sont ses humains qui s'attaque avec aussi peu de personne à trois Cyclopes et sans aucune préparation ?*

Il finit par se décider à agir. Il sauta de l'arbre et dépassa l'encapuchonnée. Il sortit lames assez courtes qui arborait une couleur rouge cramoisis. Il se faufila à toute vitesse entre les jambes du troisième Cyclope en évitant un coup vertical de gourdin. Une fois à porter de là jambe droite du Cyclope il découpa avec aisance la peau durci du Cyclope au niveau du tendons d’Achille. Le Cyclope surpris et ne pouvant plus supporter son poids posa son genoux à terre. *Il ne reste plus qu'a lui porter le coup de grâce*
 

DeletedUser

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Milia, cachée en haut d'un arbre, regardait le combat. Elle était arrivée bien trop tard pour pouvoir aider ses protecteurs, et ne pouvait que se désoler du spectacle. Elle aurait aimer pouvoir haïr ces humains, mais savait qu'il fallait en passer par là pour préserver le secret. La jeune femme avait pourtant bien dis à Eraïk qu'il ne fallait pas s'aventurer dans cette partie de la forêt, qu'elle pourrait assurer leur pitance. Mais sa mission lui avait pris trop de temps, ils avaient perdus patience.

La magicienne laissa couler une larme de ses yeux mauves en regardant Lonaïk tomber, se sentant impuissante. Sa magie ne pourrait pas l'empêcher de souffrir cruellement de ses blessures.. Elle prononça rapidement un sortilège de protection pour ses amis, surtout pour le dernier membre de la patrouille du jour, Getaïk, qui commençait à succomber aux assauts. Ils ne mourraient pas cette fois, mais Milia espérait qu'ils comprendraient qu'il était vital pour eux de faire croire à tous que c'était le cas, quand ils sentiraient le fourmillement caractéristique de la magie.

Ceci fait, la jeune femme étudia les intrus. Certains visages étaient familiers, mais louée soit la déesse si elle se souvenait de comment elle les avait rencontré.
 
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