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Je rentrais dans une immense salle du royaume, où des portraits géants de divinités étaient exposés sur les murs. Zeus m’avait convoqué ici. Au milieu de la pièce, une personne était coucher par terre et un dieu se trouvai prés de lui, en le fixant. Je me rapprochai doucement, en faisant attention de ne rien toucher. Je fus pris d’une vue d’horreur. L’être était inanimé et baignai dans une flaque de sang. Zeus leva les yeux vers moi, il avait le regard rouge de tristesse mais également foudroyant de colère.
Il m’expliqua que ce matin, il avait attendu son fils, Apollon, qui devait le rejoindre dans le jardin couvert. Ne le voyant pas arriver, il s’était mis à sa recherche dans tout le royaume. Il avait vue des gardes parler avec un messager d’ici, des servantes allez servir certainement le petit déjeuner. Seulement, en voulant monter pour voir s’il n’était pas dans sa chambre, il avait entendu des éclats de voix monter, et un bruit assez violant. Il n’avait pas entendu, ni reconnu les voix qui était étouffer par les murs épais et les énormes portes. C’était des voix mixtes, et cela venait de la pièce principale, l’endroit sert pour les grandes occasions habituellement. Voulant allez voir de qui cela s’agissaient-ils et essayer de les calmer. En rentrant par l’accès de derrière, il entendit la porte principale, devant lui, se claquer a l‘autre bout de la pièce et découvrit son fils par terre baignant dans le sang. Juste le temps de le rejoindre et de le prendre dans ces bras. Son fils n’a pus dire aucun mot juste un dernier regard avant de fermer les yeux pour toujours. Pendant qu’il me raconta son récit sur ce qu’il avait entendu et vu, je me baissai doucement sur le corps. Je remarquai qu’Apollon avait reçu plusieurs coups à la tête, vu l’étendu des blessures, et qu’une de ses flèche était enfoncé au niveau du cœur. Je me mis à examiner la pièce et vit que des traces de pas de taille différentes, former avec certainement le sang de la victime, allai en s’estompant vers la porte dont Zeus m’avait montré comme la sorti probable du coupable.
Après avoir écouté ce que Zeus me disait, et examiner le corps et la pièce; je demandai à Zeus : qui était présent dans le royaume? Il me répondit qu’il ne savait pas trop qui était là aujourd’hui, car hier beaucoup étaient sorti à une fête et donc ne savait pas qui était rentré ou non cette nuit. Mais qu’il avait demandé aux gardes si quelqu’un avait franchi les portes du royaume dans la matinée, et ils lui ont répondu que personne n’était passé. Car dès qu’il avait reposé son fils, il était sorti par la porte principale, voir s’il remarquerait quelqu’un s’enfuir mais malheureusement il n’y avait plus personne dans le couloir. Il a demandé qu’on ferme toutes les issues du royaume et réunissent toutes les personnes présentent dans la salle de réunion. Seul le messager qui était venu me chercher avait pu sortir et y revenir en ma compagnie, celui qui était avec les gardes à l’autre bout du royaume. Il me demanda d’accepter l’enquête car vu que cela ne pouvait être que quelqu’un du royaume, il voulait une personne neutre pour résoudre ce crime et démasquer l’assassin parmi les siens. J’acceptai et lui demanda de m’indiquer la salle de réunion. Je le suivi jusque l’autre pièce.
Dans la salle, Poséidon, Héra, Athéna, Artémis et quelques servants nous y attendaient. Zeus leurs expliqua la situation et me présenta. Les murmures se firent aussitôt entendre autour de nous. Mais très vite calmer par la voix imposante de Zeus. J’observai la réaction de chacun. Certains avaient l’air en colère que Zeus ose les accuser ? D’autres étaient plus attrister de la nouvelle? Et encore d’autres ne laissaient rien apparaitre de la situation. Une seule chose était sur c’est que l’assassin était parmi nous, mais qui? A moi de chercher et de poser les questions.
Je me retrouvai dans le bureau de Zeus, qui se situa juste à coté de la salle, où tout le monde fut réuni. J’interrogeai à tour de rôle, en présence de Zeus qui voulait assister à toute l’enquête, chaque dieu et servants présent. Je leur demandai : où étaient-ils pendant la scène? Et s’ils étaient seuls? Quelqu’un pouvaient-ils témoigner pour eux? Et avaient ils entendu ou vu quoi que ce soit? Les questions habituelles pour commencer l’enquête…
Poséidon entra en 1er, il était furieux que Zeus puisse l’imaginer en tant que criminelle, lui son frère. Il me répondit, sans lâcher Zeus du regard, d’un ton colérique, qu’il n’avait pas pu commettre cela car au moment où on lui avait dit de rejoindre la salle de réunion, il sortait seulement de table. Plusieurs servants pouvaient confirmer cela il venait de prendre son petit- déjeuner d’où il était déjà depuis au moins une bonne heure. Car il aime prendre son temps au matin à table. Et malheureusement non il n’avait donc rien vu ni entendu, puisque la salle de repas se trouve à l‘opposé de la salle de bal. Juste son frère, quelques minutes plutôt, appeler Apollon dans le couloir. Lorsqu’il sortit du bureau, j’observai ces pieds, il avait une taille bien plus grande que les traces laissé dans la salle. Avant de faire entrer les personnes suivantes, je repensais à ce que Zeus m’avait dit, il a entendu des voix mixtes et lui posa la question de savoir combien de voix distinctement il avait entendu. Il me déclara qu’il y avait 2 voix, une masculine, qui devait être certainement celle d’Apollon et une féminine. Une voix féminine, donc Poséidon ne pouvait pas être le suspect avec sa voix rauque. Tout me faisait penser de l’enlever des suspect principales, la voix et la taille de pied ne pouvaient pas correspondre.
On laissa entrer Héra, qui ne lançant aucun coup d’œil vers Zeus, comme ignorant sa présence. Elle me regarda sournoisement, les cheveux mouillés. Me rétorqua qu’elle venait de se lever et comme à son habitude elle aime prendre une bonne douche, bien chaude. Et non personne ne peut le certifier autre que le garde qui avait frappé à sa porte pour lui demander de descendre et rejoindre tout le monde. Et bien sur, elle ne savait rien jusqu’à ce qu’on vient dans la salle pour leurs informer de ce qui venait de se passer. Je surlignai qu’elle était de petite pointure. D’où ma question, de laquelle était-elle? Elle fut surprise et me dis qu’elle chausse un petit 37 et m’interrogea pourquoi? Je lui ai juste affirmé que c’était par pur curiosité.
Athéna était la suivante. Elle regarda tristement son père, n’avait sur elle qu’un simple peignoir de bain et une serviette sur ces cheveux. Elle nous expliqua que ce matin elle s’était lever tôt et était descendu dans la piscine chauffé faire quelques brasses pour réveiller son corps. Personne n’était avec elle juste croiser avant d’y aller quelques serviteurs qui faisaient le ménage dans les couloirs. Et malheureusement ne savait rien de plus. Jusqu’à notre arriver dans la salle de réunion où elle apprit l’atroce nouvelle, disant cela tout en envoyant un regard triste vers son père. Qui lui fit un petit sourire comme pour la réconforter. Je devais lui poser la même question que celle demander à Héra sur sa pointure. Elle me dévisagea doucement et me répondit tout simplement 38. Je la remerciai et lui rassura que c’était une simple question car je vis qu’elle chercha la raison à ma question.
Athéna laissa place à Artémis. Quelle ressemblance frappante avec son frère jumeau, Apollon. Elle s’assied en face de nous baissant les yeux, qui était rouge tellement elle avait dû pleurer avant de nous rejoindre. Et avant chaque réponse, à mes questions, elle réfléchissait bien. Pour au final, nous sortir qu’elle venait de se lever juste le temps de se rafraichir sous une petite douche et allais descendre à la salle de repas pour prendre le petit déjeuner. Lorsque l’appel générale avait retentit. Sa voix fut pleine d’émotion. Mais quand je lui demandai pour les témoins éventuels sous l’effet de la tristesse elle se mit en colère. Pourquoi devrait elle avoir des témoins et comment aurait elle pu prévoir en avoir besoin?? Son regard croisa celui de son père qui la fit vite se calmer, éclata en sanglot et s’excusa juste qu’elle est encore sous le coup de la nouvelle. «*Mon frère, mon jumeau… Non ce n’est pas possible*». Mais elle ne pense pas que quelqu’un puisse l’avoir vu quand elle est sortie de sa chambre. Je lui donnai un mouchoir pour essuyer ces larmes tout en lui sortant ma dernière question avant de la laisser repartir. Sa pointure? Elle me disait 37 et sortit.
Au point de vue des serviteurs, certains confirmé les déclarations de Poséidon et Athéna, d’autres certifié les dires entre eux. Les gardes quant à eux confirma tout ce que Zeus m’avait dit et l’un d’eux la version de la déesse Héra qui était encore dans sa chambre.
Je me retirai de nouveau sur la scène du crime toujours bien accompagné de Zeus. On s’efforça ensemble de reconstituer le moment où il est rentré et ressortit. J’eu confirmation que l’une des traces de pas était la sienne. Et que l’autre était largement plus petite ce qui confirma encore que sa devait être les pieds d’une des déesses, 37-38. Donc Apollon s’était disputé avec l’une d’elle. Une seule était sortie, Athéna mais se trouva dans la piscine. Je devais donc me rendre jusqu’à la piscine mais aussi avec l’autorisation de Zeus me rendre dans le couloir des chambres. Pour confirmer, si l’une d’elles n’auraient pas eu le temps de remonter et ce laver. Pour effacer toute trace de sang éventuelle sur ces sandales. Les doutes pour Athéna fut vite envoler la piscine était bien trop loin. Et des gardes l’auraient vu si elle serai passée par ce chemin là. Donc resta plus qu’Héra et Artémis.
Je retournai donc à la porte principale et avec l’aide de Zeus étudia toutes les issues qui faisaient monter à l’étage. En haut d’un des escaliers se trouva la chambre d’Héra celle d’Artémis était séparer à quelques chambres seulement. Mais entre le temps que Zeus aperçut son fils et celui de donner l’alerte autant l’une que l’autre auraient eu le temps de remonter et se laver de l’éventuelle éclaboussure de sang. On appela les divinités à nous rejoindre. Je demandai que l’une comme l’autre m’ouvre leurs chambres. En entrant je fus ébloui par la chambre somptueuse d‘Héra mais qui était froide car les fenêtres géantes étaient ouverte, on les referma directement, elles donnaient sur un jardin immense et enneigé. Il y avait également, un lit imposant au milieu de la chambre et les murs était d‘une tapisserie d‘or. Tout était bien ranger. Dans la salle de bain tout avait l’air à sa place. Dans sa garde robe une paire de sandales en dessous de chaque robe divine et au centre se trouva le diadème sacré.
Artémis aussi avait une immense chambre, ses fenêtres donner juste au dessus de la piscine olympique, son lit était encore défait. La salle de bain était bien ranger à part sa robe de nuit qui trainait sur une chaise avec, au pied, une paire de sandale. Son dressing était en ordre une place pour chaque tenu et les sandales en dessous de chacune d’elle. Un coffre se trouva sur le coté, elle me l’ouvrit. Il n’y avait dedans que son arc, ses flèches dans le carquois. Mais rien, pas une trace. Je devais avoir passé à coté de quelques choses, j’empruntai avec autorisation une paire de sandale à chacune d’elle. Et redescendis dans la salle de bal la salle principale la scène de crime. Tous me suivirent et resta devant la porte sauf Zeus, qui continua à surveiller mes gestes.
Les sandales correspondaient mais les deux avaient la même pointure, et le même style de sandale, comment déterminer qui? Et pourquoi? J’observai la pièce, mes pensées me faisaient regarder sur les tableaux, si seulement on pouvait faire parler des tableaux. Et d’un coup je restai fixer sur le portrait d’Artémis et d’Héra. Cherchant le détail, d’un coup je sorti pour monter en flèche à la garde robe d’Héra. Tous m’avaient suivi derrière, je me retournai et demanda à Héra où son sceptre se trouva. La déesse qui était plutôt d’un air sournoise depuis le début devint d’un coup avec un regard plus inquiet. Elle regarda chaque personne dans la pièce en évitant de les fixer des yeux, tout en cherchant ce dont elle allait me répondre. Et d’un coup me dis quel avait dû l’oublier à la fête d’hier. Lors de la 1ère visite, cela ne m’avait pas interloqué, mais tous fut surpris, de sa réponse elle qui d’habitude la toujours sur elle. Et poursuivi en lui montrant un emplacement vide dans ces robes, il manqua deux tenues avec les sandales qui allaient avec. Elle me dit que l’une des deux, elle l’avait remis à sa bonne pour la faire nettoyer, c’était la robe, qu’elle avait mis pendant la fête. L‘autre, était sur elle. Je sorti du dressing, tout en observant chaque endroit. J’allai vers les fenêtres, que je rouvris et me pencha pour examiner l‘extérieur.
Je me redressai et demanda à Zeus de bien vouloir ce pencher. Il m’interrogea du regard et au moment qu’il était entrain de chercher, à la fenêtre, ce que je voulais lui dire. Héra avait cherché à sortir doucement, mais entre les autres divinités et les gardes, elle ne put aller loin. Zeus, vit à la fenêtre un vêtement ensanglanter et reconnu la robe de bal de sa femme d’où dépasser l’arc et les flèches de son fils. Il se tourna vers elle, ses yeux étaient foudroyants. Poséidon, intervint de suite pour le retenir, il avait remarqué dans son regard qu’il l’aurait tué sur place sans plus d’explication. Héra fendit en larme et se laissa tomber à genou, et commença à nous expliquer ce qui c’était passer.
Ce matin, elle était descendu et avait remarqué la salle de bal ouverte, au moment d’y pénétrer elle tomba nez à nez avec Apollon. Elle n’a toujours pas pardonné à son mari d’avoir été infidèle. Et Apollon avec ces airs, il se croyait supérieur, ce qui l’énerva. Ils eurent des mots forts l’un contre l’autre. Mais elle sentit ces nerfs monter, ces mains ce crispèrent sur son sceptre. Et dans un accès de colère intense, elle le frappa plusieurs fois à la tête lors qu’elle le vu à terre, elle prit une des flèches d’Apollon, qui était posé prés de lui, et lui enfonça dans le cœur. Ils n’auraient jamais dû naitre, ni lui, ni elle. En lançant un regard rapide à Artémis, qui écouta stupéfaite tout cela. Héra, nous exposa la suite elle avait entendu la porte du fond commencer à s’ouvrir. Dans un état second, elle ramassa l’arc, les flèches et son sceptre. Et couru dans la direction de la grande porte, puis monta vite dans sa chambre. Elle se déshabilla et enroula ses sandales, sceptre, flèche et arc dans sa robe taché de sang. Elle chercha où mettre tout cela. Elle leva les yeux vers les fenêtres. Et se dit que ce temps d’hivers, personne n’irai dehors, donc jeta tout cela par la fenêtre. En l’espace de quelques instants, elle était entrain de ce lavé. Et lorsque le garde frappa à la porte, elle sorti de la douche affoler et se força de ce ressaisir. Il était venu la chercher car tous était, sur demande de son mari, appeler à la salle de réunion. Le garde ne voulu pas en dire plus, le temps d’enfiler quelques choses sur elle. Dans les couloirs qui mena jusqu’à l’endroit où ils devaient se rassembler, elle essayait de chercher un alibi.
Les gardes embarquèrent Héra sur ordre de Zeus. Et tous les autres voulu redescendre, pour pleurer le corps d’Apollon. Artémis courut vers lui et s’agenouilla à côté de lui, lui retira la flèche et ce mis à pleurer sur le torse de son frère, toujours allonger par terre. Les autres dieux se mit derrière elle et fixa la scène certain ferma les yeux. Zeus s’approcha de sa fille pour la prendre dans ces bras et leva les yeux en l’air comme pour retenir ces larmes. Je vus une chose que jamais de ma vie, je n’aurais pu espérer voir un jour. Les larmes, qui coulait d’amour, de la déesse referma les blessures de son jumeau. On se mit tous à fixer le miracle qui s’offrit à nos yeux. Un halo de lumière se mit à entourer Apollon tout en le levant du sol. En une fraction de seconde, qui paraissait interminable, Apollon était là devant nous, debout et respirant. Ces blessures avaient disparue comme si cela n’avait jamais exister. Zeus le pris dans ces bras, heureux et ces filles, présentes, qui c’était rapprocher. Il les entoura tous. Il se retourna vers nous et déclara qu’il allait faire la fête, dont même moi j’avais été convié. Juste le temps de tout nettoyer, de préparer les festivités et d’envoyer quelques messagers pour les invitations. Et la fête eu lieu. Poséidon me demanda ce qui m’avait mis la puce à l’oreille. Je lui montrai les tableaux, et lui dit on voit Héra avec son sceptre, chose qu’on ne vit pas aujourd’hui et ne trouva pas. Et sa fenêtre ouverte de se temps glaciale. C’était le seul endroit qu’elle aurait pus cacher les affaires. Apollon vint vers moi et me remercia. Et je fis la fête avec tous une bonne partit de la nuit.
Il m’expliqua que ce matin, il avait attendu son fils, Apollon, qui devait le rejoindre dans le jardin couvert. Ne le voyant pas arriver, il s’était mis à sa recherche dans tout le royaume. Il avait vue des gardes parler avec un messager d’ici, des servantes allez servir certainement le petit déjeuner. Seulement, en voulant monter pour voir s’il n’était pas dans sa chambre, il avait entendu des éclats de voix monter, et un bruit assez violant. Il n’avait pas entendu, ni reconnu les voix qui était étouffer par les murs épais et les énormes portes. C’était des voix mixtes, et cela venait de la pièce principale, l’endroit sert pour les grandes occasions habituellement. Voulant allez voir de qui cela s’agissaient-ils et essayer de les calmer. En rentrant par l’accès de derrière, il entendit la porte principale, devant lui, se claquer a l‘autre bout de la pièce et découvrit son fils par terre baignant dans le sang. Juste le temps de le rejoindre et de le prendre dans ces bras. Son fils n’a pus dire aucun mot juste un dernier regard avant de fermer les yeux pour toujours. Pendant qu’il me raconta son récit sur ce qu’il avait entendu et vu, je me baissai doucement sur le corps. Je remarquai qu’Apollon avait reçu plusieurs coups à la tête, vu l’étendu des blessures, et qu’une de ses flèche était enfoncé au niveau du cœur. Je me mis à examiner la pièce et vit que des traces de pas de taille différentes, former avec certainement le sang de la victime, allai en s’estompant vers la porte dont Zeus m’avait montré comme la sorti probable du coupable.
Après avoir écouté ce que Zeus me disait, et examiner le corps et la pièce; je demandai à Zeus : qui était présent dans le royaume? Il me répondit qu’il ne savait pas trop qui était là aujourd’hui, car hier beaucoup étaient sorti à une fête et donc ne savait pas qui était rentré ou non cette nuit. Mais qu’il avait demandé aux gardes si quelqu’un avait franchi les portes du royaume dans la matinée, et ils lui ont répondu que personne n’était passé. Car dès qu’il avait reposé son fils, il était sorti par la porte principale, voir s’il remarquerait quelqu’un s’enfuir mais malheureusement il n’y avait plus personne dans le couloir. Il a demandé qu’on ferme toutes les issues du royaume et réunissent toutes les personnes présentent dans la salle de réunion. Seul le messager qui était venu me chercher avait pu sortir et y revenir en ma compagnie, celui qui était avec les gardes à l’autre bout du royaume. Il me demanda d’accepter l’enquête car vu que cela ne pouvait être que quelqu’un du royaume, il voulait une personne neutre pour résoudre ce crime et démasquer l’assassin parmi les siens. J’acceptai et lui demanda de m’indiquer la salle de réunion. Je le suivi jusque l’autre pièce.
Dans la salle, Poséidon, Héra, Athéna, Artémis et quelques servants nous y attendaient. Zeus leurs expliqua la situation et me présenta. Les murmures se firent aussitôt entendre autour de nous. Mais très vite calmer par la voix imposante de Zeus. J’observai la réaction de chacun. Certains avaient l’air en colère que Zeus ose les accuser ? D’autres étaient plus attrister de la nouvelle? Et encore d’autres ne laissaient rien apparaitre de la situation. Une seule chose était sur c’est que l’assassin était parmi nous, mais qui? A moi de chercher et de poser les questions.
Je me retrouvai dans le bureau de Zeus, qui se situa juste à coté de la salle, où tout le monde fut réuni. J’interrogeai à tour de rôle, en présence de Zeus qui voulait assister à toute l’enquête, chaque dieu et servants présent. Je leur demandai : où étaient-ils pendant la scène? Et s’ils étaient seuls? Quelqu’un pouvaient-ils témoigner pour eux? Et avaient ils entendu ou vu quoi que ce soit? Les questions habituelles pour commencer l’enquête…
Poséidon entra en 1er, il était furieux que Zeus puisse l’imaginer en tant que criminelle, lui son frère. Il me répondit, sans lâcher Zeus du regard, d’un ton colérique, qu’il n’avait pas pu commettre cela car au moment où on lui avait dit de rejoindre la salle de réunion, il sortait seulement de table. Plusieurs servants pouvaient confirmer cela il venait de prendre son petit- déjeuner d’où il était déjà depuis au moins une bonne heure. Car il aime prendre son temps au matin à table. Et malheureusement non il n’avait donc rien vu ni entendu, puisque la salle de repas se trouve à l‘opposé de la salle de bal. Juste son frère, quelques minutes plutôt, appeler Apollon dans le couloir. Lorsqu’il sortit du bureau, j’observai ces pieds, il avait une taille bien plus grande que les traces laissé dans la salle. Avant de faire entrer les personnes suivantes, je repensais à ce que Zeus m’avait dit, il a entendu des voix mixtes et lui posa la question de savoir combien de voix distinctement il avait entendu. Il me déclara qu’il y avait 2 voix, une masculine, qui devait être certainement celle d’Apollon et une féminine. Une voix féminine, donc Poséidon ne pouvait pas être le suspect avec sa voix rauque. Tout me faisait penser de l’enlever des suspect principales, la voix et la taille de pied ne pouvaient pas correspondre.
On laissa entrer Héra, qui ne lançant aucun coup d’œil vers Zeus, comme ignorant sa présence. Elle me regarda sournoisement, les cheveux mouillés. Me rétorqua qu’elle venait de se lever et comme à son habitude elle aime prendre une bonne douche, bien chaude. Et non personne ne peut le certifier autre que le garde qui avait frappé à sa porte pour lui demander de descendre et rejoindre tout le monde. Et bien sur, elle ne savait rien jusqu’à ce qu’on vient dans la salle pour leurs informer de ce qui venait de se passer. Je surlignai qu’elle était de petite pointure. D’où ma question, de laquelle était-elle? Elle fut surprise et me dis qu’elle chausse un petit 37 et m’interrogea pourquoi? Je lui ai juste affirmé que c’était par pur curiosité.
Athéna était la suivante. Elle regarda tristement son père, n’avait sur elle qu’un simple peignoir de bain et une serviette sur ces cheveux. Elle nous expliqua que ce matin elle s’était lever tôt et était descendu dans la piscine chauffé faire quelques brasses pour réveiller son corps. Personne n’était avec elle juste croiser avant d’y aller quelques serviteurs qui faisaient le ménage dans les couloirs. Et malheureusement ne savait rien de plus. Jusqu’à notre arriver dans la salle de réunion où elle apprit l’atroce nouvelle, disant cela tout en envoyant un regard triste vers son père. Qui lui fit un petit sourire comme pour la réconforter. Je devais lui poser la même question que celle demander à Héra sur sa pointure. Elle me dévisagea doucement et me répondit tout simplement 38. Je la remerciai et lui rassura que c’était une simple question car je vis qu’elle chercha la raison à ma question.
Athéna laissa place à Artémis. Quelle ressemblance frappante avec son frère jumeau, Apollon. Elle s’assied en face de nous baissant les yeux, qui était rouge tellement elle avait dû pleurer avant de nous rejoindre. Et avant chaque réponse, à mes questions, elle réfléchissait bien. Pour au final, nous sortir qu’elle venait de se lever juste le temps de se rafraichir sous une petite douche et allais descendre à la salle de repas pour prendre le petit déjeuner. Lorsque l’appel générale avait retentit. Sa voix fut pleine d’émotion. Mais quand je lui demandai pour les témoins éventuels sous l’effet de la tristesse elle se mit en colère. Pourquoi devrait elle avoir des témoins et comment aurait elle pu prévoir en avoir besoin?? Son regard croisa celui de son père qui la fit vite se calmer, éclata en sanglot et s’excusa juste qu’elle est encore sous le coup de la nouvelle. «*Mon frère, mon jumeau… Non ce n’est pas possible*». Mais elle ne pense pas que quelqu’un puisse l’avoir vu quand elle est sortie de sa chambre. Je lui donnai un mouchoir pour essuyer ces larmes tout en lui sortant ma dernière question avant de la laisser repartir. Sa pointure? Elle me disait 37 et sortit.
Au point de vue des serviteurs, certains confirmé les déclarations de Poséidon et Athéna, d’autres certifié les dires entre eux. Les gardes quant à eux confirma tout ce que Zeus m’avait dit et l’un d’eux la version de la déesse Héra qui était encore dans sa chambre.
Je me retirai de nouveau sur la scène du crime toujours bien accompagné de Zeus. On s’efforça ensemble de reconstituer le moment où il est rentré et ressortit. J’eu confirmation que l’une des traces de pas était la sienne. Et que l’autre était largement plus petite ce qui confirma encore que sa devait être les pieds d’une des déesses, 37-38. Donc Apollon s’était disputé avec l’une d’elle. Une seule était sortie, Athéna mais se trouva dans la piscine. Je devais donc me rendre jusqu’à la piscine mais aussi avec l’autorisation de Zeus me rendre dans le couloir des chambres. Pour confirmer, si l’une d’elles n’auraient pas eu le temps de remonter et ce laver. Pour effacer toute trace de sang éventuelle sur ces sandales. Les doutes pour Athéna fut vite envoler la piscine était bien trop loin. Et des gardes l’auraient vu si elle serai passée par ce chemin là. Donc resta plus qu’Héra et Artémis.
Je retournai donc à la porte principale et avec l’aide de Zeus étudia toutes les issues qui faisaient monter à l’étage. En haut d’un des escaliers se trouva la chambre d’Héra celle d’Artémis était séparer à quelques chambres seulement. Mais entre le temps que Zeus aperçut son fils et celui de donner l’alerte autant l’une que l’autre auraient eu le temps de remonter et se laver de l’éventuelle éclaboussure de sang. On appela les divinités à nous rejoindre. Je demandai que l’une comme l’autre m’ouvre leurs chambres. En entrant je fus ébloui par la chambre somptueuse d‘Héra mais qui était froide car les fenêtres géantes étaient ouverte, on les referma directement, elles donnaient sur un jardin immense et enneigé. Il y avait également, un lit imposant au milieu de la chambre et les murs était d‘une tapisserie d‘or. Tout était bien ranger. Dans la salle de bain tout avait l’air à sa place. Dans sa garde robe une paire de sandales en dessous de chaque robe divine et au centre se trouva le diadème sacré.
Artémis aussi avait une immense chambre, ses fenêtres donner juste au dessus de la piscine olympique, son lit était encore défait. La salle de bain était bien ranger à part sa robe de nuit qui trainait sur une chaise avec, au pied, une paire de sandale. Son dressing était en ordre une place pour chaque tenu et les sandales en dessous de chacune d’elle. Un coffre se trouva sur le coté, elle me l’ouvrit. Il n’y avait dedans que son arc, ses flèches dans le carquois. Mais rien, pas une trace. Je devais avoir passé à coté de quelques choses, j’empruntai avec autorisation une paire de sandale à chacune d’elle. Et redescendis dans la salle de bal la salle principale la scène de crime. Tous me suivirent et resta devant la porte sauf Zeus, qui continua à surveiller mes gestes.
Les sandales correspondaient mais les deux avaient la même pointure, et le même style de sandale, comment déterminer qui? Et pourquoi? J’observai la pièce, mes pensées me faisaient regarder sur les tableaux, si seulement on pouvait faire parler des tableaux. Et d’un coup je restai fixer sur le portrait d’Artémis et d’Héra. Cherchant le détail, d’un coup je sorti pour monter en flèche à la garde robe d’Héra. Tous m’avaient suivi derrière, je me retournai et demanda à Héra où son sceptre se trouva. La déesse qui était plutôt d’un air sournoise depuis le début devint d’un coup avec un regard plus inquiet. Elle regarda chaque personne dans la pièce en évitant de les fixer des yeux, tout en cherchant ce dont elle allait me répondre. Et d’un coup me dis quel avait dû l’oublier à la fête d’hier. Lors de la 1ère visite, cela ne m’avait pas interloqué, mais tous fut surpris, de sa réponse elle qui d’habitude la toujours sur elle. Et poursuivi en lui montrant un emplacement vide dans ces robes, il manqua deux tenues avec les sandales qui allaient avec. Elle me dit que l’une des deux, elle l’avait remis à sa bonne pour la faire nettoyer, c’était la robe, qu’elle avait mis pendant la fête. L‘autre, était sur elle. Je sorti du dressing, tout en observant chaque endroit. J’allai vers les fenêtres, que je rouvris et me pencha pour examiner l‘extérieur.
Je me redressai et demanda à Zeus de bien vouloir ce pencher. Il m’interrogea du regard et au moment qu’il était entrain de chercher, à la fenêtre, ce que je voulais lui dire. Héra avait cherché à sortir doucement, mais entre les autres divinités et les gardes, elle ne put aller loin. Zeus, vit à la fenêtre un vêtement ensanglanter et reconnu la robe de bal de sa femme d’où dépasser l’arc et les flèches de son fils. Il se tourna vers elle, ses yeux étaient foudroyants. Poséidon, intervint de suite pour le retenir, il avait remarqué dans son regard qu’il l’aurait tué sur place sans plus d’explication. Héra fendit en larme et se laissa tomber à genou, et commença à nous expliquer ce qui c’était passer.
Ce matin, elle était descendu et avait remarqué la salle de bal ouverte, au moment d’y pénétrer elle tomba nez à nez avec Apollon. Elle n’a toujours pas pardonné à son mari d’avoir été infidèle. Et Apollon avec ces airs, il se croyait supérieur, ce qui l’énerva. Ils eurent des mots forts l’un contre l’autre. Mais elle sentit ces nerfs monter, ces mains ce crispèrent sur son sceptre. Et dans un accès de colère intense, elle le frappa plusieurs fois à la tête lors qu’elle le vu à terre, elle prit une des flèches d’Apollon, qui était posé prés de lui, et lui enfonça dans le cœur. Ils n’auraient jamais dû naitre, ni lui, ni elle. En lançant un regard rapide à Artémis, qui écouta stupéfaite tout cela. Héra, nous exposa la suite elle avait entendu la porte du fond commencer à s’ouvrir. Dans un état second, elle ramassa l’arc, les flèches et son sceptre. Et couru dans la direction de la grande porte, puis monta vite dans sa chambre. Elle se déshabilla et enroula ses sandales, sceptre, flèche et arc dans sa robe taché de sang. Elle chercha où mettre tout cela. Elle leva les yeux vers les fenêtres. Et se dit que ce temps d’hivers, personne n’irai dehors, donc jeta tout cela par la fenêtre. En l’espace de quelques instants, elle était entrain de ce lavé. Et lorsque le garde frappa à la porte, elle sorti de la douche affoler et se força de ce ressaisir. Il était venu la chercher car tous était, sur demande de son mari, appeler à la salle de réunion. Le garde ne voulu pas en dire plus, le temps d’enfiler quelques choses sur elle. Dans les couloirs qui mena jusqu’à l’endroit où ils devaient se rassembler, elle essayait de chercher un alibi.
Les gardes embarquèrent Héra sur ordre de Zeus. Et tous les autres voulu redescendre, pour pleurer le corps d’Apollon. Artémis courut vers lui et s’agenouilla à côté de lui, lui retira la flèche et ce mis à pleurer sur le torse de son frère, toujours allonger par terre. Les autres dieux se mit derrière elle et fixa la scène certain ferma les yeux. Zeus s’approcha de sa fille pour la prendre dans ces bras et leva les yeux en l’air comme pour retenir ces larmes. Je vus une chose que jamais de ma vie, je n’aurais pu espérer voir un jour. Les larmes, qui coulait d’amour, de la déesse referma les blessures de son jumeau. On se mit tous à fixer le miracle qui s’offrit à nos yeux. Un halo de lumière se mit à entourer Apollon tout en le levant du sol. En une fraction de seconde, qui paraissait interminable, Apollon était là devant nous, debout et respirant. Ces blessures avaient disparue comme si cela n’avait jamais exister. Zeus le pris dans ces bras, heureux et ces filles, présentes, qui c’était rapprocher. Il les entoura tous. Il se retourna vers nous et déclara qu’il allait faire la fête, dont même moi j’avais été convié. Juste le temps de tout nettoyer, de préparer les festivités et d’envoyer quelques messagers pour les invitations. Et la fête eu lieu. Poséidon me demanda ce qui m’avait mis la puce à l’oreille. Je lui montrai les tableaux, et lui dit on voit Héra avec son sceptre, chose qu’on ne vit pas aujourd’hui et ne trouva pas. Et sa fenêtre ouverte de se temps glaciale. C’était le seul endroit qu’elle aurait pus cacher les affaires. Apollon vint vers moi et me remercia. Et je fis la fête avec tous une bonne partit de la nuit.