DeletedUser45659
Guest
Petits écrits et faits divers
Bonjour
Aujourd'hui, en voyant autant de poèmes, j'ai eu envie d'en faire autant. Alors je soumet ceci à vos critiques acérées. Excusez moi, mais je suis une bille en français et c'est dur d'écrire en Alexandrins et en dizains donc si c'est nul c'est normal ( à peu près )
Bonne lecture à tous
Bonjour
Aujourd'hui, en voyant autant de poèmes, j'ai eu envie d'en faire autant. Alors je soumet ceci à vos critiques acérées. Excusez moi, mais je suis une bille en français et c'est dur d'écrire en Alexandrins et en dizains donc si c'est nul c'est normal ( à peu près )
Bonne lecture à tous
Un hoplite
Un hoplite s’en va à la guerre, le cœur léger
Il ne sait pas que sa mère, pour lui à prié
Ce jeune Athénien avait une belle fiancée
Délicate, douce, parfaite, attendant un bébé
Une attaque Spartiate, sournoise, traîtresse, et vile
A eu raison de se fort beau soldat gracile
La mère, effondrée, supplie Athéna, Arès
De lui rendre son fils, l’enlever des griffes d’Hadès
De son côté, la fiancée prie Aphrodite :
Je donne ma vie contre la sienne, il le mérite
La déesse, devant ce grand amour, prend pitié
Elle propose à la belle femme l’épreuve d’Orphée
Si tu meures, ton bébé ne subsistera point
La femme, en enfer, ne trouve pas son concubin
Car il est à l’Elysée, la gloire des guerriers
Elle sait qu’il n’en partira point, c’est assuré
Folle de chagrin, elle sort son couteau effilé
Et se suicide, car elle ne peut le supporter
Une larme
Devant une grande et si douce beauté
Qui m’a échappée, perdue à jamais
Je ne m’empêche d’étouffer une larme
Ce départ, si signifiant, me désarme
Belle, douce, ronde, délicate, mouillée, salée
Une larme peut être tant qualifiée
Une larme de chagrin d’un grand amour
Seras gravé sur la joue pour toujours
La Muse
La Muse, mère de l’inspiration des poètes
Reste en Olympe, avec ces sœurs, Zeus à leur tête
Mais elle sera toujours bienvenue dans mon cœur
Permettant d’exprimer les mots avec chaleur
Son art donne gaieté et courage aux hommes
Autour des rois ou d’une bouteille de rhum
Sa bénédiction vaut bien plus que les diamants
Mais seul peu de gens en sont réellement conscients
Un hoplite s’en va à la guerre, le cœur léger
Il ne sait pas que sa mère, pour lui à prié
Ce jeune Athénien avait une belle fiancée
Délicate, douce, parfaite, attendant un bébé
Une attaque Spartiate, sournoise, traîtresse, et vile
A eu raison de se fort beau soldat gracile
La mère, effondrée, supplie Athéna, Arès
De lui rendre son fils, l’enlever des griffes d’Hadès
De son côté, la fiancée prie Aphrodite :
Je donne ma vie contre la sienne, il le mérite
La déesse, devant ce grand amour, prend pitié
Elle propose à la belle femme l’épreuve d’Orphée
Si tu meures, ton bébé ne subsistera point
La femme, en enfer, ne trouve pas son concubin
Car il est à l’Elysée, la gloire des guerriers
Elle sait qu’il n’en partira point, c’est assuré
Folle de chagrin, elle sort son couteau effilé
Et se suicide, car elle ne peut le supporter
Une larme
Devant une grande et si douce beauté
Qui m’a échappée, perdue à jamais
Je ne m’empêche d’étouffer une larme
Ce départ, si signifiant, me désarme
Belle, douce, ronde, délicate, mouillée, salée
Une larme peut être tant qualifiée
Une larme de chagrin d’un grand amour
Seras gravé sur la joue pour toujours
La Muse
La Muse, mère de l’inspiration des poètes
Reste en Olympe, avec ces sœurs, Zeus à leur tête
Mais elle sera toujours bienvenue dans mon cœur
Permettant d’exprimer les mots avec chaleur
Son art donne gaieté et courage aux hommes
Autour des rois ou d’une bouteille de rhum
Sa bénédiction vaut bien plus que les diamants
Mais seul peu de gens en sont réellement conscients
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