[Récit] Les Racines Du Chaos

  • Auteur de la discussion DeletedUser44744
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DeletedUser44744

Guest
Donc un Roman pour bien commencer il est loin d'être finit ^^

premier tome : l'échiquier du pouvoir
comporte sept chapitres.

1.Provenance inconnue.
Le ciel s'était assombri, peu à peu, révélant les astres propres aux nuit. Les cimes des bois de sapins, arbres épineux graissés d'une sève collante, se découpaient contre les rayons de la lune. Le soleil, ayant fait le tour du monde des vivants laissait désormais la place aux créatures divines... Poussés par la floraison des étoiles marbrant la voûte céleste de leurs éclats, paysans et paysannes s'étaient retirés des champs ou des prés, laissant là leurs travaux inachevés.
A quelques pas du village, dans l'obscurité, à l'ombre de toute civilisation, dérobée à tout les regards, une sombre flamme violette s'éleva, sans taille, sans forme ni consistance. Elle voleta d'arbres en arbres. Au coté du plus gros rocher elle faiblit, se posa sur le sol, légèrement, en décrivant un long arc de cercle, reliant le ciel et la terre...
Dans la profonde nuit, s'alluma un éclair coloré. Né de la magie, un être nu, recroquevillé, était apparu, entouré de flammes décrivant un cercle mouvant, lent, presque éteint, et faiblissant encore. Assis sur ces tallons, les genoux serrés entre ses bras l'apparition attendit que le calme et l'obscurité tombe à nouveau dans la paisible vallée. D'un regard absent, il observa les environs, peu intrigué par le sol calciné. Se levant, il découvrit un paquetage posé à ses cotés sur une pierre plate et blanche, où pas une mousse ni lichen ne semblait avoir d'emprise, le vent et la pluies avaient modelés le roc, formant de longues courbes jusqu'au sommet. S'en approchant, il sentit le sol encore chaud sous ses pieds, sectionna une lanière de boyau desséchée, enfila, instinctivement une tunique de cuir brun, un pantalon sombre et un manteau de peaux aux teintes assorties. Ce n'est qu'à cet instant qu'il surprit un médaillon pendant à son cou,sur une corde sans neufs. Comme par un surprenant désenvoutement l'étranger commença à cerner le paysage et ne comprit pas sa présence en ces lieux.
Inconnue, la région lui était inconnue. Il ne connaissait rien de semblable et ne semblait rien connaitre d'autre, il était poussé dans ces mouvements par un instinct incontrôlé, inné. Il se mit en marche, attiré par la lumière des foyers, émanant du village en contrebas. A la première chaumière il s’arrêta, ces murs pour la moitié de pierres rêches disparaissaient sous les végétaux, sur son toit, toute sorte de plantes florissante, contre les flanc d'un amas rocheux, où la maison se fondait... Une étroite porte de bois rugueux mais taillé était la seule ouverture praticable. Elle était d'une forme anormale, bosselée et arrondie sur les cotés épousant la forme des murs la ceignant, un loquet de bois clair épousa la forme de sa main lorsqu'il voulu frapper. Un homme dont on n'aurait pu donner d'age, les cheveux longs, bouclés, descendant en tirant sur le roux jusqu'à se mêler à une barbe de la même couleur assez longue et grisonnante sur ses cotés avait ouvert la porte et se tenait dans l'encadrement bloquant tout passage. Il déglutit des phrases d'un dialecte inconnu et sèchement le poussa à l’intérieur
 
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DeletedUser44744

Guest
je sais, j'ai pas le droit à un délais ? vous êtes si impatients ?
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ça arrive ça arrive
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DeletedUser

Guest
Le vocabulaire est assez riche, j'apprécie.
Certains passage un peu lourds :
Inconnue, la région lui était inconnue. Il ne connaissait rien de semblable et ne semblait rien connaitre d'autre, il était poussé dans ces mouvements par un instinct incontrôlé, inné.
Répition du verbe sembler, à modifier selon moi.
Sinon le reste est assez harmonieux.

Petite incohérence à la fin :
Un homme dont on n'aurait pu donner d'age, les cheveux longs, bouclés, descendant en tirant sur le roux jusqu'à se mêler à une barbe de la même couleur assez longue et grisonnante sur ses cotés avait ouvert la porte et se tenait dans l'encadrement bloquant tout passage. Il déglutit des phrases d'un dialecte inconnu et sèchement le poussa à l’intérieur
Si l'homme vient de l'intérieur, il ne le pousse pas, mais le tire. Non ?
Qui plus est ce passage est trop long, manque de ponctuation, cela nuit beaucoup à la lecture.
Manque une virgule après ses côtés.
 

DeletedUser

Guest
C'est un bon début mais il manque davantage pour se faire une idée.
 

DeletedUser44744

Guest
j'ai ecrit bcp plus, mais sur cahier ^^ j'ai bcp de mal a taper sur ordi
 
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