Soyons Verts : Vote pour désigner le gagnant !

Quel est votre texte préféré ?

  • Texte 1

    Votes: 11 14,1%
  • Texte 2

    Votes: 1 1,3%
  • Texte 3

    Votes: 4 5,1%
  • Texte 4

    Votes: 3 3,8%
  • Texte 5

    Votes: 3 3,8%
  • Texte 6

    Votes: 3 3,8%
  • Texte 7

    Votes: 14 17,9%
  • Texte 8

    Votes: 2 2,6%
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    Votes: 1 1,3%
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    Votes: 4 5,1%
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    Votes: 4 5,1%
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    Votes: 4 5,1%
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    Votes: 3 3,8%
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    Votes: 16 20,5%
  • Texte 16

    Votes: 2 2,6%

  • Total de votants
    78
  • Sondage fermé .

Andimion

Community Manager
Équipe Grepolis
Soyons verts : Vote

Chère communauté,

Nous souhaitons remercier tous les participants pour les textes qui ont été soumis, ce fut un plaisir de vous lire. 2 participations ont été disqualifiées à cause soit d'un texte trop long, soit d'un mot manquant parmi la liste demandée. Étant donné que suite à cela il ne restait plus que 16 textes valides, nous avons décidé de les proposer tous au vote des joueurs.

Il est maintenant temps de choisir votre texte préféré, celui qui remportera le plus de suffrages remportera l'évènement. Toute l'équipe du support se réunira de son côté pour attribuer des prix spéciaux.

Vous avez jusqu'au 31 mars 20h pour donner votre choix ! À vos votes !

Voici les textes proposés :

c'était un beau matin d'automne , la foret commençais a peine a perdre sa couleur vert foncé et tous en m'en allant faire mon sentier de trappe a l'écureuil , pour me faire un manteau de vair , en me dirigent vers mon dernier piège , y avais un écureuil encore vivant et prit par le bout de sa queux bizarrement vert pale , je ne puis m'empèché de le remettre en liberté , une fois accroupie j'en est profité pour capturer quelque ver pour aller a la peche en après midi , tous en prenant un verre de bière , pour feté cette belle journée , dans le grand nord canadien en vers québec :)

Chères camarades lever vos verres et réjouissez vous, car ce soir vers 20h, nous avons repoussé l'ennemie loin de nos terres. Cette ennemie n'a reculé devant rien, il a pillé, brulé et massacrée une partie de nos enfants, vous criez vengeance, oh que oui, vous avez aujourd'hui le feu vert pour le poursuivre jusque dans le grand nord. N'oublier pas d'emporter vos armes et vos vairs, car hormis l'ennemie pas plus gros qu'un vers, le froid du nord, comme nous ne connait pas le mot pardon.

Hommage à la Dame de vert vêtue





En cette si belle après-midi de printemps,

Assoiffé et fatigué, je saisis mon verre

A deux mains ; contemplant la sublime nature

Aux saules vert émeraude et pins imposants



Un ver sortit de son trou, fier et innocent

L’écureuil grimpa loin, camouflé par son vair,

La sombre pie prit son envol, disparut vers

De nouveaux horizons ; ceux d’un ciel plus clément.



Mes yeux sont fatigués, je cherche une nouveauté

Dans ce décor de jardin bien trop surfait

Car la ville autour de moi porte un lourd fardeau



Que le monde est vaste, que mon ennui est grand.

Le mensonge est beau depuis mes yeux innocents.

Ils ne voient notre course droit vers le chaos.

Vers un monde mythique nous marchons

Le dernier requiem approche vers nous

Pauvres mortels, nous arrivons

(Funeste destin, oracle vert

Il est trop tard. )


Comme l’Atlantide nous sombrerons

Vers un funeste monde nous tombons

miroir de verre se brisant,

et révèle ton sombre dessin

(Et le ver ronge Yggdrasil

et la sagesse s’y abandonne)


Les Anges et démons illuminant le ciel

D’un combat de Titan, vaine bataille

Vair Ratatosk, y répand sa malice

Et nous sombrons dans sa matrice.

(Pauvre mortels,

nous sommes tombés)



Ignotum Fatum



*Ce "poème" doit se lire de manière assez sombre, comme une ode funeste annonçant l'apocalypse (un peu à la "Of Michael the Archangel and Lucifer's Fall" si vous connaissez ^^)

A l’ombre d’un chêne vert un pêcheur vere pêchait dans l'étang de Vaire, il avait fixé un ver au bout de sa ligne pour taquiner le silure mais pas de bol à chaque fois il ramenait une godasse ou un vélo mais après avoir bu 3 ou 4 verres il fut surpris en ramenant la pantoufle de vair à Cendrillon (oui faut bien caser ce mot) donc il attrapa la savatte à Cendrillon qui puait tellement qu'il en était vert et dit ben faut que je lui ramène sa godasse et parti vers la cabane à la sans godasse. Toute contente elle lui offrit un verre de rouge (et vlan 5 verres dans le gosier) aller un dernier verre pour faire le voyage de retour proposa Cendrillon (ca y est il a sa dose) ah le verre de trop le pêcheur devient verd indigestion de gasoil, le chemin pour retourner vers sa hutte fut long il mit 3 jours quand même.

Au cœur de ce long hiver enneigé,
Bien au chaud dans mes pantoufles de vair.
Je prends ma plume pour écrire ces vers,
Impatient de revoir ce mois de mai,
Où le blanc aura laissé place au vert.
De pollen, l'abeille se délectera,
L'hirondelle se nourrira de ce ver
et bien d'autres, pour féter cela,
J'irai dans ce ruisseau aux milles lueurs
plongé mon verre dans cette eau si pure.
Ces nuances de verts dans ces cultures,
Dans ces collines, Rien que du bonheur !...

Les larmes ont fait déborder le verre
Et tes bras ouvriront la mer
En deux, comme le ciel se déchire
En été, en hiver, dans mon âme tu vis
Et dans mon cœur tu restes mais je dois partir

Que ce soit la guerre, l'effroi ou le pénitencier
Ta présence est pour moi un manteau de vair, de bois et d'acier
Tu m'as apporté les matières premières
A la façon du ver qui nourrit et fait grandir la terre

C'est dans le vert-gris de tes yeux
Que j'ai appris à être heureux

J'apprécie l'ombre de quelqu'un à mes côtés
Qui sait me parler et m'écouter,
Dans la traversée de la violence et de la haine
Je serais le bouclier apte à te protéger,
C'est en écrivant ces quelques vers que je comprends
A quel point maman je t'aime.

Ta beauté me mène vers des émotions nouvelles,
Ton aura si belle me rappelle Noël.

Tes yeux sont si saillants, tellement luisants,
Qu’ils reflètent le vert de ton regard perçant.

Bijoux, fleurs, et vêtements tu posséderas,
Pantoufle de vair de Cendrillon, tu auras.

Tes mains et tes doigts, fragile comme du verre,
M’entoure et me berce, dans les lointaines mers.

Je me faufile dans tes bras comme un ver,
Sur ta peau si lisse, niche éternel douceur.

Tu fais mon bonheur, tu réchauffe mon cœur,
Lorsque vient le froid, tu m'envoies ta chaleur.

Il était une fois une élégante princesse vêtu de vair, de long cheveux châtain clair et des yeux marrons. Du haut de son balcon très modeste, elle vit un prince sur sa monture, un cheval dont la selle était d'un étrange vert. L'homme avait une sublime rose en verre qui reflètent le soleil. La princesse émerveiller par cette rose qui en ferai jalousais les vers s'imaginer déjà ou la placer. Elle se dit que sur la table près de l'entrer pour que tout le monde la vois pourrait être le parfaite endroit. Elle fait signe au prince pour lui indiquer l'entrer vers le bois . Puis eu des enfants

Parée de mes plus beaux atours, dont mon himation de vair, je me dirige à grands pas vers la taverne de Téos.

J'espère y boire un verre avec quelques amis, voir pourquoi pas, des adversaires.

Le chemin est long et difficile, point de route avec des charrettes pour vous avancer.

Se profile un horizon rendu vert par l'arrivée du printemps ,parsemé de quelques arbres et bosquets où peuvent se cacher des pourfendeurs de harpies.

Soudain je m'arrête ! je crois voir un taillis bouger. Qui ose s'y cacher ?

Andimion le collecteur de fonds de la région , à la solde des dieux de l'Olympe ?

Je m'approche... et... surprise ! je n'y vois qu'un unique et minuscule ver.

Même s'il fait grand bruit, je ne lui ôterais pas la vie, il est si petit.

Je poursuis ma route déçue, j'aurais aimé détrousser le collecteur de fond et avoir le plaisir d'offrir une tournée générale pour fêter le printemps avec les deniers des dieux grecs.

Cela sera pour une prochaine fois, je n'en doute pas.

Saint Patrick's Day :

« Sous les ciels orageux, marchant sur les prés verts
À Dieu étant ce qu’un enfant est à son père
Il évangélisa l’Irlande toute entière
Ne voulant seulement que cesse les misères

Tout enveloppé d’un simple manteau de vair
Patrick voyagea et, contre une épée de fer
Abattit sa crosse sur le païen barbare
Tout un combat de paix, mais sans désir de gloire

Ramassant simplement un trèfle à trois feuilles
Il fit la Trinité, expliqua sans orgueil
Comment on bâtissait des églises de verre
Kilmore, Armagh, Connor, remercient bien leur père !

Sa pieuse destinée m’a inspiré ces vers
Dois-je ainsi honorer, tout en tuant le ver
Avec quelques quatrains, le noble Saint Patrick ?
Y a-t-il encor moyen d’écrire [pour lui] un limerick ?

...en ce printemps naissant, Patrick repose en paix. »

Soyons verts !
Ô,bien-sur,soyons verts,
Soyons les verts accueillants
Mais aussi les verts du printemps
Les verts du rassemblement
Les verts vers un nouvel élan,
Les verts vers un monde plus vert
Soyons de vrai vers de notre planète Terre !
Pour un monde plus verdoyant
Auquel nous rendrons sa couleur Cyan
Pour ces écureuils volants
Et pour nos enfants
Soyons partisans
D’un grand rassemblement ;
D’un grand mouvement
Qui courageusement
Viendra au-devant de nos dirigeants
Somnolents, indifférents
Au changement vair de notre monde accélérant.
Et à la disparition des vairs de nos écureuil-volants
Que nous ne « vairons » plus, fort malheureusement
Pour éviter de la nature, son déchaînement
Ses ouragans et ses volcans,
criants ses étouffements au participe présent ; en agonisant
Venez et devenez des combattants,
Brisants le verre de nos hurlements
D’avenir dictant un changement durablement conscient
Pour un monde Humainement vivant
anonymement, un grand enfant

À la Saint Patrik, levons nos verres !


Gentes damoiselles, gentes damoiseaux, le printemps vous appelle !
Dévêtez vos pelisses de vair, il est temps de dire adieu à l’hiver !


Emplissez vos poumons des senteurs de cet énième résurrection
De nos verts pâturages, et laissez libre cours à vos passions !


Ainsi que les tendres pousses sortent de terre sous la serre de verre,
Déployez vos ailes pour répondre à l’appel de vos ardeurs nouvelles !


Chacune, chacun est acteur de cette fête chaque année reconduite,
Depuis l’insignifiant ver jusqu’au plus majestueux des aigles !


Tandis que j’écris ces lignes, je vois, tendue au loin, une main m’appelant,
Je me sépare donc de vous sur ces quelques vers, qui vous donneront envie, je l’espère, de profiter de ces premiers rayons solaires !

Par la fenêtre, nu comme un ver, je contemplais l'aube du printemps

Soudain surgit une bergère au pied du porche, l'air aguichant


Je descendis, muni d'un vair, dissimulant mes sentiments

J'ouvris la porte de la chaumière, pour un coup d'foudre mais pas seulement


Neuf mois plus tard, c'était l'hiver et l'avènement d'un garnement

J'aurais dû clore ma paupière mais l'oeil est désobéissant


Au son d'un pic vert énervant je m'affalais dans le divan

Ecrire ces mots autour d'un verre rêvant d'une liberté d'antan


La morale de ces quelques vers dépasse un peu mon entendement

Aucune importance du moment que ces caractères me rendent gagnant

Il était une fois un ver de terre vert.
Il avait décidé de plaquer sa femme, pour
une autre qui avait des habits de velours.

Il voulait avoir un costume fait de vair,
pour plaire a sa somptueuse dulcinée
et pour lui prouver qu'il était déterminé.

Il alla à la recherche d'un écureuil.
L'écureuil, ayant appris qu'un ver le chassait,
alla se cacher dans une maison, sous un verre

Le ver entra dans la maison, vit l’écureuil
caché dans le verre teinté. Il fonça vers
lui, tomba sur un rasoir et fut coupé net

L'envie de tout avoir se paye bien trop cher
Mieux vaut se contenter d'une femme quelconque
Plutôt que de mourir sur le fil du rasoir

Ce pauvre ver de terre est donc
passé d'une vie très prospère
a une bien sombre nuit noir

Il était une fois, deux princes vers qui souhaitaient être rois.
Le premier ver ne se souciait pas des sujets du royaume dans les bois,
Il voulait de l'or, des vêtements de vair mais savait aussi faire prospérer le royaume.
Le deuxième prince était proche du peuple, aimé à défaut d'être autonome,
Car il était alcoolique, ses verres se vidait comme la trésorerie du trône.
Face à cela, le roi ne savait lequel des frères désigner comme successeur.
Il leur donna donc une quête, le couronné serait le prince vainqueur.
Le roi dit aux deux princes de ramener la graine de l'arbre le plus vert.
Ce serait une nourriture riche, qui amènerait une ère plus prospère.
Les princes se dirigèrent vers les bois, mais la boue sur les habits du premier,
Et les racines entravant les pas de l'aviné, ils eurent tôt fait de se raviser.
Devant ses deux fils incapables, le roi choisit donc de nommer héritière la princesse,
Un souffle d'égalité naquit dans le royaume, qui fêta sa reine avec liesse !
 
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