DeletedUser

Guest
neuf.. cadeau ha nn 10 haaaa

je fouette l'irrésistible gaulois otrho pour avoir eu le 10 d'avant

10 haaaaaaa Gaulois pardonne moi ;p shlack !!!!!

10 bon bah je vous aurais laissé du temp et comme on me la dit jamais 2 sans 3

Alors mon bon gaulois desoler pour toi mais aujourd'hui tu souffre

Cet acharnement
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Un
 

DeletedUser42587

Guest
et dix ?

[SPR]La Taverne aux Supplices se trouvait en plein cœur de la ville, mais l'accès y était bien tenu secret. Au décours d'une ruelle, toujours bondée de passants, un enchaînement d'étals et de magasins en tous genre.
La boutique aux épices avait toujours attiré son attention, les odeurs, les couleurs, l'exotisme, elle reflétait la grandeur de l'empire grec. Au fond de la boutique, un homme, grand et gras, un gilet ouvert sur sa bedaine et un chapeau sur sa tête ronde. A la vue de la Princess, il se décala légèrement sur la droite pour la laisser passer.
Dans l'arrière boutique, entre les sacs bondés d'épices, se trouvait une trappe. Elle la souleva et s'engouffra dans la pénombre. Pénombre éphémère. Au bout du couloir, elle poussa la lourde porte et arriva dans la pièce aux supplices.
Ils étaient nombreux autour de l'autel, nombreux et excités. Il y avait des têtes qu'elle ne connaissaient pas, des amateurs sans aucun doute. L'un d'eux, lui tournant le dos, était affairé à nettoyer un fouet, plus classique que banal. Elle poussa un soupir. Ces jeunes ne connaissaient rien à la torture.
Elle joua des coudes jusqu'à l'autel, curieuse de voir a quoi ressemblait sa future victime. Elle vit alors Ortho, son gaulois, sa moitié, se relever de l'autel ensanglanté.

La fureur s'empara de son corps, son sang ne fit qu'un tour et elle fondit sur le nouvel arrivant. Il n'eu pas le temps d'esquiver son assaut. Elle enfonça la pointe d'une dague dans sa nuque et l'obligea a s'allonger sur l'autel, face contre le marbre tâché de sang.
avec des gestes fermes et précis, elle sangla l'individu et lui demanda son nom.
D'abord amusé, il le lui donna. Malimalimo. Mais quand elle découvrit son visage et que l'assemblée la reconnu, le silence se fit, et il commença à s'agiter, en vain.

La pointe de sa dague repris sa place dans la plaie sur la nuque et tout en déchirant le tissus et la peau au passage, descendit jusqu'entre les fossettes sacrées. Elle attrapa le fouet du novice, un simple manche, garnie d'une longue et unique lanière de cuir. Elle chauffa son épaule en abattant l'ustensile à maintes reprises sur le corps immobile de Malimalimo. Mais les plaies causées par le passage répété de cette lanière ne lui procurait aucun plaisir. Elle s'empara donc de son jouet du moment. Un manche en ivoire garnie de plusieurs fines lamelles. Certaines en cuir, où étaient cousues les épines de nombreuses roses, se mélangeaient à d'autres en acier tranchant.

- Tu as osé lever la main sur ma moitié, tu vas connaitre le goût de la douleur, et j'oses croire que tu n'en appréciera pas toutes les subtilités.

Sur ces mots, et dans un silence de mort, les lanières du fouet fendirent l'air et vinrent s'abattre violemment sur le dos du soumis. L'acier avait entaillé la peau à de nombreux endroits, et les épines, enfoncées dans la chair, en arrachèrent des lambeaux quand elle tira sur le manche pour le faire à nouveau tournoyer au dessus d'elle.
Le supplice sembla durer une éternité, mais une éternité n'était pas suffisante pour calmer les nerfs princiers de Noa, elle continua donc de faire justice jusqu'à ce que le bas de son chiton de lin trempa dans le sang de la victime.
Le tuer n'était pas son but premier, bien que dans sa lancée, elle aurait pu en finir. Elle jeta de l'eau sur les lanières de son fouet, l'enroula précautionneusement et enlaça sa moitié.
Qui aurait pu imaginer que ce couple, sortant d'une boutique d'épices, main dans la main et le sourire aux lèvres, venaient de s'adonner à tant de violence.[/SPR]
 
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