DeletedUser51406
Guest
A effacer
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A effacer, je l'ai déplacé dans une nouvelle discussion, pour une question pratique, merci
Sous le soleil de Perse,
J'aperçus cette dame
Qui, en touchant mon âme
M'a inondé d'une averse
De fruits ; j'ai préféré l'ananas
Qui me rappelle les Bahamas
Et les belles forêts d'Ecosse.
Ah ! Perse, toute ta force
Fait la mienne, un jour
Tu habilleras le monde de velours
Au temps jadis de ta gloire
A tout homme tu faisais croire
A l'impossible ; même les Dieux
Souverains des éternels cieux
Eprouvaient un certain respect
A voir du ciel tes cités s'ériger.
Toi qui, sans aucune peur
Toi qui, de tout ton cœur
Ô, Perse ! avait légitime autorité
Sur les mécréants et les freluquets
Je t'aime ! Oui, sur mon amour
Se fonde ce poème, et ce velours
Dont un jour tu nous habilleras
A travers moi, il resplendira
Perse, si tu voyais
Aujourd'hui, combien de déchets
Jonchent ton sol sacré
Tu serais sûrement attristée
Mais n'aie crainte, belle,
Les habitants des Terres-Nouvelles
Sauront te rendre justice
De cet infinité de vices
Pays d'Eldorado, de merveilles
Sais-tu que les corneilles
Me parlent de ta gloire ?
Je n'ai peine à les croire
Ta sublime force, ta vigueur
Divine, sont gages de vérité
De tout honneur tu es attitrée
Chez toi aucune rancœur
Le jour comme la nuit
Je vogue, au-delà des étoiles
Et de là-bas, j'écris
Ces vers introduisant ce bal.
Venez, ma chère, et valsons.
J'aperçus cette dame
Qui, en touchant mon âme
M'a inondé d'une averse
De fruits ; j'ai préféré l'ananas
Qui me rappelle les Bahamas
Et les belles forêts d'Ecosse.
Ah ! Perse, toute ta force
Fait la mienne, un jour
Tu habilleras le monde de velours
Au temps jadis de ta gloire
A tout homme tu faisais croire
A l'impossible ; même les Dieux
Souverains des éternels cieux
Eprouvaient un certain respect
A voir du ciel tes cités s'ériger.
Toi qui, sans aucune peur
Toi qui, de tout ton cœur
Ô, Perse ! avait légitime autorité
Sur les mécréants et les freluquets
Je t'aime ! Oui, sur mon amour
Se fonde ce poème, et ce velours
Dont un jour tu nous habilleras
A travers moi, il resplendira
Perse, si tu voyais
Aujourd'hui, combien de déchets
Jonchent ton sol sacré
Tu serais sûrement attristée
Mais n'aie crainte, belle,
Les habitants des Terres-Nouvelles
Sauront te rendre justice
De cet infinité de vices
Pays d'Eldorado, de merveilles
Sais-tu que les corneilles
Me parlent de ta gloire ?
Je n'ai peine à les croire
Ta sublime force, ta vigueur
Divine, sont gages de vérité
De tout honneur tu es attitrée
Chez toi aucune rancœur
Le jour comme la nuit
Je vogue, au-delà des étoiles
Et de là-bas, j'écris
Ces vers introduisant ce bal.
Venez, ma chère, et valsons.
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