~¤[Noir Buffet]¤~

  • Auteur de la discussion DECAPITOR
  • Date de début
Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.

DeletedUser

Guest
~¤[Noir Buffet]¤~

Avant Propos:
Je dédis ce Rp à tout mes potôs rpistes, marrez vous bien. Ce n'est que la première partie, aussi je vous serais grès d'éviter les commentaires: Mais où on est ? Mais que combat il ?...etc. Ce genre de choses viendra après. Avec de l'humour en cascade ;)



Chapitre 1:
La Chance d'être Anti-Féliniste.



Voyant sonner ma dernière heure, je pris le temps de ne pas tout faire dans la panique. J'aiguisais calmement ma lance, il ne fallait pas que la bête puisse trouver le repaire. Je me devais donc de l'arrêter. Enfin, j'avais entre mes petites pattes la chance de devenir un héros, un martyr, un grand. Je serais reconnu par mon peuple dans des livres et des légendes... Non, certes, mon peuple ne savait ni lire ni écrire. Ni moi d'ailleurs. Enfin si, Maître Ludio, un vieux parmi les vieux, avait réussi à prendre ce savoir aux souries, lors du guerre bien ancienne. Mais bon.
J'entendais les raclements de griffes sur le plancher. La peur s'empara de moi comme si je n'avais la mentalité d'une vulgaire souri. Il était impossible que la bête soit venue aussi vite... A moins qu'elle ne soit poussé par la faim! Son maître avait dû lui faire subir des privations. Aaah, la cruauté cernait ma communauté. Nous ne pouvions survivre si je ne tuais pas l'horrible monstre poilu.

Mon cœur accéléra la cadence. Je me mis en mouvement. La bête était proche. Trop proche.

Je fusai, volant presque. Foulées de pattes bien grandes. Rapides. Comme me l'avais appris mes entraîneurs ma formation chez les biffins. D'ailleurs, je portais à ce moment les couleurs de l'Armée de la Vermine. Du noire et du vert flashi. Très laid. Mais que voulez vous... tout le monde n'avait pas de bons goûts et particulièrement les couturières à la chaîne de la partie sud. En plus, c'était des souris. Des esclaves mais des souris avant tout!

J'étais près de la bête. Plus que quelques pas. J'avais dans le museau l'odeur de merde de la gueule du chat. A vrai dire, c'était à en mourir. Mais j'étais un héros de la guerre, un héros fier. Et puis s'il fallait mourir maintenant à cause de l'attaque bactériologique, comment je ferais, moi, pour sauver mon peuple? Non ce n'était pas envisageable.

D'un bond, je fus sur la tête de la bestiole. J'atterris sur un crâne duveteux. Mais la douceur n'était qu'un simulacre. La réelle personnalité de la bête se nommait la cruauté et le sadisme. Deux valeurs que partageaient mon peuple, certes, mais qui n'était pas à mettre sur le tapis quand la piètre sécurité des vermines se trouvaient en danger.

Il me sembla alors que le temps s'arrêta. Mes mouvements furent pourtant rapide, mais pas ceux du monstre. J'avais atteint l'état suprême du guerrier, mais même pas le temps de me congratuler, voilà déjà que mon devoir m'appelait à tuer. La lance dans une main, je fis trois pas. Trois pas qui allaient plus tard changer la destin tragique d'un peuple en un destin merveilleux.

Malheureusement, la seconde d'or ne dura pas. Je trébuchai, racines vers l'avant. Mais je parvins à m'accrocher à une moustache. Le choix des sourcils aurait été plus judicieux. Le chat n'avait plus qu'à croquer. Il faillit. Comme sur une balançoire, mes pieds vers l'avant, je me mis à pendre comme un pendule, évitant les crocs de peu. Ce mouvement me permit de reprendre pied sur l'arcade sourcilière féline et dans le même temps, j'enfonçais mon arme rudimentaire bien profond dans le crâne de mon ennemi, par l'œil. Détruisant toute possibilité d'être un jour valide des deux yeux pour ce gros félin. Mais je ne devais pas déplorer le sort du monstre, mon rôle était achevé. La bête partit. Elle partit loin,... en hurlant. Je fus projeté sur un poteau.

Mes orifices globuleux virèrent œufs brouillés. Mes deux carnes pointus qui me cernaient le crâne eurent un petit sursaut de pression. Du pourpre perla au bout de ma fierté qui me conférait l'odorat. Un poignard s'élança depuis mes tempes, détruisant toutes traces de volonté à l'intérieur de mon être. Puis le rouge gagna mon être et enfin le noir. J'étais donc dans les vapes.




Après Propos:
Je vous serais notamment plus grès d'éviter les commentaires non argumentés du style : ' J'aime ' ; ' J'aime pas '.. Merci :)
Egalement, je tiens à dire que des personnes commentant avec l'envie farouche de se venger d'un quelconque autre fait rp, graphique, flood, se devront de répondre de leurs actes devant un modérateur.
Pis dernièrement, après je vous laisse à vos critiques acérés, je proclame, bien sûr, que ce rp n'est pas ' copitable '. Toute reproduction partielle ou entière est bien évidemment prohibé. Merci bien. ;)
 
Dernière édition par un modérateur:

DeletedUser

Guest
Bonjour,
sujet sans réponse depuis plus de trois semaines, je ferme et j'archive ;)
 
Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.
Haut