Le bien du mal

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Chapitre 01
[SPR]Dans la ville de Liberty City, aux Etats Unis, un homme robuste, âgé d'une vingtaine d'années et vêtu d'une chemise beige et d'une cravate dans les teintes marrons et noires, sort d'un petit pavillon délabré, dont les murs sont carbonisés depuis une incendie le mois dernier. Cet homme porte dans sa main une valise noire visiblement lourde, puisqu'il la change de main régulièrement. Il se dirige vers New York grâce à un des rares taxis de la ville. Une fois arrivé dans une rue de New York, l'homme sort de la voiture. Une fois cette dernière confondue avec d'autres voitures, il regarde sa montre qui affiche 8:10. Il sort ensuite un plan de la ville sur lequel un endroit est mis en évidence. Il sort de sa veste un papier, qu'il déplie avec soin. Le dessin de deux gratte-ciels entourés par des tours inférieures y figure. Il prend sa valise en main et marche en direction du sud.

Il arrive près des deux tours décrites sur son dessin. Il compare d'ailleurs celui-ci avec les vraies. En bas de ce dessin est écrit "World Trade Center".
Il se rapproche d'une rue sombre dans laquelle il aperçoit un homme en costume noir et en lunettes de soleil. Il se dirige vers lui et dit :
-"Nous y sommes.".
Sur cette phrase, l'autre homme prend une valise comparable avec celle du premier homme, qu'il avait caché derrière lui.

En ce moment, à l'aéroport Logan de Boston, un avion décole pour New York.
Mais au bout de quatorze minutes de vol, l'engin cesse de répondre aux commandes des pilotes. Il refuse de tourner.

Pendant ce temps, les deux hommes marchent vers la place du World Trade Center. Ils s'arrêtèrent et se serrèrent la main. Chacun se dirige vers une tour.
Le second homme entre dans la tour, et bouscule involontairement un vigile. Ce choc fait tomber un pistolet que cachait l'homme dans son manteau. Soudain, il se met à courir vers l'ascenseur le plus proche et monte tout l'immeuble en moins d'une minute. Il sort le contenu de sa valise, et met, avec peur, le minuteur pour quarante-trois minutes, d'une manière rapide et peu subtile. Il se dirige vers l'ascenseur, mais le vigile a eu le temps de monter. Le sang coule.

L'homme à la chemise beige entre dans le hall de la tour et sort son pistolet pour effrayer les employés des bureaux, et monte les escaliers pour se rendre en hauteur. Il place à son tour une bombe pour dans vingt minutes et attend dans la pièce même, qu'il ferme. Il regarde par la fenêtre.

Vingt minutes plus tôt, un avion a décolé avec 6 passagers, mais le pilote, ayant perdu plus de 5 000 000 de dollars au casino la veille, a un comportement suicidaire. Il fait frôler l'engin à ras le sol voire la mer. Il se dirige vers New York.

Dix minutes après le disfonctionnement de l'avion, le pilote aperçoit le World Trade Center, mais il ne peut maîtriser l'avion, et est a peu de temps d'une catastrophe...

Pendant ce temps, l'homme attend dans la tour. Il s'est enfermé dans une pièce, ayant entendu des bruits de pas.
Ces derniers s'étant éstompées, il ressort et aperçoit un avion se dirigeant droit sur lui.

Le comportement du pilote n'a pas changé. Il est à dix minutes de New York, et décide de froler une tour du World Trade Center, où le "terroriste" a été tué peu avant.

Peu après, l'homme, chaché au sommet de la tour, observe l'avion fonçant à toute allure sur la tour. La bombe explose dans trois minutes, et il commence à se poser des questions. Deux minutes, une minute...
Le pilote est à dix secondes de la catastrophe, mais tente le tout pour le tout. Il parvient à faire tourner l'avion, qui frôle la tour. L'homme se hâte de descendre de la tour tandis que l'explosion effraya tout New York. Il est 8:46. L'avion, même s'il a réussi à dévier, s'écrasa dans la tour à cause de l'explosion de la bombe, qui a touché un réacteur.
L'homme est sain et sauf. Il descend en vitesse les cent et quelques étages de la tour en ruine et rencontre du monde dans le hall. Certains hommes essayent de l'attraper mais il leur jure qu'un avion s'est écrasé. Il sort de la tour et attend l'autre homme. Impatient, il se dirige vers l'autre tour, mais soudain, l'ambulance sort du hall avec le corps de ce dernier, mort.

Choqué par l'avion et par la mort de son ami, il se retire, et alors qu'il marche, une voiture noire aux vitres teintées s'arrête devant lui. La fenêtre s'abaisse et une femme, aux cheveux couvrant une partie de son visage, lui lance d'un air moqueur :
-"Comment vas-tu, Rick ?".
Sans réponse, il entre dans la voiture, avant qu'elle ne s'eclipse.
La voiture s'arrête devant un petit immeuble, à quelques centaines de mètres des tours. Rick montre et regarde les tours du balcon. Il murmure :
-"Je suppose qu'elle va rester debout.".
Il est 9:00. Soudain, il voit arriver un avion par la gauche, qui baisse d'altitude pour se mettre à la hauteur de la tour. Rick, connaissant l'heure approximative où la bombe devrait exploser, il se dit que l'avion fera le travail à sa place. L'avion passe à côté pour le frôler, mais la bombe explose comme prévu et l'avion avec...
[/SPR]

Chapitre 02
[SPR]Deux jours plus tard, les urgences, les pompiers et quelques volontaires aident au nettoyage du lieu de l'accident. Un agent Du F.B.I, Shane Walds, inspecte les lieux. Quelques témoins lui affirmèrent qu'un homme armé d'un pistolet avait posé une bombe. Sceptique à cause de l'avion, il observe les dégâts et trouve un revolver. Plus tard le résultat ADN tombe...

Rick est de sortie dans un quartier de la ville. Il passe devant un marchant de multimédia, où, dans la vitrine, se trouve une télé allumée montrant son visage et le pistolet qu'il a utilisé pendant l'assaut. Il continue à marcher mais une voiture s'arrête à son niveau et son conducteur lui lance : "T'as l'air sage pour faire péter une tour !". Rick fait semblant de rien et lui répond avec incompréhension puis sort des lunettes de soleil, et passe sa main dans ses cheveux.

Pendant ce temps, aux Services Secrets des Etats Unis, deux agents, en possession de la vidéo des explosions, revisionnent celle-ci en boucle. L'un d'eux décide de la modifier pour que l'explosion de la bombe soit avancée d'une seconde par rapport à l'avion.
-"Tout le monde verra bien que le responsable n'est pas l'avion." annonce Kellermat.
-"Et notre ami le poseur de bombe sera l'homme le plus recherché d'Amérique !" continue Mahone.

Rick ne voit plus sa femme, qui l'avait accueuilli dans sa voiture le jour de l'explosion. Il met en route sa télévision en murmurant :
"Voyons à quelle sauce les médias vont encore me cuisiner...". A la une du journal, il apprend qu'un jet privé a failli s'écraser sur la Maison Blanche, ce matin vers 10:00, mais qu'il été touché par une mitrailleuse.
Le pilote était une femme. La femme de Rick, morte dans l'explosion. Les médias ont retenu comme hypothèse un attentat terroriste où deux avions ont été détournées, mais la principale reste les bombes qui ont explosé au moment ou les avions passaient, à quelques centièmes de seconde d'intervalle.

Rick propose à son cousin par alliance, Carl, de former un groupe pour exercer le plus de délits en le moins de temps possible. Carl a formé une équipe de 13 personnes, dans le but de faire tomber dans l'oubli son cousin, Rick. Un après-midi, le groupe se jette sur quelques piétons et entraînent une bagarre générale puis se retirent juste à temps. Ils se réunissent dans la maison de Carl.

Le lendemain, Rick rend visite à Carl et à son groupe. Il ouvre la porte et se dirige dans le salon. Il voit les treize corps pendus et trouve un mot sur la table basse, sur lequel une tâche de sang a séché :
"Dommage qu'il y en ai eu 13, c'est le chiffre porte malheur...

Le Cartel".
Rick déchire la feuille et jette les morceaux dans tout le salon sous l'énervement, mais il trouve un autre mot accroché au mur :
"PS : je me suis permi de mettre votre ADN sur l'arme qui a servi au crime des 13 personnes...".
Il tombe à terre et fait un malaise... il laisse glisser la feuille où est écrit la date où le mot a été écrit : 13/09.

Un jour plus tard, Rick se réveille dans un lit d'hôpital. Il pose machinalement la main sur la table qui se trouve à côté, sur laquelle est posée un bouquet de fleurs, fanées depuis peu. Une infirmière entre dans la chambre. Il l'interpelle :
-"Qui a posé ces fleurs, s'il vous plaît ?"
-"Il est venu anonymement. Il avait même gardé ses lunettes de soleil." répond-elle.
Rick se demande de qui il s'agit. L'infirmière quitte la chambre quelques minutes et revient pour demander :
-"Quel est votre nom ?"
-"...Mickael !" répond-il après une courte réflexion.
-"Je suis allé voir le carnet des visites. L'homme qui vous a rendu visite s'appelle Charles Patoshik."
-"Ce n'est pas possible ! s'écrie-il. Il est mort dans un accident il y a 3 jours !".
Soudain, on frappe à la porte. L'homme entre. L'homme que Rick croyait mort depuis longtemps...
[/SPR]


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Chapitre 1 : 18/10/2013 à 19:26.
Chapitre 2 : 16/11/2013 à 17:05.




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~Wikinava~
 
Dernière édition par un modérateur:

DeletedUser

Guest
Pas mal cette histoire elle me plaît ;-)
C'est mis en évidence et non mi en évidence.
Il y a quelques passage que j'ai du relire trois fois avant de comprendre mais c'est bien sinon.
 

kyurem999

Athlète Olympien // Rhéteur apprenti
que dire de ce premier chapitre? Déjà, j'ai eu la fougue de le lire car je m'ennuyais

Puis, l'homme, l'homme, y'en a plein dans ton récit, je ne comprends pas tout

Sinon, j'aime bien ;-)
 

kyurem999

Athlète Olympien // Rhéteur apprenti
de rien ;)

Par contre j'attends la suit avec impatience (encore faut-il que j'ai le courage de lire :p)
 

DeletedUser38424

Guest
C'est vraiment bien mais tu devrais donner des noms plutôt car comme kyurem je trouve qu'il y a trop d'homme.
 

DeletedUser

Guest
Je suis pas un grand écrivain, mais je trouve qu'ici, le présent est mal choisi, ça me dérange :)
 

DeletedUser

Guest
C'est vraiment bien mais tu devrais donner des noms plutôt car comme kyurem je trouve qu'il y a trop d'homme.

Au début je voulais garder secret le nom du premier homme. Et dans la suite vous saurez le nom du deuxième (même s'il est censé être mort).


Je suis pas un grand écrivain, mais je trouve qu'ici, le présent est mal choisi, ça me dérange :)

J'ai choisi le présent car cela fait comme ci on y était. :)
 

DeletedUser

Guest
Je ne suis pas spécialement fan de cette théorie du complot et je ne vois pas trop où elle pourrait te mener d'intéressant. L'écriture est encore assez maladroite, tu gagnerais à te relire plusieurs fois lentement et retravailler certaines phrases. Genre "l'homme entre homme dans la tour".
 

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Guest
Je ne suis pas spécialement fan de cette théorie du complot et je ne vois pas trop où elle pourrait te mener d'intéressant. L'écriture est encore assez maladroite, tu gagnerais à te relire plusieurs fois lentement et retravailler certaines phrases. Genre "l'homme entre homme dans la tour".

M****... >_<
Merci.
 

DeletedUser18441

Guest
C'est surtout le présent qui me gêne, ça le fait pas du tout. Autant rester dans le basique PS/Imparfait.

J'ai rien d'autre à ajouter, Ombre a bien raison...
 

DeletedUser

Guest
Chapitre 2

Merci du commentaire, BA. :)

Bonjour,

je viens d'écrire le chapitre 2 de Le Bien du Mal.

Bonne lecture !

~Wikinava~
 

DeletedUser

Guest
Chapitre 1 :
[SPR]"Cet homme porte dans sa main une valise noire visiblement lourde, puisqu'il la change de main régulièrement. Il se dirige vers New York grâce à un des rares taxis de la ville." Il manque une transition entre le moment suffisamment long pour qu'il change de main et celui où il monte en taxi.
"Il se rapproche d'une rue sombre dans laquelle il aperçoit un homme en costume noir et en lunettes de soleil. Il se dirige vers lui et dit : -"Nous y sommes.". Sur cette phrase, l'autre homme prend une valise comparable avec celle du premier homme, qu'il avait caché derrière lui." On assiste là à un échange discret de valise si j'ai bien saisi alors pourquoi marchent-ils ensemble en pleine place publique pour se serrer la main ? D'ailleurs attention, cette dernière scène est conjugué au passé.
"l'ascenseur le plus proche et monte tout l'immeuble en moins d'une minute" Pas crédible, surtout pour les WTC.
"met, avec peur, le minuteur pour quarante-trois minutes" Pourquoi 43 ^^ ?
" Il place à son tour une bombe pour dans vingt minutes" Pourquoi 20 ?
"Vingt minutes plus tôt, un avion a décolé avec 6 passagers" Pourquoi 6 ? Bon j'arrête mais juste pour dire que les chiffres sont parfois de faux détails, surtout présenté de cette façon.

Bon, après avoir retourner le récit en tous sens, je commence à comprendre. En gros deux avions s'écrasent sur les World Trade Center, avec des bombes qui sautent en même temps.
Why not ? Ce que je reproche c'est que la manière dont ce minutage est raconté n'est pas claire. Elle est intéressante, mais présenté tel quel, tu prends le risque que le lecteur se mélange.
Et susceptible comme il est, un lecteur mélangé sais de vouloir comprendre, et donc de lire ^^.
Dernière chose, un vigile tue un gars venant de poser une bombe, mais il n'y a qu'une ambulance à la fin ?? J'aurais attendu dans l'ordre d'apparition : la police, les démineurs, les médias et après les ambulances... plus les alarmes déclencher par le vigile et tous les employés fuyant la tour.[/SPR]
Chapitre 2 :
[SPR]"il observe les dégâts et trouve un revolver." Rien que la tendance américaine à posséder des armes rend cette découverte douteuse. Si on ajoute les vigiles armés (cf le chapitre 1) et surtout le champs de ruine MONSTRUEUX des world trade center, Shane Walds (enfin un homme nommé o/ !) est vraiment fort.
Pourquoi Rick traine en ville ? Je l'aurais plus vu en Alaska, Europe ou Patagonie du sud... mais pas à New York après un attentat...
"Rick propose à son cousin par alliance, Carl, de former un groupe pour exercer le plus de délits en le moins de temps possible. Carl a formé une équipe de 13 personnes, dans le but de faire tomber dans l'oubli son cousin, Rick. Un après-midi, le groupe se jette sur quelques piétons et entraînent une bagarre générale puis se retirent juste à temps. Ils se réunissent dans la maison de Carl." Passage un peu loufoque. Ce sont des terroristes, une organisation secrète, ou des psychopathes dopés à la bière ? Le premier chapitre laisse à penser à une organisation très bien rodée, or ici rien de tel, juste une famille de détraquée. On mélange encore le lecteur.
"fanées depuis peu" On dirait qu'elles ont été foudroyées ^^. "A peine fanées" convient peut-etre mieux.
"Il tombe à terre et fait un malaise... il laisse glisser la feuille où est écrit la date où le mot a été écrit : 13/09.[...] Un jour plus tard, Rick se réveille dans un lit d'hôpital. " Donc on le retrouve inanimé dans une pièce avec 13 cadavres pendus, son adn sur l'arme, mais il se retrouve juste dans un lit avec un bouquet de fleurs. Le système sécuritaire de la ville est subventionné par l'asile ?
"croyait mort depuis longtemps..." 3 jours quoi...[/SPR]
Bref un récit intéressant, qui comme son affiche semble très inspiré par les téléfilms américains, je ne serais donc pas surpris de voir Steven Seagal au chapitre 3.

Comment t'améliorer ? Déjà : relecture. pour les fautes et surtout le sens du récit. Une relecture permet une visualisation globale de ton récit, pour y voir les imperfections et les incohérences. Un texte faisant appel à l'imagination du lecteur, relis ton texte en te l'imaginant, comme un film, et repère tout ce qui sonne faux.
Voilà en espérant pouvoir savoir qui de Shane ou Rick sera le héros de l'histoire dans le prochaine épisode :)
 

DeletedUser42533

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Bonjour,
la discussion étant inactive depuis plus de 6 Mois, je ferme et j'archive ~
Bonne journée.
Elie
 
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