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Le recueil de Papy-Stolet
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Le recueil de Papy-Stolet
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Poème 1
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Je t´ai imaginé, tel un idéal...
Toi, le frère qui m´a été enlevé,
Que j´ai rêvé à en devenir fou.
Toi, le frère qu´on ne m´a pas laissé,
Laissant en moi une sensation de vide et de flou.
Je t´ai imaginé, tel un idéal...
Je pleure la nuit, je nous imagines tous les deux.
Mon coeur se brise, je sombre dans la mélancolie.
Je vois ton fantôme me regarder par delà les cieux.
Je me demande alors pourquoi c´est moi qui suis en vie.
Je t´ai imaginé, tel un idéal...
Tu n´as pas eu la chance de découvrir,
Tout le bonheur qui nous est offert.
Mais notre âme finit toujours par mourir,
La mienne a déjà quitté la Terre.
Je t´ai imaginé, tel un idéal...
Vas-tu continuer à m´épier le reste de mon existence,
Tel un prédateur chassant sa proie?
J´aimerais tellement faire pencher la balance,
Et qu´ainsi, tu recommences à croire en moi.
Je t´ai imaginé, tel un idéal...
J´ai cru, tout d´abord, te comprendre.
Pour ainsi, pouvoir t´oublier.
Mais l´on ne peut pas par lacté, vendre...
La conscience de son frère ainé.
Je t´ai imaginé, tel un idéal...
Aujourd´hui, pris de remords,
Toujours obnubilé par toi, mon frère,
Je ne me soucie plus de mon sort,
Et laisse le destin faire.
Je t´ai imaginé, tel un idéal...
Je m´ai jamais eu le courage d´être père,
Jamais eu le courage de te résister.
Je rêvais d´une vie prospère,
Mais ton deuil m´en a empêché.
Je t´ai imaginé, tel un idéal...
Je suis seul, je garde le silence.
Je suis seul, j´accepte ma pénitence.
(NOTE)oème inspiré du tableau "Cygne reflétant des éléphants" de Dali.
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Poème 2
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Folie enivrante ! Folie du deséspoir !
Ho ! Bon dieu ! Que ce sang si impur les nourrissent.
Que cette folie s´achève, qu´elle finisse.
Que les vampires ne me hantants plus le soir!
Je les vois partout et nulle part, qu´ai-je fait ?
Cette question que je me pose sur ma vie ...
Je les vois, leurs yeux couleur sang qui m´épient.
Que la chaleur humaine les enivraient !
Je n´ai pas eu le courage de m´opposer.
A leur âmes possédés s´abreuvant de sang,
A leur âme possédés venant du néant.
Humain, j´ai été, en vampire transformé.
Ha ! Je n´oublierais jamais tous ces cauchemars,
Haïssant à tout jamais, leur cruelle ivresse.
A ma famille, le lourd fardeau que je laisse.
Sûr ! Ils pleureront ma mort jusque´à tard ce soir.
(NOTE): Ceci est un poème en alexandrins.
Merci de m´avoir lu,
Papy-Stolet
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Le recueil de Papy-Stolet
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Je t´ai imaginé, tel un idéal...
Toi, le frère qui m´a été enlevé,
Que j´ai rêvé à en devenir fou.
Toi, le frère qu´on ne m´a pas laissé,
Laissant en moi une sensation de vide et de flou.
Je t´ai imaginé, tel un idéal...
Je pleure la nuit, je nous imagines tous les deux.
Mon coeur se brise, je sombre dans la mélancolie.
Je vois ton fantôme me regarder par delà les cieux.
Je me demande alors pourquoi c´est moi qui suis en vie.
Je t´ai imaginé, tel un idéal...
Tu n´as pas eu la chance de découvrir,
Tout le bonheur qui nous est offert.
Mais notre âme finit toujours par mourir,
La mienne a déjà quitté la Terre.
Je t´ai imaginé, tel un idéal...
Vas-tu continuer à m´épier le reste de mon existence,
Tel un prédateur chassant sa proie?
J´aimerais tellement faire pencher la balance,
Et qu´ainsi, tu recommences à croire en moi.
Je t´ai imaginé, tel un idéal...
J´ai cru, tout d´abord, te comprendre.
Pour ainsi, pouvoir t´oublier.
Mais l´on ne peut pas par lacté, vendre...
La conscience de son frère ainé.
Je t´ai imaginé, tel un idéal...
Aujourd´hui, pris de remords,
Toujours obnubilé par toi, mon frère,
Je ne me soucie plus de mon sort,
Et laisse le destin faire.
Je t´ai imaginé, tel un idéal...
Je m´ai jamais eu le courage d´être père,
Jamais eu le courage de te résister.
Je rêvais d´une vie prospère,
Mais ton deuil m´en a empêché.
Je t´ai imaginé, tel un idéal...
Je suis seul, je garde le silence.
Je suis seul, j´accepte ma pénitence.
(NOTE)oème inspiré du tableau "Cygne reflétant des éléphants" de Dali.
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Folie enivrante ! Folie du deséspoir !
Ho ! Bon dieu ! Que ce sang si impur les nourrissent.
Que cette folie s´achève, qu´elle finisse.
Que les vampires ne me hantants plus le soir!
Je les vois partout et nulle part, qu´ai-je fait ?
Cette question que je me pose sur ma vie ...
Je les vois, leurs yeux couleur sang qui m´épient.
Que la chaleur humaine les enivraient !
Je n´ai pas eu le courage de m´opposer.
A leur âmes possédés s´abreuvant de sang,
A leur âme possédés venant du néant.
Humain, j´ai été, en vampire transformé.
Ha ! Je n´oublierais jamais tous ces cauchemars,
Haïssant à tout jamais, leur cruelle ivresse.
A ma famille, le lourd fardeau que je laisse.
Sûr ! Ils pleureront ma mort jusque´à tard ce soir.
(NOTE): Ceci est un poème en alexandrins.
Merci de m´avoir lu,
Papy-Stolet
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