[Récit] La Foire aux Nouvelles

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DeletedUser38192

Guest
Bonjour à tous,

Aujourd'hui, Lundi 3 février 2014, à 19 h 32 ( l'heure ou j'écris cette ligne ), j'inaugure la Foire aux nouvelles.

Si vous ne savez pas ce que c'est qu'une nouvelle, c'est un court récit, souvent à chute.

Certes c'est moi qui inaugure cette Foire mais vous pouvez tous en écrire sur ce sujet :-D

Je vous invite d'ailleurs à le faire ;) Vous pouvez également donner votre avis sur les nouvelles... Pour plus de compréhension, j'aimerais que si vous créez plusieurs nouvelles vous mettez tout cela dans le même message, avec marqué la date d'écriture.

Bon assez de blabla, voici la première nouvelle! Bonne lecture ;)



Paranoïa​

Je suis enfermé chez moi. Je tremble, j'ai peur. Quelqu'un veut s'introduire dans la maison. Je suis seul à la maison. Mes parents sont partis, avec mon frère, et ma sœur est chez une amie. J'ai essayé de joindre mon père, il ne répond pas. Ma mère non plus d'ailleurs. Je tombe également sur le répondeur de la police, des pompiers et de tout les numéros que je connaissais. C'est étrange. J'ai essayé d'allumer la télévision, aucune chaîne ne marche. Sur l'ordinateur, il n'y a plus internet. Je dois me débrouiller seul. Je tremble de peur.

Dès qu'il a sonné, j'ai compris que quelque chose clochait. Ce type n'était pas normal. Il faut dire que quand quelqu'un frappe avec un marteau sur la sonnette du portail pour la faire sonner il y a quelque chose qui ne va pas. Je n'ai évidemment pas ouvert le portail. Il a essayé de le défoncer mais il a mis du temps. Pendant ce temps, j'ai fermé tout les volets. Il a dû réussir à faire une brèche dans le portail car j'entend ses pas dehors. Je décide de prendre un couteau, on ne sait jamais... Je vais, sans faire de bruit, me cacher dans une des armoires, dans le couloir. Je me faufile sous le linge. Je suis recroquevillé sur moi même. On ne me distingue plus du linge. Mais j'ai toujours peur...

Je l'entend toujours. Maintenant, il essaye de défoncer le volet à coup de marteau. J'entend le bruit sourd du marteau qui tape contre le volet: BOUM BOUM BOUM. Cela va lui prendre du temps. Par contre, la baie vitrée ne résistera pas aussi longtemps face à un marteau. Il faut faire quelque chose. J'aurais dû être chasseur, au moins j'aurais de quoi me défendre... Que faire? Le volet résiste encore. Deux possibilités s'offrent à moi, soit je reste caché dans le placard mais si il prend le temps de fouiller toute la maison alors il me trouvera, soit je prend mon courage à deux mains et je sors, pour essayer de me défendre comme je peux. Il faut faire un choix.

Tant pis, je risque le tout pour le tout, je sors de ma cachette. Le volet résiste toujours, je réfléchie. Il faut que je réfléchisse vite d’ailleurs, si je veux rester en vie! Je décide de faire une barricade. Je vois les deux canapés verts, ils feront l'affaire! Je les déplace devant la baie vitrée. Parfait! Si l'homme veut passer, il devra détruire la vitre, les éclats de verre se mettront sur les canapés et pour me trouver il devra escalader l'un des deux canapés! Il se coupera à coup sûr! Soudain, je me rappelle qu'il y a de l'essence dans le garage. J'ai une idée! Mais il faut que je fasse vite car le volet commence à faiblir. Je cours chercher le bidon d'essence. Il y en a 10 litres. Cela sera largement suffisant. Je le verse sur les canapés et avec un briquet, j'enflamme le tout. Certes, cela brûlera la maison mais je serais peut être en vie! Le volet se casse, je file me cacher au même endroit que tout à l'heure.

Au moment où je ferme le placard, j'entend la vitre de la baie vitrée éclater en morceaux. J'entend la respiration du l'homme, si s'en est un. Il pousse soudain un grognement sourd. Il a dû se brûler!

Plus rien, depuis près de quinze minutes, je n'entend plus rien. Je commence à me réjouir. Il se sera sûrement brûlé et aura rebroussé chemin! L'odeur de brûlé me tire soudainement de mes réjouissances. Il faut que je sorte d'ici! J'ouvre très lentement et discrètement la porte du placard, personne ne m'attend à l'entrée! Je sors rapidement de ce maudis placard.

Je vais chercher mon portable dans ma chambre qui est en face, je me retourne... Il est là!!!!!!
AHHHHHHHHHHHHHHHHH!

J'ouvre les yeux, il fait sombre, ou plutôt, il fait tout noir. J'allume la lumière, je suis en sueur. Pfiouu! Quel mauvais rêve!



Afilgod, le 03/02/2014
 
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DeletedUser

Guest
Commentaire Paranoïa!

"J'aurais dû être chasseur, au moins j'aurais de quoi me défendre..." je ne vois pas trop le rapport, d'autant plus si c'est un gamin seul chez lui, ce que laisse entendre le texte ^^
"Je cours chercher le bidon d'essence. Il y en a 10 litres. Cela sera largement suffisant. Je le verse sur les canapés et avec un briquet, j'enflamme le tout. Certes, cela brûlera la maison mais je serais peut être en vie!" Oui... enfin là, enflammer 10l d'essence comme ça, le héros est déjà mort (brulé ou explosé par le choc, c'est selon).
"Il a dû se brûler!" Avec le souffle que l'explosion aurait du faire, même la baie vitrée aurait crié.
"Quel mauvais rêve!" Bon là c'est la première nouvelle, mais sincèrement c'est trop facile comme fin, non ^^ ?

Merci à toi pour cette initiative, nous verrons si d'autres veulent se lancer ^^.
"Il est conseillé d'aller se renseigner avant d'écrire une nouvelle." J'ai un avis pour ce genre de remarque, mais j'hésite à le mettre, je ne veux froisser personne :-D...
 

DeletedUser38192

Guest
Oui personnellement j'ai marqué cela car j'ai pas envié d'avoir des textes de 3 lignes qui ne ressemblent a rien a une nouvelle. D'ailleurs lorsque j'ai écrit ce texte ( un peu rapidement ) j'ai oublié de ressortir mes vieux cours dessus. Je le ferais pour les prochaines nouvelles ne tkt pas. Ensuite pour les 10 litres d'essence ça reste un livre xD. La fin un peu trop facile, peut être, mais il fallait une chute. C'est un jeune de 14/15 ans, a cette âge la on peut déjà avoir une licence d'accompagnateur de chasseur, j'ai un pote qui chasse et qui a un fusil ^^

Et sinon pour les fautes d'orthographe ça va il y en a pas trop?
 

DeletedUser

Guest
Afilgod a dit:
Ensuite pour les 10 litres d'essence ça reste un livre
je suis d'accord qu'une histoire à une grande part d'invention, mais comme celle-ci était tournée de manière réaliste, on pouvait légitimement s'attendre à des effets réalistes :) Où lors dans ce cas, le héros pourrait s'étonner que l'essence ne s'enflamme, puis comprendre quand il réalise qu'il ne s'agit que d'un rêve.
La fin un peu trop facile, peut être, mais il fallait une chute.
Nous sommes d'accord, j'espère juste que les prochaines feront preuve de plus d'imagination ^^
C'est un jeune de 14/15 ans, a cette âge la on peut déjà avoir une licence d'accompagnateur de chasseur, j'ai un pote qui chasse et qui a un fusil
Mouais, m'enfin dans ce cas il s'agit d'une arme pour 2, l'arme appartenant au parrain. Dan ce cas c'est le père du héros qui aurait du être chasseur pour que le héros utilise son fusil. Ce qui aurait pu donner un morceau de récit intéressant, la recherche de l'arme, essayer de se rappeler les conseils, un essai maladroit...


Si vous ne savez pas ce que c'est qu'une nouvelle, c'est un court récit, souvent à chute. Il est conseillé d'aller se renseigner avant d'écrire une nouvelle.
En fait, c'est la façon dont c'est tourné qui me dérange, présomptueuse et prétentieuse à la fois. Je comprends ce que tu veux dire, mais la formulation m'a fait sourire, venant de quelqu'un de jeune et d'assez nouveau dans la section ^^
 

DeletedUser

Guest

Le Faiseur de Lumière

Socrate déplia son échelle en ferraille. Elle grinça un peu et se bloqua avant d’arriver au bout. Il recommença la manœuvre une deuxième fois, puis une troisième, un peu plus fort, et l’échelle pris l’angle voulut. Socrate eu un sourire de contentement. Elle n’était plus tout jeune cette échelle, mais c’était une relique familiale. Son grand-père le premier l’avait acheté et était monté le premier jusqu’à son sommet. Puis il avait passé la main à son fils, et celui-ci l’avait passé au sien, et c’est comme ça que Socrate en avait hérité.

Il aimait son métier comme il était, il n’avait pas cette volonté de le faire toujours plus vite comme les jeunes en avait l’habitude. Même si la plupart le voyait comme une relique de l’ancien temps, lui, son échelle, et son vieux tacot, on ne pouvait pourtant se passer du vieil homme. Il rit de cette pensée, et, tout en se lustrant la barbe, leva les yeux vers le cercle de pénombre qui obscurcissait le haut de son échelle.

Après avoir jaugé la situation, il repartit d’un pas tranquille vers le coffre de sa voiture et ouvrit sa boîte à outil. Il en tira une petite dynamo, une paire de gants de caoutchouc, qu’il enfila, et une ampoule. Tout aussi calmement, il reprit la direction de son échelle et l’escalada. Il se plaça en équilibre sur la plateforme finale, à quelques mètres au-dessus du sol.

Il alluma la dynamo et la coinça entre ses dents. Il voyait ainsi tout le plafond. Il dévissa délicatement l’ancienne ampoule plongée dans un sombre mutisme, et souffla dessus, dans l’espoir qu’elle se rallume. Vieille habitude du temps où il était jeune. Il plaça l’ampoule dans sa poche et sorti la neuve qui patientait. Il l’inséra dans l’emplacement prévu pour, et une fois en place, elle émit une douce lumière jaune qui éclaira les environs.

Satisfait, Socrate redescendit l’échelle, rangea tout son matériel, et reparti au volant de son tacot. Quelques ampoules l’attendaient encore, lui, le Faiseur de Lumière.

 
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DeletedUser

Guest
Salut !

Tout d'abord je suis d'accord en grande partie avec Wervel. La chute est beaucoup trop simple, pour ma part je m'attendais à être vraiment surpris, mais j'ai été relativement déçu par le fait que cela ne soit qu'un mauvais rêve. Néanmoins, j'ai bien aimé ton histoire, en espérant que tu en feras d'autres.

Planet.

EDIT: pour afilgod
 

DeletedUser

Guest
Commentaire "Le faiseur de lumière"

Jolie petite histoire, j'aime bien l'idée du vieux tranquille qui change ses ampoules sans se presser. ça se lit bien, et ça n'en demande pas plus. Un peu comme une simple planche de BD.
 

DeletedUser

Guest
Tu te foules pas sur ton com' Wervel :p Pour répondre à ta question implicite, non pas d'autres planches de Socrate en cours mais il faudrait que je développe un peu tout ça, voire l'adapter en théâtre (parce qu'à la base ça devait en être).
 

DeletedUser

Guest
Je te retourne le compliment, camarade :-D

C'est vrai que le domaine du théâtre est très peu exploré dans notre section
 

DeletedUser38192

Guest
En fait, c'est la façon dont c'est tourné qui me dérange, présomptueuse et prétentieuse à la fois. Je comprends ce que tu veux dire, mais la formulation m'a fait sourire, venant de quelqu'un de jeune et d'assez nouveau dans la section ^^

Peut être que c'est mal tourné^^ Comme ça a l'air de déranger je supprime cette phrase. Mais en la mettant je ne voulais pas me vanter en disant que j'étais un pro en écriture ( ce qui n'est pas vrai je suis un vrai noob mais je fais ça pour m'amuser^^ ). Bref je supp^^

Salut !

Tout d'abord je suis d'accord en grande partie avec Wervel. La chute est beaucoup trop simple, pour ma part je m'attendais à être vraiment surpris, mais j'ai été relativement déçu par le fait que cela ne soit qu'un mauvais rêve. Néanmoins, j'ai bien aimé ton histoire, en espérant que tu en feras d'autres.

Planet.

EDIT: pour afilgod

Merci j'en refait d'autre je promet de m'appliquer pour la chute ( du moins je vais essayer xD ). LA prochaine devrais être prête pour demain!!!

Jahl de Vauban, écris ta nouvelle d'une autre façon pour qu'on puisse la reconnaître des commentaire :)

Sinon j'aime bien l'histoire du petit vieux qui ne se presse pas^^
 
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DeletedUser

Guest
J'ai agrandis le titre, ça se voit mieux.

Je fusionne ton double post, gaffe à l'avenir :p
 

DeletedUser

Guest
Hop, je commente pour Jahl ;-)

Franchement, j'espère un jour que je pourrais écrire comme toi. Tu écris si bien qu'on se croirait vraiment dans un livre :) Je me suis immédiatement plongé dans tes lignes.
 

DeletedUser38192

Guest
Le Couloir

Le couloir

J'entends une voix, au bout de ce couloir. Une douce et agréable voix. Elle m'attire, elle est irrésistiblement attirante. C'est étonnant, je suis censé être seul, avec mes amis. Nous sommes un groupe d'hommes et pourtant, c'est bien une voix de femme que j'entends. Encore plus étonnant, cette voix, comme je l'ai déjà dit, très douce, m'a réveillé. Pourtant je dormais bien, on a fait la fête hier, et là, vers trois heures du matin, je ne suis pas fatigué. De plus, elle n'a réveillé personne d'autre, enfin je crois, ce qui est sûr c'est que je n'est pas entendu mes amis... Une chose m'intrigue cependant plus que tout, depuis que marche, j'ai l'impression de ne pas m'approcher de cette voix.

Je suis dans la pénombre, l'interrupteur ne marchait pas. Le couloir est long. En fait j'ai l'impression qu'il est interminable. Cela fait déjà plusieurs minutes que je marche et je n'en voit toujours pas le fond. Pourtant lorsque je l'avais visité afin de la louer j'avais traversé ce couloir en quelques secondes. La seule chose que je vois, ce sont les silhouettes effrayantes sur les murs. Hier il n'y avait rien pourtant. Le pire, c'est qu'elles me suivent... Ce sont des ombres, de simples ombres. Très certainement les miennes me dis-je pour me rassurer. Seulement la vérité me fait croire le contraire, sans lumière comment peut il y avoir des ombres? Ces ombres me suivent mais ne s'approchent pas de moi, on dirait qu'elles sont collés au mur, qu'il leur est impossible de s'approcher plus de moi.

Je marche, je ne m'arrête pas, je ne me retourne même pas, de peur d'y trouver des choses maléfiques. Je marche les yeux presque fermé, je n'ose pas les ouvrir trop. Il y a quelques minutes la peur m'a envahi, d'un coup. Cette peur m'a gagné lorsque j'ai eu la sensation de descendre, c'est d'ailleurs à ce moment là que j'ai compris que je n'étais plus dans le couloir de la maison de 18 rue des fous. Cela va faire maintenant une bonne heure que je suis sorti de ma chambre. J'aurais pu faire demi tour mais je suis curieux de découvrir ce qui se cache derrière cette voix, enfin si je l'atteint un jour...

Le couloir descend toujours, depuis maintenant au moins quatre-cinq heures, enfin c'est ce que je pense, car j'ai peut être perdu la notion du temps. Cela fait peut être trois jours que je marche...ou seulement quelques minutes. Mais là j'en vois le fond, enfin je crois, je distingue au loin une faible lumière, rougeâtre, on dirait un feu... J'ai accéléré le pas. Il me tarde de découvrir où suis-je. Pourtant, cette voix ne se rapproche toujours pas...

Ça y est! Je suis presque arrivé! J'estime être à moins d'une centaine de mètre de cette porte. Il fait encore sombre malgré la lumière venant de l'extérieur, enfin, si c'est l'extérieur... J'entends le crépitement d'un feu, d'ailleurs je le sens également, il fait de plus en plus chaud. La voix se rapproche petit à petit.

Je passe la porte. Ah! Mes amis, Christophe, Jean et David sont là! Ils ne m'ont pas entendu, ils regardent attentivement quelque chose, sans bouger. Je cours vers eux sans regarder autour de moi. Je les appelle, ils se retournent vers moi, lentement. Horreur! Ce ne sont pas eux, ce n'est pas possible. Certes c'est bien leur physique mais, mais on dirait que ce sont de simple coquilles sans âmes... Ils marchent, lentement, vers moi. Je suis paralysé par la peur. Ils m'attrapent, je tombe, ils m'arrachent mon tee-shirt. Ils essayent d'aspirer quelques choses à travers mon corps. Je le sens c'est horrible. Soudain je comprend, ils essayent de m'enlever mon âme en me l'aspirant. Je ne veux pas les laisser faire. Je me débat, je les frappe, c'est trop tard, ils m'ont trop affaibli, je sens ma dernière heure arrivée.

Derrière eux, des flammes énormes, démoniaques, brûlent. Et je vois à travers ces flammes une silhouettes. Cette dernière sort des flammes. C'est le diable! Il chante, il chante avec une douce voix de femme, c'est cette même voix qui m'a attiré ici. Et ces ombres que je distinguais sur les mûr du couloir menant à l'enfer, c'étaient Christophe, Jean et David, ou du moins, leur âmes qui veillaient à ce que j'arrive à bon port. Je m'affaiblis de plus en plus, je vais mourir.

Je meurs, tout comme tous ceux qui ont loué cette maison pour passer d'agréables vacances au soleil, je meurs...




Et voilà j'ai écris cette nouvelle aujourd'hui même... Bref normalement il ne devrait pas y avoir de faute(s) d'orthographe. Mais l'erreur est humaine donc si il y en a une merci de me prévenir. Je vais certainement la retravailler... N'hésitez pas à me donner des conseils pour que je la retravaille mieux...

J'espère que vous avez passé une bonne lecture!
 

DeletedUser26140

Guest
Fermeture pour inactivité et archivage :)
Contactez un modérateur de la section pour une éventuelle réouverture. Les nouvelles sont recensées dans notre jolie Bibliothèque ^^
 
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