[Notation][ecriveuse]vs[Phlégéton][Arbitre : Patoche2404]

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DeletedUser7903

Guest
Bonjour,

Il est désormais venu le temps de voter pour les magnifiques œuvres de nos concurrents !
N'ayant pas reçu le texte d'Akhoumfra, elle se retrouve malheureusement éliminée :(

Je vous rappelle les contraintes qui étaient :

[sujet]: la St Valentin
[genre]: libre (vers ou nouvelle)
[caractères]: maximum de caractères 10 000 (pas de minimum)
[Contrainte]: placer la phrase "Les jours sombres ruisselaient sur ses joues."


TEXTE 1​

Aux abords du jour de Cupidon
Il est courant que de l’indécision
Les hélices se meuvent, promptes pour le don
Ravitaillé par une forte dérision.

Cadeau ! n’est-il point d’autre grotesque mot
Justifiant tel immédiat embargo ?
Supplice dont on ne tire que bien des maux
A la mesure d’une Odyssée sur l’Argo.

Un homme, vert et vif, humeur pondérée
N’avait de cesse de se lanciner
Sur son choix d’offrande, venant à errer
D’ardente passion le coeur calciné.

Tout remède ses idées le sustenter
Ne purent ; suggestion avisée non plus
Or et babioles parvinrent à le tenter
Sans jamais de déclic lequel lui plut.

Le sable tombait : et bientôt les ténèbres
Régnèrent ; sommeil profond de réflexion
Temps d’agir parvint à son rite funèbre
Son piètre moral décrivit une flexion.

Jour. Citoyens de toutes classes s’affairèrent
Une ambiance paisible vint à demeurer
Paysans bêchèrent, forgerons ferrèrent
Aux aigrefins, défense de leurrer.

Au clocher, plusieurs coups carillonnent
Que la jeune désirée ne manque d’entendre
Elle, interdits que les valeurs bâillonnent
A la recherche d’un époux enfin tendre.

Les jours sombres ruisselaient sur ses joues
Lorsqu’elle perçut enfin son espéré
Ne remarquant pas de présent, du joug
De l’ignorance se crut, désespérée.

Sur son banc elle devint froide, contemplant
Le lac, intérieure rage dévotionnelle
Germant en elle de discorde des plants
Amertume et courroux proportionnels.

Notre homme ne sut que dire pour son erreur
Colmater, puis soudain en bon ami
L’étreignit, raison en pleine horreur
Son amour ébaubi enserrant sa mie.


C’est la Saint Valentin !

TEXTE 2​
Je vaquais à mes occupations, comme de juste, pour un samedi (je somnolais donc devant mon pc cherchant des blogs intéressants et percutants, chose rarissime, vous en conviendrez, tandis que mes enfants se délectaient des tortues ninja et chantaient à tue-tête la chanson du générique…)(ce que je préfère aux Télétubbies, je l’avoue sans fausse honte…)(on chantait bien l’île aux enfants nous…)(je commencerai à m’inquiéter lorsque ma fille se prendra pour une tortue géante et que son frère s’imaginera en rat démesuré)(ou l’inverse)(bref). Je tombai sur quelques lignes que n’auraient pas désavouées certaines adolescentes post pubères, une fois ou deux sur des mots qui auraient pu me faire réfléchir comme cette première phrase ‘les jours sombres ruisselaient sur ses joues’, mais j’avais le commentaire aussi paresseux que moi ces derniers temps…

Tout à coup, le temps se figea… un silence complet régnant dans ma maison ce qui en soi est déjà assez flippant quand on sait que ça n’arrive que lorsque j’envoie mes schtroumpfs chez leurs grand-parents ou ailleurs … Interloquée, je levai les yeux de mon écran et regardai par la fenêtre… rien ne bougeait dehors… naturellement mon regard se porta sur l’horloge… et je m’aperçus que la trotteuse n’avançait plus… il était 10h13 et 27 secondes…

Une voix douce me fit sursauter, juste derrière moi :
« Ma Dame, vous souhaitiez me voir ? »

Mon esprit rationnel et cartésien en prit un sacré coup… lentement, je me retournai pour faire face à un éphèbe frais et moulu de chez Grec and Co… une beauté à vous couper le souffle (que j’ai eu du mal à reprendre d’ailleurs), les cheveux noirs, un sourire narquois au coin de ses lèvres fines, le regard sombre, accrocheur et accrochant, des mains à faire pâlir un pianiste, un corps manifestement délié et dévoué aux plaisirs sous toutes ses formes…

Mon premier moment de stupeur passé, qui a duré sans doute quelques secondes (mais dans la mesure où le temps était figé, ça a tout aussi bien pu être une éternité), je fermai la bouche et essuyai la bave qui menaçait de couler le long de mon menton et me redonnai rapidement une contenance en allumant une cigarette…

« Ma Dame, vous souhaitiez me voir ? répéta-t-il, en prenant place le canapé, en homme qui a l’habitude qu’on ne lui refuse rien.
- cela dépend de qui vous êtes, parvins-je enfin à articuler
- mais voyons, depuis plusieurs années, vous dites à qui veut l’entendre que vous aimeriez me casser les bras et me brûler les ailes… qui voulez-vous donc que je sois…
- une chimère ? , marmonnai-je en essayant encore de croire que j’étais victime d’une hallucination passagère qui me mènerait tout droit en cure de repos.
- essayez encore, me sourit-il, dévoilant une dentition impeccable.
- Eros, j’ai très bien compris qui vous êtes, finis-je par laisser tomber.
- Vous gagnez un baiser, annonça-t-il en se levant.
- Tout beau !!!, protestai-je en reculant (crédible ou pas on s’en fout, c’est MON histoire) je ne suis pas celle que vous croyez… et en effet, j’ai deux ou trois choses à vous dire pour que vous me fichiez la paix une fois pour toutes… »

Sans se départir de son sourire, il se rassit mais je pus lire dans ses yeux une interrogation surprise… sans doute n’avait-il pas l’habitude qu’on le repousse sans autre forme de procès…

« Je vous écoute, j’ai tout mon temps », fit-il en vissant son regard au mien et en reprenant place...

Aie, sur ce terrain-là, j’ai beau être d’une force certaine, me trouver face au Maître en la matière avait de quoi me décontenancer, surtout lorsqu’on ne croit pas vraiment en son existence…

Je détachai donc mes yeux des siens, au prix je l’avoue d’un effort quasi surhumain, et m’approchai du bar :

« Je vous offre quelque chose à boire ?
- un peu de Nectar serait le bienvenu… »

Ben voyons… du Nectar… il se croyait encore sur l’Olympe…

« Désolée, je vous rappelle que sur Terre, le Nectar n’est plus en vente libre…, dis-je sarcastique
- Pardonnez-moi, l’habitude … je prendrai ce que vous vous servirez », répondit-il sur un ton d’excuse.

Je servis donc deux verres de Baileys, et lui en tendis un avant de m’asseoir en face de lui.

« Puisque vous parlez d’habitude, nous allons donc commencer par là, dis-je.
- Fort bien, cela me convient…
- Tout d’abord, expliquez-moi un peu à quoi ça rime de tirer des flèches dans tous les sens depuis des millénaires, et de ne jamais prendre soin de viser ou de vous interroger sur le fait que vos victimes ont déjà eu affaire à vos « bons » services ?, demandai-je aimablement, tout en essayant de me rappeler ce que j’avais bien pu faire de mon arsenic…avant de me souvenir que je n’en avais jamais acheté …
- Si je comprends bien le sens de votre question, vous voulez savoir ce qui est seul connu des Dieux ?
- La vérité, c’est tout ce que je demande en premier lieu…
- Si la Mort venait vous rendre visite, lui poseriez-vous la question ?
- Je doute fort que la Mort prenne le temps de m’entendre…et le sujet n’est pas là…
- Que vous croyez…. », sourit-il encore avant de lever son verre en ma direction et de le porter à ses lèvres.

J’avalais posément une gorgée de Baileys en soutenant cette fois son regard. J’avais repris assez de forces pour jouer sur le même terrain que lui, dussè-je y laisser des plumes que je n’avais pas…

Un long moment de silence s’installa, qu’il rompit le premier :
« Ma Chère, vous me semblez singulièrement muette pour quelqu’un qui, dans ses mots, donnait la part belle à la vindicte et à la provocation…Comment, je vous donne l’occasion d’une explication et vous ne savez plus quoi me dire ?? », lança-t-il, avec une fatuité qui mit un terme à son charisme hors norme…

Je repris enfin réellement le pouvoir de mes sens et de mon esprit :
« Merci de vous montrer tel que vous êtes… nous allons faire une chose…
- Ah oui ? laquelle ? », s’enquit-il, un air de gourmandise presque vulgaire défigurant ses traits .

Je pris tout mon temps pour répondre, croisant mes jambes nues devant son air décidément trop suffisant de celui à qui on ne se refuse jamais :
« Repassez demain, j’aurais préparé mon cahier de doléances…vous pouvez disposer »

Je crus qu’il allait s’étrangler avec sa dernière gorgée…Il se leva comme si on l’avait piqué et me lança un regard furieux :
« Je vois que vous ne savez pas saisir l’instant présent, vous me décevez… mais je reviendrai donc demain…ne serait-ce que pour vous montrer ce que vous manquez… »

Lorsque je repris conscience, il était 10h13 et 27 secondes, j’étais en train d’écrire un sujet sur le 14 Février et j’avoue que rêver d’un type aussi beau que trop conscient de l’être, et donc particulièrement imbu de lui-même (plus que moi, c’est un exploit) m’a laissé un goût d’inachevé…

Demain est un autre jour…

Ledit lendemain arriva...

… Et puis la trotteuse de la pendule s’immobilisa… A 10 heures13 et 27 secondes… ce 15 février.
Comme la veille, elle s’immobilisa exactement à la même heure !

J'étais seule à cette heure, absorbée dans mes pensées lorsque…
Derrière moi, une voix très proche murmura :

« Ma Dame, vous ne souhaitiez pas vraiment me voir je sais, mais… je suis là, Ma Dame, je suis là »

Je me retournai étonnée, mon esprit, dont je n’avais jamais douté qu’il fût depuis toujours rationnel et cartésien, mon esprit une fois encore en prit un sacré coup.
Non, hier, en ce 14 Février je n’avais donc pas rêvé ! Et voilà qu’à nouveau Eros était là !

Eros « est revenu »… pensai-je
Eros est revenu… Puis amusée à l’idée que cela m'évoquait une chanson de Brel je ne pus m'empêcher de remarquer qu’il toujours aussi beau ce con !

Devant moi, campé avec assurance, il affichait un sourire satisfait ; celui que procure la satisfaction d’avoir mis en place une stratégie que l’on s’apprête à mettre en application et dont on ne doute pas qu’elle soit la bonne !
Pas dupe, moi qui étais à des années lumière de quelque forme de bêtise que ce soit, ne sourcillai point, restai silencieuse.

Il reprit : « Ne vous méprenez pas Ma Dame, je suis en fait très malheureux ! » puis

« Hier soir, il s’est produit ici un phénomène exceptionnel… Une situation invraisemblable… c’est, en ce qui me concerne, une grande première en quelque sorte !… Je suis très malheureux »

Avec condescendance, il ajouta alors :
« Non que j’aie été troublé, ni légèrement désappointé par votre… étrange et insolite attitude, non rien de tout cela ! Mais…».
Son attitude se raidit, devenant affecté, il fit mine de chercher en silence les mots justes pour poursuivre, à présent manifestement mal à l’aise.

« Hier, chez vous, Ma Dame, rien ne s’est passé ici comme ailleurs, comme de coutume, … jamais en d’autres circonstances les choses ne se sont déroulées de la sorte ! »

Après un long silence, que bien entendu je ne rompis pas, perdant toute superbe, il décocha soudain son aveu, tel un cri de douleur :

« J’ai oublié mon arc !!!!!!!!! »

Puis comme s’il s’adressait à lui-même, dépité, il poursuivit de manière pratiquement imperceptible :

« J’ai oublié mon arc ………... »

Perdue Eros, ta belle assurance. Perdue la soi disant magie de ton pouvoir !
Plus question comme hier, d’affirmer aujourd’hui , que j'allais tout manquer en me refusant à toi!... Plus question de m'allécher avec d’hypothétiques paradis de plaisir, ou de me promettre des élans éthérés, de folles effusions et des parfums de peau.

Que deviens-tu Eros ? Pauvre idiot… que deviens-tu ?

(Strasbourg sans ses saucisses ? Etretat sans ses falaises ? Cambrey sans ses « bêtises » ? Sarkosy sans … … la sienne !!!)


Sans ton arc tu n’es rien !

Quand on se nomme Eros, on ne peut perdre la face.
Alors très vite il se ressaisit, mais avant que d’avoir retrouvé cette belle assurance, dans une effroyable fulgurance une flèche soudain lui transperça le cœur…

Eros se meurt, vive Eros !

Très tranquillement, je reposai l’arc, « Mon arc » à présent…
Puis je m’éloignai vers d’autres destinées, sans me retourner.
Non je ne me retournai pas, ni ce jour ni depuis, … je ne me retournerai plus… jamais plus… !

C’est ainsi que l’amour devint femme !
Et l’homme ? L’homme depuis fait la guerre ! …


A quand la parité « d’amour » !...



Code:
[B]Texte 1[/B]
Note: x/100
Commentaire :

[B]Texte 2[/B]
Note: x/100
Commentaire :

Les notes non commentées, non argumentées ne seront pas prises en compte.
Les textes sont présentés de manière anonyme, merci de ne pas dévoiler l'auteur si vous le découvrez.
Le vote est mis en place pour une durée d'une semaine (jusqu'au 25/02/2011).

Bonne chance à vous :D
 
Dernière édition par un modérateur:

DeletedUser

Guest
C'est que, notez une nouvelle ou poésie, c'est 2 choses bien différentes :eek:.
j’essaierais de noter pour 4h'00 au plus tard.
 

DeletedUser3091

Guest
Bon, y a-t-il quelqu'un d'assez courageux pour venir noter ?...
 

DeletedUser

Guest
Texte 1
Note: 75/100
Commentaire : Je ne suis aps fan de poèmes...

Texte 2
Note: 85/100
Commentaire : Très bien écrit, quoique trop long
 

DeletedUser3091

Guest
Texte 1
Note: 75/100
Commentaire : Je ne suis pas fan de poèmes...

Texte 2
Note: 85/100
Commentaire : Très bien écrit, quoique trop long

Je ne trouve pas tes notes bien justifiées...
 

DeletedUser

Guest
Au vu de la foule qui se presse pour voter, je décide donc d'apporter ma contribution.

Texte 1

Commentaire : Déjà, au début, je me suis dit..."Zut, un poème." Je partais avec un ressentiment, ayant depuis ma plus tendre enfance des difficultés à aimer ce type d'écriture. Mais, je l'ai lu. Et j'ai aimé. Ce qui est un exploit, pour moi ! :D Ce qui a participé à cet appréciation, c'est le fait que les vers soient très courts. Un thème simple, des mots choisis, complexes cependant. Une poésie d'un bon niveau.
Note :
-les pieds ne sont pas toujours respectés, mais de peu, ce qui ne rend pas ça très visible. Je ne sais pas si c'était prévu, mais je préfère lorsque c'est bien carré, j'enlève donc 5 points pour ça.
-le "c'est la saint valentin !" de la fin. J'ai trouvé ça un peu déplacé. À mon sens, c'est de trop et le texte s'en passait. J'ai enlevé 10 points pour ça.
-orthographe nickel de ce que j'en ai pu voir, pas de points enlevés
-en temps normal, j'aurais enlevé des points pour le goût personnel, parce que c'est un poème. Tu as réussi à me le faire aimer, je n'enlève donc pas de points.
-j'enlève des points pour l'accessabilité. Tout le monde n'est pas apte à comprendre certains mots utilisés. J'ai enlevé 10 points.

Ce qui donne un total de 75/100.



Texte 2

Commentaire : Texte très drôle :D Un mélange réel/fiction intéressant. Très bien écrit. Dommage qu'on reconnaisse l'auteur :D Néanmois, je trouve la morale de la chute assez décevante à mon goût. Je m'attendais à une fin plus réaliste.
Note :
-Pour la fin, j'enlève 10 points.
-Pour la forme, le vocabulaire assez osé marié avec un autre très fin, ça me fait bizarre. J'enlève 5 points.
-Pour l'abus de points de suspensions, j'enlève 5 points aussi. Je trouve le texte très aéré sans ça, les points de suspensions à tout va son un peu de trop pour moi ;)
-orthographe, pareil, rien vu. Nous avons eu affaire ici à de grands écrivains :D

Ce qui nous fait un total de 80/100.




Pour finir, bravo à vous deux. Ce sont vraiment de beaux textes que vous nous avez pondu là. Spécial bravo à l'auteur du poème pour m'en avoir fait aimer un ! :D
 

DeletedUser

Guest
Texte 1 :

Note 63/100

Je ne supporte pas les poèmes qui aient une logique approximative dans leur métrique. Soit la métrique est irréprochable, soit le vers libre doit avoir un intérêt. Ici je trouve que ce n'est qu'une marque de manque de maîtrise. De même pour certaines tournures de phrase vraiment étranges. Et puis à la lecture, j'ai pas eu une bonne impression donc voilà.

Texte 2 :

Note 87/100

Très drôle, très fluide, très bon mais la fin gâche tout, elle semble, je ne sais pas, bâclée. Tout part en vrille, un peu n'importe comment, il fallait une fin, paf la voilà. Enfin c'est mon impression.

Ecriveuse et lélou, allez donc voter pour ma battle contre Phlégéton, on n'a pas beaucoup de votes non plus.
 
Dernière édition par un modérateur:

DeletedUser

Guest
Texte 1:

Tu as fait l'effort de faire de la poésie, seulement, le vocabulaire m'a semblé trop recherché et l'agencement des mots était par moment un peu étrange. Le " c'est la saint-valentin! " est, je pense, une rupture trop violente avec le reste du poème qui reste quand même d'une très bonne qualité!

Note: 70/100

Texte 2:

L'humour et l'ironie sont présents dans ce texte, ce qui m'a plu, les idées sont exprimées clairement et le vocabulaire est moins compliqué que dans le poème. On peut considérer que la fin constitue une sorte d'ouverture sur un sujet général (la parité) ce qui intéressant. Seulement, il y avait trop de parenthèses et de points de suspension à mon goût.

Note: 85/100

Bravo aux deux auteurs des textes car c'est de la qualité!
 

DeletedUser7903

Guest
Texte 1
Note: 75/100
Commentaire : Je ne suis aps fan de poèmes...

Texte 2
Note: 85/100
Commentaire : Très bien écrit, quoique trop long


Bonsoir,

Horacles, je t'invite à modifier ton message pour argumenter un peu plus tes notes. Sinon je ne pourrais pas les utiliser lors de la notations finale.

En effet, je demande des notes argumentées de façon un peu plus complète ;).
 

DeletedUser

Guest
Texte 1
Note: 85/100
Commentaire :
Un vocabulaire trop recherché donne un manque de fluidité à la lecture et le poème n'est pas lisible par tous. -10 points
"C'est la Saint Valentin !" à la fin est sans "lien" avec le texte. -5 points

Texte 2
Note: 90/100
Commentaire :
- trop de parenthèse en début de texte. -5 points
- " ce con !" pour moi est de trop. -5 points
J'ai apprécié ce texte facile à lire et drôle. Belle idée de mélanger réalité et fiction.

Merci aux deux auteurs pour le partage de leurs textes :)
 

DeletedUser7903

Guest
Un petit up !

Il vous reste environ 24h pour voter ! Alors votons :D !

Après ça sera tournée de Kinders pour les votants :D
 

DeletedUser7903

Guest
Bonjour Bonjour !

Voilà venu le temps de clôturer les votes et de donner les coups de règles sur les doigts ... euh les notes pardon :D

Le texte 1 récolte la note de 293/400.
Le texte 2 celle de 337/400.

(Les notes d'Horacles, non argumentées, ne sont pas prises en compte).


Mais à qui donc sont ces textes ? :eek:

Le premier est celui de Phlégéton, tandis que le second, celui d'ecriveuse ! Toutes nos félicitations à vous deux :cool: !

Je déclare donc cette battle terminée, avec la victoire d'écriveuse !

Bonne journée ;)
 
Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.
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