[RP] En sillonnant Katane ...

maxdu59

Titan // Comédien Détendu
Lors de son apparition, il n'avait pas provoqué tant d'inquiétude que cela. Il pouvait donc se permettre de se reposer en compagnie de groupe. Un feu était allumé, un homme venait de se rincer le visage en face de lui, sur l'autre rive, une femme plumait des oiseaux et un autre homme aiguisait ses lames.
Il sauta par dessus le court d'eau et atterrit sans bruit sur la rive où se trouvait tout le monde, les flammes allumant son visage.

Messieurs, mesdames., dit-il en remettant son capuchon en place. Je vous serai gré d'accepter ma présence dans votre groupe. De ce que j'ai entendu, cette rencontre a tout du hasard, et nous avons tous nos petites spécialités respectives. Puis-je me permettre de vous demander ce qui vous amène ici*?

Sur ces mots, il sortit une fiole de sang, une outre d'eau, quelques miches de pain, du jambon fumé, et des olives.
-Vous pouvez prendre ce que vous voulez, excepté le sang.

Il s'assit à un endroit où personne ne se trouvait, avec sa fiole, et sortit un sabre fortement aiguisé.
 

DeletedUser11347

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Ça faisait déjà plusieurs heure que Fysil avait quitté la protection des chênes millénaires. Le jour commençais à se coucher, il pouvait le constater avec la perte de luminosité, et de l'arrivé de la fraicheur. Il décida de grimper au sommet d'un arbre pour trouver un endroit ou dormir pour sa première nuit. Il vit alors à quelque mètres vers l'est, monter une fine colonne de fumée sortir de la végétation. Ça provenait d'après d'ancien souvenir de quand il explorait cette partie de le forêt, de la cascade ou de ses alentours. *Un endroit idéal pour faire une halte* Apparemment une ou plusieurs personne se trouvait la bas et avaient commencer un feu. Il se décida de tenter sa chance dans cette direction. Il pourra comme ça mieux étudier la société humaine, et ainsi s'intégrer plus facilement pour son voyage. Et dans le meilleur des cas il pourra même s'en faire des compagnons.

Quelques minutes plus tard il se trouvait plus qu'a une vingtaine de mètres du campements improvisé. Il monta sur un arbres et commença à les observer. Il y avait deux femmes et cinq hommes dont un qu'il avait du mal a ne pas mettre dans la catégorie animal tant son apparence était inhabituel. Pas qu'il y soit habitué a voir des humains tout les jours, mais aucune des descriptions que lui avait fait Artémis ne correspondait à cette créature. Il n'avait pas vraiment cacher sa présence, il respirait normalement, il ne voulait pas vraiment leur faire peur, c'est pour cette raison qu'après quelque instant d'observation et d'analyse qu'il décida de descendre de sa branche pour aller se présenter.


-Bonjour, je me nomme Fysil. Excusez moi de vous importuner, puis-je utiliser votre feu pour faire cuire un peu de nourriture. Je ne désire pas perturber d'avantage la forêt avec la présence d'un second feu.
 
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DeletedUser33604

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Chris marchait , marchait , le jour commençais a tomber ,le froid et l'humidité a se faire ressentir.

Il arrivas a une patte d'oie !!! , l'embarras du choix s'exposa ! : soit il continuer le chemin a longer la forèt plein vent ou le sentier qui rentrait dans l'epais feuillage de cette dernière.

Il choisit la deuxième solution se disant ( je serrais peut-être a l'abris du vent au moins) , commença a avancée sur le sentier.

La progression se fit difficile ( arf... si j'aurais su se disait il dans sa tète) voyait pratiquement plus grand chose et devenais de plus en plus sombre.

Il repaira une entrée de grotte , a son grand soulagement, il décida d'y passer la nuit, sert a rien de continuer la nuit total c'etait
installer maintenant, demain ferra jour.

Il recueilla quelques branches mortes et de l'herbe sèche pour allumer un feu . accroupi contre la paroi il étendit ses mains au dessus du feu, profitant de cette douce chaleur .....
 

DeletedUser

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Et voilà, encore un peu et ils pourraient créer une troupe de cirque ! Lorredan voyait presque clair, mais il avait l'impression de voir encore double tant le nombre de gens augmentait autour du feu. Et ils avaient tous l'air d'être de grands guerriers, Lorredan qui ne portait sur lui que sa bouteille de "Bave-de-Zeus" se sentait légèrement désarmé... Il fallait qu'il évite les bêtises, de peur de se retrouver découpé en rondelles et grillé sur le feu de camp. Feu de camp duquel il se rapprocha quand même, grelottant sous ses vêtements détrempés.

La jeune femme qui se cachait avec lui, qu'il aurait dû éclabousser n'était pourtant pas autant mouillée que lui. Il faudrait qu'il lui demande son secret à l'occasion. Et d'ailleurs elle était fort belle. Il sortit sa bouteille et, dans un élan de motivation mêlée d'envie, engloutit une gorgée aussi intense que brûlante. Occupé à recouvrer ses esprits, Lorredan ne s'aperçut pas que la demoiselle s'était rapprochée, et lorsqu'elle lui demanda de changer ses bandages il en fut tellement surpris qu'il tomba sur son voisin le chasseur. Il se recula précipitamment, se répandant en excuses et se pencha pour ramasser l'arme du chasseur, qu'il avait fait tomber. Mais c'était sans compter son sens de l'équilibre sérieusement amoché par sa précédente gorgée, et il se prit les pieds dans sa cape et trébucha à nouveau sur le chasseur.

Tout penaud, il se releva et se retourna, face à la demoiselle qui, surprise, n'avait rien dit. Apeuré, terrorisé qu'on découvre son secret, il grommela quelque chose comme :

Euuuh... Non merci, je vais m'en occuper, ça ira

Et se rassit, prenant soin de cacher son bras sous le reste de sa cape.

 

DeletedUser

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Elea ne pu s'empêcher de rire doucement à la maladresse de son compagnon de cachette. Souriant encore, elle rangea les bandages dans sa sacoche. Elle ne le montrait pas, mais elle était néanmoins troublée par son attitude. Pourquoi cacher ses blessures au lieu de s'en occuper ?

- Comme tu voudras. Pourrais je au moins savoir ton nom ?


Elle posa le sac près d'elle et s'assit plus confortablement. A ce moment là, un nouvel individu se présenta à eux. *Nous voici bien nombreux* Pensa t elle en se disant que tant que ce n'était pas des chevaliers, ce n'était pas bien grave. Elle leva la tête vers Fysil et lui sourit.

- Pour ma part, tu peux venir, il est vrai qu'un feu est bien assez.


La jeune femme chercha dans son sac le reste de lanière de viande séché qu'elle avait et réprima à grand peine une grimace. Elle en avait assez de cette viande froide et sèche. Mais elle ne savait pas chasser, et était trop timide pour demander aux autres de la viande cuite qui pourtant, lui faisait grandement envie. Elle se résolu donc à manger ce reste de nourriture. Il lui faudrait trouver une ville très vite, car ses réserves étaient quasiment épuisées. Ou il faudrait qu'elle passe des heures dans la forêt en espérant tomber sur un gibier pas très malin qui lui permettrait de le prendre facilement.

A la fin de son maigre repas, pas vraiment rassasiée - cela faisait d'ailleurs bien longtemps qu'elle n'avait pas mangé un repas convenable - elle alla à la rivière pour se passer un peu d'eau sur le visage et revint auprès de ses nouveaux compagnons d'un soir. Elle aurait préféré dormir les jambes immergées mais pensa que ce ne serait pas très discret ni très malin si elle ne voulait pas qu'ils découvrent ce qu'elle était.
 

DeletedUser42587

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Elle se délecta d'un des deux oiseaux qu'elle avait fait cuire, et proposa le deuxième. Le laissant près du feu attendant qu'il trouve grâce aux yeux d'un estomac affamé.
Après s'être rincé les doigts et le visage dans l'eau fraîche de la rivière, elle reprit sa place auprès du feu.
Enroulée dans sa longue cape, elle regardait minutieusement ses compagnons d’une nuit. Elle sourit à l’idée que le propriétaire de ce tissu devait pester contre elle.

En effet, elle avait subtilisé la précieuse cape dans une ville beaucoup plus au nord, à un riche citoyen. Sa beauté froide associée à son don aillant fait plier toute la bonne volonté du bonhomme, il avait concédé à lui offrir un toit pour la nuit. Au matin, la belle et sa monture avait disparu, ainsi que des vivres et cette cape. Elle l’avait désiré dès lors qu’elle l’avait vu dans sa vitrine, au milieu d’un corridor de statuts, fresque et objets en tout genre, retraçant certaines légendes de la mythologie.
Elle était composée d’un morceau de cuir véritable sur lequel avait était cousu deux sortes de fourrure. A l’intérieur, de la laine de mouton, douce et chaleureuse. A l’extérieur, le cuir avait été recouvert d’un épais pelage de loup tirant dans les tons gris. De plusieurs loups sans doute.

Sortant ces mains de l’alcôve protectrice que formait le tissus, et tout en continuant de détailler mentalement chaque personne autour d’elle, elle entreprit de ramener en tresse ses cheveux bruns.
Pendant que ses doigts s'affairaient rapidement pour ramener la tresse sur son épaule, elle tourna la tête et se perdit en contemplation devant le torse musclé de celui qui résistait à son envoutement.
Puis sentant la fatigue arriver, elle rabattit la capuche de la cape au-dessus de sa tête. Se servant de ses sacoches comme d'un oreiller, elle se roula en boule et ferma les yeux. Espérant que la Déesse ne viendrait pas troubler son sommeil, qui se voulait public, de ses prophéties.

 

DeletedUser

Guest
L'arrivé de ce Fysil rendait la scène assez narquoise, le regroupement de tout ces personnages ne cessant de croître.
Le barbare se leva tout de même et laissa sa place à ce nouvel arrivant, afin de permettre à ce dernier de prendre place non loin du feu.


Installes-toi, je te prie.

Sur ces mots, il se dirigea vers ce chêne en bordure de rivière, s'allongea sur l'herbe fraîche et tendre, contre le tronc robuste de cet arbre, non loin de cette femme s'enroulant dans son linge.

Au milieu de ce silence, il écouta parler le vent, celui-ci venant murmurer à son oreille la douce chanson des roseaux, celle qui berce les rêves et qui se perd au fil de l'eau avant que le jour ne s'achève enfin.
Sous cette douce mélodie, il se laissa guider par sa fatigue et rejoignit ses songes, fermant doucement ses paupières. Des songes hantés par cette femme mystérieuse. Cette femme, là, posée, allongée, tel un véritable trésor échoué, sa peau si douce et sucrée virant au bleu sous les rayons de lune étoilés, les murmures de la nuit l'ayant aidé à s'assoupir.
*Qui est cette femme, dont la beauté me séduit à chaque instant ? Qui est cette femme, dont la beauté n'a d'égale que la divinité des Dieux ? Qui est cette femme silencieuse et observatrice, dont les regards révèlent beaucoup de secrets ? Quels mystères se cachent-ils derrière son éclat ?*
Ce sont autant de questions, autant de secrets, qui préoccupent notre barbare.

Paisible mais sceptique il s'endormit, à côté de cette fleur endormie.
 
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DeletedUser43193

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Tseufos pesta intérieurement contre le mercenaire et lui lança un regard meurtrier.
Néanmoins voyant que certains de ses compagnons de nuit s'apprêtaient à dormir, il n'émit aucune plainte et se contenta de ramasser son arme , s'éloignant un peu du feu jusqu'à se percher sur une pierre, comptant monter la garde, ce point d'observation plus élevé était parfait.

La lune presque pleine brillait, bien haute dans le ciel, et de fait éclairait bien les alentours, ce qui lui permit de se re-détendre à nouveau.
Il embrassa du regard le bassin où se reflétait une myriade d'étoiles et s'arrêta un moment sur le petit camp qu'était devenu l'autour du feu.
La beauté de Noa ne cessait de l’impressionner et cela le perturbait ..
Néanmoins un lointain souvenir s'imposa dans son esprit et il sentit un léger picotement sur la cicatrice située sur sa poitrine, un peu au dessus de son coeur ..

Il vit avec amusement que le barbare la dévorait des yeux, lui non plus ne semblait pas insensible à son charme ravageur, il ne tarda pas d'ailleurs à s'allonger à proximité, protecteur.

Lui-même s'installa plus confortablement et commença à monter la garde, profitant du bien-être que lui inspirait cette douce nuit.


 

maxdu59

Titan // Comédien Détendu
Il était toujours assis sur un rocher, grignotant son repas, les pensées venant et repartant comme la brise fraiche. Le chasseur et le barbare étaient absorbés par une femme allongée non loin, avant que le premier monte la garde et que le deuxième s'endorme. La lune étant déjà haute dans le ciel, il sortit son sabre de son fourreau, produisant un bruit caractéristique. Quelques regards venaient surement de se tourner vers lui, mais son attention n'était pas requise pour le moment. Il posa sa lame sur ses genoux, ouvrit la fiole de sang à ses cotés et versa le quart du sang contenu sur sa lame. Une lame refroidie par le sang se devait d'être nourrie par le même matériau. Le meurtre d'un prince lui avait assuré la solde nécessaire à la fabrication de cette arme. Le sang ayant disparu, il rengaina sa lame, et se leva, en direction du cours d'eau, où il se rinça le visage. En revenant vers le feu, il se dirigea vers le chasseur, seule personne qu'il savait encore éveillée

-Dors si tu le souhaites, je peux prendre ta relève dit-il en le regardant dans les yeux
 

DeletedUser43193

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Il avait observé le petit rituel que l'homme près du feu avait effectué ..
Il ne savait pas tellement de quoi il retournait mais il savait en revanche qu'une magie nécessitant du sang n'était jamais bonne, et qu'une arme pouvant être ensorcelé par cette même magie était dangereuse ..

Le sombre enchanteur alla ensuite en direction du cours d'eau puis il s'avança vers lui et lui proposa de prendre un tour de garde.

Le sommeil ne l'avait toujours pas effleuré en cette nuit claire, néanmoins il accepta d'un signe de tête reconnaissant.

*Je pourrais toujours méditer profondément, comme mon mentor me l'avait jadis appris, cela équivaudrait largement à cette nuit de sommeil manquée .. *

S'isolant donc un peu plus il s'installa à mit chemin entre le petit campement et le cours d'eau.
 
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DeletedUser42587

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Lorsqu'elle ouvrit les yeux, elle fut surprise par le calme régnant sur la forêt. C'était comme si le temps était suspendu. Pas un bruit. Le silence était roi.

Le feu de camp n'avait pas résisté à l'assaut humide de la rivière. Les alentours, sombres, laissaient deviner une fine brume, flottant au-dessus du sol.
Elle se débarrassa de sa cape détremprée et attendit que son corps se réveille. Les environs gris commencèrent à se teinter de ce rose si caractéristique à l'aurore, tandis que l'air nocturne, humide, et la brume lentement se dissipaient sous l'effet d'un léger vent de terre.

Ses jambes répondant désormais à ses ordres silencieux, elle se releva, manquant de butter contre le barbare qui, couché en chien de fusil près d'elle, avait l'apparence d'un puissant roc. Ses pieds la menèrent lentement jusqu'à la rivière, sur un rocher sur lequel elle se hissa, attendant de voir poindre le jour.
L'atmosphère gris-rose se chargea de teintes mauves, parsemées de nuances plus chaudes, allant de l'orangé à l'or. L'astre solaire, semblant sortir de terre, étira ses rayons au travers la forêt et le long du cours d'eau, faisant scintiller la rosée matinale.

Tout comme le campement, la forêt sorti de sa trêve nocturne. Le gazouillis des oiseaux se fit entendre, le vent de terre tomba, aussi brusquement qu'il était apparu. Les arbres se paraient de leurs déclinaisons de vert. Les rayons du soleil avaient atteints la cascade et faisaient naitre à ses pieds, une multitude de petits arc-en-ciels dans lesquels Noa se perdit en contemplation.
Ses yeux fixaient les couleurs pastels tandis que ses pensées s'entrechoquaient. Il lui fallait reprendre sa route vers le sud. Et elle ne pouvait la continuer avec autant de monde. Il était certes plaisant d'avoir de la compagnie, mais un petit comité serait plus judicieux.

Un craquement derrière elle la fit sursauter, ébranlant le fil de ses pensées.

 

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L'air fut pur, l'aube régna sous un voile. Le soleil doucement se leva, scintillant, un nouveau jour se forma.
Tout s'y trompa. Les oiseaux, dans le bocage, prirent l'aube pour l'heure des concerts, et les zéphyrs, surpris de ce ramage, plus mollement les portèrent dans les airs.
Le printemps en silence épancha ses corbeilles et de ses doux présents embauma la forêt.

Soudain, sous le bruit des pas de la sublime femme, le barbare se réveilla, l'œil embué sous sa mantille mariée, dont la pudeur chancella.
Les grésillements de la forêt se firent entendre doucement.
Sur le ciel clair passa une agate, bille de glace, calot de feu, le soleil bas roula et se hâta vers des rituels moins frileux, des épousailles plus canailles, que ces effeuillages gracieux.

La femme, véritable muse, soupirant sous le glacis de ses dentelles, fit déguerpir sa voluptueuse démarche en lui mettant du plomb dans l'aile, évitant ainsi de butter sur le barbare.
Or ce dernier, ne dormant que d'un œil, remarqua la maladresse de cette femme.

Sans tarder, il se leva, prit sa massue en main et entama, doucement, sa route vers le sud, sans même attendre que les autres daignent se réveiller.
 
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DeletedUser43193

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Sortant de sa méditation, Tseufos commença à retourner vers le petit campement.
De loin déjà, il remarqua que Noa et le barbare n'y étaient plus.

S'approchant encore il aperçu finalement Noa près de la rivière, qui semblait profondément perdue dans ses pensées.
Il commença à s'avancer vers elle pour la saluer quand elle sursauta doucement alors qu'un craquement se faisait entendre ..

Surpris lui aussi, il chercha du regard ce qui avait pu produire ce bruit.
Il n'eut pas à chercher longtemps : s'éloignant vers le sud, la silhouette du barbare, sa massue sur l'épaule, se dressait.
*Pourquoi pars t il ainsi, sans rien dire?*

Etant trop loin pour être entendu, il commença à faire signe à Noa, en contrebas, mais il se ravisa finalement.
*Elle l'a sûrement déjà vu*

Il préfèra donc continuer de s'avancer dans cette direction, accélérant le pas.



 

DeletedUser44469

Guest
Voilà donc que cela fait plusieurs jours que le jeune nécromancien s'attarde auprès de ses amis, et son esprit d'aventurier lui pousse à partir. Ils lui forcèrent à prendre de quoi subsister une semaine, puis le laissèrent sur sa route.

Il mit seulement quelques heures pour arriver à Sandoro, mais à cause de l'heure tardive, il fut contraint à se coucher sous l'ombre des derniers arbres. Enfin, il en avait fini avec cette forêt qui lui avait pourtant semblé interminable.

Il sortit ses livres, et se mit à lire, en paix comme il n'en eut connu d'autre...
 
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