Participations au Concours d'Avril 2010

  • Auteur de la discussion Memosia
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Texte n°1


Bonjour , je vais vous raconter la création de ma ville dans la Grèce antique.Quand je suis arrive sur mon île j'ai vus qu'il y avait plein de personnes super forte et c'est la que je me suis dit:
-je veux devenir comme eux.
Et la j'ai commencé a explore mon île ,sur celle ci il y avait:
des villages de paysans et encore plus de cité plus forte les une que les autres.
Alors j'ai commencé a developé ma cité (athène) ,j'ai d'abord construit une carrière puis une scierie mes revenue de bois et de pierres explosés.
Quand tout a coup j'ai eu l'idée de faire une mine d'argent alors au lieu d'avoir que du bois et de la pierre j'ai eu ... de l'argent.
A et aussi la caserne elle était toute petite au début mail maintenant il y a pleins d'épeiste ,de frondeurs,d'archers,d'hoplites,de cavaliers,de catapultes,de chars et même des minotaures et des manticores parce que j'ai un temple et je vénère ZEUS maître des dieux.
Et aussi élément de base l'entrepôts c'est la ou l'on peut stoquer la pierre le bois et l'argent plus l'entrepôt et grand plus on peut stoquer des ressources.
J'ai aussi un port pour construire des bateaux comme le bateau de transport rapide ou le brûlot, et aussi le birème etc... .
Comme bâtiment il y a ensuite académie c'est la ou on peut faire des recherches cela sert beaucoup pour la bon devellopement de la ville.
Et aussi le marche il sert a beaucoup de chose, on échange nos ressources avec lui.
J'ai même un théâtre dans ma ville cela divertie ma population.
Oh j'allais oublie de vous dire a quoi servait la ferme elle sert a nourrir les ouvrier et les troupes plus sont niveau est élevé plus il y a d'habitants dans notre ville.Il y a aussi les remparts très important pour protéger la ville.
Bon il y a aussi la grotte a utiliser avant d'attaquer sinon cela sert a connaitre le nombre d'unité de l'ennemie.
Mais aussi dans ma ville j'ai une statue d'Athéna qui sert a vénérer les dieux et aussi des tours qui sont l'amélioration des remparts elles protegent encore plus des ennemis qui attaque la cité ou encore un phare qui sert a augmenter la vitesse de mes bateaux en mer mais aussi des thermes qui servent a amélioré l'hygiène dans ma cité, une bibliothèque qui me permet d'approfondir les connaissance de ma cité ,un oracle qui sert a avertir quand on vous espionne et un comptoir commercial pour augmenter la rapport commercial avec les paysans.Voila la description de ma cité.
 

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Texte n°2


Le vent nous poussait depuis vingt jours et nous n'apercevions toujours pas de terre. Deux de mes camarades de mon équipage étaient partis dans cette aventure, nous n'étions plus que huit, dont moi, le navigateur. Notre navire portait les couleurs de la Grèce, nous voyagions là où personne n'était encore venu. Les vivres étaient presque finis et notre dernier baril d'eau potable était à moitié vide. je n'avais plus le droit à l'erreur, la survie de mon équipage dépendait entièrement de moi. Si nous n'atteignions pas une île d'ici deux jours, il en était fini de nous.

C'était la nuit, le désespoir m'empéchait de fermer l'oeil. Je pris mes cartes, alluma quelques bougies et me mis au travail. Pendant des heures, j'esseyais de nous situer dans ce maudit océan. Au matin, lorsque je sorti de ma cabine, une brume épaisse régnait sur la mer. Le silence total, les autres dormaient encore. La trière était en piteuse état, du vomi, du sang, des restes de nourriture avarié et plusieurs rats morts gisaient sur le pont. Je sortis ma longue vue, en quête d'un continent. La brume n'arrangeait pas les choses : impossible de voir au travers. Découragé, je tournais en rond sur le pont lorsque que j'entendis quelqu'un crier une sorte de beuglement. Le cri venait d'en haut, un matelot était dans la capsule en haut du mat, je montais vers lui. Je lui demandis si il voyait quelque chose, peut être un endroit où l'on pourrait accoster. Il me tendit sa longue vue. L'ombre d'un navire se dessinait dans la brume. Nous navigions plus rapidement et la distance qui nous séparait de lui diminuait. Maintenant, nous étions à une distance telle que, tout en restant caché dans la brume, je pouvais l'observé du haut du mat. C'était un petit bateau de commerce sparte. Je ne pouvais pas distinguer combien de personnes étaient présente, ni quelles étaient les marchandises, mais je savais que les bateaux de commerce, petit comme celui là, n'étaient pas bien protégés. Après avoir réveillé tout l'équipage et un humble repas, dans le silence, nous nous préparâmes à aborder les commercants. La brume était de plus en plus fine et l'écart entre les navires, de moins en moins long. Il devait être midi lorsque notre cannonier explosa le gouvernail des spartes. Ils étaient seulement cinq à bord et peu armé, ils ne cherchèrent pas à se défendre : ils n'avaient aucune chance de rivalisé face à notre trière. Heuresement, ils transportaient des vivres : de la viande seché, des fruits et légumes ainsi que leur réserve d'eau. Nous les embarquâmes sur notre navire.
Nous accostâmes, vingt quatre jours après notre départ, sur une île déserte et très montagneuse. Les conditions n'étaient pas propices au développement d'une grande ville, mais étaient parfaite pour un comptoir commercial. Après avoir cartographié et exploré l'île, nous reparions vers Athènes pour faire part aux grecs de mes découvertes.

Aujourd'hui, quinze ans après ce long périple, un grand village commercial grec étalé sur toute la côte réside sur l'île.
 

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Texte n°3


Un beau jour en soleillé, alors que je surfais sur les vagues d’internet je tombai nez à nez avec une fabuleuse contrée, celle de Grepolis. Je me demandai à quoi pouvait bien ressembler ses habitants et au fur et à mesure que je m’aventurai, je remarquai que ses habitants étaient très spéciaux et de loin pas tous pareils ! Certains décidaient de s’allier face à d’autres joueurs, d’autres possédaient déjà plusieurs villages, et d’autres avaient même déjà abandonné le leur ! Puis, je décidai de m’en construire un dans ce fantastique monde.

Au début, je trouvais que ma ville était extrêmement petite par rapport à celles des autres joueurs classés sur le podium ! Ainsi, je décidai de commencer à perfectionner mon village en améliorant très vite ma production de ressources et ma ferme pour peut-être un jour pouvoir posséder plusieurs villages… Ensuite, je décidai d’aller faire connaissance avec certaines des personnes de mon île. Elles me parurent, pour la plupart, vraiment très sympathiques et avec elles, nous commençâmes à devenir de très bons amis ! Mais d’autres joueurs, moins sympathiques à mon goût, ne m’inspiraient pas confiance. Je décidai donc de ne pas trop m’en approcher… D’autres encore furent tout de suite d’accord avec moi pour que nous nous fassions la guerre !^^Les jours suivants, tout allait pour le mieux et je construisis mes bâtiments.

Un jour une grande alliance me proposa de faire partie de leur merveilleuse et puissante alliance. J’acceptai immédiatement. Depuis, j’ai « quitté » mon alliance pour créer une sous-alliance dont je suis le chef. Nous parcourons le monde pour nous faire des amis (mais quelques fois aussi des ennemis…). Grâce au développement rapide et très défensif de mon village, je pourrai bientôt en offrir un nouveau à mon peuple...

Et c’est ainsi que je commençai cette fabuleuse aventure qui, je l’espère, continuera pendant encore longtemps.
 

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Texte n°4


Bonjour, alors j'ai découvert grepolis grâce à un ami qui y jouait devant moi. Il me dit " inscrit toi tu verras c'est bien quand tu es dedans" et moi je trouvais sa au départ "nul" bref...Un soir je savais pas quoi faire et je me suis dit bon sa me coûte rien de mit mettre... J'ai commencer par augmenter mon Sénat car j'ai vu qu'il l'augmentait, ensuite ma ferme, que je ne savais pas a quoi cela servais. Puis je lança pour la première fois mes troupe attaquer un VILLAGE PAYSANS. Mon ami ramenait dans les 600 Butin, et moi je croyais qu'avec 6 soldat a l'épée j'allais ramener 600 Butin, donc quand il sont revenue j'ai vue 10 bois 12 pierre 6 pièce d'argent et la je me suis dit comment on fais pour avoir plus de Butin et plus de soldat...Le lendemain je dit a mon ami que je me suis mit à grepolis, Alors là il était trop content mais me disais: "alors tu vois quand on y aie"... Le soir je commença à m'organiser pour la suite des chose^^ Je fit mes petite fiche avec mes petite choses a augmenter^^Je n'avais pas vue qu'il y avais des points -_-' mais bon c'est pas l'importance d'être devant l'un ou devant l'autre qui va faire avancer les choses ( voici deux ami qui fait cela ^^ ). Puis au bout de 7jour ( il y a plus la protection des débutant ) je commence enfin a attaquer une ville qui n'avais pas bougé depuis 7 jours (221 points) et là, la grande surprise qui va gagner (avec 22 soldat à l'épée 12 frondeur et 2 archer) et la je suis surprit j'ai perdu 7 soldat à l'épée 6 frondeur et 1 archer oinoin ='(. il me ramène 30 bois 50 pierre et 35 pièce d'argent ( j'arrondie). A la suite des choses je me retrouverai avec 500 point j'étais heureux (pour mon niveau -_-'). Ensuite je commence a bien augmenter pour avoir le port et le temple (oui absolument ^^) pour pouvoir attaquer des villes au alentours et pour pouvoir vénérer Zeus ( Oui peut-être que d'autre personne auraient choisit une autre personne^^ ). Quand un jour on ma attaquer, qui fut d'ailleurs la dernière XD, alors j'étais connecter et qu'est-ce que je fut^^ je levas la milice ( Il se sont fait tuer par tout mes bonhomme ). Me voila enfin au alentours de 1000 personne sur mon îles avait atteins se niveau...Le sénat niveau 16, la scierie niveau 15, mine d'argent et carrière aussi, port 3, académie 7, ferme 11, caserne 5, Temple 3, entrepôt 7: et me voila au stade de 1460 POINTS ( qui est peut pour le premier vous aller me dire...) et voila que mon email et fini je vous fait mes sentiments et Très bon jeux à touts et à toute bonne soirée et a Très bientôt pour un concours autant délirant^^.....
 

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Texte n°5


J'arrivis sur l'île, calme, aussi silencieuse que l'eau de la mer Méditerranée, Un batisse était déja là, ce qu'on appelait un Senat. Il nous servit de mur porteur afin d'aménager d'autres bâtiments, étant plus complexifié les uns que les autres, les uns servaient a la lecture très importante, les autres servaient a nourir et à faire vivre ce petit village qui se construisait petit à petit.
Mais ce petit village a un jour construit ce qui a mon égard est le plus important, la caserne !
Elle sert a former des unités, qui eux vont protéger la cité d'une guerre iminente ou alors rare, les bâtiments construits en premier, était le senat qui était déjà là, la mine d'argent, la carrière, la scierie, et la ferme étant déjà là aussi, ensuite il y a eu le marché, les remparts et tout ces bâtiments plus fou les uns que les autres ayant un but. Ayant fini mes bâtisses les plus facile a construire, je me lançais dans la construction des autres bâtiments, dans une curiosité totale ne sachant pas a quoi les autres technologie pourraient servir, et c'est ainsi que des mois et des mois passèrent ou j'améliorais les bâtiments que j'avais déjà construit afin d'en construir d'autre, en étant toujours aussi curieux. C'est ainsi que j'eu ce qui à mon avis, est une des expériences la plus réjouissante, la construction d'un navire de colonnisation, nous permettant de voguer, et aller construire d'autres villages, pour tout recommencer, le senat dès le début, et ainsi de suite....
Arrive aussi le temps, ou les dieux protègent la ville, car la religion est très importante, c'est pour cela, que je fut en toute hâte la statue divine servant a augmenter les grâces rendu aux dieu afin d'assurer que mieu, la protection du village. Je finirais donc par la bibliothèque, point où je suis rendu, batiment servant, a améliorer:
- le moral
- la culture
et donc tout simplement améliorer la vie du village en lui même !
C'est aisni que ce fini la courte épopée de mon village, qui n'a pas fini de grandir pour avoir d'autre village, et étendre mes conquètes, jusq'au jour, ou quelqu'un ayant une curieusité aussi intense que moi pour cette vie quotidienne passionante, la relève de tout ces travaux fais avec bon coeur.
 

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Texte n°6


Voilà des mois que nous naviguons, nous ne savons plus où nous sommes, nous ne savons plus qui nous sommes, le brouillard et la tempête nous aveuglent. Les vivres viennent à manquer, l'eau est devenue une denrée plus rare que l'or, Nous naviguons en silence, plus personne ne parlent depuis longtemps, car depuis longtemps, nous savons que nous allons mourir. Je m'appellent , je suis gouverneur de , la ville de toutes les merveilles, Moi et mes hommes nous sommes embarqués vers l'inconnue pour découvrir de nouvelles terres, car nous avons mis au pas toutes les cités nous environnant. Nos hommes ne pouvant plus avancer à cause des mers, Nous nous sommes résignés à partir vers le large. Selon les anciens, de magnifiques terres nous attendraient là-bas.

Mais maintenant, c'est la fin, pas de terre en vue, plus assez de vivre pour faire demi-tour, Nous errons dans le brouillard comme un bateau fantôme agonisant... Nous savons tous que nous allons mourirent, notres arrogances de conquête vas nous perdres... J'écris ce journal car il y a six jours, nous avons fait le serment de couler ce bateau dans une semaine si nous ne trouvons pas de terres, ainsi nous pourrons conserver notres honneurs
et mourirent en guerrier. La nuit qui conduira au septiéme jour s'achève et toujours rien. Personne ne dormira cette nuit là.


Il est environ dix heures du matin, les hommes se sont rassemblés sur le pont, dans deux heures, le fond de la cale sera percé à coup de hache.
Cette nuit, huit hommes ce sont données la mort en s'ouvrant les veines car ils ne pouvaient plus attendrent. La vigie là haut observait l'horizon, avec un dernier espoir naîf. J'avançais entre les rangs de mes hommes armé d'une hache. C'est vétérans, ces braves soldats, ces courageux guerriers, vont périrent sans qui l'ons ne puisse rien faire. Je compris alors qu'attendre plus longtemps serai une torture, je serrai ma hache à m'en blanchir les phalange puis je la soulevai, lorsque la vigie s'écria :
" Non ! Attendez ! Il y a quelque chose là-bas !"
Mes hommes ne bougaient pas, ne voulant pas avoir de faux espoirs.
" n'essaie pas de retarder l'heure fatale, c'est la fin."
"Je vous jure que je vois quelque chose !"
Mes hommes commencérent à réagir, à se diriger vers la proue pour mieux observer une éventuelle terre providencielle. Je montai sur le nid de pie pour verifier les dires de l'hommes, Ma joie fut grande lorsque j'aperçus des formes grisâtres se dessiner non loin de là. En effet il y avait bel et bien quelque chose! Mes hommes hurlérent de joie ! Nous criâmes de bonheur des heures durants. Nous pouvions maintenant aperçevoir nettement les falaises qui nous sauverent.



Nous avons enfin accostés, nous nous sommes jetés sur la plage et avons embrassé le sable! Nous avons ensuite décidé de nous organiser pour survivre, nous autres, grecs, savons nous debrouiller dans ce genre de situation et avons pris les choses en main :

Le bateau fut amené sur la plage, une équipe partit chercher de l'eau, une autre de la nourriture et certains firent le feu. L'eau revint rapidement et nous bûmes avec grande soife, mais l'équipe partit chercher la nourriture tardait. Enfin, un homme qui faisait partie de l'expedition attendue revint et expliqua les choses suivantes :

Ils avaient découvert une falaise amenagée avec soins et plusieurs ruines de bâtiments récents ainsi que plusieurs villages habités par d'humbles paysans.
Mais ce n'était pas tout : ils avaient aussi découvert d'autres cités déjà dévellopées à un jet de pierre de là.

Nous étions heureux de savoir que nous allons bientôt rencontrer d'autres humains. Nous nous rendîmes sur place et rencontrérent l'autre équipe qui discutait avec les paysans qui semblaient parler notre langues. Ils nous apprirent qui l'île n'était qu'une île parmi des centaines d'autres îles toutes peuplées aussi fortement. Ce fut un choc pour notre amour propre, nous qui nous croyons les maître du monde ! Nous n'étions qu'un point minuscule sur la surface du globe!

Je rassemblai mes hommes sur la plage pour décder de ce que nous allions faire, certains voulaient repartir et revenir mieux équipés, d'autres refaire la vie sur ce lieu. Il fut décidé malgré beaucoup que nous resterions et que nous rehabiterions et reconstruiserons les ruines sur la falaise.

Le travail fut laborieux et mémorable, nous avons construit ce que nous appellons un sénat, ainsi qu'une ferme,une carrière de pierre, une scierie et même une mine d'argent. beaucoup d'ouvriers paysans nous ont rejoints, nous planifions pour bientôt une muraille et une caserne! Le travail avançe vite, je suis fière d'être le gouverneur de cette ville que j'ai décidé de nommer .

Mais nos rapports avec les cités voisines se déteriores, et je sens que nos armes ne vont pas tarder à resservir... Nous sommes prêts... pour la guerre!


Merci d'avoir lu, j'espere que vous voterez pour moi ! Désolé pour les fautes d'orthographes ^^
 

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Texte n°7


Histoire d’un colon
Dans bateau transperçant la houle, des hommes, des femmes, des enfants aperçurent une île illuminée par la grâce des dieux de l’olympe. Ces personnes dont j’étais le compagnon de fortune décidèrent de construire leur cité.

C’est ainsi que le sénat fut construit le premier pour assurer la démocratie et éviter tous despotisme insufflé par le souffle trompeur d’Ares. Comme le disent certaine personne seul l’autosuffisance de matériaux et de denrées permet l’essor d’une ville et c’est ainsi que les ressources de cette ville furent exploitées par de valeureux citoyens mais malgré l’envie de paix, la cité foisonnante due se doter d’une caserne pour s’assurer une relative sécurité et de remparts pour voir venir et repousser les créatures maléfiques et les humains que seule la cupidité permet de leur offrir jouissance. La colonie se développait à son rythme jusqu’au jour d’autres êtres civilisés de l’île et d’autres personnes venant de l’immensité rêveuse de la mer ont proposé à la cité de rejoindre leur alliance où la paix, l’essor économique, et l’ouverture sur le monde prédominait sur d’autres <valeurs> que seules la folie et la barbarie privilégiaient. Au contact des autres membres de l’alliance, la cité acquit un savoir qu’il fallait compléter par la recherche dans l’académie qui fut construite avant la construction d’un édifice primordial pour toutes civilisations monothéistes ou polythéistes : le temple. Ce temple vénéra et vénère toujours la déesse à l’effigie de la cité Héra. Malgré l’effort des citoyens, l’île paradisiaque manquaient d’argent, c’est ainsi que les instances dirigeantes de la cité votèrent pour la création d’un marché où l’on pourrait échanger de la pierre foisonnante sur l’île avec de l’argent. En concert avec les militaires, les marchands créèrent un port où bateaux de guerre et bateaux marchands se croiseraient.
Ce court texte est le prémisse de l’histoire d’une cité qui j’espère rentrera dans l'histoire.
 

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Texte n°8


Journal du capitaine de la Pinta et de la Nina :
2 mars, 15h45
Nous sommes en mer depuis 3 semaines. Nous n'avons pas vu une ile de libre. Aujourd'hui, nous avons apercu une île. Ce soir, nous débarquerons. Cette fois, nous nous installerons au péril de nos vies. Nous prendrons une ville s'il le faut ou nous fonderons la notre.

3 mars, 17h00
Enfin, nous sommes arrivés. Nous avons commencé à fonder un camp. J'ai fait le tour de l'ile et je n'ai rencontré personne. Enfin une île non habitée. Nous avons commencé à construire les premiers batiments. Les animaux que nous avions embarqué ont integré la grange. Le bois est courant chez nous. Nous avons commencé à construire les habitations. Ce soir, nous passerons notre première nuit dans NOTRE ville.

4 mars, 19h00
Les constructions avancent très vite. La ferme est finie ainsi que les premières habitations. Demain, nous nous attaquerons au Sénat et à l'académie. La carrière se vide. Il faudra bientot en trouver une autre. L'argent s'épuise aussi. Bientôt nous creuserons plus loin. Heureusement, il reste encore beaucoup de bois. Aujourd'hui, je suis allé faire un tour à l'intérieur de l'île. J'ai découvert 2 villages de paysans. Demain, nous installerons notre loi et un impôt.

5 mars, 18h00
Nous avons bien arrosés hier les premières constructions. La protection d'un toit et la chaleur fut agréable cette nuit. Sénat, académie, caserne, tout l'essentiel est construit. Nous allons enfin pouvoir nous reposer. Dans 2 semaines, nos femmes et nos amis arriveront. Nous devons préparer une fête en leur honneur. Demain, quelques-uns de mes hommes iront dans les villages voisins afin de recueillir le premier impôt.
 

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Texte n°9



Compte rendu de notre arrivée sur l'île, ans 200 de Zeus
Ce fut une découverte formidable que nous avons reçu lors de notre arrivée sur l'île à croire
que Poséidon avait béni notre voyage ! Ce fut donc avec avidité que nous commençâmes de
construire notre village. Pendant que ces très chères ouvriers s'attardaient à la construction de
la ferme, moi et mon équipe de combattant à l'épée nous sommes allés visiter l'île. Une rumeur
courait à propos de cette île.... Un homme m'avait dit dans le passé que des villages de paysans
remplis de ressources se cacher dans la forêt. Moi et mon équipe ne furent bien sûr pas surpris
de constater le mensonge face à l'existence de ces villages. Nous décidâmes donc de faire demi-tour
et de rentrer pour s'attarder à la construction de notre empire. Puis soudain un homme qui nous
accompagnait nommé Spartacus attira mon attention sur le bas côtés de la colline. En me penchant
légèrement je vis en effet de la fumée qui s'échappait de petites maisons. Exitus un combattant qui était avec nous
me suggéra sur le champs de descendre pour de quoi il s'agissait. En descendant de la colline j'ai le souvenir d'avoir parlé à un
mouton mais je devais avoir trop forcé sur le fabuleux liquide rouge de Dionysos en arrivant pour fêter
notre arrivée. Une fois arrivait en bas, moi et mes hommes arrivâmes enfin devant ce village de paysans
je fus alors étonnais de voir avec qu'elle courage ils ont défendu leur ressources ..... Ils se sont cachés derrière
le temple d'Arès! Puis après avoir pris une bonne partie de leurs vivres nous vîmes un aigle qui volait
dans le ciel , surement un signe de Zeus pour nous indiquer que nos ouvriers restaient au village, avaient besoin
de nous. A notre arrivée au village nous fûmes ravis de constater que la ferme était achevée. Mais
malheureusement les mines et la scierie restaient à construire ! Je n'en avais que faire, je n'avais qu'une
hâte: posais mes petites fesses bien rondes et fatigué sur mon magnifique trône dans le Sénat. A l'heure
où je vous parle je l'attends toujours ce trône.... Néanmoins aujourd'hui mon village et prospère et je suis
content de voir que des archers et des hoplites sont arrivés sur mon territoire une guerre est donc peut-être
envisageable ...
 

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Texte °10


Récit d’une lettre trouvé quelque part en Grèce.


Nous voici au VIIIe siècle av. J.-C.

Je me nomme Thanos, jeune fermier vivant à Ephesus.


Tout à commencer un beau matin…

J’avais enfin pris la décision de partir de ma terre natale et pris la mer à bord d’une petite embarcation avec une grande idée : Créer une cité

L’air était frais et humide, la mer était calme et le soleil brillé. Au loin je distingué des formes de terre. Ceci fut le début de mon voyage.

Après plusieurs jours de navigation et de recherches infructueuses, mon moral était au plus bas ainsi que mes réserves de nourritures.

Cependant au loin, j’aperçus une île d’une petite taille , mon embarcation prenait l’eau , je n’avais le choix , il fallait accoster. .Je ne savais pas ou j’étais , ni ou j’allais débarqué. Plus tard cette île aura pour nom Delos, crée par Poseidon grâce a un coup de trident à la demande de Zeus.

Après avoir accosté, le ciel changea très vite , il se mis à pleuvoir et des rafales de vent vinrent me fouetter le visage ,je regarda la mer déchaînais , et compris que l’île par mauvais temps était quasiment inaccessible.

Il me fallu moins d’une journée pour faire un tour de l’île complet, et je compris que je n’était pas tout seul . Plusieurs petites cités étaient présentes sur les bords de l’île.

Je découvris un village de paysans ou j’y décida de former ma cité. Les villageois curieux et admiratif de voir un étranger écoutere mon histoire et ma vision future de leur petit village.

C’est ainsi que je fus nommer Chef du village.

Après quelques jours sur l’île ma priorité était de faire accroître la production des ressources telle que le bois, la pierre et l’argent pour ainsi progresser plus vite. Ensuite nous avons construit des remparts pour nous protéger d’éventuelles agresseurs.

Je suis vite arriver à la conclusion qu’ils nous fallait des soldats pour pouvoir nous défendre et bien entendu attaquer. Une caserne fut construite pour permettre la formation des soldats.

Après que deux douzaines d’hommes furent entraîner , je les ai envoyé pillé des villages voisins constitués de paysans inoffensif. Grâce à ses ressources, nous avons pu construire un marché et une académie. L’académie nous a permis de développer de nouvelles compétences dans le combat et dans l ‘économie grâce à des penseurs et des visionnaires.

Apres plusieurs mois de prospérité, un message arriva. Une cité voisine et surtout puissante me proposer une alliance , je compris à ce moment la qu’avoir des alliés pouvait être très bénéfique. Nous avons commencés une série de pillages intempestifs sur plusieurs des cités environnantes nous faisant progresser rapidement. Mais la soif de pouvoir et de domination était trop forte. Plusieurs îles se trouvait a quelques nautiques , des îles fertiles pour étendre ma cité.

Je construisis un port avec des navires de transport ,et quelques birémes.

Ma cité était a son apogée, j’avais construit un temple pour vénèrer les dieux et avoir leur faveur mais hélas , tout ne se passe pas comme prévu..

Venus d’une île proche (Rhénée) un adversaire avec une armée immense vint m’attaquer..

Après plusieurs assauts meurtriers, ma cité était en flamme et mon armée décimé.

L’assaut final allait être lancé et la ville prise par l’ennemi.

Alors que je m’échappais in-extremis par la grotte prévus a cette effet. Une flèche était venus transpercer mon abdomen.

Après plusieurs minutes de marche , je me retourna et vit ma cité détruite.

Je lance et un regard vers le ciel, triste ..c’est la fin.. je reste un long moment à écrire mes mémoires.

Voici mes dernières paroles…


« Une marre de sang est à mes pieds et je sens mes derniers instant venir. »


« Puissent quelqu’un trouver cette lettre et ainsi raconter mon histoire… »


Thanos
 

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Texte n°11


L'exode des Tyriens




D’un cri damné la prêtresse déchira le voile de sommeil qui recouvrait la cité de Phénicie. Les traits déformés par la terreur, elle se rua de porte en porte jusqu’à l’agora, annonçant dans une litanie saccadée la chute de la cité. Ses cheveux défaits flottaient autour de sa figure comme une couronne d'ombre, tandis que ses yeux scintillaient, blanc de nacre. Elle présentait dans sa transe tous les traits de la folie.


Sifflant tantôt, priant et sanglotant tour à tour et enfin esclaffant, elle annonçait la venue de chimères à tête de lion prêtes à réduire en cendres ceux qui s’étaient convertis au nouveau panthéon. Beaucoup placèrent foi en son incroyable récit. Mais les élites toisaient avec mépris la superstition de la plèbe. Qui oserait donc s’en prendre à la radieuse cité de Phénicie, au commerce florissant à travers les sept mers et aux doctrines héritées des mystères anciens ?


Le roi Tyrden restait muré dans le silence. Il savait combien Pharaon convoitait l’opulence de ses greniers et la finesse sans pareille de ses arts. Redoutant une invasion il envoya ses cavaliers infiltrer les rangs adverses. De cette foule de héros ne revint qu’un unique messager. Grièvement blessé, il alerta Tyrden de l’écrasante puissance des armées de Pharaon, en marche à travers le désert. Des milliers d’hommes à perte de vue, dont certains si décharnés que l’espion dit les avoir vu sortir tout droit des sables de l’Erèbe. Parmi eux des monstres ailées, des lions crachant du feu. Malédiction !
Pharaon avait déchaîné la colère de Sekhmet la Puissante et il allait détruire avec elle nos comptoirs, s’accaparer notre science pour sauver sa civilisation du déclin.

Jamais Tyrden ne laisserait les Egyptiens déchirer les familles et réduire son peuple en esclavage.


Au zénith, l’armée de Sekhmet approchait déjà. Tyrden gravit alors les marches qui menaient à l’obélisque de pierre blanche. Il demanda qu’on la brise sur l’instant et s’assura qu’on lui obéît avant de se rendre aux falaises surplombant les flots. Implorant la clémence de Poséïdon, le bon souverain lui demanda de ralentir les armées du désert le temps que son peuple prenne la mer. Puis il se jeta sur les rochers où se brisaient les vagues, et l’on dit que son corps, au lieu de s’écraser, se changea en écume.
A la lisière de Phénicie le sol s’ouvrit sous les pieds des soldats de Pharaon. Mais les chimères fondirent depuis les cieux pour incendier de leurs langues brûlantes le Sénat et l’académie si chère aux yeux des Phéniciens. La débâcle fut absolue, le sang des érudits maculait le pavé. Les guerriers de Tyrden se jetèrent dans la bataille. L’ennemi était trop nombreux, l’issue du combat avait déjà était tissée par les Parques.



Les sujets du royaume se ruèrent vers la côte comme un seul homme sur une planche de salut. Les embarcations qui mouillaient prêt des quais débordaient de femmes et d'enfants qui se noyaient dans la rade...

C’est ainsi que douze navires eurent le temps de quitter le port avec la marée du soir avant que Pharaon n’investisse la cité. Sekhmet lança ses flèches ardentes sur les Trièmes glissant sur l’horizon ; sans succès, car un trident surgit des eaux pour épargner les survivants.
Jetés dans les tourments de l’exil les Phéniciens errèrent sans boire ni manger durant des semaines. Le peuple orphelin de son roi dut s’en remettre à la gouvernance du Prince héritier de Tyrden, et à l’intuition de la haute prêtresse Cordélia qui rendit le souffle après avoir guidé les bateaux jusqu’à une île volcanique. Cette île était un sanctuaire, entourée de récifs tranchants comme les griffes de Méduse, et cernée des courants les plus traîtres, elle semblait toujours noyée dans la brume. Seuls les partisans de Poséïdon devaient pouvoir l’approcher.




Ici le peuple trouverait la force de panser ses blessures. Sur cette terre bouillonnante de colère, il ruminerait sa vengeance. Le sol riche en argent permettrait de forger des armes redoutables. Le sang des marchands s’était mué en rage guerrière, prête à balayer tous les obstacles qui se dresserait sur sa route ; avec pour maxime : "Le sang versé ne sèche jamais".



On raconte depuis lors dans les îles alentours que le corps de Cordélia repose intacte sous un suaire issu de la toison des Chimères vaincues de Sekhmet, entouré des colonnes du temple de la nouvelle Tyr. Les habitants croient que cette relique les protègera en cas d’attaque. Quant au Sénat les ouvriers le bâtirent en utilisant un marbre dont l’enduit avait été mélangé aux fragments de l’obélisque abîmé par Tyrden. Tous les enfants Phéniciens sont ainsi les porteurs de cet exode mythique.
On dit aussi que dans les eaux noires de la lagune des Tyriens se tapis un hydre marin, monstre capable d’entraîner par le fond toute une flotte de Birèmes, et qu’ils le nourrissent du sang des vierges enlevées aux rivages de l’Ifrykia.
 

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Texte n°12



Mon installation sur Grepolis


Je dédis cette page aux nouveaux pour qu’ils se développent d’une manière efficace… J

Tout d’abord je dois remercier un ami de m’avoir présenté Grepolis car c’est un très bon jeu. Cela fait maintenant deux semaines que j’y joue.

Lors de mon installation, j’ai pris une direction au hasard dans le monde Béta. J’ai développé mes ressources et commencé à me faire une petite armée d’environ 15 épéistes les premiers jours.

Heureusement pour moi, j’ai vite trouvé une alliance puissante (dans les 50 premiers du classement alliance !! J ) et proche de moi. J’ai ensuite construit des remparts, une grotte puis enfin une académie en une semaine environ. J’ai très vite cherché à agrandir mon armée (sinon j’étais sûr de me faire attaquer et piller régulièrement), et pour cela j’ai du effectuer quelques améliorations : frondeurs, archers et hoplites qui demandent des recherches spécifiques. Il a fallu que je fasse cela tout en continuant à développer mon sénat (au niveau 12) pour réduire les temps de construction, mes ressources (au niveau 13 pour chaque ressource) pour subvenir à mes besoins de plus en plus importants et ma ferme (au niveau 10) pour pouvoir agrandir encore et encore mon armée. J’ai été assez motivé par le classement car comme je me développais vite, je gagnais des points par dizaines et des places par centaines ! Au bout de 12jours, mon armée était constituée de 25 épéistes, 10 frondeurs, 15 archers et 10 hoplites.

Je me suis ensuite fixé comme objectif de faire un marché afin de pouvoir commercer, ce qui m’a obligé à développer une grotte et donc à dépenser beaucoup de pièces d’argent, puis un port pour me défendre ou pour attaquer par la mer et même coloniser mais hélas ! Ma deuxième ville sera surement créée quand j’aurais environ 4000 points et je n’en suis qu’à 1300 !! C’est donc un rêve pour l’instant inaccessible… K

Maintenant, mon but est de construire un temple et je dois me concentrer sur l’évolution de mes remparts, ce qui coûte très cher en pierre.
 

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texte n°13



Garre au combat.
quand je suis arrivé sur l'ile j'étais émerveiller pas cette grande découvert alors j'ai décider de former un village et aujourd'hui je suis près pour la guerre ultime j'ai rejoind une alliance mais je ne vénere pas encore les dieux.Au début sur l'ile j'avait peur de me faire attaquer par d'autre ville mais j'avais le courage.Mais envain aujourd'hui je suis puissant comme deux loup dans deux bataille ultimesque.
Un jour je me fit attaqué par une orde de soldat au début je n'avait pas peur mais au moment ou ma ville fut détruit je m'enfuis a tout vitesse alors j'alla sur une autre ile (tranquille) j'etais en larme toute ma famille , toute ma ville.
Je me créaire une autre ville mais j'était seul alors je parta dans la forçet de l'ile ou je trouva un village ou je me joigna.alors un jour avec cette ville nous attaquions la ville qui m'avais attaqué a l'époque
j'u de nouveau mais nous détruisions la ville avec panache .Nous avions gagné.
alors nous fesion une fête dans notre village.
nous étions heureux comme des animaux a pellage
Je fit la guerre pendant cent ans sans mourrir j'était un hero nous avion un port, des thermes,une caserne, un temple,une place marchande,un sénat,une ferme,une scirie, une mine d'argent,une carrière une théatre,un phare,desrampart,une tour,une bibliothèque...
 

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Texte n°14


Il était tard le soir, une armée revint avec énormément de blessés. Alors un homme étrange s'avança lentement vers eux. Ce vieux sage raconta l'histoire du village aux jeunes soldats désemparés pour leur remonter le moral.
J'étais âgé d'une vingtaine d'années, mes compagnons et moi-même partions en mer en quête de richesse. Malheureusement, nous fûmes pris dans une terrible tempête. Poséidon était-il contre nous? Notre bateau s'échoua sur une île probablement abandonnée, malgré toutes les mésaventures, aucun de mes hommes mourut. Nous avions décidé d'installer notre campement sur la plage, nous avions préalablement pris les provisions restantes sur notre navire. Le lendemain matin, la marée montante emporta l'intégralité de notre camp.
L'homme toussa longuement, il était à bout de souffle. Ce n'était pas dans ses habitudes de parler aussi longtemps... Une dizaine de minutes plus tard, il reprit:
Sans nourriture, sans outils, comment allions-nous en sortir dans un monde inconnu? C'est alors que nous avions décidé d'aller explorer cette terre. Nous voulions savoir où nous nous trouvions, donc nous nous dirigions vers le plus au sommet de cette région. Arrivés en haut et épuisés, nous nous sommes rendus compte que nous étions sur une île ! Une immense île comportant exactement 19 villages hostiles ! Mais le plus incroyable, nous résidions dans un archipel !
Nous construisîmes un nouveau village près des côtes. Mes hommes et moi fûmes cruels avec les villes paysannes des alentours. On les pilla, viola les femmes et engendra une colonie de bâtards. Ceux-ci devinrent de fiers combattants. Notre village prospérait, nos bâtiments s'étendaient, notre armée était redoutée. Nous étions les plus puissants de l'île !
Le vieux sage se racla la gorge, voulant à tout prix terminer son histoire. Il reprit:
Puis les dieux étaient contre nous, nous étions tellement redoutés, qu'ils craignaient que les civilisations entières deviennent des renégats... Ils se déchainèrent sur notre village ! Zeus envoya les foudres sur nos bâtiments, Poséidon coula nos bateaux ! C'était le chaos... Nos citoyens fuyaient, se marchaient les uns sur les autres... Le désordre finit après 7 jours...
Nous n'étions qu'une poignée de survivants, tous affamés, blessés et sans aucun espoir. Il fallut des mois et des mois pour tout reconstruire ! Et maintenant je peux me dresser fièrement devant vous chers guerriers en disant que j'ai participé à cet ouvrage ! Ne vous découragez pas devant l'ennemi, attaquez le sans pitié ! N'ayez pas peur des flèches ! N'ayez pas peur de la mort ! Allez-y ! Retournez au front et terrassez le démon !
A la fin de cette phrase, tous les soldats retournèrent piller le village ennemi. La bataille fut rude, mais ils gagnèrent ! Le discours de cet inconnu avait porté ses fruits ! Le lendemain, les troupes revinrent fiers de leur victoire, ils étaient tous heureux et contents d'avoir pu enfin battre leur adversaire. Mais tous les citoyens entouraient la maison de l'inconnu, en effet il était mort pendant la nuit, le sourire aux lèvres.
 

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Texte n°15



Nous venions de mettre pied à terre sur le sable chaud d'une île Méditerranéenne. Portés par Eole, nous étions arrivés en ces lieux. Louée soit l'Olympe tout entière, elle était magnifique. Ici tout était luxuriant: De vertes forêts tapissaient les doux reliefs d'une montagne insulaire. La-bas, la roche abondait et en faisant volte face, on apercevait encore l'onde limpide et calme. Ce calme, ne pouvait être qu'un signe des Dieux. Je hélai mes compagnons, les incitant à découvrir ce paysage. Pendant des minutes entières, ils restèrent ébahis par cette beauté parfaite. Ensuite, ils se tournèrent vers moi et aquiescerent. Le lieu idéal avait été trouvé. Nous passâmes une nuit supplémentaire dans le navire qui nous avait amenés ici, enivrés par les effluves charmantes de la végétation encore chaude. Dans les ombres, l'île paressait encore plus clame que sous le soleil.
Le lendemain, nous nous levâmes tôt, transportés par le désir d' entamer une vie nouvelle dans cet écrin sublime. Nous étions une cinquantaine, tous plus volontaires les uns que les autres. Levant la tête, il me semblait voir Zeus nous épiant, un sourire paternel aux lèvres en signe d'encouragement. Ainsi, le travail put commencer, dans une petite clairière, il ne fallut pas plus de deux courtes heures pour bâtir les cabanes nécessaire à l'établissement de la communauté. Notre force était alors prodigieuse. Portés par cet élan , nous entamerrent la construction d'un grand pavillon qui ferait office de salle commune. Il fut finit avant le crépuscule: la soirée célébrant notre premier jour en ce paradis fut mémorable. Des cales du bateau furent tirés deux jarres de vin médiocre. Sur cette île, il semblait du nectar. Jusqu'ici, je fus le capitaine qui avait conduit notre troupe jusqu'ici, mais en ce soir, mes compagnons me nommèrent seigneur. A leur yeux, j'étais le guide qui les avait mené aux champs Elysées. La gratitude emplissait leurs coeurs.

Les mois suivants, nous travaillâmes toujours avec cette infatigable ardeur, digne d'Héraclès. Les cabanes que nous avions construite devinrent plus grandes et plus solides. Nous pûmes alors envoyer plusieurs compagnons pour chercher nos femmes nos enfants et tout ceux que la grâce des Olympiens inciterait à nous suivre. Parallèlement, l'activité dans notre campement ne se réduisit pas, bien au contraire, il semblait que la force des hommes partis s'était écoulé dans nos corps. Plus tard, dans une liesse incommensurable, le retour de nos compagnons fut fêté. Partis avec notre seule navire, ils étaient revenu avec pas moins d'une demi-douzaine de bâtiments, tous sculptés dans les bois les plus nobles. Devant moi, trois cents hommes s'agenouillèrent, respectueusement. A mon tour, je répétai le geste, en signe d'humilité. Apollon sembla saluer cette initiative: Des rayons plus chauds et doux que jamais dardérent l'île verdoyante . Et toute l'Olympe nous renvoyât ses présages les plus favorables. Il semblait que l'établissement de notre société sur cette île les tenait vraiment à cœur. Alors, nous travaillâmes à nouveau, toujours portés par cette force divine. Ainsi, les années suivantes virent la naissance d'un sénat dédié à la préservation de la démocratie et également celles de temples en l'honneur du panthéon céleste.


Aujourd'hui, je me fait vieux comme tu le sait. Pour ma part, je suis assuré que toi lisant ces lignes, tu es capable d'entretenir l'égard que nous portent les Dieux.. Je n'ignore pas que tu ais le courage de ces héros qui font les légendes. Alors va, fait moi plaisir, veille sur ce peuple qui a été le mien tout au long de ma vie. Soit juste et magnanime comme les dieux l'ont été avec nous.


«La simplicité est la sophistication suprême.» Léonard de Vinci
 

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Texte n°16


En L’honneur des dieux



C’était le jour de la Grande Fête en l’honneur de Poséidon, nos navire avait été soufflés par les vents chauds et nous étions arrivés sur une île verte.
A vue d’œil, il y avait une majorité végétale ce qui était très favorable a nos constructions.
Alors qu’un pégase volait très haut dans les nuages de Zeus, nos chars et nos archers circulaient à la recherche du terrain pour notre nouvelle ville.
Moi et mes compagnons bâtisseurs réfléchissions aux plans de nos premiers bâtiments.
Les soldats se préparaient tandis que les cavaliers chassaient déjà dans la forêt.
Nous avions enfin trouvés le terrain idéal et nous commencions à bâtir le premier bâtiment lorsqu’un des paysans du village d'a coté nous proposa de nous aider.
Nous acceptions sans problèmes et une horde de paysans nous amena beaucoup de pierres ce qui nous ravisa et lors tout le monde se mit au travail.
La ville avançait a grand pas et les bâtiments grandissaient a vue d'œil la ville avait été construite sans soucis.
Un cyclope de notre ville natale avait été envoyé pour pouvoir se protéger de nos agresseurs qui n'étaient surement pas loin et nous guettaient à coup sur.
Ceci dit le bois environnent se mit à bruler ce qui fit la plus grand pagaille dans notre ville; les soldats et les archers s'armaient, les cavaliers montaient rapidement sur le cheval rapide grec et le cyclope frappait vivement la terre de sa colère.
La bataille fit rage et les dieux ne nous avait pas protégés. Nous devions changer d'ile rapidement sinon les ennemis profiteraient de notre désarroi pour nous conquérir très rapidement.
Alors les navires reprirent la mer en direction d'une ile massive qui avait l'air inoccupée.
De nouveau, les gestes habituels étaient faits.
Nous avions enfin bâtit la ville et étions très content car elle se développait à merveille
Les dieux nous protégeaient enfin.

Fin !!!​
 

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Texte n°17



UN NOUVEAU COMMENCEMENT
La mer à perte de vue. Le vent qui lui caresse le visage. Les mouettes qui volent au dessus de lui...les mouettes...la terre est donc proche.
Tout à coup, une voix le sort de ses pensées, comme lorsque l'on sort d'un rêve. Il ressentit de nouveau le tangage du bateau, entendit l'équipage derrière lui vacant à ses
occupations:
« Capitaine Zénon? ». Il se retourna lentement et reconnut Myron. Ces dernières semaines ne l'avaient pas épargné et la fatigue avait creusé ses traits si bien que Zénon aurait eu de la peine à le reconnaître dans d'autres circonstances.
- Capitaine, de la brume apparaît à tribord, si cela continue nous ne verrons bientôt plus rien, poursuivit ce dernier.
- Au contraire c'est une très bonne nouvelle. Les marchands d'Arginos nous ont bien dit que de la brume avait tendance à entourer l'ile au début de l'automne. Nous ne devons plus être loin désormais. Faites cap sur cette brume.
Il n'attendit pas que Myron reparte transmettre l'ordre pour se plonger à nouveau dans la contemplation de la mer. Cela faisait maintenant deux mois qu'ils étaient partis fonder une nouvelle colonie. La traversée n'aurait pas dû être aussi longue, mais la description que leur avait faites les négociants d'Arginos ne leur avait pas permise de connaître avec certitude l'emplacement de la fameuse île de Phylagis.
Aussi erraient-ils depuis trois semaines dans l'espoir de l'apercevoir. Une partie des passagers de l'Ouranos commençait à désespérer de trouver quoi que se soit, mais il était désormais trop tard pour faire marche arrière.
Zénon sentit le bateau se mettre en branle alors qu'on changeait le cap selon sa volonté. Pour lui la brume qui s'offrait à eux était un signe de Poséidon. Il leur faisait enfin part de sa bénédiction après ces dures semaines passées et la récompense était à portée de main. Le vaisseau semblait maintenant flotter sur la brume tellement il en était entouré. Tout l'équipage se mit à scruter les eaux environnantes car le moindre récif eut été synonyme de catastrophe pour eux.
Soudain il l'aperçut.
Alors qu'un banc de brume glissait doucement vers sa gauche, un petit bout de terre apparut à l'horizon. Celui ci ne cessa de grandir et une grande acclamation monta sur le pont du vaisseau à la vue de ce magnifique paysage qui s'offrait à eux. Il avaient réussis.
Devant le spectacle de liesse qui s'empara de l'Ouranos, Zénon ne put que sourire. Mais bientôt les voix se turent et tous regardèrent dans sa direction. Il serait le fondateur de cette nouvelle cité et tous avaient compris l'importance de cette instant:
celui qui se place entre une ancienne et une nouvelle vie, entre un avant et un après. Il fit quelque pas vers eux pour que tous le voient et prit la parole:
« Mes frères et mes soeurs, Arginosiens! Long fut notre périple pour trouver notre foyer tel Ulysse et son odyssée. Nous avons bravé de nombreuses tempêtes, erré pendant des semaines mais nous y sommes arrivés. Cette épreuve que les dieux nous ont lancé, nous l'avons réussi. Mais désormais une nouvelle épreuve nous attend sur cette île. Elle ne sera pas plus facile que la première et surement même plus dure encore. Mais nous lui ferons face comme les courageux Grecs que nous sommes.
Cette épreuve est ni plus ni moins que de fonder en ce lieu la prochaine merveille du monde, de faire de notre cité une nouvelle puissance digne des dieux de l'Olympe! »
Si la joie avait été forte à la vue le d'île de Phylagis elle fut à son comble à la fin du discours de Zénon. Nul sur ce bateau ne doutait de l'avenir radieux qui les attendait. Pour eux tout était possible.
L'équipage prit place devant les rames, de part et d'autre du navire, et ils poussèrent l'Ouranos sur les quelques centaines de mètres qu'il leur restait à parcourir. Finalement le bateau s'immobilisa sur le rivage dans un grand bruit sourd. Avec une grande hâte les passagers descendirent et purent, pour la première fois depuis deux mois, fouler le sol de leur pieds.
Le sourire de Zénon n'avait pas quitté ses lèvres lorsqu'il débarqua lui aussi. Il ne put s'empêcher de s'agenouiller dans le sable et y plonger ses mains comme pour vérifier si il ne rêvait pas. Il ferma quelque secondes les yeux et profita de l'instant. Ce n'est que lorsqu'il sentit une main se poser sur son épaule qu'il les rouvrit et se releva:
- Nous n'aurions pas pu espérer mieux je crois. Cet endroit est tout simplement magnifique.
- Je suis bien d'accord avec toi Lisias, lui répondit Zénon, on pourrait croire que cette crique a été faite pour l'homme. Regarde cette colline, elle serait parfaite pour notre acropole. Surtout qu'elle descend en pente douce vers la plage.
- En effet mon ami. Et cette petite baie plus à l'ouest pourrait nous être utile comme port. Il faudra en parler à notre architecte. D'ailleurs où est-il?
- Le connaissant il doit déjà être occupé à prendre des mesures. Zénon s'arrêta quelques instant puis poursuivit. Lisias j'aimerai que toi et tes soldats partiez en reconnaissance autour du site. Nous aurions ainsi une meilleure idée de l'ensemble des environs.
- Bien sur Zénon, c'est toi le chef de l'expédition.
- Tu sais très bien que ce n'est qu'un titre, pour moi tu as autant le droit de donner ton avis que moi.
-Oh mais j'y compte bien, lui répondit Lisias avec un large sourire, je vais
rassembler les troupes à plus tard. Ah, j'oubliais, très beau discours!
Zénon le regarda s'éloigner puis se retourna devant la centaine de personnes qui était désormais sur la plage. Il donna très vite l'ordre de construire quelques abris qui leur permettraient d'avoir un toit le temps de construire les premières habitations.

***​

Alors que peu à peu on finissait de décharger les matériaux de constructions du bateau Zénon put voir l'architecte marcher à sa rencontre. C'était un petit homme aux cheveux grisonnants du nom de Denis et qui était connu pour avoir une grande force de caractère, mais qui savait l'utiliser avec sagesse.
- Les nouvelles sont-elles bonnes Denis?
- Plutôt bonne je dois l'avouer. A première vue je pensais que la majeure partie de la région serait infestait de marécages mais il n'en est rien. J'ai dors et déjà trouver un excellent site pour commencer la construction de notre ville: à cinq cents mètres d'ici vers le nord. Par contre pour ce qui est de l'agriculture j'ai bien peur que le sol soit dans l'ensemble trop dur pour y planter quoi que se soit. Je n'ai trouvé que quelques arpents de terres cultivable un peu plus loin au nord-ouest, mais il n'y aura jamais assez pour nourrir la population si notre cité dépasse les sept cents habitants environs.
- Cela va en effet poser problème par la suite. Toutefois nous avons encore du temps devant nous. Nous ne sommes que cent-cinquante pour l'instant, d'ici là nous aurons peut être trouver des terres cultivables au delà de la crique, voire réussit à créer des liens commerciaux avec les environs.
- Espérons le. J'ai entendu parler de la famine à Séleusis, avant que nous partions, eh bien ce n'était pas beau à voir à ce qu'il paraît.
Le petit homme porta son attention sur les marchandises que l'on débarquait avant de faire face à nouveau à Zénon:
- Je crois que je vais aller commencer les tracés pour que l'on puisse débuter la construction demain, je vous laisse donc.
- Très bien. Je vais vous envoyer quelques assistants pour vous aider.
Alors que l'architecte commençait à s'éloigner, Zénon ne put s'empêcher de penser qu'ils n'étaient arrivés que depuis quelques heures à peine et que tout semblait se dérouler avec célérité. Malgré tout il savait que le plus dur était à venir. A ce moment là il remarqua que Denis revenait vers lui:
« Je me demandais, quel nom allons nous donner à notre cité? » Lui demanda t-il.
La question prit Zénon au dépourvu et en effet il n'y avait pas du tout pensé. Il réfléchit pendant quelques instants avant que ses yeux ne se portent sur leur bateau. Le voir reposant sur la plage lui fit repenser aux deux mois qu'ils avaient passé à son bord. Il avait été pour eux un foyer de transition entre leur ancienne et leur nouvelle vie. Et alors il sut.
« Elle s'appellera Ouranos. »
 

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Texte n°18



Le Capitaine Dragut Reis cherche avec ses soldats une île pour y vivre. Avant que leurs ennemis ne leur disent de partir de leur île.
Ils partent en aventure chercher une île.
Un des soldats dit :
- «Terre ! Terre ! Terre ! Capitaine !!!
Dragut Reis répondit en donnant les ordres et en craint :
- Préparez les archets, les pierres, les soldats!!!!
- Chef ! Oui chef !!!!!
Ils sont arrivés à terre après des mois et des mois de recherche. Le Capitaine réfléchi quelques instants puis déclare :
« - Mais que vois-je une mini petite île avec rien de construit
un petit instant plus tard :
mais, nous pourrions vivre sur cette île !!!!
Les soldats, satisfaits déclare à haute voix : Oui pourquoi pas ! »
Ils examinent les terres ce qui fait perdre quelques heures.
Le Capitaine donna les ordres aux soldats :
- Allez a une île peuple et rapporté moi une trentaine de morceau de bois, une soixantaine de pierres, une dizaine de pots de peinture et une centaine de clous pour construire les maisons, les académies, les fermes, les ports, les casernes, les sénats, les carrières, les scieries, les entrepôts, les grottes, les temples, les commerces, les mines d’argents, les remparts, les termes, les théâtres, les bibliothèques, les phares, les tours, les statues divines, les oracles, les comptoirs commerciaux.
- Bien sur ! Chef !!!
- Je vous remercie de tout cœur, soldat ! »
Quand les soldats reviennent de l’île chargée de bois, de pierres, de pots de peinture et de clous le Capitaine déclare :
«- Vous êtes revenus j’espère que vous avez tout trouvé !
- Oui chef !!! Nous avons tout trouvé et même plus.
- Quoi donc ?
- Des tenues plus appropriées au travail à la ferme et à la province.
- Bien alors mettons nous au travail !!!
- Chef ! Oui ! Chef !
- Formons donc des équipes de 30 par construction.
- Bien sur ! Chef ! De suite ! Chef !
Les hommes travaillèrent sans relâche jours et nuits pendant 4 mois et deux semaines. Le lendemain ils se dirigent vers la péniche pour retourner sur l’île où y vont se faire expulser. Ils se hâtent d’aller chercher, leurs biens aimés, leurs progénitures, leurs meubles, et tous leurs effets personnels.
- Soldats! Larguez les amarres !!!!!!!
- En avant toute soldats!
- Chef ! Oui ! Chef !
Le trajet fut long difficile a cause de la mer déchaine, des tempêtes et tout cela ne s’arrêtait jamais. Manquant de provisions, d’eaux, tout fut long, terrible, de rester vivant malgré la faim la soif, la fatigue et les angoisses qui les envahissaient.
Un mois passe sans arriver, tout le monde commençait à désespérer mais un jour ils voient une île et ils se demandent pendant quelques instants si c’était leur île mais oui c’est l'île où il y a leurs femmes et leurs enfants. Ils arrivèrent ensemble content de retrouver enfin leurs biens aimés et leurs progénitures.
Le lendemain matin après avoir chargé tous les meubles et les effets personnels.
Le Capitaine s’adresse aux soldats, aux femmes et aux enfants :
« - Tout le monde à bord avant de démarrer une nouvelle vie dans une nouvelle île !
Tout le monde répondit :
- HO ! Oui alors Capitaine !
Alors le Capitaine dit :
- Allez en route !!!! »
Un mois passa et tout le monde arriva ensemble est heureux d’y être, enfin. Ils ont tous installé leurs meubles dans leur nouvelle et belle petite maison.
Le Capitaine a choisis une semaine après de nommer l’île ……………………..


Wolfhagen
 

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Texte n°19



C'était il y a trois semaines...
Le verdict fut rendu : l'exil!
Nous étions atterrés : ma famille, mes camarades et moi. Les Sénateurs ont jugé que nous avions failli à notre mission et nous devions quitter la ville. Nous avons donc rassemblés nos affaires et avons embarqués sur le navire de mon ami : le capitaine Agamen. Ce fut le début d'une aventure...
Notre première de journée de navigation se passa sans incidents notables mais notre troupe n'avait vraiment pas le sourire ; nous songions à nous installer dans une petite cité pour reprendre une existence tranquille mais les Dieux ont décidé que notre destin serait différent!
Le deuxième jour fut déjà plus mouvementé. En effet, nous sommes passés tout proches d'une île où paissaient de nombreux agneaux ; nous avons donc fait voile vers cette île mais alors que nous nous apprêtions à y accoster un énorme rocher fusa au-dessus de notre navire et nous sommes repartis toutes voiles dehors. Lorsque nous nous sommes retournés pour voir l'explication de ce phénomène, nous avons contemplé un géant de cinq à six mètres de haut.Mais ce n'était pas n'importe quel géant ; en effet il n'avait qu'un oeil et nous avons soupiré de soulagement d'avoir échappé à un Cyclope.
Le troisième jour, les provisions commencèrent à manquer. Nous avons donc accosté à la première nouvelle île que nous avons vue et avons commencé de l'explorer. Nous étions un petit groupe et nous voulions restés le plus discret possible car nous pensions toujours à notre aventure de la veille. Nous avancions donc dans la forêt en priant les dieux et en étant silencieux autant que nous le pouvions. Grand bien nous a pris : en effet, nous avons entendu un vacarme monstrueux et en écartant deux buissons nous avons découvert un specatcle terrifiant. Au début nous avons tous cru que la montagne bougeait mais en fait c'était un énorme sanglier que nous avons immédiatement reconnus avant de déguerpir le plus silencieusement possible : c'était le Sanglier d'Erymanthe! Lorsque nous crumes l'avoir laissé suffisamment loin derrière nous, nous nous mîmes à courir et là, nous sommes tombés nés à nés avec une créature répugnante. Elle avait en guise de chevelure une collection de serpents mais c'était des serpents vivants et nous avons alors conclu que malgré notre malheur nous étions quelque peu chanceux : la Gorgone en face de nous n'était pas delle qui pétrifie d'un regard! Mais nous n'avons pas eu le temps de souffler car elle a aussitôt appelé ses soeurs et nous avons tous tressailli quand nous avons entendu son cri : Méduuuuse ! Nous sommes repartis sans demander notre reste et avons appareillés alors que les Gorgones arrivaient juste sur nos talons! Nous avions encore échappé à la mort de peu mais les Parques avaient décidé que ce n'était encore pas le moment pour nos âmes d'aller rencontrer Hadès aux Enfers!
Après une nuit peuplée de cauchemars, nous avons conclu qu'il valait mieux accoster seulement dans une île où les Grecs s'étaient déjà installés. Mais les monstres n'attendaient plus que nous débarquions pour nous attaquer. Vers midi en ce quatrième jour, un oiseau étrange est apparu dans le ciel mais cet oiseau volait incroyablement vite et il nous suivait. Aussitôt, ceux d'entre nous qui avaient appris à se servir d'un arc l'ont sorti et ont encoché une flèche. Lorsque l'oiseau approcha je leur ai donné l'ordre de tirer tandis que j'identifiais le monstre : une harpie. Toutes les flèches la manquèrent sauf une. Je la vis alors ralentir son vol ; elle n'était pas morte mais simplement blessée mais cela nous a suffi pour lui échapper. Alors que nous allions fêter cette victoire, une musique qui n'était pas celle de la lyre s'éleva dans les airs. c'était un chant et j'ordonnais à tous mes compagnons de se boucher les oreilles, ce qu'ils firent tous aussitôt. Nous pensions avoir dépassé l'île des Sirènes mais alors que j'allais écouter, mon cousin me devança et dix secondes plus tard, il se jetait à l'eau et nageait à perdre haleine dans la direction opposée. Nous ne l'avons jamais revu mais son sacrifice nous a permis de tous éviter la mort car nous avons alors préféré garder les oreilles bouchées encore quelque temps.
Le cinquième jour, nous avons décidé de prier les dieux tout au long de la journée pour que notre cousin puisse séjourner aux Enfers bien qu'il n'ait pas eu droit aux rites funéraires et d'autre part nous espérions que cela stopperait nos rencontres avec les monstres. Mais les dieux ne l'entendaient pas tous de cette oreille... Le soir alors que nous étions soulagés d'avoir enfin passé une journée sans rencontrer un autre monstre, mon frère lui avait un mauvais pressentiment et cela m'inquiétait car il se trompait rarement comme si les Dieux avaient fait de lui une sorte de prophète! Il ne cessait de scruter la surface de l'eau et soudain il cria : "Nous sommes perdus!" Je vis alors surgir de l'eau un monstre qui me fit penser à un espèce de serpent de mer. L'espace d'une seconde, j'ai crains que notre périple s'achèverait face au kraken mais en fait j'ai remarqué que le monstre avait plusieurs têtes et j'ai alors reconnu l'hydre. Je me souviens d'avoir dit adieu à mes compagnons et qu'il était inutile de résister. L'hydre se dressait devant nous et s'apprêtait à nous faire couler quand un étrange oiseau blanc a surgi devant nous. Un oiseau? Non! En fait à part les ailes l'animal n'avait rien d'un oiseau mais tout d'un cheval et j'ai alors reconnu Pégase qui nous a sauvé car nous avons pu fuire alors qu'il occupait l'hydre.
Dans la nuit, l'homme qui était de garde est venu me trouver en me jurant de n'avoir pas forcé sur le vin. Il affirmait que Pégase était passé au-dessus du navire et qu'un message était tombé au moment de son passage. J'ai lu de quoi il s'agissait : c'était un message d'Athéna qui nous disait qu'elle nous guiderait par la voix de mon frère et nous protégerait des monstres envoyés par Poséidon.
Le lendemain j'ordonnais à mes compagnons de se diriger à tribord mais mon frère s'y opposa, affirmant que les Symplégades et le manticore nous y attendait tandis que droit devant nous le chemin était bouché par une île sur laquelle vivaient les Centaures qu'il valait mieux éviter. Nous nous tournâmes donc vers la dernière solution : babord. Après avoir fait halte sur une île où vivaient des satyres qui nous aidèrent à nous réapprovisionner, nous nous repartîmes.
Le dernier jour de notre périple fut celui de l'arrivée sur notre chère île. Une dernière épreuve nous y attendait car une créature surveillait ce coin de l'île : un sphinx. Et comme selon la légende il nous posa une énigme à laquelle aucun de nous n'avait de réponse. Mais Athéna veillait sur nous et par la voix de mon frère elle nous permit de triompher du sphinx.
Nous pûmes alors nous installer et nous avons tous décidé d'éviter la mer pour quelques temps. Nous avons commencé la création de notre cité. Certains décidèrent de s'occuper du bois et bâtirent une scierie tandis que d'autre s'occupaient de la carrière de pierre. La plupart d'entre nous construit le Sénat, notre place centrale et l'agora à son voisinage. Quelques-uns découvrirent une mine d'argnet qu'ils commencèrent à exploiter. D'autres s'attelèrent à la construction d'une ferme et les derniers partirent explorer l'île et revinrent avec des nouvelles encourageantes : il y avait d'autres cités grecques et des villages avec qui commercer. Il ne nous manquer plus qu'un port un marché et un temple pour développer plus encore notre ville et une grotte et des remparts pour la défendre sans oublier un entrepôt pour stocker les ressources.
Maintenant, nous sommes tous heureux de notre cité et sommes presque heureux d'avoir était exilé surtout que notre aventure n'est plus qu'un cauchemar même si mon cousin nous manque et nous savons qu'Athéna veille sur nous alors nous ne craignons plus personne...

Le Capitaine Persulas​
 

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Texte n°20


Les souvenirs se bousculent en moi comme une cargaison d’amphores mal attachées dans les cales d’un navire marchand. Penché sur mon écritoire, mes doigts meurtris par la vieillesse tentent maladroitement de faire glisser le calame sur la feuille de papyrus. Je dois me souvenir, me souvenir et raconter dans l’ordre notre arrivée ici… je le fais en mémoire de
mon maître. Je le fais pour eux, ces enfants au loin qui courent le long du port, jouissant de leur jeunesse. Je le fais aussi pour ne pas oublier.

Revenir en arrière, revivre ce jour funeste qui scella à tout jamais notre destinée… Nous devions être une vingtaine d’hommes. Notre bateau dérivait au gré des vagues, tel un spectre sur le Styx. Le mât de notre birème avait été arraché quatre nuits auparavant lors de la grande tempête et nous avions perdu une bonne partie de notre matériel ainsi que le gros de nos
provisions. Après la colère de Poséidon, il fallait maintenant affronter Hélios qui rayonnait de son feu sacré. Nous offrions un triste spectacle pour les dieux qui devaient rire de notre malheur : celui d’une poignée de moribonds affalés sur le pont. Où était donc passée cette fierté qui nous habitait peu de temps avant ? Nous, les hoplites d’une petite cité de l’Attique, nous nous étions spontanément portés volontaire pour partir en guerre contre une cité qui avait omis de verser le tribut de quatre talents d’or. Mon maître était le capitaine de ce qui restait de ce vaisseau de guerre. J’étais son jeune esclave mais il m’avait donné toute l’éducation que recevait un fils de bonne famille. J’aurais donné ma vie pour lui. Agenouillé à son coté, je soignais sa plaie et veillais à calmer sa fièvre. Abrité du soleil sous mon chiton que j’avais dénoué, il semblait aller mieux depuis que je lui avais donné la toute dernière
ration d’eau. Les membres de l’équipage dormaient pour économiser le peu de force qu’il leur restait. L’éclaboussure de l’eau contre la coque m’incitait à me jeter par-dessus bord et à boire sans retenue. Mais je savais que cela était une pure folie ; m’abreuver d’eau salée conduirait à ma perte. Résigné, je m’étendis près de mon maître, acceptant le sort que nous réservaient ces
dieux cruels. Ce fut la voix grave de Pénélas le borgne qui m’arracha des bras de Morphée. D’un revers de la main, il envoya balader un oiseau qui lui picorait le visage. Nous fûmes plusieurs à nous rendre compte de l’importance de cet événement. D’un bond, je me levais et je regardais dans toutes les directions. Le cri d’Éyisthos retentit alors : « Terre les amis ! Nous sommes sauvés ! ». Quelle image grandiose que celle d’une terre à l’horizon ; je n’oublierai jamais cet instant magique et ce bonheur qui jaillissait en moi ! Oubliant toute fatigue, nous nous ruâmes sur les quelques avirons réchappés du naufrage et nous entamions le long mais ô combien réjouissant trajet qui nous conduirait vers notre salut. Une fois arrivés sur le rivage, mes compagnons embrassèrent le sol pour montrer notre reconnaissance à la divinité des lieux. Avec l’aide de Pénélas, je pris soin de mon maître en l’installant confortablement à l’ombre d’un frêne solitaire. Ce fut Enías qui prit le commandement de la troupe. Deux groupes de cinq hommes furent chargés de trouver une source d’eau tandis que les autres descendirent le matériel du bateau. On récupéra aussi le bois afin de nous confectionner des abris pour la nuit. Le soir arriva bien vite et ce fut avec soulagement que nous vîmes les
hommes revenir de leur expédition, chargés d’eau et de petits gibiers. Les jours suivants, nos éclaireurs prospectaient les environs sans trouver les signes d’une présence humaine. Mon maître reprenait des forces. Au terme de dix jours, il ne restait plus grand-chose de notre belle birème ; nous nous servions de son bois pour améliorer notre condition de vie. Le onzième jour, Akádêmos le fort (appelé ainsi en raison de sa force et de sa taille qui nous dépassait de plusieurs têtes) accompagna Pénélas et le vieux Crétias pour une expédition de reconnaissance. Le soir venu, ils nous annoncèrent une grande nouvelle : ils avaient découvert un village de pêcheurs à deux jours de marche vers l’est. Remis de sa convalescence, mon maître décida, accompagné de quelques hommes, de rencontrer les villageois. Je fis également partie du voyage. Le premier contact avec les habitants fut pacifique. Arrivé sur la petite place, un attroupement de jeunes filles et d’hommes d’âge mûr se fit tout autour de nous. Mon maître se présenta. Mais ses propos ne semblaient pas affecter nos hôtes. En échange, nous eûmes droit à des sourires flatteurs et des regards étonnés. Un vieil homme prit la parole. Bien que nous ne comprenions pas un seul mot de ce qu’il disait, nous savions qu’il nous offrait l’hospitalité et que nous étions les bienvenus. Ces gens parlaient un dialecte barbare même si certains de leurs mots ressemblaient étrangement aux notre. Ce soir là, pendant qu’une partie
de l’équipage était resté au camp sur le rivage, le reste des hommes et moi même, nous nous rassasions abondamment. Plus tard, entraînés par les jolis sourires espiègles des jeunes filles, quelques hommes s’éclipsèrent…. Quant à moi, je restais avec mon maître, essayant de comprendre l’histoire de ce village. Tant bien que mal, nous comprîmes que ce village était le seul lieu occupé de l’île (c’était donc une île) et qu’un grand nombre de jeunes pêcheurs avaient péri en mer. Ils ne connaissaient pas vraiment leur propre histoire. Notre conteur, visiblement le plus âgé, affirma qu’il n’était pas né sur l’île. A leur arrivée, il n’était qu’un très jeune enfant. Il nous narra des bribes de souvenirs lointains, des cris, des flammes, du sang … un grand cheval …Sa tribu avait pris la fuite en embarquant sur des esquifs. Ils avaient eu la bonne idée de relier les embarcations entre elles et s’étaient retrouvés ici. Les jours s’écoulèrent doucement dans une plénitude divine. Si au début, les hommes
voulurent quitter cette île et rentrer chez eux, leur désir désormais s’estompait peu à peu. Tout d’abord, personne ne maîtrisait assez suffisamment la technologie navale pour créer un navire. Ensuite, la vie confortable de ce lieu, agrémenté aussi par la présence des jeunes filles,
avait effacé toute trace de vie passée. Il eu de nombreuses naissances et nous découvrions tous les jours les richesses que nous offrait cette île bénie des dieux : une mine d’argent, des carrières de pierres et du bois à profusion. Nous construisîmes un temple en l’honneur de Déméter pour la remercier de ses largesses. Les enfants grandirent dans la paix et apprirent la sagesse enseignée par Crétias le vieux. Nous étions un peuple pacifique vivant en harmonie avec l’île mais la situation prit une autre tournure lorsque vinrent du nord trois navires de guerre. Une centaine de combattants faiblement protégés et armés d’épées, débarquèrent en quête de butins. Ils tuèrent trois jeunes gens venus naïvement les accueillir. Avertis, nos hommes retrouvèrent instinctivement leurs habitudes de soldats et s’équipèrent en prévision d’une attaque. Sur la totalité de notre village, une trentaine de jeunes gens munis de frondes étaient en âge de combattre et ils assureraient avec les anciens, l’arrière de notre armée. Pénélas le borgne prit cinq hommes avec lui et choisit de former l’aile droite de la défense. Akádêmos le fort, armé de sa terrible massue digne de celle d’Héraclès, choisit l’aile gauche
et ne demanda que trois hommes. A lui seul, il en valait quatre. Le reste de la troupe formait le noyau central. Mon maître décida que la colline face à la mer était propice au combat car celle-ci offrait aux agresseurs un passage réduit ; des arbres sur les bords interdisaient les attaques massives. Par ailleurs, la hauteur nous donnerait un avantage certain. Les ennemis nous virent et poussèrent des cris pour souligner leur supériorité numérique. Mon maître, serein, nous fit face et choisit les bons mots pour nous assurer la victoire. Ensemble, nous entonnâmes d’une voix forte le chant du péan. Les jeunes frondeurs lancèrent leurs pierres. Mais manquant de justesse, leurs tirs furent trop courts. Mes compagnons dressèrent alors leurs longues lances et se ruèrent sur l’ennemi. Le choc de la phalange fut brutal et des corps furent empalés. D’un geste rapide et calculé, nos soldats levèrent leurs aspis pour se protéger des coups et sortirent leurs épées. Le temps n’avait en rien effacé leur ardeur au combat. Le second rang ennemi gêné par les cadavres, se retrouva en situation désastreuse. Les ennemis voulurent nous contourner sur les cotés. L’aile d’Akádêmos se déploya et le géant put enfin
jouer de la massue. Resté à l’écart avec les frondeurs, je vis les têtes de ses victimes éclater comme des fruits mûrs. Pénélas, sur l’aile opposée, semblait être en difficulté et nous décidâmes d’intervenir. Armé d’une fourche, je tapais de toutes mes forces sur la cuirasse d’un ennemi. Le coup suffit à capter son attention, l’homme tourna la tête dans ma direction, visiblement surpris. Triax le fourbe lui planta dans le même temps son xiphos à la lame courte dans le flanc. Encouragé par cet assaut, nous redoublions d’efforts en frappant aveuglément nos adversaires. Mon maître, tout en appliquant avec méthode ses techniques de combat issues de longues années d’entrainement, haranguait ses hommes. Sa voix nous enveloppait d’une confiance aveugle et le petit nombre que nous étions avançait dans les rangs ennemis. Leur résistance s’affaiblissait. Nous en comprîmes aussitôt la raison quand nous vîmes au loin les fanions de repli s’agiter. Les agresseurs remontaient sur leurs navires. Le groupe qui nous combattait encore recula tout en continuant de nous faire face et mon maître désirant mettre fin au combat, nous ordonna de ne pas les poursuivre. Akádêmos acheva tout de même l’homme qu’il tenait encore d’une main et le jeta à terre. Nous assistâmes donc à la fuite de ces guerriers. Heureux de cette scène, le petit groupe dont je faisais partie poussa des cris de joie. Mon maître et ses soldats ne partageaient pas notre enthousiasme. Ces étrangers n’étaient
pas de bons combattants. Ils donnaient l’impression d’avoir voulu éprouver leur force et il n’était pas impossible de les revoir bientôt en plus grand nombre et plus expérimentés. Sur les trois navires, deux seulement prirent le large. Le calme revenu, nous nous occupions des blessés. Nous avions perdu neuf jeunes garçons et quatre anciens. Parmi les soldats, nous déplorions trois morts. Et avec eux, Triax le fourbe à la petite épée. Nous laissâmes les blessés aux mains des femmes et nous nous approchions du bateau abandonné pour l’examiner. Ce navire, au dire d’Enías, n’était pas de bonne facture, du moins, il ne semblait pas avoir les mêmes qualités que possédait un navire grec. Nous avions retrouvé sur nos agresseurs un médaillon en bronze symbolisant une louve et deux nourrissons. Personne ne reconnaissait cet emblème. Peut-être celui de leur dieu ? Nous nous rappelions alors que la paix se méritait et qu’il était difficile de la préserver. Il était important pour nous de mieux nous défendre. Sur le modèle du navire ennemi, les charpentiers du village se lancèrent dans la construction de quatre bateaux. Mon maître dessina lui-même le plan des remparts fortifiés. Une fois les
quatre bateaux achevés, nous décidâmes d’envoyer des émissaires à la recherche d’autres îles et d’autres villages. Les bateaux réapparurent avec à leur bord des diplomates étrangers. Le temps s’égraina comme la poignée de blé que le paysan heureux fait glisser entre ses doigts. Pendant ce temps nous n’avions pas revu les « soldats à la louve », nom que nous leur avions
attribué. Le petit village devint une belle cité. Mon maître régna longtemps en bon monarque. A sa mort, ne laissant aucun héritier sur le trône, il me laissa la gestion de la cité. Je fis ériger au centre de l’agora les statues de mon maître et de nos compagnons d’armes aujourd’hui disparus : Akádêmos, Pénélas, Triax … Notre population augmenta en raison des bienfaits de
Déméter et des petites cités voisines poussaient sur les rivages de l’île. Notre notoriété s’accrut dans les mers alentours, créant un réseau de cités amies. Je fis venir des architectes de renoms. Autour de l’agora, une académie et un sénat se développaient parallèlement à nos traités commerciaux et diplomatiques. J’ai administré cette cité pendant plus de trente ans. Fidèle à la philosophie de mon maître, j’ai poursuivi son idéal : faire de notre cité, un haut lieu culturel de notre civilisation et réunir toutes les cités partageant notre rêve. Aujourd’hui, des navires de colonisation s’apprêtent à fonder de nouvelles cités vers d’autres horizons…

Mes doigts me font souffrir. Meletios mon jeune serviteur m’a préparé le remède ce matin et je l’ai bu. Mais aucune potion ne guérit de la vieillesse. Tout comme mon maître, je n’ai pas eu d’héritier, préférant une vie entièrement dédiée au souvenir de l’amour que nous nous portions mutuellement. Je sais que je vais bientôt le rejoindre dans le royaume d’Hadès. Il est temps pour notre cité de connaître ce nouveau régime venu de l’Attique : la démocratie. Le peuple gouvernera mais nos sages seront toujours là pour leur rappeler le bon chemin à suivre et puisse la sagesse d’Athéna les guider…
 
Statut
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