DeletedUser19733

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3 ça m'aura pris plus de temps que prévu mais voilà pour @Reine Gorgô

Alyssandre avait suivit du regard Reine Gorgô alors que celle-ci emmenait Max inconscient à l'étage. Elle avait sourit, sa nouvelle victime était toute trouvée. Patiemment accoudée au comptoir elle attendit que celle qui se faisait appeler Reine ressorte de sa séance. Plusieurs heures étaient passé quand la femme se présenta en haut des escaliers. L'heure était venu. Alyssandre sortit de la taverne et s'adossa à côté de la porte. Reine Gorgô n'allait pas tarder à la franchir, il serait alors temps pour la maîtresse du fouet d'agir. La porte commença à s'ouvrir, c'était le signal qu'Alyssandre attendait. D'un mouvement rapide la jeune femme pivota pour se trouver face à sa victime et lui asséna un violent coup de poing à la mâchoire pour la mettre K.O. La maîtresse du fouet rattrapa Reine Gorgô avant que celle-ci ne s'étale dans la boue et la repoussa dans les bras de ses deux hommes de main qui attendait tout proche. Silencieusement Alyssandre s'enfonça dans l'obscurité d'une ruelle proche de la taverne et ouvrit une porte secrète qui menait aux galeries souterraines.

Alyssandre avait emmené Reine Gorgô dans une autre de ses salles secrètes construit dans les souterrains de la ville. Elle avait été reconnaissante à son ancien maître de lui avoir fournit le plan des souterrains. L'ancien seigneur de la cité avait construit nombres de tunnels pour pouvoir fuir en cas d'assaut ou de révolte des citoyens. Il y avait beaucoup de pièces ici bas, la plupart était remplis d'objets en tout genre. La jeune femme s'était installé dans les tunnels que peu de gens connaissaient, ici elle était tranquille pour s'adonner à ses loisirs.

La salle qu'Alyssandre avait choisit pour sa nouvelle victime n'était pas encore totalement aménagé et plongé dans une quasi-obscurité. Elle ne contenait qu'un immense fauteuil luxueux en cuir blanc et quelques caisses en bois contenant surtout de la décoration pour aller avec le fauteuil. Reine Gorgô était allongée inconsciente sur le sol sans entraves. La reine du lieu était assise, la tête posée sur son poing fermé, le bras appuyé sur l'accoudoir et les jambes croisées. Elle réfléchissait à ce qu'elle ferait de sa captive puis un sourire sadique illumina son visage. Elle redressa la tête et de sa main à nouveau libre fit signe à l'un de ses hommes qui attendait dans le fond de la pièce. L'homme vêtu en noir sortit de sa poche une fiole et la passa sous le nez de Reine Gorgô pour la réveiller. La prisonnière ouvrit péniblement les yeux pour voir le visage d'Alyssandre qui avait posé ses deux bras sur les accoudoirs du fauteuil et s'était installé bien confortablement dans celui-ci.

- Alors comme ça tu te fais appeler « reine » ? C'est un titre honorable mais le méritez-vous ?

Reine Gorgô ne répondit pas, elle attendait de voir ce que son hôtesse allait faire. Alyssandre offrit à la jeune femme son sourire le plus cruel, la folie régnait en maître dans ses pupilles. La maîtresse leva la main au niveau de son visage et d'un mouvement de poignet ordonna à ses hommes de main d'allumer toutes les bougies de la pièce. Après un claquement de doigts, elle désigna la femme toujours groggy et les deux hommes se déplacèrent vers elle. L'un des hommes attrapa Reine Gorgô pour l'obliger à s'asseoir et ramena violemment ses deux bras dans son dos pendant que l'autre sortait un couteau de sa ceinture pour dénuder sa poitrine.

- Une reine sait se faire obéir. Est-ce votre cas ? demanda la reine du fouet toujours assise dans son fauteuil. Lorsqu'il eut finit l'homme au couteau se tourna vers sa maîtresse pour attendre son prochain ordre. Alyssandre attrapa une longue corde qui était posé sur une caisse à côté d'elle et la jeta au visage de sa prisonnière.

- Attache-là comme je te l'ai appris. Je ne veux pas de nœuds dans ses liens, ce ne serait pas digne de notre invitée.

Une fois sa captive bien ficelée, Alyssandre fit un signe de main à ses hommes pour qu'ils l'obligent à se mettre debout. La reine du fouet, cravache en main se leva de son fauteuil pour vérifier le travail de ses hommes. *Il y a encore du travail mais ça tiendra, je n'ai pas l'intention de garder cette femme longtemps.* pensa-t-elle. La jeune femme attrapa le menton de sa captive pour l'obliger à la regarder dans les yeux et caressa du bout des doigts sa mâchoire là où elle l'avait frappé.

- Désolée pour ça, je n'avais pas de sédatifs sur moi.

Reine Gorgô éloigna son visage de la main d'Alyssandre et reçu un violent coup de cravache sur la joue pour son action. Les deux hommes de main de la jeune femme s'éloignèrent vivement de la prisonnière pour aller se tenir les mains dans le dos dans le fond de la pièce. Alyssandre les regarda faire. *En voilà deux qui ont bien apprit leurs leçons, je penserais à les récompenser quand j'aurais finit avec cette soi-disant reine.* se dit-elle. La jeune femme reporta son attention sur la voyageuse venue d'Elvenar, elle appréciait la lueur de colère qu'elle voyait dans ses yeux. La maîtresse du fouet tourna le dos à Reine Gorgô pour aller récupérer une bougie allumée plus tôt dans la soirée. Revenu auprès de son invitée elle fit délicatement tombé la cire chaude sur les épaules de celle-ci et savoura ses grimaces de douleur. Cependant elle savait par expérience que la sensation n'était au final pas très intense et qu'elle allait devoir y aller plus fort pour obtenir un cri. La jeune femme se dirigea vers l'homme qui avait dénudé Reine Gorgô plus tôt et attrapa le couteau qu'il avait remis à sa ceinture. La bougie dans une main et le couteau dans l'autre, Alyssandre s'attaqua à la peau délicate de sa captive. Entaillant la chair avec plus ou moins de profondeur, la brûlant et la décorant de cire, la maîtresse imposa son style alors que sa prisonnière s'était effondrée au sol, les larmes aux yeux. La reine du fouet se prit même à chantonner une vieille berceuse pendant qu'elle peaufinait son œuvre s'assurant régulièrement que son invité n'avait pas perdu connaissance. Lorsque cela arrivait, elle giflait furieusement Reine Gorgô avec sa cravache. Une fois satisfaite de son œuvre, Alyssandre alla reposer la bougie et le couteau sur la caisse en bois près du fauteuil et s'y réinstalla.

- Je pense que cela suffira pour cette fois.

La jeune fit à nouveau signe à ses hommes pour qu'ils approchent et relèvent sa prisonnière. L'un des hommes jeta une couverture sur les épaules de Reine Gorgô après l'avoir libéré de ses entraves. La captive chancelait sous les yeux de son hôtesse alors qu'elle tentait de s'en approcher mais une main puissante lui attrapa le poignet pour la forcer à reculer. La prisonnière se retourna pour frapper l'homme mais elle tomba endormie avant d'avoir réussit à le toucher. Les deux hommes la portèrent à l'extérieur de la pièce et la conduisirent dans une auberge laissant seule leur maîtresse qui nettoyait ses armes.
 

maxdu59

Titan // Comédien Détendu
5
Je note que je t'ai au moins un peu inspirée dans mes méthodes, ça fait plaisir de les voir utilisées de cette manière ^^'
Pas grand chose à redire en soit Si ce n'est que je ne comprends pas pourquoi l'avoir placée debout pour qu'elle se retrouve au sol après :X
 

DeletedUser

Guest
6 bel effort, trop de passion te dirait ton maître, on sent ce qui te pèse dans la confrontation, ton statut de reine :D
 
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