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Le gouverneur allait et venait le long du port dans la grande cité. Les soldats, eux, se reposaient sur leurs lauriers car ils s'étaient débauchés plus longtemps que prévu.
Le Gouverneur passa ses troupes en revue. Il prenait un certain plaisir à s'arrêter devant certains de ses hommes pour les admirer. Ce jour là, l'armée était réunie en cohortes de cent soldats, tous tournés vers le grand temple. Les archers avaient rempli leurs carquois, les épéistes avaient aiguisé leurs épées, les cavaliers avaient leurs casque de bronze qui étincelaient.
"Soldats ! Grand Honneur vous me faites en vous présentant à moi ! dit Zarathoustra tout en continuant de marcher.
- Je connais vos exploits, je connais votre courage ...
On entendit une volée d'acquiescement traverser les hommes.
- Votre réputation pour moi n'est plus à faire ! dit il.
Zarathoustra se tourna alors vers la mer et fixa l'horizon. Les hommes s'entreregardaient, perplexes.
- Voyez au loin ces îles qui se dessinent à l'horizon. Le monde est peuplé de barbares qui convoitent notre empire. Malgré les récentes victoires la guerre continue, elle s'étend. La mer réclame du sang et des larmes afin de faire briller la paix dans cette cité.
Aucun bruit ne parvenait sur le port hormis le bruit de la mer, et seule la voix du Gouverneur perçait le silence.
- Aussi courage valeureux guerriers ! Chaque ennemi tué est une bénédiction pour nos villageois et nos cités.
Partez et revenez couvert de gloire !!!"
Les taxiarques retransmirent les ordres élaborés par les stratèges et armèrent les bateaux de transport. De lourdes planches permirent de faire monter les chevaux et les lourds chars de guerre à bord. Enfin les soldats se mirent en formation sur les ponts, par rangées de vingt.
Quelques temps après le Gouverneur reçu une magnifique nouvelle de la part de son état major :
Zarathoustra blêmit à la vue du nombre de ses soldats perdus, mais la dureté de ses traits montrait sa détermination. Il retourna à ses occupations.
Le Gouverneur passa ses troupes en revue. Il prenait un certain plaisir à s'arrêter devant certains de ses hommes pour les admirer. Ce jour là, l'armée était réunie en cohortes de cent soldats, tous tournés vers le grand temple. Les archers avaient rempli leurs carquois, les épéistes avaient aiguisé leurs épées, les cavaliers avaient leurs casque de bronze qui étincelaient.
"Soldats ! Grand Honneur vous me faites en vous présentant à moi ! dit Zarathoustra tout en continuant de marcher.
- Je connais vos exploits, je connais votre courage ...
On entendit une volée d'acquiescement traverser les hommes.
- Votre réputation pour moi n'est plus à faire ! dit il.
Zarathoustra se tourna alors vers la mer et fixa l'horizon. Les hommes s'entreregardaient, perplexes.
- Voyez au loin ces îles qui se dessinent à l'horizon. Le monde est peuplé de barbares qui convoitent notre empire. Malgré les récentes victoires la guerre continue, elle s'étend. La mer réclame du sang et des larmes afin de faire briller la paix dans cette cité.
Aucun bruit ne parvenait sur le port hormis le bruit de la mer, et seule la voix du Gouverneur perçait le silence.
- Aussi courage valeureux guerriers ! Chaque ennemi tué est une bénédiction pour nos villageois et nos cités.
Partez et revenez couvert de gloire !!!"
Les taxiarques retransmirent les ordres élaborés par les stratèges et armèrent les bateaux de transport. De lourdes planches permirent de faire monter les chevaux et les lourds chars de guerre à bord. Enfin les soldats se mirent en formation sur les ponts, par rangées de vingt.
Quelques temps après le Gouverneur reçu une magnifique nouvelle de la part de son état major :
Zarathoustra blêmit à la vue du nombre de ses soldats perdus, mais la dureté de ses traits montrait sa détermination. Il retourna à ses occupations.
