[RP] Neutralis

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Neutralis

Neutralis est une grande cité disposant du plus grand port commercial de tout Thêta.

C'est une cité prospère de commerçants et marchands en tous genres. Jamais Neutralis n'est entrée en guerre contre quiconque. C'est pourquoi elle résonne dans l'esprit de tout un chacun comme le lieu de la serennité et de la tranquilité, où chacun met temporairement de côté ses différends, le temps de son séjour dans la cité.

Neutralis est également réputée pour ses nuits endiablées. Le quartier Ouest de Neutralis est le lieu de la débauche, parfois la plus totale. Des clans y font régner leur lois, et, malgré sa réputation de reine de la tranquilité, les histoires concernant ce quartier se résument le plus souvent à viols, assassinats, et règlements de comptes.

Le Quartier Nord de Neutralis est un quartier résidentiel, où pullulent les auberges.

Les plus élégantes bâtisses se trouvent quand à elle dans le quartier Est. Le quartier Sud est le quartier des docks, lieu de rassemblement des marins durant leurs permissions.

Le Centre de la cité est le centre des affaires. Quoi que vous cherchiez, vous le trouverez à cet endroit. On y trouve même parfois des objets très farfelus...

Si vous cherchez un point de chute à Neutralis, où dormir et manger reste de qualité et bon marché, il est conseillé d'aller à la Taverne de l'Etoile, où l'ambiance est conviviale et le personnel fort sympathique. Le patron est un gros bonhomme répondant au nom de Marcel. Vous le reconnaîtrez vite.


[hrp] RP ouvert, suivez la description! A partir de la trame ci-dessus, vous pouvez inventer des choses, rajouter, modifier...etc... A vos plumes les amis! [/hrp]


ps: Accord du modérateur.
 
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Jonstar arriva avec sa garde rapprochée, qui était composée en réalité de deux hommes : son ami Philéas, et son cousin Phylios.

Ils étaient venus pour parler affaire avec un marchand peu scrupuleux, à qui ils avaient commandé dix cargaisons d'épices, pour au final n'en recevoir que la moitié, pour le même prix.
Le concerné se nommait Dimnias, et tenait un comptoir au port de Neutralis.

Jonstar comptait bien récuperer ce qu'il lui revenait de droit. De préférence par la manière douce.

Leur voyage fut long et éprouvant, et ils atteignirent les portes de la cité à la tombée de la nuit. La fatigue les envahissant, ils décidèrent de prendre une chambre dans la Taverne de Marcel, un Macédonien comme eux.

La distance les séparant de la Taverne était courte. Ils la couvrirent rapidement. Devant la taverne, ils entendirent une cohue à l'intérieur. Philéas fit mine de sortir son glaive, mais Phylios le retint.

- Restons calme mon cousin, et voyons ce qu'il se passe ici.

Ils entrèrent.
 

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La taverne était spacieuse, propre, une légère odeur d’encens embaumé la pièce principale. Les serveuses étaient souriantes, jeunes et court vêtue. A en voir les différentes personnes attablée, cette taverne était sans nul doute un endroit ou l’on y traité de gros contrats commerciaux.
Derrière le comptoir se tenait fièrement Marcel, le propriétaire des lieux, son sourire laisser penser qu’il avait fait belle recette ce jour.
A gauche du comptoir un jeune homme appliqué joué de la cithare.

A une table était assis 3 personnes, une jeune femme au teint pale, les cheveux roux, tout simplement élégante, en face d’elle deux hommes, un de petite taille qui semblait pris de panique, collé a lui un grand gaillard, l’air menaçant.

« Alors Dimnias, sale fripouille, comment vas-tu te sortir de cette affaire » dit la femme au petit homme »

« Dame Zhyra,je n’ai qu’une parole, aie, ce n’est pas la première transaction que nous concluons ensemble, aie, laissez moi encore 2 jours et je vous fournirez les épices manquantes, ho… aie. »

« J’attendais ta marchandise le 15 de ce moi, cela fait donc 8 jours de retard, et tu as reçu ton or en totalité. »

« Zhyra ,aieee,je vous en supplie dites a Okras de lever ,aaaieeee, sa dague de mon foie. »

« Si demain à l’heure du déjeuner ma marchandise se trouve sur le quai prête à être embarquée sur mes navires tu auras la vie sauve. »

« Aieee ouiii, dame Zhyra demaiinn,aieee vous aurez votre marchandise ahhhh »

« C’est bon Okras, laisse partir ce malheureux, tu pourras t’en occuper demain s’il ne tiens promesse. »

Okras s’écarta du pauvre Dimnias lui laissant ainsi libre place pour s’hotter de la chaise.
Le petit marchand se leva en tenant sa main tremblante sur son foie, de son autre quenotte il prit un mouchoir dans sa poche et s’essuya soigneusement les gouttelettes de sueurs qu’il avait sur le front.

« Ne jamais remettre au lendemain ce qu’on peut faire le jour même », dit Okras au marchand, « file maintenant avant que ma reine ne change d’avis. »

Dimnias ne se fit point prier, prenant ses jambes a son cou il pris la direction de la sortie d’un pas soutenu
 

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Philéas s'apprêtait à pousser la lourde porte, mais celle-ci s'ouvrit brusquement.

Ils se retrouvèrent nez-à-nez avec ce cher Dimnias, qui semblait apeuré. A la vue des trois hommes, celui-ci, déjà blanc comme un tuberculeux, pâlit davantage, comme s'il venait de voir un fantôme.

Jonstar sourit.
- Tiens, tiens. Regardez donc qui va là. Notre cher ami Dimnias.
Il passa un bras autour de son cou.
" Tu ne vas pas t'en aller comme ça, hein Dimnias ? Nous allions prendre un verre, tu tombes bien, viens donc te joindre à nous!"
Le marchand secoua la tête fébrilement.
- N..Non..me...merci..
- " Tss tss tss, on ne refuse pas une telle proposition! As-tu oublié les bonnes manières ? le coupa Jonstar, en l'entraînant dans la taverne.

Ils se dirigèrent vers une table du fond. Le visage du bon vieux Marcel s'éclaircit à leur vue.
- Bienvenue les amis! Cela faisait longtemps! Qu'est ce que je vous sers ? Comme d'habitude Jonstar ?
- Comme d'habitude Marcel! La même chose pour notre ami s'il te plaît! J'ai une petite affaire à régler, puis on pourra discuter tranquillement mon brave! lui répondit Jonstar

Ils forcèrent Dimnias à prendre place. La sueur troublait la vue du marchand véreux, et lui piquait les yeux.
Philéas et Phylios s'installèrent à ses côtés. Jonstar prit place en face.
- Bon, ne perdons pas notre temps. Tu as essayé de me tromper, Dimnias. Sais-tu ce qui arrive à ceux qui ne respectent pas leurs engagements ?
- Oui messire, j..je vous d...d...dédommagerais! D...demain sans faute! Les cargaisons d'épices manquantes seront livrées à votre cité, sans frais!
Jonstar sourit. Marcel amena les consommations. Jonstar but une gorgée, savourant la délicieuse liqueur qui faisait la renommée de la taverne de son cousin macédonien.
- Oui, Dimnias, sans frais. Et tu y rajoutera une cargaison de blé, de vin, de fruits, et de soie. Demain, sans faute. J'oublierais cette histoire, et les affaires reprendront tranquillement. Entendu ?
- M...mais...
- On t'a posé une question, escroc! le coupa Philéas.
Le marchand se tortilla sur sa chaise. La sueur lui faisait atrocement mal aux yeux. Il s'essuya maladroitement le front.
- Je n'ai pas tout cela en stock, messire...
- Ce n'est pas mon problème ça, Dimnias. C'est toi le marchand. Alors débrouille-toi. Demain. Sans faute. Compris ? Maintenant, file.

Phylios le souleva de sa chaise, et le poussa vers la sortie. Titubant, le marchand sortit difficilement de la taverne.
Jonstar se leva.
- Et si on allait discuter avec notre cher cousin ? fit-il à ses deux amis et gardes, un sourire franc illuminant son visage.
 

DeletedUser8212

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Okras et Zhyra observèrent la scène avec attention.

-Eh bien mon cher Okras, on dirait bien que Dimnias a d’autres clients mécontent.

-Oui Zhyra, ce vaurien ne verra pas ses héritiers grandir s’il continue à procéder de la sorte. Mais chère reine, autre chose m’interpelle, des trois seigneurs qui sont entré l’un deux ne s’est point fait appeler Jonstar par Marcel ?

-Oui possible Okras, pourquoi cela, une vieille connaissance ? Dit Zhyra en regardant par-dessus la large épaule de son fidele serviteur en direction des trois hommes.
-Non…, vous savez très bien que je n’ai peu voyagé dans ma vie et que tout comme vous c’est la première foi que je viens a Neutralis, mais tout a l’heure sur le port, vous étiez encore a bord du navire et j’ai pu parler a un jeune moussaillon qui vantait les mérites de ce... Jonstar.

-Quelle histoire ce jeune homme t’as t’il donc fait avaler ?

-Apparemment ce seigneur est un tyran, il attaque sans relâche et pille tout les villages alentours…

Le visage de zhyra se ferma,elle le coupa ;-Okras, nous pratiquons les mêmes choses, ce n’est pas pour cela que nous tyrannisons nos voisins.

Zhyra leva les yeux au ciel un instant, puis d’on ton plus clément et d’une voie calme : -Prendre leurs biens…, faire quelques sacrifices humains…, et surtout, surtout…, leurs faire espérer qu’ils connaitront des jours meilleurs…, cela s’appelle la politique !

Okras se caressa la barbe l’air ahuri et dubitatif

-Oui votre père m’en a souvent parlé mais n’en a jamais fait, mais vous avez l’air doué pour ça.

-Bon et cette histoire alors….s’impatienta Zhyra

-Oui, donc.ce Jonstar fait de la…heu politique… et certains n’auraient pas aimé! Un seigneur au nom asiatique, je me souvient plus trop son nom, aurait envoyé toute son armée pour contester cette politique et plouf, tous coulé, tous mort, une grande armée,plein de valeureux guerriers,tous mort,tous coulé .

Okras était tout fier de son histoire, comme si il avait participé a cette éclatante victoire, il répéta : -tous coulé, tous mort !!

Zhyra regarda à nouveau en direction des trois hommes puis dit à Okras : -Politicien, fin stratège et en plus de cela il a l’air de bien connaître Neutralis, nous devrions le rencontrer. Vas donc inviter ce seigneur à prendre un verre a notre table.

Okras se leva et se dirigea vers eux.

-Pardonnez moi messires !,Zhyra ,souveraine d’Osapos souhaiterai vous rencontrer et vous invite a prendre un verre a sa table dit il en montrant de sa large main velue la table ou était installé la belle.
 
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Le lendemain un seigneur que l'on appelait zac venait d'entrer accompagné de 10 gardes, il demanda au veilleur quel route devait-il suivre pour trouver le quartier des affaires.On lui indiqua que le centre grouillait de commençants en tout genre, le veilleur lui demanda pourquoi, il répondit
<<Je recherche du bois pour finir la construction du temple de ma ville>>.
Et après avoir salué et remercié le veilleur ils se mirent en route pour le centre de Neutralia, Après une heure de marche harrasante il trouvèrent un marchand travaillant pour le compte d'un certain Dimnias, il lui prometta 100
kilos du meilleur bois contre un kilo d'argent pur, ;le seigneur lui donna un feuille pour pouvoir acheminer le bois sur son navire et aussi où il se trouvait il dit que le bois sera entièrement livré a onze heures tapantes.Il fit une halte dans une taverne nomée la Taverne de l'étoile.Il y entendit des gens parlant de pillages et de politique affirmant que le vol de ressourçes des villages environnant etait de la politique et non du barbarisme,après avoir passé commande de 11 liqueurs et de 10 lits confortables dans une suite et une suite du plus grand luxe il vint vers les personnes parlant, ils étaient 5
il dit<<Pardon de m'immiscer ainsi dans votre conversation mais>> ...et la un des hommes se leva et quand il allait lui dire de regagner ses penates il dégaina son épée et l'entrava puis reprit<<donc sachez que j'approuve totalement votre avis sue les pillages il sont obligatoire pour se développer et conquérir et puis on est toujours mieux avec des ressources et des hommes en trop que pas assez eh bien sur ce aurevoir et à bientôt je l' espère>>C'est ainsi que parla celui qu'on qu 'on appelait le Héro aussi connu sous le nom de Zac avant de retourner ripailler avec ses gardes.
 
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Au même moment, au quartier Sud de Neutralis:

- "Aleyna, dépêche-toi, un homme arrive."
- "Attends, j'ai presque fini..."
- "Trop tard, il faut partir, il va nous voir!"

Les deux femmes, cachées sous de longues tuniques, descendirent discrètement d'un bateau de marchandises...
 

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Le lendemain matin quand le seigneur Zac se réveilla il était aux alentours de 9h et quand le derniers des gardes se leva il était 11h ils partirent vers le sud au quartier portuaire et arrivèrent a 11h30 ils préparèrent le bateau et a 12 h ils furent livrés mais des bandits tentèrnt de voler la marchandise vite massacré(20 hommes non entrainés armés de vulgaires bouts de bois contre 10 épéistes de renom dans une armure lourde et 20 paysans armé de fourches, autant vous dire c'était un massacre) puis ils partirent enfin pas vraiment par-ce-que les gardes et le seigneur était resté et attendaient le retour du bateau.
A suivre
 
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[hrp]Désolé, c'est allé un peu trop vite! lol[/hrp]

Jonstar et ses deux gardes sillonèrent la ville, de taverne en taverne. Une semaine passa ainsi, et l'or venait à manquer, pour ces petites vacations que se sont permis les trois hommes.
L'avant dernier jour, ils décidèrent de faire un tour dans le quartier dépravé de Neutralis.
Durant leur escapade amoureuse, beaucoup de choses se passèrent...

Un scribe de Neutralis relata les faits dans son mémoire, qui est à paraître pour bientôt, d'après l'éditorialiste qui obtint les droits de diffusion et de vente de l'ouvrage. Et celui-ci travaillait, pour la petite histoire, pour un certain Dimnias.
 
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