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Le soleil avait atteint son apogée en cette chaude après-midi d'été. Les rayons se faisaient si ardents que même les plus vaillants des hommes de l'île des terres rouges n'osaient rester trop longtemps sous la chape de plomb qui leur faisait office de ciel.
Pourtant un bruit courait, et on aurait pu dire de lui que ces foulées étaient immenses, tant sa propagation paraissait fulgurante. La rumeur d'une guerre s'arrêtait à l'oreille de chaque habitant, provoquant un frisson incontrôlé malgré la chaleur pesante.
La cité, ayant fini deux jours plus tôt la conquête d'une bourgade sans grandes défenses, n'avait pas eu à panser ces plaies. Les généraux n'avaient de cesse de marteler que la guerre était l'avenir de la puissance du système de Trantor et que, quoi qu'il serait dit, la population devrait s'y plier.
Telle des mules, qui auraient appris à nager, les bateaux étaient en train d'être chargés .
La révolte serait le premier objectif, simple selon les dires du conseil, mais tellement plus effrayante aux yeux des guerriers, déjà physiquement amoindris par la canicule ambiante.
C'est ainsi que tous ensemble, bateaux, hommes et chevaux confondus, prirent la mer, formant autant de vagues que les bourrasques elles-mêmes. Après une heure de voyage ou chacun cherchait un coin d'ombre au fond des cales, les cotes hostiles furent en vue.
La bataille, annoncée comme facile, le fut d'autant plus quand les hommes arrivèrent devant la cité à moitié vide, sans stratégie de défense apparente. Le combat fit rage...
Une fois le carnage terminé et les 20 miles nautiques du retour parcourus , les soldats se préparèrent immédiatement et formèrent une puissante escorte destinée au bateau de colonisation, la puissance de l'empire s'étendrait ainsi de plus en plus loin de ces terres.
Après une telle victoire, la confiance était plus qu'excellente, on aurait même pu la qualifier de divine. Mais lorsque la révolte aurait fini son travail, à 5h du matin le lendemain, au lever du soleil, les troupes rattachées à Burgiville seraient certainement nombreuses.
Heureusement pour la confiance des soldats, le conseil des Terres Rouges fit appel aux plus braves des seigneurs et à leurs guerriers, formant une phalange destructrice.
Les bateaux furent lancés des quatre coins de la mer 44, et de plus loin encore !
Pour éviter d'avoir le soleil levant dans les yeux lors de l'attaque et être ainsi pénalisés, il fut décider d'attaquer à 7h tapantes, en arrivant tous dans la même minute pour une efficacité totale!
Deux vagues de bateaux-feu firent céder la défense navale!
Le tour des guerriers à frondes vint ensuite et leur sacrifice fut applaudi et célébré dans toutes les cités de l'empire.
Puis l'assaut final arriva...
La fierté d'avoir réussi à caler ces attaques dans un mouchoir de poche ravit les généraux des quatre nations et ils allèrent d'un même pas fêter leur victoire à la taverne!
Gloire a vous mes amis!
Pourtant un bruit courait, et on aurait pu dire de lui que ces foulées étaient immenses, tant sa propagation paraissait fulgurante. La rumeur d'une guerre s'arrêtait à l'oreille de chaque habitant, provoquant un frisson incontrôlé malgré la chaleur pesante.
La cité, ayant fini deux jours plus tôt la conquête d'une bourgade sans grandes défenses, n'avait pas eu à panser ces plaies. Les généraux n'avaient de cesse de marteler que la guerre était l'avenir de la puissance du système de Trantor et que, quoi qu'il serait dit, la population devrait s'y plier.
Telle des mules, qui auraient appris à nager, les bateaux étaient en train d'être chargés .
La révolte serait le premier objectif, simple selon les dires du conseil, mais tellement plus effrayante aux yeux des guerriers, déjà physiquement amoindris par la canicule ambiante.
C'est ainsi que tous ensemble, bateaux, hommes et chevaux confondus, prirent la mer, formant autant de vagues que les bourrasques elles-mêmes. Après une heure de voyage ou chacun cherchait un coin d'ombre au fond des cales, les cotes hostiles furent en vue.
La bataille, annoncée comme facile, le fut d'autant plus quand les hommes arrivèrent devant la cité à moitié vide, sans stratégie de défense apparente. Le combat fit rage...
Une fois le carnage terminé et les 20 miles nautiques du retour parcourus , les soldats se préparèrent immédiatement et formèrent une puissante escorte destinée au bateau de colonisation, la puissance de l'empire s'étendrait ainsi de plus en plus loin de ces terres.
Après une telle victoire, la confiance était plus qu'excellente, on aurait même pu la qualifier de divine. Mais lorsque la révolte aurait fini son travail, à 5h du matin le lendemain, au lever du soleil, les troupes rattachées à Burgiville seraient certainement nombreuses.
Heureusement pour la confiance des soldats, le conseil des Terres Rouges fit appel aux plus braves des seigneurs et à leurs guerriers, formant une phalange destructrice.
Les bateaux furent lancés des quatre coins de la mer 44, et de plus loin encore !
Pour éviter d'avoir le soleil levant dans les yeux lors de l'attaque et être ainsi pénalisés, il fut décider d'attaquer à 7h tapantes, en arrivant tous dans la même minute pour une efficacité totale!
Deux vagues de bateaux-feu firent céder la défense navale!
Le tour des guerriers à frondes vint ensuite et leur sacrifice fut applaudi et célébré dans toutes les cités de l'empire.
Puis l'assaut final arriva...
La fierté d'avoir réussi à caler ces attaques dans un mouchoir de poche ravit les généraux des quatre nations et ils allèrent d'un même pas fêter leur victoire à la taverne!
Gloire a vous mes amis!
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