[Notation] Battle de Pâques

  • Auteur de la discussion NeirdaRoiklem
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Bonsoir.

Comme convenu, voici les textes.

Petit rappel du sujet :

Qui dit Pâques dit lapins en folie et œufs en chocolat à profusion.
Mais avec modération bien sur :)

Alice à abusé des gourmandises et se sent mal. La voici dans un monde on ne plus bizarre, une fois de plus. Le jardin prend vie, les délices chocolatés chahutent dans l'herbe. Et qui est ce lapin blanc qui semble si pressé ?

Je vous invite à écrire un texte d'une longueur maximum de deux pages Word, mettant en scène la fameuse Alice ainsi que le lapin et des œufs en chocolats vivants, dans le jardin de votre choix. Pour tout ce qui est du reste, laissez faire votre imagination. Soyez inventif et original.
Votre texte s'inscrira dans le registre du comique.

Participants: retsnomyrruc, Broketoke, vanceline, guillaumeW, Auditorio, Fëanturi, Magisterium, Ulisse le guerrier

Texte 1 :
Alice se rapproche d'un œuf tournant sur lui même afin de vérifier si son esprit ne lui jouait pas des tours. L’œuf customisé de multiples et larges bandes colorées avait des yeux ronds et une bouche grande ouverte. Il chantait à tue tête une chanson de Maître Gim's.
«*Dans quel monde affreux suis-je arrivée*?!*» se dit elle.
Plus loin, le lapin sautille et lorsqu'il se retourne, il se rapproche d'Alice à grands sauts.
«*Suis moi*» lui dit-il.
«*Ou suis-je*??*» questionne-t-elle en retour.
«*Ne t’inquiète pas, c'est Pâques*!*»
Le lapin se retourne et s'éloigne en direction d'un tunnel creusé à même le sol sous cet arbre dont les fruits ressemble à des œufs, des œufs dont l'enveloppe dorée et brillante attire l’œil et donne envie d'en cueillir un*; Non pas pour le manger mais pour vérifier la matière qui le compose.
Le lapin disparaît dans le tunnel dont une source lumineuse s'extrait.
Alice, curieuse, dont ce défaut l'a souvent amené dans des situations cocasses, comme la fois ou elle avait demandé à ce jeune garçon ce qu'il faisait avec ce grand bâton qu'il tenait entre les mains comme s'il l'orientait vers le soleil. La réponse fit sursauter Alice*!
Alice se moque de ce que pensent les autres de son image et décide de pénétrer dans le tunnel.
Si ses actions ont pu faire rire, parfois, elle ne s'est jamais refusée de chercher à comprendre ce qui l'entoure.
Ainsi elle avance d'un pas sûr vers ce trou dont on ne voit pas l'intérieur mais qui laisse échapper une forte lumière mais surtout cette odeur à la fois sucrée et chocolatée.
En s'enfonçant dans ce tunnel, ses mains la guident en caressant le mur et changent de couleur.
Du marron s'incruste sur ses doigts. Non, ce n'est pas de la terre car on dirait que ça fond au contact de ses mains. Alice commence par sentir en rapprochant ses doigts marrons vers son nez.
D'un coup hésitant, elle pose sa langue sur un doigt et son sourire grandit.
Le tunnel est fait de chocolat*!
Alice accélère alors et tente de rattraper le lapin dont on entend les bonds mais qu'on ne voit pas.
Le tunnel est long et tortueux. Il rétrécie au fur et à mesure qu'Alice avance.
Il rétrécie au point qu'elle finit par se mettre à genoux pour continuer d'avancer.
Les bonds du lapin s’arrêtent et celui ci crie*:*"Par ici*!"
La lumière continue de gêner Alice et le tunnel devient de plus en plus étroit.
Alice continue d'avancer et ce chocolat lui colle maintenant sur les genoux et les coudes.
L'odeur enivrante du chocolat tout autour d'elle l'exalte. Ce n'est pas un mythe*!
Oui, le chocolat a des effets sur Alice qui lui donne cet entrain et cette vigueur.
Elle finit par entrevoir le bout du tunnel avec cet effet de lumière qui s'atténue à mesure qu'elle se rapproche. Elle est maintenant à trois mètres de la sortie mais son dos frotte le plafond du tunnel à tel point qu'elle est obligée de se mettre à plat ventre et d'avancer en rampant.
Comment le lapin a-t-il pu passer la dedans*?!
Elle saisit, de part et d'autre de la sortie, les angles de mur et tire sur ses bras pour s'extraire.
La voilà qui arrive à passer sa tête et ce qu'elle voit lui fait penser à un rêve.
Sa tête recouverte de chocolat laisse paraître un large sourire et des yeux écarquillés.
Le spectacle du lapin resté blanc comme neige dans ce monde irréel tout en chocolat.
Le sol à l'air onctueux et aérien, tel une mousse au chocolat.
Des œufs tournoyants partout encore plus gros que ceux de l'autre coté du tunnel.
Au milieu de cet espace, une fontaine ou coule un chocolat appétissant.
Des cloches qui tintent malgré qu'elles soient, elles aussi, toutes chocolatées.
«*Bienvenu dans mon monde, Alice*» dit le lapin blanc en croquant un morceaux de chocolat qui, s'il n'avait pas cette couleur marron, laisserait plutôt penser à une carotte.
En s'extrayant du tunnel, Alice, marron de chocolat, de la tête aux pieds, passe son doigts par terre à la manière que font les enfants pour gouter la pâte du gâteau que maman est en train de préparer. Le sol, mou mais suffisamment résistant à son poids, laisse entrer le doigt d'Alice et le recouvre d'une épaisse et crémeuse couche de chocolat. Miam*!
Alice s'extasie en refermant sa bouche autour de son index.
Sans demander son reste, elle court en direction de la fontaine laissant derrière elle les traces de ses pas sur le sol qui reprend sa forme initial au bout de quelques instants.
Alice plonge littéralement dans la fontaine sans se demander s'il y avait véritablement du chocolat qui y coule.
Jamais elle n'avait vu, sentit ni même mangé autant de chocolat de toute sa jeune vie.
Elle place sa tête sous la fontaine, la bouche grande ouverte, pour absorber ce liquide onctueux.
«*Alice... Alice*»
Quelle est cette voix qui raisonne de sa tête*?!
Elle n'a pas vu de femme en pénétrant dans cet étrange endroit tout chocolaté...
«*Alice, il est temps de se réveiller!*»
Alice ne sentait plus l'écoulement tiède du chocolat sur son visage.
Elle ouvre un œil et voit la tête de sa mère qui lui gâche son rêve.
Elle s'était endormie sur le canapé.

Médusée, elle se redresse et constate qu'elle est propre et qu'elle a juste fait un doux rêve chocolaté.
Seul un lapin en chocolat, avec la tête à moitié croquée, subsiste sur la table basse.
Quelle déception*!

Texte 2 :
C’est dans l’aube matinale, qu’un rayon de soleil éclaira la souche d’un tronc sur lequel une petite fille faisait sa sieste. Habillée d’une robe rouge dessinée de fleurs blanche, elle rêvait profondément alors que toute la forêt s’agitait autour d’elle pour ce jour si spécial. En effet, aujourd’hui aussi étrange que cela puisse paraitre les lapins de la forêt se retrouvait l’instant d’une journée tous en chocolat, l’herbe se mettait à danser sans raison et les feuilles se mettaient à faire des dessins dans l’air.

Heureusement, la petite fille se réveilla. Encore quelques instants et on ne sait pas ce qu’il se serait passé. En tout cas, Alice était connue pour ses rêves étranges et pour changer, celui-ci n’alla pas à son terme parce qu’elle fût en réalité réveillé par la course d’un lapin blanc qui venait de lui sauter dessus. Elle fut évidemment surprise de voir qu’on lui sautait dessus, et d’autant plus de la part d’un lapin si bien chaussé. La plastique du Lapin rappelait à Alice le fameux « Grand-Pied » d’un célèbre dessin animé. Grand Pied…. Grande chaussette, et évidemment ce lapin n’échappant à la règle portait également de grandes chaussettes. Il quittait la forêt parce que celle-ci était en feu et voulait échapper à une mort certaine. En lui apprenant ceci, Alice fut surprise et apeurée de voir les œufs de Madame Poulet, sa voisine, s’affoler eux aussi.

Les œufs de Madame Poulet étaient reconnus dans la région pour leur gout incomparable. Faits de chocolats, ils ne supporteraient pas la chaleur du feu qui se propageait à grande vitesse. Alice ayant pitié de ces œufs en chocolat ne put s’empêcher, et les mangea tous ! Elle se senti mal, fut un coma hyper-glycémique.

Alice se réveilla (encore) aujourd’hui, et découvrit que Grand Pied était lui aussi avec elle. Ayant lui aussi piqué un œuf, même sanction. Ils se retrouvèrent dans un jardin où les plantes pouvaient se déplacer, où les œufs en chocolats vivants faisaient peur. Quoi qu’il en soit, ils furent attaqués par les plantes et les œufs vivants pour avoir mangé du chocolat. Heureusement que Grand pied en avaient des grands pour pouvoir s’échapper, ouais il était pressé de s’en aller. Mais malheureusement ils rêvaient toujours de leur coma-glycémique.

La morale de cette histoire est qu’il ne faut pas manger du chocolat lorsque vous voyez des lapins en chocolat, vous risquez de mourir comme Alice et le Lapin, brulé par la forêt qui est en feu en pensant faire une bonne action pour le chocolat.

Texte 3 :
Un beau matin, une petite fille court dans son jardin tout en s’exclamant :
- Pâques, Pâques, où sont les chocolats ? Miam miam
Une heure plus tard, ses parents retrouvent ses vêtements tachés de chocolat sans corps à l’intérieur.
- Où est donc passé Alice ???
Voici le début de la fabuleuse histoire d’Alice aux pays des Œufs.
Elle se réveille tut hébété dans une boîte en ferraille. Elle sent très mauvais, on dirait une odeur de sardine. Son estomac l(a fait affreusement souffrir.
- Où suis-je ?
A peine s’est-elle posée cette question qu’un lapin blanc la bouscule et l’envoie valser dans un tas de bric et de broc. Faute de s’excuser, le lapin ne prend même pas ma peine de s’arrêter pour venir à son aide.
- Et toi, lapin blanc, sale mécréant !!! Reviens là tout de suite !
- Je n’ai pas le temps et va t’acheter des vêtements, sale gamine !
Alice se rend compte qu’elle est nue. Se morfondant sur son sort, elle voit un œuf géant apparaître et tenter de l’avaler d’une seule bouchée. Un autre arrive et une bataille pour cette nouvelle proie appétissante commence. Coup de boule à droite, coup de boule à gauche, jet de chocolat, tous les moyens sont bons pour gagner.
Ni une ni deux, Alice profite de cet instant de répit pour fuir dans la direction du lapin.
Le soleil se couche et, fort las, elle décide de s’assoupir sur un morceau de tissu sale.
Le lendemain, tout son corps la gratte énormément. Cherchant une explication, elle reconnait certains motifs d’un sous-vêtement de son père.
- Que peut-il y avoir dans le slip de mon père pour que ça me gratte autant ? C’est infect !
Elle décide de prendre un bain non loin de là dans un lac. Elle court et court avant de sauter tête la première. Malheureusement, une forte brûlure se fit ressentir et une forte odeur d’urine assaillit ses narines.
- Ce n’était pas de l’eau ! Je vais le dire à Maman que Papa fait ses besoins dans le jardin !
Toute à ses pensées négatives, elle retombe nez à nez avec le lapin blanc.
- Attendez !
Sans succès !
Encore une fois, un nouvel œuf au chocolat approche d’elle. Elle s’enfuit mais ce dernier roule vers elle.
Elle évite une flaque, un clou, un cure-dents mais fini par être acculée contre un arrosoir.
- Au secours ! Au secours !
Sans pitié, l’œuf en chocolat se jette sur elle et l’avale toute crue. Elle se sent lentement glissée dans les entrailles de l’œuf avant de tomber délicatement sur un tapis mousseux de chocolat : l’estomac.
Elle a beau s’échiner durant des heures contre la paroi stomacale, cela ne sert à rien. Néanmoins, ses efforts semblent porter ses fruits car le mouvement semble reprendre. Elle passe par divers tuyaux et voit tout d’un coup le bout d’un tunnel.
Elle nage dans les flots marrons et se rapproche inexorablement du but. Un centimètre, deux centimètres puis bloqués…
Elle entend l’œuf grommelé :
- Problème intestinal ! Fais chier !
Une forte poussée éjecte tout d’un coup Alice du trou béant.
BOUM ! Alice tombe sur quelque chose de dur. Elle se frotte les yeux et se retrouve en pyjama au pied de son lit.
- J’ai fait un cauchemar ! En tout cas, je ne mangerai plus autant de chocolat et je vais dire à mon papa que c’est un animal plein de puces !

Texte 4 :
Tout d'abord, il faut savoir qu’Alice n'a pas d'amis. Elle est née sous le signe de Dark Vador, ceci explique cela. Pour elle il n'y a pas de trêve qui tienne, chaque jour est un combat, un défi, une guerre à mener. Avec sa petite armée elle s’apprête à partir combattre son voisin.
- Bon qui veut aller au combat ?

Dans l'assistance, composée d'archers et d'épeistes règne un silence de mort.
- Oh hé les gars, je vous rappelle qu'on est en guerre, c'est pas le monde des bisounours ici tonnerre de Zeus.

Ah oui, Zeus justement. Lui, il n'aime pas la guerre non plus. Il ne fait rien pour encourager les troupes d’Alice. Et puis il est bien trop occupé à fricoter avec Athéna cette diablesse qui ne risque pas d'influencer les troupes puisqu'elle ne pense qu'à défendre.
- Pouff, belle équipe de bras cassés, s'écrie rageusement nôtre Alice. J'ai besoin de ressources moi les gars, il va falloir que vous bougiez pour aller me chercher du bois de la pierraille et de la thune.
- Ouais, mais nous on veut pas crever, t'as même pas envoyé un espion pour espionner l'adversaire.
- Quoi ? Un espion ? Mais où voulez vous que je trouve ça moi ? Et c'est pas un espion qui va faire la guerre.
- Allez, zou les gens, terminée la comédie, vous les cavaliers vous allez y aller, et pas plus tard que maintenant, j'ai assez perdu de temps, et le temps c'est des ressources c'est bien connu.
- Quoi quels cavaliers, vous voyez des cavaliers vous les gars ? Alice t'es reloue, t'as même pas monté l'aca au bon level pour avoir des cavas.
- Aïe, ouais, c'est pas faux. Bon, des épéistes et des archers.
- Quoi ? Y'a pas de frondeurs non plus ? Se murmure-t-il dans l'assistance
.
Alice entend la rumeur gonfler et s'écrie en se tapant le front de la main.
- Non, punaise mais vous ne croyez quand même pas que j'allais recruter des frondeurs pour qu'ils mènent une fronde dans ma propre ville. Vous n'êtes pas sérieux là !
- Dis donc Alice, tu es sûre d'être le commandant de cette armée ? Parce qu'on dirait bien que t'as pas lu le wiki concernant les troupes.
- Commandant moi ? Certainement pas, le commandant il est là-bas à gauche en haut de la ville en train de faire son malin. Il est pas gratuit celui-là, il veut être payé et la solde est pas donnée, il veut de l'or le bougre. Humm, réflexion faite y'a bien le marché.
- MDR, le marché ? Mais t'es encore plus cruche que ce qu'on pensait, faudrait d'abord que t'en aies un de marché, hihihihi.
- Bouuuuuh, ras le bol les gars. Bon, va falloir bien réfléchir et faire des choix. Voilà, on va construire un port.
- Un port ? Mais pour quoi faire ?
- Pour faire des bateaux abrutis. A quoi ça sert un port à votre avis ?
- Ouais, et t'iras où avec tes bateaux ?
- Bah, on traversera les mers pour aller conquérir de belles villes. D'abord on y déclenchera une belle révolte ensuite on attaquera en mode colonisateur avec un beau et grand voilier et on prendra la ville. Elle est pas belle la vie ?
- Nous on en dit qu'on connaît pas ce système de conquête. On n'est pas formés pour ça. Nous on connaît que l'ancien système de combat.
- Quoi ? Non non et non, c'est pas possible, ça ne marchera pas ici. Le serveur de ce monde n'est pas configuré pour faire le siège d'une ville. IMPOSSIBLE.
- Allons bon, nous voilà bien. Le serveur c'est quoi le serveur ? C'est pas plutôt serviteur que tu veux dire ?
- ARRFFF les gars vous n'êtes vraiment pas à la page vous, faut sortir le dimanche.
- Ouais peut être mais nous on vient de la Grèce antique alors tout tes trucs modernes on connaît pas. Et pis c'est tout. Pas plus qu'on connaît le nouveau système de combat.
- Ok, ok, les gars je vais aller chercher l'instructeur, il vous apprendra ça lui.
- LOLLL, l'instructeur ! Qu'est-ce qu'il va faire lui ? Il va juste multiplié les petits soldats plus vite et pis c'est tout. Ça va pas régler ton problème de serviteur.
- SERVEUR j'ai dit, pas serviteur, vous êtes durs à la comprenance vous. De toute façon j'ai pas l'intention de changer de serveur, faudra vous y faire. Point barre. Reprenons, où en étions-nous ?
- Tu voulais faire un port.
- Ah oui le port, bon, il me faut du bois.
- Ouais, et pas qu'un peu si tu veux avoir ton beau grand voilier, pis nous on veut des couchettes des fois que la traversé soit longue. On te rappelle aussi qu'il y a des pré-requis avant de construire ton port.
- Rololo, bon d'accord. En attendant on peut aller piller les paysans du coin non ?
- Yep, si tu veux, ça on sait faire.
- Ok, allez faut d'abord attaquer, en route les gars. Bonne chance à tous.

Voilà les villages alentour sont à la merci d’Alice qui s'amuse à les piller à qui mieux mieux, avide qu'elle est de gonfler ses ressources. Mais voilà qu'à force de piller elle finit par créer des révoltes dans les villages.
- Oh Alice tu déconnes, maintenant il faut qu'on retourne au charbon. Punaise, VA LIRE LE WIKI, y'en a marre là.
- Ouais, ouais, ouais, on verra ça. Je vais former des guerriers.
- C'est ça, tu ferais mieux de monter ta ferme sinon des bonhommes tu n'en feras pas beaucoup. Et puis si tu veux qu'on assure une meilleure défense tu devrais monter tes remparts aussi. Enfin, on dit ça on dit rien, hein. Pis, peut-être aussi que tu devrais te chercher une alliance.
- D'ac, bon je vais chercher ça.. Ça y est les gars j'ai trouvé.
- Elle est où cette ally ?
- Ben, elle est en mer 55, c'est une belle alliance.
- Tu es vraiment nulle, une alliance en mer 55 alors que nous on est en 33. Et pourquoi t'as pas été la trouver à l'autre bout du monde non plus ? Hey les gars on est pas prêts de se faire aider.
- Pour le moment ça ira bien comme ça.
- Dis donc la miss, tu n'as pas l'impression d'oublier un ou deux trucs là ?
- Quoi encore ?
- Ben le modo "machin chose" il a pas demandé à ce qu'il y ait des œufs et un lapin blanc dans l'histoire ?
- Ah oui, c'est bien vrai que "NeirdaRoiklem" a demandé ça.
- "NeirdaRoiklem" ? C'est un viking lui au moins. MDR, un viking en Grèce antique, on aura tout vu.
- Allez les gars vous allez direct à la ferme qui est en haut de la ville, juste derrière le sénat et vous me trouvez ce maudit lapin blanc. Et vous ne le trucidez pas, il me le faut VIVANT. Pendant ce temps je go au marché chercher les œufs.
- Alice, on a trouvé le lapin blanc, ce petit malin se cachait dans l'avatar du viking.
- C'est bien les gars, ce viking est un filou. Moi, j'ai bien trouvé les œufs en chocolat mais ils ne sont pas vivants. Hey le lapin tu es sensé faire des tours de passe passe non ? Alors tu vas me changer ces œufs inertes en œufs vivants MAINTENANT ! si tu veux avoir la vie sauve.
- Abracadabra, hop hop les œufs sont dotés de courtes pattes, de petits bras et de la parole. Je peux y aller maintenant ? Ditle lapin blanc.
- Non, il y a Philippe Etchebest qui t'attend pour le repas de Pâques.
- QUOI ? Tu n'es pas sérieuse, c'est pas du lapin qu'on prépare pour le repas de Pâques, c'est de l'agneau, AU SECOUUUURR.
- Peut-être mais moi j'ai pas d'agneau, j'ai du lapin, blanc de surcroît. Mouhaha .. Vous les œufs, je vous conseille de déguerpir au plus vite et de bien vous planquer parce que ici c'est pas le monde merveilleux du chocolat et j'en connais plus d'un qui ne feront qu'une bouchée de vous. OUST.
- Dis donc Alice où sont passés les chocolats ?
- Hey les gars, vous avez rechigné sur tout depuis le début, on va pas au combat sans frondeurs, on aime pas le système de combat, toussa, toussa.. Donc maintenant pas combat pas d’œufs en chocolat.

Texte 5 :
Il était midi.

Alice, plongée dans un état de profond malaise, ne savait plus où donner de la tête.

Pauvre d’elle ! Elle n’avait pas moins, en une matinée, engouffré un kilogramme d’œufs en
chocolats !

La gourmandise est un vilain défaut, mais pour Alice, un œuf en chocolat n’est jamais de trop.


Adossée à un arbre, Alice se remémorait cette folle matinée, où elle s’était goinfrée de délices chocolatiers.

Soudain, un bruissement se fit sentir, non loin de la place qu’elle occupait.

Alice jeta un coup d’œil au buisson d’où provenait le bruit.

Quelle ne fût pas sa surprise, lorsqu’elle aperçut un lapin blanc, une montre à la main, qui semblait à la recherche de quelque chose d’important !


Ce lapin portait une chemisette à boutons dorés, bleue, ainsi qu’un élégant nœud papillon rouge. Il avait des gants soyeux blancs, mais point de souliers. Il marchait, ou courait, sur ses deux pattes arrières. Il portait également un couvre-chef.


Alice crut d’abord que cette vision était due à son indigestion des chocolats. Cependant, sa
surprise redoubla, lorsqu’elle entendit le lapin parler.

- Où es-tu ? Où es-tu ?

C’est alors que, non loin de l’endroit où fouillait le lapin blanc, un œuf en chocolat, encore empaqueté, muni de deux jambes minuscules, cherchait à fuir la présence du lapin, qui ne tardât pas à l’apercevoir, et alla aussitôt l’attraper.

- Enfin, je te tiens ! dit-il.

Alice commençait à comprendre. Les chocolats avaient donc un pouvoir magique, celui de transformer ses désirs les plus fous, en une réalité absolue !

Elle entendait toujours le lapin crier à tue-tête :

- Je vous trouverai tous ! Un par un, s’il le faut !

Tout autour d’elle, Alice entendait des dizaines d’œufs en chocolat se déplacer, se cacher dans les buissons, sous les feuilles ou les branches, dans des trous, et distinguait leurs voix aiguës qui semblaient se rirent du pauvre lapin en détresse.


Alice, prenant son courage à deux mains, se résolut d’aller aider le lapin. Elle l’aborda :

- Que faites-vous dans le jardin de mes parents ? Puis-je vous être utile ?

- Je vous en serai très reconnaissant, mademoiselle. Je faisais ma collecte d’œufs de Pâques pour les rapporter à mes enfants, lorsque le sac dans lequel je les mettaient se troua, et ces coquins se mirent à fuir de toutes parts. Mes petits sont si impatients !

- Ne craignez rien, monsieur le lapin, avec moi, les chocolats n’ont aucune chance !

- Ah ! Je serai curieux de voir cela ! Vous n’imaginez pas à quel point…


Il n’eut pas le temps de finir, qu’Alice s’était déjà précipitée à la poursuite des fugitifs.
Mais, au lieu de les ramasser, Alice mangeait les œufs en chocolat. Ce ne fut bientôt plus qu’une orgie, où la petite fille dévorait tout ce qu’elle voyait.

- Arrêtez, arrêtez ! criait désespérément le lapin.


Alice ne pouvait plus s’arrêter, et malgré elle, était toujours plus loin emportée dans sa gourmandise. C’est alors qu’elle sentit un contact familier.


Alice était dans son lit, sa sœur aînée la secouant.

- Alice ! Viens vite, avant qu’il ne reste plus de chocolats ! Mamie en a rapporté des tonnes !

Alice comprit qu’elle avait fait un cauchemar. Elle avait déjà mangé trop de chocolats.

- Non, merci, dit-elle, je préfère me reposer.

- Tu n’en auras que pour ton compte !


Alice se remémorait l’incroyable aventure qu’elle avait rêvée. Elle n’eut plus qu’une obsession : revoir le lapin. Les chocolats ne l’intéressaient plus.

Tandis qu’elle songeait ainsi, elle crut apercevoir, depuis la fenêtre de sa chambre, quelque chose qui s’en allait.

Elle se leva.

Elle aperçut alors le même lapin que dans son rêve qui, cette fois-ci, la regardait, comme l’incitant à la suivre.


Il n’en fallut pas moins pour exciter la curiosité d’Alice, qui partit à l’instant à sa trace.

Texte 6 :
Alice tomba lourdement au sol, au beau milieu d'une clairière, entourée des œufs desquels elle se goinfrait. Elle se mit avec peine à genoux et regarda ses environs : elle vit un éclair blanc passer derrière un arbre des bois, ainsi qu'une multitude d’œufs en chocolat de toutes les tailles imaginables. Regardant l'arbre, elle vit une grande oreille sortir, à l’affût de tout danger.
Elle dit d'une voix qu'elle voulait apaisante : « Hé, mon beau lapin, tu veux bien me dire où on est ? »
La tête du lapin sortît de derrière le tronc, en deux bonds trois mouvements il était aux pieds d'Alice. Le corps ne tarda pas à suivre, et il se remit la tête tout en répondant :
« Ici, c'est mon jardin, et vous êtes tous sur ma propriété privée ! »
« Mais monsieur Lapin, nous ne sommes que deux, de qui parlez-vous ? »
« De ces œufs, voyons ! »
Alice entendît des bruits dans l'herbe et, effectivement, les œufs bougeaient !
« Mais… mais… c'est impossible ! Enfin, non, j'ai vu plus bizarre… ma tête… »
« Votre tête ? C'est votre faute que je n'ai plus la mienne, pauvre sotte ! »
Les œufs se roulaient autour d'eux, fondant légèrement sous le soleil doux.
« C'est vraiment vous ? »
« Puisque je vous le dis. Et maintenant, si vous pourriez disposer, j’aimerais pouvoir avoir un jardin tranquille, sans tout ce brouhaha. »
Au mot « brouhaha », un craquement se fit entendre dans la clairière, envoyant le pauvre lapin se cacher de nouveau. Alice se tourna, mais personne n’arrivait… Crac.
« Qui va là ? »
(Aux œufs) « Taisez-vous, je ne m'entends pas penser ! » Les œufs s’arrêtèrent de bouger.
Crac.
Et puis… un cri.
« Je vous ai dit de vous taire ! Ah… euh… oh. »
Au milieu des restes d'un des œufs, se tenait une créature qu'Alice n'avait vu que dans des livres pour sa petite sœur : un dragonnet, brun comme la coquille qui l'avait entouré, ce qui l'avait caché.
Les autres œufs reculèrent, comme s'ils avaient soudain peur de cet animal nouveau-né.
Le lapin se plaigna assez fort qu'Alice puisse l'entendre : « Voilà, ma tête ne lui a pas suffi, maintenant elle veut brûler ma maison, cette idiote. »
« Taisez-vous donc ! Ce n’est qu'un bébé, vous allez l'effrayer ! »
Alice s'approcha doucement du dragonnet :
« Mon petit, ça va ? »
Il toussa, et une légère gerbe de flammes sortît, en secouant la tête.
« Ma petite ? »
Un hochement de la tête, suivi d'un cri d’assentiment.
De loin, Alice entendait le lapin : « elle est folle, elle est folle, faites qu'elle amène cette chose loin… »
« Monsieur Lapin, par où pouvons-nous sortir ? »
« Par là-bas, et faîtes vite, faîtes vite, ma pauvre maison, mon jardin… »
Suivie par les œufs, qui se mirent à une distance de sécurité de 10m, et du dragonnet, Alice s'en alla… mais lorsqu'elle se retourna pour voir où elle était, elle eût un choc : elle était revenue par l'autre côté de la clairière.
« Mais non, vous abusez, on joue pas à Doodle Jump là ! » elle cria à personne en particulier.
Le lapin, qui siestait, se leva d'un bond en les voyant. Et se barra en sautillant… avant de devoir revenir chercher son chef, qu'il avait laissé aux pieds d’Alice lorsqu’il a littéralement pris ses jambes à son cou.
« Quelqu’un veut ma mort, c'est sûr, c'est certain, déjà que j’ai du retard pour ce rendez-vous… »
« Un rendez-vous avec qui ? Pas la reine quand même ? »
« Non, une sorcière pour rattacher ma tête, que vous avez fait couper ! Et éloignez cette chose de moi ! »
« Mais monsieur Lapin, j’ignore comment sortir, quand je pars je reviens sans savoir comment ! Et je ne peux pas en bonne conscience laisser ce pauvre bébé ici, il mourait ! »
« Il suffit de savoir où vous voulez aller, et vous trouverez votre chemin sans grand mal. Pour cette abomination, amenez-la donc à Doc Ourson, j'ai entendu qu'il aime les choses compliquées, lui. Mais quoi que vous faites ne revenez pas, j'en ai ras-le-cou de vos affaires ! So long, farewell, auf wiedersehen, adieu ! »
(Alice au dragonnet) « Quel lapin bizarre, à chanter la mélodie du bonheur en allant voir une sorcière… Allons donc chez ce docteur, peut-être saura-t-il m’expliquer tout cela, lui… »
Elle entendit, de loin, en s'en allant : « Mon beau lapin, roi des terriers, que j'aime ta fourrure… »

Texte 7 :
«Mais quelle sottise ai-je encore faite», s'écria Alice en sortant enfin à l'air libre, sur la terrasse de cette épouvantable villa où l'on avait invitée, elle et sa sœur Margaret. «Ma gourmandise finira tôt ou tard par me jouer de bien vilains tours.»
Mais que fait-elle là, dehors, seule, à la tombée de la nuit et par ce temps maussade ? Alice a toujours eu un faible pour le chocolat. Ainsi, à la première occasion, elle en avait goûté un, puis deux, puis dix... Si bien et si vite, que le mal l'avais pris... L'estomac douloureux, elle avait décidé de s'aérer un peu, dans l'espoir d'aller mieux. Et la voici ainsi, face à la lune, à cette terrasse de pierre envahit par les ombres, et surtout, face à cette immensité de verdure, ce jardin obscurci par la nuit. Perdue sans ses pensées, elle s'avançait sur la terrasse, puis dans l'herbe grasse et humide, lorsque soudain, elle sentit le sol se dérober sous ses pieds. Cette éternelle chute lui sembla étrangement familière... mais un douloureux choc la ramena a la réalité.
Des ombres imprécises commencèrent à s'amasser autour d'elle. Intriguée, elle cherchait à en discerner la nature, quand la fine silhouette d'un lapin apparu parmi elles. Il courait et gambadait dans tous les sens, s'écriant de tant à autres : «Écartez-vous de mon chemin, allons, allons, je vous prie !» ou «Quelle que soit la maudite volaille qui vous a enfantés, c'est à la broche qu'elle finira, vous avez ma parole !».
Les yeux d'Alice s'agrandirent de stupeur à ces derniers mots. «Volaille». «Enfantés». Toutes ces formes seraient-elle des œufs ? Mais dans ce cas, comment pouvaient-ils se déplacer... et pourquoi s'approchaient-ils d'elle ? Elle devait en avoir le cœur net. Elle allongea les bras jusqu'à la silhouette la plus proche, et s'en empara. Quelle ne fut pas sa stupeur lorsque ce qu'elle tenait si fermement dans ses mains... se mis à fondre, inexorablement, jusqu'à ce qu'il ne reste dans les mains d'Alice qu'une substance chaude, à l'odeur familière. Du chocolat. Ne faisant appel qu'à sa gourmandise, elle huma ses mains, avant de se délecter de cette nourriture exquise.
Elle ne se rendait pas encore compte de la gravité de la situation. Une clameur commença à se faire entendre : «Chocovore ! Chocovore ! Chocovore !». L'animosité était palpable. Alice se tendit. Si toutes ces silhouettes étaient des œufs, en chocolat qui plus est, et qu'ils étaient animés... Elle venait de dévorer sans pitié l'un des leurs... Elle entreprit de se relever doucement, mais la clameur s'intensifia. L'étau formé par ces dizaines, ces centaines, ces milliers d'ombres, se resserra. Alors la panique envahit Alice. Elle se jeta sur ses pieds, et s'élança, écrasant plusieurs œufs au passage. L'animosité de ces derniers devint fureur. Leur fureur devint haine. Et soudain, cette haine fut libérée. Alors qu'elle tentait de fuir, sans savoir où aller, Alice fut assailli par des milliers d’œufs en furie. Ils volaient dans tous les sens, entravant les mouvements de ses jambes, la frappant aux bras, au visage. Des bouts de chocolats volaient dans toutes les directions, ses cheveux en étaient imprégnés. Alors qu'elle croyait son heure venue, elle aperçu le lapin blanc qui la regardait fixement, et lui dit «Plus jamais de chocolat, Alice, plus jamais.» Et il s'élança dans l'herbe, dans ce qui semblait être un interminable pan de verdure incliné. Désespérée, elle courut à sa suite, mais la descente était plus rude qu'escompté, et pour la seconde fois de sa soirée, elle chuta. Elle s'étendit de tout son long sur les œufs qui cherchaient à tout pris à l'atteindre. Elle les sentit fondre sous elle, et bientôt, son corps entier baignait dans du chocolat d'une couleur intense. Mais son goût avait changé. Cela n'était plus cet arôme exquis qu'elle adorait tant, mais un goût immonde, terreux. Elle se mit à trembler violemment, et perdit connaissance.
Lorsqu'elle se réveilla, Alice était étendue dans une grosse flaque de boue. Sa robe, ses cheveux, son visage, en étaient recouverts. Le jour commençait à peine à se lever. Elle entendit derrière elle une voix affolée, une voix qu'elle connaissait bien : «Alice ! Alice, c'est toi ?!! Nous t'avons cherchée toute la nuit ! Mais où étais-tu passée ?!!» s'écria sa sœur. Cette dernière répondit faiblement «Les œufs... le chocolat... ils m'ont attaquée». «C'est donc cet excès de chocolat qui t'a fait t'égarer, Alice ?» lui rétorqua Margaret, songeuse. «Plus jamais de chocolat, Alice, plus jamais. Tu ne sais pas t'arrêter. Tu aurais pu t'intoxiquer, tu sais ! Rentrons à l'intérieur.» Elle aida Alice à se relever, et l'entraîna vers la riche villa. Quelque chose démangeait Alice, dans le haut du dos. Elle glissa sa main dans sa robe pour se soulager de cette démangeaison, et en ressortit... un œuf en chocolat.

Texte 8 :
Les doigts entourèrent l’œuf, émirent une légère pression et la main souleva l’œuf sans efforts. Délicatement, la jeune fille déballa le chocolat en-dehors de cette coquille d’aluminium dans lequel se trouvait l’œuf depuis sa sortie de la chocolaterie. Une fois nu et l’emballage chiffonné tombé à terre, les crocs de sa mâchoire s’enfoncèrent sans résistance dans ce délicieux Œuf de malheur. Enfin, en une unique bouchée, il tomba dans l’œsophage.

L’Œuf avait été engloutit.


Alice décida qu’il était temps de s’arrêter. A en juger par le nombre de petits papiers multicolores qui jonchaient le sol, elle avait déjà mangé près d’une vingtaine d’œufs en chocolat. Elle commençait d’ailleurs à avoir un peu mal au ventre. Puis, soudain, la douleur amplifia. Alice voulu mettre ses mains sur son ventre, mais au fur et à mesure que ses bras se rapprochaient de son abdomen, ceux-ci raccourcirent. Elle se tordait en deux et se fut tout son corps qui d’un coup rapetissa à vue d’œil. En quelques secondes elle fit la taille de la chaise sur laquelle elle s’était assise juste avant, puis la taille de son ballon. Bientôt elle ne vit plus que les brins d’herbes qui arrivèrent au niveau de ses épaules.

Sans aucunement s'inquiéter, Alice commença son exploration. Elle suivit un coq, intrigué par une poule. Il tenta de chevaucher celle-ci, malgré qu'il soit coq, mais se rendit compte qu'elle n'était pas réelle. Alice ria de la situation et continua.

Elle croisa un lapin blanc.
-NeirdaRoiklem ? demanda-t-elle.
-Qui ? Moi ? Non, mais je suis pressé, lui répondit le lapin.
-Et pourquoi es tu si pressé ?
-Vois-tu, expliqua le lapin en chocolat blanc, nous sommes ici dans une battle. Le problème, c'est qu'elle est presque finie, donc je suis pressé.
Alice souleva un soucis pour marquer son incompréhension, mais continua son chemin.
A un moment, alors qu'elle commençait à fatigué, elle vit un gros oeuf qui faisait trois fois sa taille. Elle décida de se réfugié à l'intérieur pour passer la nuit. Alors qu'elle se coucha, elle tomba dans un sommeil profond. Elle rêvait de clowns faisant la fête autour d'un oeuf de diamant consacré avec la musique jouée par des cloches jaunes. Des poules poilues dansaient autour.

Elle se fit réveiller par le lapin pressé de la veille.
-Levez-vous mademoiselle, s'exclama-t-il, vite !
-Mais que ce passe-t-il donc ?
-Il faut partir, la battle est presque finie !


Et c'est ainsi que se finirent les merveilleuses aventures d'Alice au Pays du Chocolat.

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DeletedUser

Guest
Et oui.
C'est mieux si tu veux noter sérieusement. Mais tu n'est pas obligé de tout faire ce soir petit lecteur ;-)
 

DeletedUser51406

Guest
Oui mais si je note le mien, les responsables du battle le sauront et ne prendront pas en compte la note que je me suis attribuée :-D
 

DeletedUser44469

Guest
Je suis impressionné, les textes sont tous bien écrits :eek:
 

DeletedUser44469

Guest
Ah, qu'on se comprenne bien, je veux dire qu'il y a peu de fautes ^^
 

DeletedUser48010

Guest
C'est quoi l'intérêt de casser les pattes aux gens qui écrivent pour le plaisir?

On se plaint d'une communauté inexistante mais on vient déglinguer les gens qui en font partie et qui font des efforts.

On m'explique?
 

DeletedUser43669

Guest
Certains textes m'ont bien faire rire ^^'
Finalement, je suis content de pas avoir à noter... c'est trop difficile de tout départager ^^'
 

DeletedUser43669

Guest
C'est quoi l'intérêt de casser les pattes aux gens qui écrivent pour le plaisir?

On se plaint d'une communauté inexistante mais on vient déglinguer les gens qui en font partie et qui font des efforts.

On m'explique?

J'avoue que mettre des notes en dessous de 10, sur un event qui reste sur la base du pur volontariat, c'est un peu dégueulasse... mais bon...
 

DeletedUser38283

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Je sens qu'il y aura de la concurrence :)
Courage aux votants qui auront plus de travail que d'habitude !
 
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