Notation - Rome Antique.

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Le thème : Rome Antique
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***

Pourpre, flottant aux vents, la tunique de Lucius Julii lui donne l'allure d'un consul.
Il nourrit cette ambition en contemplant comme chaque soir de son balcon le couché du soleil. Son halo rougeâtre, les ombres grandissante dans les rues le fascine. La nuit pose son voile de velours noire, la lune crève le ciel et des milliers de bougies, parterre de lumière, diffuse un faible fumet au doux parfum de miel. La ville de Rome ne cesse de l'impressionné par sa grandeur, par son système politique.
Nouvellement arrivé en ville suite à son mariage avec la douce Alicia, il ne jouit pas encore du prestige que son nom lui apporte. Pourtant le lendemain il doit allé négocier avec les Eudènes une alliance importante en vue de contrer les agissements des Scipii. Il sent le piège, chaque jours depuis que son beau père lui à annoncé sa mission, il angoisse, il se sent mis a nu.

Arrivé par la route au palais des Eudènes il est de suite reçu auprès du maître des esclaves, un homme fort armé d'un fouet et possédant en sa main gauche une chaîne rouillé qui s'arrête au niveau du coup d'un pauvre homme. Intimidé, mais faisant montre de condescendance afin de garder le contrôle de la situation il s'adresse à la brute:
-*Il doit y avoir erreur, je suis Lucius des Julii je suis ici pour traiter avec votre maître et non pas une personne de votre espèce, faites vite !
La brute le lorgna d'un regard trop longtemps vis à vis de son rang, puis s'écarta:
- Vous le trouverez dans le jardin .
Un garde lui emboîta de suite le pas jusqu'au jardin, un jardin très fleurit et de bon goût d'où l'on peut contempler la puissance des vagues s'écraser sur les récifs, une place lui était réserver à la table du tribun qui se subtante . Il s'assit après avoir fait les baises mains et autre frivolités d'usage, et bu une gorgé de son vin, autant pour donnée à son palet tout le mielleux nécessaire pour satisfaire ces hôtes, et autant pour ce donner le temps de recouvrir tout ces esprits.
- Quel honneur que d'avoir un Julii à notre table ! s'exclama le maître de maison, Albernius Hodène
j'espère que vous avez fait bonne route.
- Le temps fût clément, seul mon impatience fût grande.
- Et bien nous voici maintenant réuni, finissons de manger ces victuailles et ensuite nous irons faire le tour du dom aine. Il marqua une pause et repris d'un ton dur, en revanche je ne vous ferais pas l'affront de vous présenter la région je pense que vous la connaissez déjà.
A ces mots le jeune Julii compris qu'il devait y avoir plus dans sa visite que représenter la famille Julli en ces terres qui furent jadis celle de son père. Il perçut une pointe d'agressivité chez son interlocuteur et commença de part son éducation à rassembler ses capacités pour continué à paraître normal, à feindre l'ignorance et à observé les alentours pour trouver un échappatoire au cas ou.
- Lorsque nous aurons fait le tour du domaine j'espère que nous nous entretiendrons des affaires qui m'amène , les affaires de ma famille ne peuvent souffrir d'attente trop longue.
- Rassuré vous l'affaire sera vite expédié .

Lucius se rappela alors les mots de César : *«*je t'envoie chez les Eudènes rencontrer une famille qui nous est proche, il est temps pour toi de travaillé pour la famille, de donné l'éclat que mérite le nom que portes. Tu devras y rencontrer Albernius Hodène, c'est un riche marchand qui possède aujourd'hui le contrôle de tout les ports du sud de l'Italie. Il me faut négocier l'utilisation d'une partie de sa flotte marchande pour transporter ces troupes, l'affaire ne sera pas aisé, rappel lui qui nous sommes et une fois qu'il aura accepter remet lui en gage de notre amitié cette caisse remplir d'or*»

Après avoir dignement manger et bu, ils effectuèrent un tour du domaine viticole. Les vignes à flanc de montagne était bien entretenu, on pouvait percevoir le reflet du soleil sur chaque raisin. Les odeurs diffusés par les plantes transformèrent cette visite, en balade sensoriel.
- Vous savez, cette vigne représente pour moi la réussite, j'ai dû affronter moult marchande avant d'avoir un poids très important dans la négoce. Et même si aujourd'hui je suis un homme influent, je n'ai aucun pouvoir politique. Je sais ce qui vous amène ici, vous désirez utilisé mes navires afin d'expédier des troupes au delà des territoires de Gaule, je pourrais dire oui à cette faveur si je pouvais accéder à des sphères d'influences plus importante.
- Je comprend vos désir, et j'en ferais part à César, néanmoins vous perdriez votre seul soutien à Rome si vous ne répondiez pas favorablement à cette requête.
- Mon soutien c'est vous qui me l'apporté. Savez vous ce qu'il y avait dans cette caisse? Une autorisation de César. Je lui est fait part de votre désir de me nuire, je lui est rappelé quel homme était votre père.
Le piège était rondement bien mené, Lucius se retrouvé seul au milieu de viticulture entouré de 10 hommes en armes fidèles à son détracteur. Il se sentait trahir par César, et ne comprenait pas ce qu'il lui arrivé.
_ Je ne sais ce qu'a fait mon père, il est mort alors que je n'avais que huit.
_ Je sais, mais comme je vous le disait plus tôt , je nourris l'envie d'accéder au rang de famille romaine. Votre père habile marchand m'a poussé au bord du gouffre à l'époque, je l'ai fait assassiné, j'ai pu assez facilement recouvrir une partie de ces biens. J'ai averti César que vous nourrissiez l'ambition de récupérer tout mes biens, j'ai eu la chance de pouvoir susurrer à son oreille que vous vouliez comme votre père devenir un riche marchand et soutenir Pompée. J'ai même ajouté quelques vices à votre famille, il m'a alors chargé de laver l'affront fait à sa famille. Puis il se mit à rire, Lucius fût pris de vertige, il ne comprenait pas, lui issue d'une famille de marchand reconnu même à Rome. Qu'avait fait ce monstre, qu'avait il raconté de terrible sur lui et sa famille, et surtout comment avait il rendu cela vrai semblant auprès de César, malheureusement il n'aurait peut être jamais le temps de le découvrir.
Sa dernière action fût de courir en criant:
_ Traître.

On l'enterra quelque jours plus tard, des troupes de la ville l'aurait trouvé et tué.
Sauf que ce que Albernius Hodène ne savait pas alors, c'est que César n'abandonne pas les siens,et qu'il n'a monté ce plan qu'afin de savoir ce que son futur héritier avait dans le ventre.

Il dota Lucius, qui mit deux semaines à s'en remettre, d'une troupe de deux cents hommes. La famille Hodène devait servir d'exemple, on ne ment pas à César, on ne s'attaque pas au famille romaine et encore moins à celle des Julii.

Lucius endurcie par les évènements se comporté en chef de corps intransigeant.
Sa garde personnelle et son bataillon subir en cachette beaucoup d'entraînement, il ne devait y avoir aucun survivant. Un soir alors qu'un banquet était donné des soldats de Lucius posté tout autour de la villa attendaient patiemment le départ des Invités. Vers cinq heures du matin le dernier invité avait déjà quitté la villa. Lucius envoya alors dix soldats entraîné afin d'éliminer les gardes furtivement. Le soleil commencait alors à sa lever. La scène lui paru surréaliste, d'habitude s'était le couché du soleil qu'il contemplait. Les hommes gardant la villa tombait les uns après les autres comme des ombres fondant au soleil.

Lucius éperonna son cheval blanc et fît avancer son contingent jusqu'à la villa, fît une halte juste devant, ces hommes se rangèrent derrière lui. Un de ces hommes lança un javelot sur les fenêtes de la chambre de Albernius. La fênetre s'ouvra, Albernius apparu rageur
_ Qui ose me déranger moi Albernius Hodène?
_ Moi Lucius je viens me venger et venger mon père, au nom de la famille Julii, je vous prend ce que vous avez de plus chère.
La fêntre se referma, le soleil se leva, les Julii été vengé. Ne restait alors qu'une villa brulante et une tête pendante au bout d'une broche.

Depuis ce jour la colline qui abritait la demeure est maudite, et nulle n'ose s'y aventurer.

***


Prologue​

Des rues chaudes et moites de la ville montait une clameur inhabituelle en ce jour d’été. L’Empereur rentrait de campagne, et un triomphe avait été organisé. Tous se pressaient pour le voir, du riche patricien au plus pauvre plébéien, sans distinction. Ce cortège réunissait en général tout les voleurs de la ville, attirés par cette foule de personne à détrousser.
De rares personnes n’y allaient pas. Elles erraient ça et là, dans les rues. Ou bien se dirigeait avec un but précis.
Ephraem se hâtait vers les palais impériaux. On lui avait donné rendez-vous là bas. Il ignorait tout de ce rendez-vous, tout comme il ignorait tout des palais impériaux. Un simple mot du tavernier lui disant de ce rendre là-bas l’avait mené à cette situation. Il s’arrêta quelques secondes pour faire le point.
Ephraem avait toujours été doué d’un esprit très vif. Il prit ainsi très rapidement une décision. Il irait. Sa vie était trop morne pour ne pas prendre le risque d’en changer. Et puis, n’était il pas un des voleurs les plus compétents de la ville? Sa réputation l’empêchait de faire demi-tour.
Il parvient sans peine jusqu’à l’entrée du palais. De là, il se remémora les instructions:
«*Entre, puis dirige toi là où l’eau scintille et où le vent frémit.»
C’était plus un test qu’une énigme. Et ce test, Ephraem l’avait décodé la nuit même. Il devait se rendre aux jardins de l’Empereur. Le seule problème, c’est que ce jardin était nuit et jour gardé. L’Empereur vouait plus de considération à ses fleurs qu’à son peuple.
Le jeune voleur s’arracha à ses pensée et se remis à marcher, avec plus de prudence. Autant les imbéciles en faction à l’extérieur étaient peu dangereux, autant on racontait des choses atroces sur ceux qui avaient le malheur de se faire prendre au sein du palais. Il parvient étrangement sans encombre au jardin. Il mit cela sur le compte de la chance et de sa discrétion, et pénétra dans le jardin.
Une silhouette noire se détachait du fond vert ambiant. Ephraem s’approcha. Lorsqu’il ne fut plus qu’à un seul pas, le glaive dégainé de l’autre, pointé sur sa gorge, l’empêcha d’aller plus loin.
- Ainsi tu es venu. Tu as plus de cran que ce que je pensais.
- Qui…qui êtes vous, réussi à articuler Ephraem, pourquoi m’avez-vous amenez jusqu’ici?
- Suffit. Chaque chose en son temps. Il est trop précieux en ce moment pour le perdre.*Suis-moi.*»
L’ombre passa derrière Ephraem, la lame toujours dégainée.
- Avance là où je te l’indiquerai.»

Chapitre Un​

Ils marchèrent dans Rome de longs moments durant, Ephraem découvrant des quartiers où il n’était jamais allé. Enfin, ils arrivèrent face à un aqueduc. Surement celui qui approvisionne la ville, songea Ephraem. Son ravisseur s’arrêta devant un des piliers, et frappa trois fois de la pointe de l’arme. Une corde tomba de l’étage supérieur.
-*Grimpe.
Ephraem obéit, et arriva dans une petite pièce, où un escalier s’enfonçait dans les ténèbres. L’ombre monta à son tour, et alluma une torche. A la lueur des flammes, Ephraem distingua un visage âgé, une cicatrice lui barrant la joue droite. Son ravisseur éloigna prestement la torche. La pointe du glaive toujours dans son dos, Ephraem descendit les marches une à une. Il arriva dans une grande pièce, soigneusement meublée et ordonnée. Différentes armes disposées dans la pièce dissuadèrent très vite le jeune homme de tenter quoi que ce soit.
- Assis-toi.
Ephraem obtempéra.
- Que de questions, et si peu de temps, dit tristement son ravisseur, commençons par l’essentiel. Tes talents me sont vantés par plusieurs personnes. Et j’ai besoin d’un voleur compétent. Acceptes-tu cela?*
Ephraem déglutit, et hocha la tête.
-Bien! Je souhaite m’emparer d’un objet que bien peu peuvent se vanter d’avoir approché. Non, ne fais pas ces yeux là, mon garçon, tu as très bien compris où je veux en venir.
-Vous…vous ne voulez tout de même pas…
L’ombre hocha longuement la tête.
-Si, je souhaite m’emparer de la Carte Atlantida.
-Vous êtes fou! Vous savez par quoi elle est gardée? On dit qu’un dragon la surveille jour et nuit!
- «*On dit que*», très évocateur, n’est-ce pas? Saisi cette chance de faire quelque chose qui en vaille la peine. Je te recontacterai dans les prochains jours. Si jamais tu à pris ta décision, demander au patron du «*Au glaive et au pain*» le nom de Raphael. Il te conduira jusqu’à moi.*
Ephraem se releva, chancelant. Il se dirigea vers la sorti lorsque la voix de Raphael l’interpella.
- Mon garçon, comment t’appelles-tu?
- Ephraem
-Ephraem, réfléchis y bien.*
Sur ces dernières paroles, Ephraem sortit de la pièce. Si quelqu’un d’autre s’était trouvé dans la pièce, il aurait entendu le murmure de Raphael:
- Ephraem, ma vie dépend de toi.*

Chapitre Deux

Sur le chemin du retour, Ephraem réfléchit à la situation. Les dernières paroles de Raphael l’avait jeté dans un gros tourment. Il rêvait de changer de vie, mais il n’était pas près à abandonner toutes ses habitudes, ni le quartier où il avait grandit. C’est en passant devant un cimetière qu’il se souvint d’une promesse faite longtemps auparavant:
- Eph’, tu ne veux pas quitter Rome toi?
- Je ne sais pas. Je suis bien ici.
- Pense à tout ce qu’il y a à voir en dehors. Des choses extraordinaires que nous ne soupçonnons même pas.
- J’aimerais bien voir la neige.
- Ephraem…
- Oui?
- Un jour, je te le promets, nous irons voir la neige.*
Cette promesse l’avait forcé à continuer des années durant, jusqu’à la mort de son propriétaire.
Depuis, Ephraem avait renoncé à sortir de Rome et à chercher la neige. Les possibilités que lui offrait Raphael maintenant lui permettaient de continuer cette promesse.
Le soir venu, Ephraem avait pis sa décision. Il se rendit chez l’aubergiste, et fut chez Raphael dans les 20 minutes suivantes.
- Je viens avec vous, Raphael!
Le vieil homme en fut interloqué.
- Tu as déjà pris ta décision?
- Une vieille promesse à tenir, répondit Ephraem.
- Bien! Après tout je ne peux me plaindre. Assis-toi, que je te dise un peu plus en détail en quoi consiste notre opération.
Les deux hommes s’assirent autour d’un table en bois, recouverte de bon nombre de document.
- Comme tu le sais déjà, je compte m’emparer de la Carte Atlantida. Et comme tu le sais déjà, elle est très bien gardée. Seul l’Empereur possède la clé qui permet d’ouvrir la porte et celle qui permet d’ouvrir le coffre. Il les a constamment dans un petit coffret d’acajou, avec des motifs d’or.
- Si j’ai bien suivis, c’est moi qui suis chargé de voler le coffret?
-Bravo! Tu voleras le coffret, pendant ce temps, je m’occuperai des gardes. Autant te dire que ce sera plus facile de ton côté.
- Quand commencerons-nous?
- Dans deux jours, nous exécuterons le plan. Rendez vous sur le porche du palais, quand les étoiles seront hautes.
- Très bien. Croyez vous que nous puissions réussir?
- Mon garçon, le destin nous dévoilera au bon moment notre avenir. Avant, il est fait d’opportunité et de rêve.*
Sur ces dernières paroles, Raphael mit fin à la conversation, et Ephraem rentra chez lui.

Chapitre Trois​

Mais que faisait donc Raphael? Voilà 20 bonnes minutes qu’Ephraem s’était dissimulé près du porche, guettant sa venue. Son absence l’inquiétait. Il était pourtant au bon endroit, à la bonne heure. Alors qu’il s’apprêtait à rebrousser chemin pour aller chercher Raphael, une main se posa sur son épaule, et une autre sur sa bouche.
- Pas de bruit Ephraem.
- Vous m’avez fichu une sacra frousse, jura Ephraem à voix basse, vous étiez où tous ce temps?
- Je devais faire quelque chose… de personnel.*
Ephraem n’en sut pas plus. Ils progressèrent dans le palais, quand soudain Raphael lui fit un signe de tête. Ils se séparèrent.
Ephraem continua dans le couloir, et emprunta les escaliers. Il parcouru une volée de marche, avant de s’arrêter dans une antichambre décoré aux soins de l’empereur. De là partait deux couloirs, qu’Ephraem devinait gardés. Par chance, une fenêtre était percée dans le mur. Ephraem l’escalada, et se retrouva sur en équilibre sur une des statues qui ornait la façade. Rassemblant ses forces, il effectua un saut qui le propulsa sur le toit. De là, c’était plus facile.
Il se dirigea vers la chambre de l’Empereur. Se suspendant au rebord, il passa la tête par la fenêtre de la chambre. L’Empereur dormait. Ephraem rentra dans la pièce et la fouilla aussi discrètement que possible. N trouvant rien, il se mit à enquêter plus minutieusement, regardant chaque recoin pour y déceler un quelconque mécanisme. C’est alors qu’il le vit. Un A entouré de deux ailes, sur une commode. Il poussa lentement les deux ailes. Dans un petit déclic, la commode s’ouvrit, et Ephraem s’empara du coffret. Il regagna la fenêtre et parcourue le même chemin en sens inverse.
Raphael l’attendait en bas de l’escalier.
- Dépêchons nous. Tu as le coffret?
- Oui. Où est-ce qu’on va maintenant?
- Au sous sol.
Ils progressent dans un obscur couloir éclairé par quelques torches.
-D’après ce que je sais, déclara Raphael, la porte est sur la gauche.
Ils arrivèrent dans un grand hall de marbre blanc. Une imposante porte finement ouvragée trônait à l’autre bout de la place. Ils parcoururent rapidement le reste de la distance.
- Donne-moi la clé.
-La voilà, dit Ephraem en la lui tendant.
- Maintenant il faut trouver la bonne combinaison.
Pendant une demi-heure, ils tentèrent différentes combinaison, sans réussir. Raphael continuait sans relâche, mais Ephraem commençait à prendre peur. Et si on les surprenait?
-Ephraem, y avait-il un symbole quand tu as trouvé le coffre?
-Deux ailes qui encadraient un A, pourquoi?
Le vieil homme ne répondit pas, et fit tourner la clé dans la serrure. Deux à droite, un à gauche, deux à droite. Déclic.
¨-Parfait. Allons-y.
Le coffre de la carte les attendait, au milieu de la pièce.
-La deuxième clé. Parfait.
Raphael introduit la clé et ouvrit le coffre. Il contempla quelque instant la carte avant de la replier soigneusement et de la prendre.
-Sortons d’ici maintenant.

Epilogue

Voilà une semaine qu’ils avaient récupéré la carte. Raphael possédait suffisamment d’argent pour acheter un bateau, et s’était empressé de le faire. Depuis une semaine, ils préparaient le voyage. Tous étaient en place, et le départ fixé à demain.
Ephraem disposait de ce fait d’une journée encore. Il se rendit au cimetière qui abritait son ami.
- Tu vois Lorenz, j’ai tenu ma promesse. J‘irai voir la neige en sortant de Rome, et plus encore.
Il attendit là, longtemps. Si longtemps que la nui tombait quand il décida de renter chez lui. En se retournant, il aurait pu apercevoir une pâle silhouette qui lui souriait.
Il se hâta pour être fin prêt à son voyage de demain…

…mais ceci est une autre histoire.


***


Le Crépuscule des Dieux

C'était à Clermont, chef-lieu de l'Auvergne , dans ce qui restait de la Gaule romaine, 471 années après la naissance du Christ...

Et voici que le Goth, bouffi d’orgueil, caracolait sur un cheval fougueux au milieu des escadrons répandus dans la plaine. Il avait couvert son cheval d’une peau de lion, avait chargé de fourrure ses flancs robustes, afin que, sur cette crinière de fauve, son allure eût plus de prestance. Il n’y avait pas moins d’orgueil chez son coursier qui, dans sa fierté sauvage, avait du mal à demeurer en place, et son impatience blanchit le mors garni de pointes qui lui dompte la bouche. L’orgueilleux guerrier parada dans cette attitude devant les remparts et fit décrire des cercles à son cheval décoré de phalères d’or, et du regard et de la voix, il lança des menaces en me fixant, moi, à côté de mon parent.
Je me retournais : les hommes étaient peu nombreux, et leurs armes misérables.
Je baissais le regard : nos murs étaient noircis par le feu, quant des balafres marquées par une mousse humide ne signalaient ses vieilles faiblesses. On l’avait renforcé sur les instances de mon beau-frère, l’évêque Sidoine, gendre de feu l’empereur Eparchus Avitus, digne descendant de la gens des Avitii…mon père.
Je revis quelques instants le visage marqué par les saisons de celui que ces mêmes Goths avaient soutenu, et qui m’avait sourit tranquillement tandis qu’il était partait à Rome, où il devait être déposé, puis traqué par ce qui restait de sénateurs, du moins se qui en faisait office... S’il était là, peut-être aurait-il pu dénouer ce drame, et rétablir une fois encore la concorde perdue.
« Es-tu sûr de ce que tu vas faire ? Euric a déversé sur nous toutes ses hordes engendrée par les plaines de Scythie, et ce sont des milliers de titans enragés, sentant le beurre rance et l’oignon décati que tu veux défier ainsi. Je te connais, Ecdicius : à l’ombre des cyprès je t’envoyais la balle, avant même que tu ne préfère saisir ton épieu et traquer le sanglier. En toi coule le sang d’une auguste lignée, mais l’âge des Coriolan et des Horatius Coclès n’est plus…
- Je le sais, Sollius.
- Les Burgondes viendront peut-être. Ils ne peuvent se permettre de laisser ce fourbe barbare empiéter ici au seul de leur territoire. L’évêque Patiens de Lyon m’a écris récemment que…
- Le temps des promesses et des lois n’est plus, Sollius. La Rome que tu vantes encore aux nôtres, je l’ai vu, comme toi du reste. Tu apaises leurs âmes d’une coquille vide. Ton jardin des Hespérides a depuis longtemps été bafoué. Ne me blâme pas, Sollius. Mais j’ai assez attendu.
-Tu es aussi noble qu'arrogant. Ne cherche pas à te sacrifier inutilement. Plus personne ne sait chanter les ôdes épiques qui t'auraient rendu immortel... »
Sentant monter en moi un ressentiment coupable pour cet homme qui avait servi trois empereurs et épousé ma sœur, je retins ma main qui se crispait sur le rempart enserrant Augustonemetum. Alors mes yeux se tournèrent silencieusement vers les panaches qui s’élevaient des pagi voisins, et je pensais à aux vignes que j’avais soigné, aux champs que j’avais ensemencé, aux greniers que j’avais garni, aux demeures que j’avais orné. La simple idée de ces braillards crachant dans mes coupes, traçant leurs sots dessins d’un brandon sur mes fresques, s’en prenant à mes affranchis, me soulevaient de dégout.
« Regarde. Phébus fatigué s’est lassé des beuglements des sots, et le voilà qui se dissimule peu à peu derrière les seins de la douce Gaïa…
- Il est rouge sang. Cela conviendra. »
Je me retournais vers les miens, discernant en bas mes quelques hommes, déjà apprêtés. Une foule rustique brandissait des armes de fortunes, au milieu des masures vieillissantes, enserrant la récente église aux colonnes de marbres encore frappés des rinceaux de l’ancien odéon. Je descendis lentement les escaliers, tandis que résonnait le barritus des Wisigoths au-delà des murs, et le fracas de lances entrechoquant de lourds boucliers.

Une fois de plus, nous avions refusé le combat. De toute manière nous ne pouvions pas le livrer. Avec quelle armée ? Certes, j’avais levé à mes frais quelques centaines de larrons. Et les femmes de la ville s'agenouillaient à mon passage, leurs enfants serrés contre leur sein, pour leur avoir donné du pain à l'arrivée de mon équipage. En majorité des colons et des affranchis, quelques barbares aussi. Face à nous, enserrant ce qui reste de la noblesse romaine d’Auvergne, les fils d’Alaric, les vainqueurs d’Andrinople, les forceurs des portes de Rome, le fléau de l’Aquitaine et de la Civilisation. L’empereur, du moins celui qui l’était au cours des semaines qui me reviennent à l’esprit, avait un temps demandé à un roi Breton, Riothamus, d’assaillir ces Goths qui progressaient en Narbonnaise. Mal en avait pris à ce dernier. On dit que le vieil homme, réfugié à la cour burgonde, les épaules affaissées, continue de compter ses guerriers perdus. Où sont donc les légions de César ? De Trajan ? Celles qui portèrent les aigles sur l’Elbe, et le laborum sur l’Euphrate ? Où sont les Julien, les Constantin, les Aetius ? Sans doute errent-ils dans l’Elysée, du moins cette sorte d’Enfer pour les braves dont parle sans cesse Sollius depuis qu’il s’est consacré à Dieu, il y a plus d'un an an maintenant.

Je pris mon repas en silence, ne remplissant guère ma coupe afin de préserver les dernières mesures de ce qui restait de vin de Gaza. J’avais préféré resté seul, et faire installer ma couche face aux portraits de cire de mes aïeux. Là, je me sentis l’âme en paix, et put murmurer :
« Toi, Christ Sauveur qui périt et pourtant revint, Agneau parmi les loups qui a donné son pardon aux hommes, considère le sort de tes enfants, et bannit les hérétiques qui nous assiègent de notre terre, qui est la tienne. Et toi, Esprit saint, qui a empreint Marie l’Ancienne, fortifie mon cœur et nimbe moi de ta protection. »
Les masques de cire ne répondirent pas, évidemment. Et je me pris à penser qu’ils ne comprenaient pas ce que je pensais. Seigneur ! Pardonne au pêcheur de t’avoir invoqué par d’autres noms que le tien, et d’avoir voulu atteindre ta bénédiction par d’autres chemins que celui de l’Unique !
« Jupiter Magnus Optimus, Mars au bras vengeur et toi Minerve à l’égide protectrice, puisse votre fureur accabler l’impie et faire dépérir et son bras, et son corps, et son cœur. Et que par mon fer je vous offre mon sang en libation, avant de répandre le leur. » Saisissant le couteau d'argent, je m'étais entaillé le poignet, et fit couler quelques gouttes de mon fluide vital, d'un rouge généreux, dans le vin.
J’avais alors tendu ma coupe à demi-vide, seul dans la pénombre, et jurais avoir vu vaciller quelques lueurs derrière les masques…

« Dominus, nous sommes prêts. »
Syagrius a toujours été fiable. Comme ses aïeux du reste. Il faisait partie de cette sorte de gens que dédaignait Sollius, incapables qu’ils étaient de réciter un vers d’Homère, ni même quelques hexamètres de Virgile. Toutefois, Syagrius savait comment manier la lourde hasta et transpercer deux hommes avec sans tomber de son cheval. Et je n’ai jamais vu un sénateur en faire autant, même Aegidius.
Tendant mes membres, je laissais les esclaves défaire ma tunique et la remplacer par les linges adéquats. Puis on s’appliqua à lasser les entrelacs de mes jambières, à agrafer les attaches des plaques flexibles, tandis que se promenaient des mains inquisitrices sur les écailles de ma cuirasse, percée de coups de taille et d’estoc. Enfin, on mit mon casque creux, et m’aida à attraper le pommeau de ma selle. Ma spatha ,la lame ébréchée, me fut remise et, du haut de ma jument, je pus admirer les reflets de la lune sur les dix-huit statues métalliques qui allaient m’accompagner. Leurs masques de bronze faisaient de mes hommes des dieux dont chaque geste cliquetait. Les chevaux retinrent quelques hennissements, et semblaient supporter leur lourd manteau d’écailles. Je fixais mon propre visage de métal, avant de faire en silence le signe habituel.
Dans l’obscurité précédant l’aube, et dans un silence ponctué des hululements coutumiers, nous sortîmes. Je distinguais, sur le rempart, la silhouette familière de Sollius et crut discerner un geste de bénédiction. Il ne serait pas de trop. J'avais suggéré à Sollius de faire également quelques sacrifices. Il m'avait répondu que c'était là superstition. Je lui avais rétorqué que l'évêque de Rome avait bien fait venir des devins étrusques, afin de faire s'abattre la foudre. De son visage calme et las, mais orné d'un sourire indulgent, mon beau-frère avait soufflé:
"Et quel fut le résultat?"

L’aube. Phébus s’en est revenu de sa tendresse avec la terre, et le voici qui se dresse à nouveau, faisant s’illuminer les motifs de nos cuirasses, et la finesse des traits de nos masques de bronze. Syagrius attend à ma droite. Il semble chercher la meilleure emprise pour sa lance. A ma gauche, Victorinus agite son scutum : son bouclier avait déjà reçu de sérieuses entailles. Je me retournais : mes seize autres statues de métal étaient là, silencieuses.
L’aube. L’heure macabre. Celle où la lumière matinale révèle les corps à jamais assoupis. Une fois encore. Je fis le signe.
« Avante ! »
Nos montures avancèrent doucement, accélérant peu à peu, tandis que de leurs naseaux sortaient un souffle de plus en plus puissant.
Un Romain ne tue pas de nuit.
Alors, tandis que nous descendions la crête, apparut le campement aux centaines de feux, aux braillements gutturaux familiers, et aux tentes bigarrées. Un cri retentit, sans doute la sentinelle. Nous entamons la charge.
« Porro ! »
Un Romain ne tue pas de loin.
Je distingue une scène désormais familière. Un Goth au casque à cimier rouge beugle des ordres que je ne comprends pas, pour autant que je le vois au travers des minces orifices de mon masque. Les hommes courent à leurs armes, tandis que les sentinelles, avinées ou mal postées, se dressent devant nous.
Une forme surgit d’un taillis. L’homme porte des moustaches blondes. Sa tête semble petite, peut-être à cause de son crâne rasé, orné d’une touffe de cheveux laissée sur son front. Il semble dresser une lourde épée, qu’il agite au dessus de sa tête et de son corps à la tunique bariolée. Sa fureur dissimule mal sa peur d'affronter des dieux de fer. Je ne peux m’empêcher de fermer les yeux lorsque sa lame se fracasse contre mon bouclier, me forçant à m’affaisser sur ma monture pour ne pas tomber, en dépit de la haute selle, déjà moite de sueur. Tandis que ma monture continue sa course, j’entends un bruit sec, suivi d’un cri rauque. Aucun doute, le mort n’avait pas de casque. Nous sommes donc toujours dix-huit. Et les Goths quelques milliers moins un. Mes compagnons ne connaissent plus Virgile, mais les derniers des Romains savent se battre. Qu’on le leur l’accorde.
« Deus irae ! »
« Roma victor ! »
« Deus vult ! »
Chacun des miens pousse son cri. Pour la quatrième fois cette semaine, les derniers des Romains lavent leurs fers dans le sang des Barbares. Je crois voir au loin luire un masque. Mes aïeux me voient sans doute, depuis le Ciel...ou depuis l’Olympe. Moi, Ecdicius Avitus, de la lignée des Avitii, vir illustris, fils d’Auguste, ne peut retenir un cri ancestral, issu du plus profonde mon être, tandis que se dresse à nouveau mon bras qui s’apprête à ôter une vie, une fois encore :
« MARS ULTOR ! »

C'était à Clermont, six années avant la déposition du dernier empereur, tandis que disparaissaient Rome et tous ses dieux...

Les notes se font sur 100. Chaque note non expliquée et argumentée pourra être annulée. À vos claviers o/

Création 1 :
Note : x/100
Commentaire :

Création 2 :
Note : x/100
Commentaire :
 

DeletedUser

Guest
Pourpre, flottant aux vents, la tunique de Lucius Julii lui donne l'allure d'un consul.
Il nourrit cette ambition en contemplant comme chaque soir de son balcon le coucher du soleil. Son halo rougeâtre, les ombres grandissantes dans les rues le fascine. La nuit pose son voile de velours noir, la lune crève le ciel et des milliers de bougies, parterre de lumière, diffusent un faible fumet au doux parfum de miel. La ville de Rome ne cesse de l'impressionner par sa grandeur, par son système politique.
Nouvellement arrivé en ville suite à son mariage avec la douce Alicia, il ne jouit pas encore du prestige que son nom lui apporte. Pourtant le lendemain il doit aller négocier avec les Eudènes une alliance importante en vue de contrer les agissements des Scipii. Il sent le piège, chaque jour depuis que son beau père lui a annoncé sa mission, il angoisse, il se sent mis a nu.

Arrivé par la route au palais des Eudènes il est de suite reçu auprès du maître des esclaves, un homme fort, armé d'un fouet et possédant en sa main gauche une chaîne rouillée qui s'arrête au niveau du cou d'un pauvre homme. Intimidé, mais faisant montre de condescendance afin de garder le contrôle de la situation il s'adresse à la brute:
-Il doit y avoir erreur, je suis Lucius des Julii je suis ici pour traiter avec votre maître et non pas une personne de votre espèce, faites vite !
La brute le lorgna d'un regard trop longtemps vis à vis de son rang, puis s'écarta:
- Vous le trouverez dans le jardin .
Un garde lui emboîta de suite le pas jusqu'au jardin, un jardin très fleuri et de bon goût d'où l'on pouvait contempler la puissance des vagues s'écraser sur les récifs, une place lui était réservéeà la table du tribun qui se sustente . Il s'assit après avoir fait les baise-main et autres frivolités d'usage, et but une gorgée de son vin, autant pour donner à son palais tout le mielleux nécessaire pour satisfaire ses hôtes, et autant pour se donner le temps de recouvrir tous ses esprits.


Bon je viens de faire un début de correction pour le premier.

Dans l'ensemble, l'idée n'est pas mal mais les tournures de phrases ne sont pas toujours très heureuses tout comme la ponctuation. Et quelques points de grammaire et de conjugaison sont vraiment à revoir. Je mets une note globale de 50/100 (oui je suis dure mais c'est lié essentiellement à tout ce qui est orthographe... Je mets la moyenne pour saluer l'effort et l'idée )

Cela dit, il faut persévérer ;)

Pour le second, je mets une note de 70/100. Quelques fautes de frappe et quelques erreurs et maladresses dans la forme plus éparpillées tout au long du texte, mais une histoire qui m'a plus convaincue.

EDIT: un comble que de n'avoir pas donné ma note pour le 3ème texte que j'ai préféré et pour lequel je mets un 90/100...

Donc récap:

Texte 1: 50/100.
Commentaire: la note est pour moi le reflet de l'orthographe qui m'est si chère. La forme donc. Le fond et sympathique.

Texte 2: 70/100.
Commentaire: toujours la forme qui, si elle est bonne, recèle des maladresses qui, j'en suis persuadée, pourrait être évitée. Le fond, quant à lui, est rythmé et intéressant.

Texte 3: 90/100.
Commentaire: la forme est quasi irréprochable, ce que j'apprécie particulièrement, et le fond m'a beaucoup plu.

Un jour, je m'essayerai à une battle et vous pourrez vous venger de mes notes ^^ ;)
 
Dernière édition par un modérateur:

DeletedUser11638

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Ouah, que trois textes :O
Decidement avec tout les partcipants qu'il y avait!
 

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Guest
Je me permet de remettre en haut ce sujet afin que notre travail soit évalué.
 

DeletedUser

Guest
Allons donc, je m'absente quelques heures et on oublie de noter ? Ces jeunes écrivains en herbe ont passé du temps à écrire, et tout ça pour avoir le bonheur d'être lus ! J'attends un peu plus de motivation n_n
 

DeletedUser

Guest
Bon. Il faut croire que c'était trop atroce à lire :D
On peut déclarer Lélou vainqueur pour l'effort déployé en tout cas ;)
 

DeletedUser

Guest
._.

:'( Mais qu'est ce qui se passe ? Pourquoi personne ne veut noter ? è_é Attention sinon je fais du chantage pour forcer les gens à venir !
 

DeletedUser

Guest
Je n'ai lu que les textes en diagonale et uniquement le style et l'orthographe vont intervenir dans ma cote

Création 1 :
Note : 45/100
Commentaire : On voit que tu cherches du bon vocabulaire mais les erreurs d'orthographe sont vraiment trop nombreuses et gâchent le plaisir de la lecture

Création 2 :
Note : 60/100
Commentaire : Beaucoup moins de fautes que dans le premier texte mais tout de même quelques monstruosités, des erreurs également dans la cohérence des temps: du passé simple, du présent et de l'imparfait dans la même phrase, c'est rarement bon :D J'aime par contre la structure du texte

Création 3 :
Note : 80/100
Commentaire : Peu de fautes, une bonne structure... mais vu que j'ai pas lu le contenu, je vais pas mettre plus :D
 

DeletedUser

Guest
Hop, je viens apporter quelques votes pour que ce travail ne tombe pas à l'eau :x

Premier texte:
55/100
Beaucoup de fautes il est vrai. Je n'ai pas non plus spécialement accroché au thème. En effet, une histoire de trahison, c'est sympathique, mais un peu prévisible. Faut pas le prendre mal surtout :eek:
Néanmoins, la trame est maintenu, et l'ambiance respectée, c'est pourquoi je mets la moyenne.

Deuxième texte:
65/100
Le texte est plus original, mais pas assez accrocheur pour moi. J'ai toutefois bien aimé. Sauf le fait qu'on reste sur sa faim n_n
L'auteur aura intérêt à poster la suite :p
Quelques coquilles, mais rien de bien pénalisant.


Troisième texte:
80/100
J'aime bien l'ambiance qui s'en dégage. On voit que le texte a bien été travaillé, et pour cela, je lève ma coupe de vin de Gaza.
 

DeletedUser7903

Guest
Je commence, j'vais éditer. Stresse pas mon p'ti Nyctal :D


EDIT :

Bon allons-y.

Déjà un grand bravo à tout les participants pour leurs textes.

Texte 1 :

L'histoire est intéressante. Une trame faiblarde, qui aurait mérité d'être mieux travaillé, mais en soit le fond est intéressant.

Au niveau des points négatifs, ils sont malheureusement nombreux et dommageables : la syntaxe faible, la formulation hasardeuse font que je bloque de temps en temps. L'orthographe est un gros point à revoir également, c'est dommage.

Je note : 50/100

Texte 2 :

Une histoire sympathique dans le fond. J'aurais vu un peu plus d'action, mais ça c'est un avis complétement personnel. On remarque un fond bien travaillé.

Pour les points négatifs : formulation et syntaxe également faible. Quelques petites fautes d'orthographe.

Je note : 70/100


Texte 3 :

Bluffé par l'histoire. Entraînante, agréable et fraîche. On a presque l'impression de s'immerger dans le récit.
Vocabulaire recherché, récit envoûtant.

Un peu léger sur quelques syntaxes et formulations (il faut bien des points négatifs, non ?).

Je note : 80/100

Encore mes félicitations pour votre participation.
 
Dernière édition par un modérateur:

DeletedUser

Guest
Je n'ai lu que les textes en diagonale et uniquement le style et l'orthographe vont intervenir dans ma cote

ludere, ça me gênerait de prendre en compte tes notes...T'imagine, t'es en entretien, et le mec en face il te dit "j'écoute une phrase sur trois pour vous jauger " ? C'est pas top :/



Allez les gens, un peu de motivation, on vote !
 

DeletedUser11638

Guest
De même.
Franchement, au vu du temps qu'on a passé dessus, le temps que vous prenez pour une note ne vas pas vous gâchez la vie ;)
 
Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.
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