Le traître [commentaire]

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Ici, vous pourrez commenter mon pavés. N'hesitez pas a me descendre violement a coups de commentaires sadiques et mechant.
Je met ici mon premier chapitre:
L'ENFANCE

A Sparte, c'est l'agitation. Le seigneur Fabius a enfin eu un heritier aprés dix-sept ans de mariage. L'enfant fut nommé Aristophanes,du nom d'un des grands esprits de ce siecle. Aristophanes demontra dés ses cinqs ans un interet sans limite pour les parchemins ornant les bibliotheque de son richissime pere, qui ne savait pas lire. "Nous sommes Spartiates, nous vivons pour nous battre et vaincre" disait-il, nous ne sommes pas de faibles intellectuels comme les Athenien qui compte sur leur savoir et la democratie pour defendre leur ville. Democratie, le pouvoir du peuple, une erreur en soi selon son geniteur: "Si la plebe pouvait se diriger seule, sa se saurait". Sa vie fut tranquille, malgré sa faiblesse musculaire dut en grande partie a sa soif de culture et a son manque d'envie de participer aux sports violents des autres jeunes. Cependant, a huit ans un des soldats vint le chercher:
"C'est la conscription, il a l'age requis pour partir au combat". Son pere offrit un equipement digne des plus grands guerrier, une armure legere de facture perse un casque qui tout en etant leger protegeait parfaitement les epaules et le crane des attaques en tout genre, et pour finir, un de ses chevaux qui viennent de par dela la mediterrannée, un Purs sangs noire d'une beauté a couper le souffle. Il le nomma "Souffle des oceans" car il était persuadé que se cheval etait autant un cadeau de Poseidon que de son pere.
Aprés quelques années d' entrainements, l' universitaire qu'il etait devint une brute sanguinaire. L'entrainement Spartiat tenait ses promesses, il detruisait tout le bien en l'enfant, le transformant en une machine a tuer.
Et bientot il partirai au combat.
 

DeletedUser16174

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Prometteur. ;)

Cela dit, attention à l'orthographe, à la concordance des temps (tu veux faire un récit au passé ? au présent ? c'est soit l'un soit l'autre) et au contexte de ton histoire.

Procédons par ordre, l'orthographe :
A Sparte, c'est l'agitation. Le seigneur Fabius a enfin eu un héritier après dix-sept ans de mariage. L'enfant fut nommé Aristophanes,du nom d'un des grands esprits de ce siècle. Aristophanes démontra dès ses cinqPas de S à cinq ! ans un intérêt sans limite pour les parchemins ornant les bibliothè[STRIKE]que[/STRIKE] de son richissime pere, qui ne savait pas lire. "Nous sommes Spartiates, nous vivons pour nous battre et vaincre" disait-il, nous ne sommes pas de faibles intellectuels comme les Athéniens qui comptent sur leurs savoirs et la démocratie pour défendre leur ville. Démocratie, le pouvoir du peuple, une erreur en soi selon son géniteur: "Si la plèbe pouvait se diriger seule, [STRIKE]ça[/STRIKE] cela se saurait". Sa vie fut tranquille, malgré sa faiblesse musculaire du[STRIKE]t[/STRIKE]e en grande partie à sa soif de culture et à son manque d'envie de participer aux sports violents des autres jeunes. Cependant, à huit ans un des soldats vint le chercher:
"C'est la conscription, il à l'âge requis pour partir au combat". Son père lui offrit un équipement digne des plus grands guerriers, une armure légère de facture perse, un casque qui tout en étant léger protégeait parfaitement les épaules et le crâne des attaques en tout genre, et pour finir, un de ses chevaux qui viennent de par del la mediterrannée, un Pur[STRIKE]s[/STRIKE] sang[STRIKE]s[/STRIKE] noir[STRIKE]e[/STRIKE] d'une beauté a couper le souffle. Il le nomma "Souffle des océans" car il était persuadé que ce cheval était autant un cadeau de Poséidon que de son père.
Après quelques années d' entraînements, l' universitaire qu'il était devint une brute sanguinaire. L'entrainement spartiate tenait ses promesses, il detruisait tout le bien en l'enfant, le transformant en une machine à tuer.
Et bientôt il partirait au combat.

Attention à la syntaxe, et à l'absence de ponctuation parfois. J'ai corrigé quelques coquilles par ci par là. ;)

Pour le contexte, évite de prendre un nom latin "Fabius", Aristophane ne prend pas de S. De même, évite d'employer le mot "plèbe" qui a une connotation latine, et "universitaire" qui a, lui, une connotation médiévale. ;)
 
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J'avais fait une section commentaire :'(
(aprés, c'est vrai que je fais plein de faute x))
 

DeletedUser16174

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*sifflote* je n'avais pas vu que tu avais fait une section commentaire, désolée... ;) Je continue là bas de fait.
 

DeletedUser16174

Guest
Prometteur. ;)

Cela dit, attention à l'orthographe, à la concordance des temps (tu veux faire un récit au passé ? au présent ? c'est soit l'un soit l'autre) et au contexte de ton histoire.

Procédons par ordre, l'orthographe :
A Sparte, c'est l'agitation. Le seigneur Fabius a enfin eu un héritier après dix-sept ans de mariage. L'enfant fut nommé Aristophanes,du nom d'un des grands esprits de ce siècle. Aristophanes démontra dès ses cinqPas de S à cinq ! ans un intérêt sans limite pour les parchemins ornant les bibliothè[STRIKE]que[/STRIKE] de son richissime pere, qui ne savait pas lire. "Nous sommes Spartiates, nous vivons pour nous battre et vaincre" disait-il, nous ne sommes pas de faibles intellectuels comme les Athéniens qui comptent sur leurs savoirs et la démocratie pour défendre leur ville. Démocratie, le pouvoir du peuple, une erreur en soi selon son géniteur: "Si la plèbe pouvait se diriger seule, [STRIKE]ça[/STRIKE] cela se saurait". Sa vie fut tranquille, malgré sa faiblesse musculaire du[STRIKE]t[/STRIKE]e en grande partie à sa soif de culture et à son manque d'envie de participer aux sports violents des autres jeunes. Cependant, à huit ans un des soldats vint le chercher:
"C'est la conscription, il à l'âge requis pour partir au combat". Son père lui offrit un équipement digne des plus grands guerriers, une armure légère de facture perse, un casque qui tout en étant léger protégeait parfaitement les épaules et le crâne des attaques en tout genre, et pour finir, un de ses chevaux qui viennent de par del la mediterrannée, un Pur[STRIKE]s[/STRIKE] sang[STRIKE]s[/STRIKE] noir[STRIKE]e[/STRIKE] d'une beauté a couper le souffle. Il le nomma "Souffle des océans" car il était persuadé que ce cheval était autant un cadeau de Poséidon que de son père.
Après quelques années d' entraînements, l' universitaire qu'il était devint une brute sanguinaire. L'entrainement spartiate tenait ses promesses, il detruisait tout le bien en l'enfant, le transformant en une machine à tuer.
Et bientôt il partirait au combat.


Attention à la syntaxe, et à l'absence de ponctuation parfois. J'ai corrigé quelques coquilles par ci par là. ;)

Pour le contexte, évite de prendre un nom latin "Fabius", Aristophane ne prend pas de S. De même, évite d'employer le mot "plèbe" qui a une connotation latine, et "universitaire" qui a, lui, une connotation médiévale. ;)
 
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Bien, même si j'aurais préféré un peu plus de détails sur la façon dont le garçon a été elevé " à la manière spartiate".
Sinon j'aime bien lire ton texte, il est pas mal du tout :)
 

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Guest
Tu déteste les accents ? pere : père
J'ai remarqué quelque fautes
Par contre j'espère qu'il y a une suite sinon l'histoire serait banal .

Ps : Vous allez dire c'est moi qui est dit : (l'histoire serait banal) et (remarqué quelque fautes) Je sais mais je me suis améliorer .
Je vais analyser ton texte pour voir les fautes .
Je me suis tuer à cliquer sur la souris pour modifier accents fautes et grammaires !Voici le texte sans fautes



L'ENFANCE

A Sparte, c'est l'agitation. Le seigneur Fabius a enfin eu un héritier après dix-sept ans de mariage. L'enfant fut nommé Aristophanes, du nom d'un des grands esprits de ce siècle. Aristophanes démontra dés ses cinq ans un intérêt sans limite pour les parchemins ornant la bibliothèque de son richissime père, qui ne savait pas lire. "Nous sommes Spartiates, nous vivons pour nous battre et vaincre" disait-il, nous ne sommes pas de faibles intellectuels comme les Athéniens qui compte sur leur savoir et la démocratie pour défendre leur ville. Démocratie, le pouvoir du peuple, une erreur en soi selon son géniteur: "Si la plebe pouvait se diriger seule, sa se saurait". Sa vie fut tranquille, malgré sa faiblesse musculaire dut en grande partie a sa soif de culture et a son manque d'envie de participer aux sports violents des autres jeunes. Cependant, a huit ans un des soldats vint le chercher:
"C'est la conscription, il a l'âge requis pour partir au combat". Son père offrit un équipement digne des plus grands guerrier, une armure légère de facture perse un casque qui tout en étant léger protégeait parfaitement les épaules et le crane des attaques en tout genre, et pour finir, un de ses chevaux qui viennent de par delà la méditerranée, un Pur sang noire d'une beauté à couper le souffle. Il le nomma "Souffle des océans" car il était persuadé que se cheval était autant un cadeau de Poséidon que de son père.
Après quelques années d’entrainements, l’universitaire qu'il était devint une brute sanguinaire. L'entrainement Spartiate tenait ses promesses, il détruisait tout le bien en l'enfant, le transformant en une machine à tuer.
Et bientôt il partira au combat.


Lit et regarde un peu .
Ne désespère pas j'était comme sa avant maintenant j'ai évolué !
Par contre un seul bon :
C'est un bon texte;)
 
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DeletedUser16174

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En fait, j'avais oublié de remettre ma correction, c'est chose faite. ;)
 

DeletedUser

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La preuve que le correcteur automatique ne sert qu'à moitié si on ne connait pas sa grammaire ou son orthographe soi-même ^^:
Ordre Impériale a dit:
Aristophanes démontra dés ses cinq ans
sans oublier les accords sur d'autres passages...

J'aime bien personnellement, même si comme Syrma j'aurai aimé savoir comment s'est passé son entrainement, et comment a-t-il ruiné ses efforts intellectuels...

J'attends la suite donc ^^
 

DeletedUser

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Pour repondre aux divers commentaires:
-Je n'utilise jamais le correcteur automatique.
-il y aura une suite, mais il me faut un peu de temps.
 

DeletedUser

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Si tu utilise Mozilla, le correcteur est activé même lorsque tu tapes directement ton message sur le forum ;-)
 

DeletedUser

Guest
J'utilise Internet explorer, moi *evite les pierres*.


Ordre Imperiale... J'adore ton message, il m'a fait sourire!
Tu viens de me dire que je fais des fautes d'ortographe, mais toi tu en fais de belles aussi ^^'. (et moi, mes fautes c'est surtout les accents dont j'ai horreur).En passant celle de ton pseudo, il y a "l' histoire serait banal" il y a un E a "banal", l' une des plus drole:"c'est moi qui est dit" est= verbe etre, tu aurais du utiliser Mozi pour changer en "ai" ensuite, il y a deux passé-composé oublié "améliorer"(=amelioré) et les deux verbes suivants.
(on passe mon texte)

"Comme sa" sa= ce qui appartient a elle... (sa chienne, sa table sa chaise...) j'appartiens à personne moi :'(. C'est a peu prés tout.

Alors, quand on utilise (mal) un correcteur, on ne s'acharne pas sur les fautes de celui qui n'en utilise pas et fait (beaucoup) de faute. ( mais je t'en veux pas, il en faut beaucoup pour me faire rire)
 

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Hop hop hop, on enchaine:
voici le Chapitre deux, a vos claviers, commentez l'enorme paragraphe.



LE SANG DES PERDANTS​

Le premier jour loin de chez lui. L' homme qu' il était devenu ne ressentait plus que la soif de guerre, de violence. Jours aprés jours, ses souffrances lui apparurent, terrible et implacables meme si son entrainement etait finit. Il se souvint de la faim qu'il eprouvait,son ventre quemandait une nourriture qi ne venait jamais. Les autres aussi souffraient, mais personne n'osait demander une ration supplementaire. A ce moment-la, il avait gardé l'envie de savoir et l'espoir de paix qu'ont tout les enfants, mais un evennement imprevu changit la donne. L'un des autres, un certain Solik mais son nom n'a aucune importance, defia ,comme la loi sparte le permettait aux recrues, le pauvre Aristophanes pour recuperer sa ration. Il se jeta sur lui et commença alors un corps a corps qui fut d'abords au desavantage du philosophe. Jusqu'a ce qu'il ai la presence d'esprit de se saisir d'une pierre grande comme son poing et de frapper son adversaire. En trois coups il elimina le duelliste, un sur la tete qui lui fit perdre connaissance et deux qui briserent le bras. L'adversaire etait maintenant estropié et deshonoré a vie. Mais le veritable changement etait celui qui se produisait dans l'esprit du fils de Fabius. Enfin il comprenait que la violence etait le seul moyen d' etre respecté a Sparte, et s'obligea a oublier ses principes de paix et sciences.

Il revint a la realité en entendant le hennissement de son cheval.
- Souffle un peu de calme, soupira-t-il en lui flattant son encolure.
Mais le cheval s'enervait. Il sentait que son maitre etait nerveux. Il faut avouer que c'etait sa premiere bataille et qu' une charge de cavalerie influe sur un combat bien plus que celle des hoplites.
- Aristo, on va faire couler du sang ennemis, pour la premiere fois, tu te rend compte de la chance qu'on a? Lache ton cheval et vient t'amuser avec nous. On va les etriper ses Atheniens.
Celui qui vient de parler est le seul ami qu'avait le soldat, a part son cheval. Il supposait d'ailleurs que celui-ci, Anossos, etait plus intelligent que la moyenne des spartiate. Mais qu'est-ce que l'intelligence chez ces brutes?
Il rejoignit les compagnons de batailles prés du festin ou ils echangerent de nombreuses blagues d'un gout pour le moin douteux et burent un nombre trop elevé de verres de vin.

Le lendemain sur la plaine, il dut affronter comme premier adversaire son mal de crâne ensuite vinrent les hurlements de son chef, sans-queue-ni-tete mais il réussit cependant a leur donner un sens et a se placer au bon endroit au bon moment.
Anossos lui fit un petit signe, depuis sa rangée d'Hoplite. "Il faudrat que je lui achete un ane ou un petit cheval... je pourrais le proteger plus efficacement s'il etait a mes cotés." Car bien sur, il s'etait melé d'amitié avec le guerrier le moin adroit de Sparte.

Le bruit des catapultes le fit revenir a l'instant present. "Il faut que je cesse de revasse, un malheur finira par m'arriver". Les murailles s'effritaient. La cavalerie Athenienne jailli des portes a moitié detruite de la citée filant comme le vent vers les engins de siege. Ils ne s'attendaient pas a etre reçu par tant d'Hoplite. Malheureussement, un petit groupe reussit a contourner les lourds soldats et a ecraser les ingenieurs de siege qui faisaient fonctionner les enormes machines. Les cavaliers perirent ensuite, cueullit par une pluie de fleche, pensant leur devoir accompli, la ville hors d'atteinte.

Cependant une quinzaine de soldat spartiate avait contourné le front, et avait escaladé la muraille deserté a l'aide de grappin. Ils ne rencontrerent que peu de resistance et activerent les portes. Les fantassins virent médusés les portes s'ouvrir doucement. Ils ne virent ensuite que la charge de cavalerie qui était lancée. Les cavaliers etaient lancés a toute allure dans les rues de la ville, fauchants soldats miliciens et civils. Ensuite, ils prirent possessions du maximum de butin, ainsi que des prisonnier pour lequels la ville vaincue deposerait une rançon, ou bien alors, ils seront reduits en esclavage.

Aristophanes fut acclamé. Il avait mis au point se statageme et dirigé la charge de cavalerie finale. Mais sous les applaudissement il songea :"J'ai tué, j' ai vaincu, j'ai triomphé. On m'addule on me felicite. Pourquoi ne suis-je pas fier de moi? Quelle est cette ombre qui recouvre mon coeur?"

Un homme s'avança, une cicatrice lui barrait le visage, elle descendait du dessus de l'oeil droit jusqu'au bas de la joue gauche. Notre homme n'arrivait pas a decoler son regard de cette horrible blessure, il etait fasciné. Comment peut on etre blessé a ce point et suvivre?
- Bonjour, etes vous bien celui dont on felicite aujourd'hui la clarvoyance?
- Je le crois bien, commandant, rajouta-t-il aprés avoir reconnu son grade. En quoi puis-je vous etre utile?
- Je me vois dans l'obligation de vous remercier. Je ne peux cependant vous donner le controle d'une veritable armée pour l'instant. Vous attaquerez un village dissident exactement ici, le militaire montra un point sur une petite carte. Vous aurez une quarantaine d'hoplites sous vos ordres. C'est sur le chemin de Sparte, vous prendrez une journée de retards sur nos navire. Vous nous rejoindrez a Sparte en tant que heros.
Il commença a s'en aller et sembla hesiter un instant.
- Votre pere serait fier de vous.
Et il partit.
 
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DeletedUser

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Bravo, encore une fois ça vaut le détour :)
J'ai hâte de lire la suite !
( mis à part ces horribles fautes à droite à gauche :s mais ça, je laisse les fortiches se charger de te corriger )
 

DeletedUser

Guest
Bonjour.

Je "up" un peu le sujet, je n'aime pas ecrire sans avoir reçu des commentaires auparavants.

Et je plains serieusement, le ou les fortiches qui tenteront de me corriger :p
 

DeletedUser

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C'est trop zarbi. ça fait des semaines que j'avais pas regarder ton texte, et au moment même ( bon, à une heure près ) où je regarde enfin s'il y a du nouveau, tu met ton message ( bon, j'aurais préféré le chapitre trois )
Bon, passons :\
Tu écrit quand la suite ??
 

DeletedUser

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Je pense que dans trois ou quatre jours ce sera finit pour le chapire trois.
 

DeletedUser7903

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Le sujet de base ne comporte plus que le texte (les commentaires d'Athéna sont déplacés ici :p).
 

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Cool :):D:p;)
La suite, la suite !

Bon, pour les fautes d'orthographe ; malheuresement c'est toujours la même chose :(

Le gars avec ses deux dagues, on dirait assassin creed.. Non ? Ok, je sort XD
 
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