DeletedUser11638
Guest
Bonjour,
Voici enfin mis dans l'arène les lapins en peluches. Qui sortira vainqueur de cette rixe ? C'est à vous, public, d'en décider.
leoh ayant déclaré forfait, ce sont donc cinq textes qui vous sont présentés.
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DoudouxX s’amusait.
Vous vous demandez comment un lapin en peluche peut s’amuser ? Il y a pourtant des centaines de jeux. Il se coiffer de façon toujours plus comique, se balancer le long de la tête de lit. Sauter de celui-ci et atterrir sur son petit ventre mou… il y a des milliers de passe temps, quand on a de l’imagination.
La porte s’ouvrit. DoudouxX s’immobilisa en ronchonnant. Déjà ? Pourquoi est-ce que son tyran rentrait toujours plus tôt ? Il pensait qu’il lui restait au moins une heure ! DoudouxX vit la petite fille lui tourner le dos. Il en profita pour un dernier saut.
Prenant son élan, il quitta d’un bond l’étagère où il était perché, atterris sur le dossier du fauteuil de bureau, vacilla, repris son équilibre de justesse et regarda derrière lui. La silhouette, lui tournait toujours le dos. Il repartit sur le dossier de chaise, sauta, se posa en souplesse sur le lit, rebondit, et, usant à la fois l’élasticité de son ventre et celle du matelas, monta jusqu’à la table de nuit perchée quelques centimètres plus haut. Il se plaça au bord du meuble et attendit.
La dictatrice se retourna. Claqua la porte :
« C’est parti ! » pensa-t-il.
Dans un saut de l’ange parfait, il se lança sur le matelas. Tombant comme une pierre, il resta immobile sur la couverture. La porte se rouvrit :
« Maman ! Dydy était encore tombé de la table de nuit !
-Si tu le mets toujours en équilibre, répondit une voix lointaine, il tombera à chaque fois !
-Oui, mais bon, si c’est pas moi qui l’y place !
-Je ne suis pas entré dans ta chambre aujourd’hui ! »
La porte se referma à nouveau. La petite fille grommelait. Pestant contre sa mère et contre le fait qu’elle avait posé son lapin en peluche sur son oreiller le matin en partant à l’école, elle prit DoudouxX et s’étala son lit.
Celui-ci retint un soupir. Ca recommençait. Encore une fois. Il allait subir des tortures horribles. Elle commença par triturer ses oreilles. Les yeux de la petite tyran parcoururent la pièce. Ils tombèrent une sur brosse, traînant par terre :
« Tiens, j’ai une idée ! On va jouer à un jeu, devine quoi !
-Qu’est ce qu’elle est prévisible, pensa le lapin en peluche en ajoutant ironiquement, c’est génial !
-Je vais te coiffer !
-Non ? Vraiment ? Je ne m’y attendais pas du tout, songea-t-il, narquois, mais c’est qu’on va s’amuser ! »
La princesse attrapa l’objet de sa convoitise et la lui passa dans les poils sans délicatesse, lui arrachant des spasmes de douleur. La torture dura ainsi près d’une heure. A chaque passage, il avait l’impression que sa peau allait partir. A chaque passage, elle tenait in-extremis.
Le supplice cessa enfin. La petite fille le regarda fixement. Elle lui avait raconté pendant cette heure toute sa journée inutile, à aller jouer avec des copines qu’elle détestait ou jalousait.
Elle se retourna, le passant en dessous d’elle. Bien entendu, un lapin en peluche ne respire pas. Mais il se sent enfermé, écrasé, et il sait qu’au bout d’un moment, la pire des séquelles sera là : il sera déformé. Il devra rester dans cette position gênante toute sa vie. La minute qui suivit, DoudouxX n’eut pas mal. Il eut peur, peur de rester infirme toute sa vie, cette marque ineffaçable l’empêchant de jouer pour le reste de ses jours. La petite tyran était cruelle. Est-ce qu’elle s’en rendait compte ?
Elle se retourna à nouveau, et lui mit une de ses oreilles dans la bouche, pensive.
La salive commença à couler le long de ses poils. Ses oreilles s’humidifiaient à vitesse grand V pour se remplir comme des éponges. Le liquide attaquait sa peau, la fragilisait, la transperçait. En quelques secondes, il sentit le produit chaud couler dans son corps. La fillette continua à sucer son oreille, en rentrant de toujours plus gros morceaux dans sa bouche. Soudain, elle s’arrêta. Sa langue venait de toucher quelque chose d’une autre matière.
Attrapant son lapin par les pieds, elle le sortit violemment de sa bouche. Sa tête percuta de plein fouet le bord du lit. Lui ouvrant légèrement le crâne. Elle trouva se qu’elle cherchait. Une étiquette, il restait une étiquette. Elle l’arracha comme on arrache une jambe. Vous avez déjà essayé de vous amputer sans anesthésie ? Pour lui, c’était du pareil au même, il avait l’impression qu’on lui enlevait violemment une partie existante de son corps. Il ne saignait pas, il était juste ouvert :
« Zut, jura-t-elle, Maman ! Dydy a un trou !
-Je le recoudrai plus tard ! Je cuisine !
-Maieuh !
-Plus tard »
Enervée, la petite lança DoudouxX de toutes ses forces sur la porte. Il atterrit, sans grâce, devant le nez du chat qui s’était faufilé à travers la fenêtre ouverte. Celui-ci ne résista pas à l’envie de le mordre à pleine dents. La princesse cria :
« Maman ! Tigrou joue avec Dydy !
-Chasse-le !
-Banzai ! »
Elle lança son oreiller sur le chat qui s’enfuit à toutes jambes. Elle se leva enfin et vint le récupérer.
Il haussa un des ses sourcils en coton. Qu’allait-il subir ? Elle allait logiquement le faire danser maintenant.
DoudouxX pensait juste. La petite le pris dans ses bras :
« Qu’allons nous faire maintenant ? Devine !
-Je ne sais pas voyons, c’est évident ! pensa ironiquement DoudouxX, Mais qu’allons nous donc faire ?
-On va danser, tu m’invites à faire un slow ?
-NON, hurla le petit lapin
-Quoi ? Tu parles ?
-Non bien sûr ! Tu rêves, dit simplement la peluche en sautant sur le lit, je ne suis que le pur fruit de ton imagination !
-Quoi ? Tu bouges ?
-Non bien sûr ! Tu rêves, répondit DoudouxX en commençant un slow avec lui-même, je ne suis là que pour te faire peur !
-Quoi ? Tu danses ?
-Non bien sûr ! Tu rêves ! Je jardine ! Voyons tu ne voulais pas danser ?
-Euh… si mais…
-Bon ba si tu ne veux plus, je pars ! »
Il bondit sur une chaise puis sur le bureau. En prenant son élan, il finit par atteindre la poignée de la porte d’un troisième saut. La porte s’ouvrit. Il se glissa à l’extérieur.
La vie lui souriait, il venait de prendre ses responsabilités, il pouvait maintenant sortir ! Il se dirigea vers la forêt.
Sa vie serait enfin heureuse.
Le lendemain matin...
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Chapitre 1 : Le chagrin de vie.
Tout commença un beau samedi matin du mois de Warner, le soleil se leva sur la plaine de pictures. En ce beau matin, tout était si calme et si paisible qu’on avait envie de rester dans son terrier toute la matinée.
Ce fut impossible pour ce lapin nommé Maxime, une chose l’embêtait ce matin-là. Il était à plat sûrement la pile qu’il avait derrière son dos qui allait se décharger. Effectivement, il ne lui restait plus beaucoup de temps avant qu’il soit à plat, l’indicateur de pile indiquait qu’il restait un peu moins de deux heures avant que sa pile cesse de fonctionner. Maxime fût paniqué à l’idée de ne plus vivre dans ce monde merveilleux peuplé de tous les habitants imaginaires que l’on ne voit qu’à la télévision. Surtout que cette journée là tout était fermer, c’était le jour de la fête nationale, la fête de la ville de Bros. Une grande fête s’organisa dans la ville les habitants plus étrange les uns que les autres étaient joyeux et festifs à l’idée de cette fête. On voyait des trains voler dans les airs, des avions qui roulaient sur des rails, mais rien n’y fait notre lapin en peluche Maxime, n’avais pas l’esprit festif. Il décida alors d’aller voir tous ces voisin pour demander une pile de rechange pour pouvoir tenir jusqu’à lundi, jour où les boutiques serraient enfin ouvertes. Il pourrait alors acheter la pile dernière génération. La dernière pile qui était sortie avait une durée illimitée, elle se rechargeait pendant la nuit ce qui permettait de tenir un bon nombres années. On était samedi un jour exceptionnel, on appelait ça un jour férié. Maxime frappa à tous les terriers ainsi qu’à toutes les portes qu’il trouva sur son passage pour demander de l’aide, mais aucun des habitants ne lui venaient en aide en ce jour. À vrai dire, il avait une mauvaise réputation dans cette ville, pour des faits qui se sont passé plusieurs années auparavant. Il fallait bien s’en douter, c’était un crétin…
Maxime rentré très désespérer vers son terrier, tête baissée, ne retrouva même plus son chemin tellement qu’il était crétin. Il avait pourtant un outil indispensable pour retrouver son chemin, un SPG que ses parents lui avaient offert pour ses 19 ans. Le SPG permet de se retrouver quand on est perdu, mais il ne savait pas comment ça marchait puisque c’était la première fois qu’il s’en servait. Maxime aperçu alors une soucoupe volante dans la rue abandonnée. Il décida de s’en servir pour rentrer plus vite chez lui. Mais par où aller se demanda-t-il ? Il réussi à activer son SPG qui voulait dire ‘’Suis Pas Garantie’’. Mais ça, il ne comprenait absolument pas ce que ça voulait dire. Alors il mit le SPG sur le tableau de la soucoupe puis la démarra. Le SPG devait lui dire quelle route prendre, mais au lieu de ça il ne prenait, il le faisait tourner sur lui-même. Quand le SPG disait tourner à droite, Maxime tournait sur lui-même vers la droite comme un vrai crétin ! Jusqu’au moment où le SPG lui dit de faire demi-tour. Maxime était face à la route, mais c’était trop tard, il fonça droit vers une immense falaise. Il paniqua, il ne savait pas quoi faire. Il tenta d’appuyer sur tous les boutons possibles et en trouva un qui donnait du miel à volonté. Il se demanda pourquoi du miel. Un peu après, la soucoupe se mit à trembler, puis se propulsa dans les airs. Notre lapin était peut être crétin, mais grâce à son courage à taper sur tous les boutons, il avait appuyé sur celui qui permettait de voler. Il avait toujours un problème de taille, il se dirigeait droit vers une immense montagne. De plus en plus paniqué, il tapa sur un autre bouton qui eu pour effet de diriger la soucoupe automatiquement vers la position de départ c’est-à-dire là où il avait trouvé le véhicule.
Chapitre 2 : La rencontre inattendue.
De retour de ce petit voyage, revenu à son point de départ, notre ami Maxime, malade de cette petite ballade, sorti de la soucoupe volante. Une personne se trouvait devant lui, mais sans savoir, il vomit sur ses pieds. Soudain, il senti que ça allait mal aller pour lui. Il releva la tête et vît une jeune et jolie oursonne en peluche qui lui donna une claque si forte qu’il s’envola jusqu’à son terrier. En fait, son terrier se trouvait juste à côté de la où il avait prit la soucoupe. Il décida d’aller s’excuser au près de la jeune oursonne en peluche qui s’appelait Manon. Le dialogue entre eux deux commença alors ! Maxime s’approcha de cette jeune oursonne puis lui dit.
-Euh. Bonjour jeune fille. Moi c’est Maxime et toi… ?
Manon se tourna vers lui puis avança rapidement dans sa direction. Elle était toute brune avec plein de miel sur ses doigts ainsi que sur sa bouche. C’était donc la soucoupe de cette jeune fille, se dit-il, ravi. Il avait bien raison puisque Manon lui cria dessus.
-Pourquoi avez-vous prit ma soucoupe ? Vous êtes un crétin!
Maxime répondit tout simplement :
-Oui tout à fait, un lapin crétin qui va mourir s’il ne trouve pas une nouvelle pile dans moins d’une heure à présent.
Manon, choquée par ce qu’il venait de dire, se tourna vers sa soucoupe, puis se dirigea vers l’arrière de celle-ci. Elle retira quelque chose de son « car place », endroit situé à l’arrière de la voiture et qui permet de ranger pleins de choses. Maxime encore sous le choc de la claque ne vit rien venir. Voyant Manon retirer une chose dans son coffre, il se demanda ce qu’elle fabriquait. Curieux, il décida de la rejoindre. Il vit plein de pile dans le « car place » de cette jeune oursonne. Alors, pleins de questions lui vinrent en tête. Au moment même où il voulu poser la première question, Manon, lui changea la pile qu’il avait dans son dos. Elle lui mit la pile dernière génération, celle qui permettait de se recharger pendant la nuit qui permettait de tenir un bon nombre année.
-Mais, mais d’où vienne toutes ces piles ? Puis, pourquoi m’en donnez-vous une ?
Manon répondit simplement :
-Merci !
-Pourquoi merci ? Demanda Maxime.
-Tout simplement, car je n’arrivais pas à trouver le bouton du miel sur ma soucoupe répondit Manon. Grâce à vous je vais pourvoir me nourrir pendant que je conduis, puis je dirige la boutique de pile dans le centre-ville.
-Mais, j’ai appuyé sur tous les boutons, donc je n’ai pas vraiment fait exprès, puis je vous est vomi dessus, je ne mérite pas ça.
-Bien sûr que si répondit Manon, vous êtes peut-être crétin, mais vous êtes mignon, ça serrait dommage de vous perdre.
Maxime, retrouva soudainement le sourire, c’était la première personne qui lui faisait un compliment. Il décida alors de l’inviter à la fête de ce soir qui aurait lieu au centre-ville. Mais comment l’inviter étant trop timide !
Chapitre 3 : La fête de la ville Bros !
Le soir approchait sur la pleine de pictures Bros. Les deux compagnons avaient passés toute l’après-midi à discuter de tout et surtout de n’importe quoi. Ils se racontaient leur vie chacun leur tour, puis ils se trouvèrent rapidement des points en commun. Tous les deux aimaient le sport de combats, en particulier le Karaté. La première lettre de leur prénom commençait par un « M », comme par hasard. Il ne pouvait pas laisser passer cette fête sans être accompagné. Il fallait qu’il lui demande de venir à la fête ensemble, mais il était trop timide. Manon le voyait sur son visage, puis soudain Manon dit à Maxime.
-Oui je veux bien venir avec toi.
Sans rien dire Maxime était le plus heureux, car il allait passer sa première soirée accompagnée depuis 19 ans ! Mais surtout il se demanda comment elle avait deviné, peu importe, il allait avoir une soirée avec cette jeune oursonne. La fête vient juste de commencer, dit-elle à Maxime, allons-y ! Elle prit la patte de notre lapin, puis se dirigea vers le centre-ville.
Patte dans la patte, ils se dirigèrent vers la fête, à pied pour passer le plus de temps ensemble c’était bien sur une idée de notre lapin crétin ! Qui n’était pas si crétin sur ce coup! À la sortie de la ville, sur la plaine, on entend déjà le bruit, la foule, les cris de joie fussent de partout. Les deux compagnons étaient alors en pleine nuit ne voyant que la grande fête avec pleins de lumières éparpillées au loin. Il n’était plus très loin quand soudain ils virent un lapin crétin déguisé en ours avec une arme. On aurait dit Manon et Maxime, mais en une seule personne. Les deux compagnons décidèrent de l’éviter, mais cette étrange personne les suivit. Alors. une course pour lui échapper commença !
Nos deux compagnons, se dirigèrent sur un chemin inconnu, prenant toutes les rues possibles pour lui échapper au plus vite. Rien n’y faisait, il était toujours en train de les suivre ! Maxime se retourna alors vers lui et pour protéger Manon du danger il la poussa derrière lui. En cette pleine nuit de samedi, dans une ruelle abandonnée personne ne pouvais venir les aider. Notre ami lapin s’avança vers le fou qui les suivait partout. Il ne l’avait pas reconnu au début, mais plus il s’approchait vers lui plus il commençait à reconnaitre son vieil ennemis qui était dans sa classe dans le passé. Ce lapin en peau d’ours se nommait Alexis !
Alexis était un crétin pire que notre ami maxime, c’était le plus crétin de la classe. Ils se détestaient, car il ne faisait qu’embêter toute la classe. Maxime dit alors à Manon de partir le plus loin possible pour qu’elle soit en sécurité, mais Manon voulait rester auprès de lui. Maxime se retourna pour insister sur le fait qu’elle devait partir au plus vite pour qu’elle ne soit pas blesser !
Alexis en profita alors pour tirer une décharge électrique sur notre ami Maxime. Il tomba au sol, Manon s’enfuit en direction du centre-ville, abandonnant raid sur le sol Maxime à son plus grand regret ! Maxime avais juste perdu beaucoup d’énergie et ne pouvant plus rien faire il attendit le retour de Manon. Alexis prit la direction du centre-ville là où Manon était partie pour trouver de l’aide.
Chapitre 4 : La fête est finie !
Manon avançait en direction de la fête qui avait lieu en centre-ville, elle avait en tête d’aller à sa boutique de pile pour en prendre une nouvelle pour notre ami Maxime qui avait subie une décharge électrique réduisant l’énergie de sa pile à zéro. Elle courrait le plus vite possible pour rejoindre sa boutique. Alexis était juste à quelque mètre derrière elle, prenant toutes les rues qu’elle prenait sans savoir où elle allait. Soudain, elle se retrouva vite en plein milieu d’un défilé qu’il y avait lieu en plein centre-ville, c’était le défilé de la fête de la ville de Bros. Alexis la perdit de vue pendant quelques secondes à cause de tout ce monde, ce qui permit à notre chère Manon de se diriger vers sa boutique. Elle reconnut la place où elle était et elle su qu’elle n’était plus très loin. Pendant ce temps, notre petit lapin toujours étendu sur le sol essayait d’appeler de l’aide, mais personne ne l’entendait avec le bruit provenant de la fête, c’était peine perdu ! Il s’écroula au sol pour ne pas utiliser trop vite ses dernières minutes de vie.
À ce moment là, Manon entra dans sa boutique, puis referma la porte derrière elle. Elle chercha pendant plusieurs minutes dans la dernière livraison la toute dernière pile reçue, quand soudain, elle entendit un fracas horrible. C’était Alexis qui avait défoncé la porte. Une alarme se déclencha ! Puis des litres de miel se déversèrent alors sur lui. Manon avait installé cette alarme pour qu’on ne puisse pas voler dans sa boutique, ainsi Alexis était piégé par le miel. L’alarme fonctionnait très bien. Elle remarqua la vitrine où était exposée la toute dernière pile qu’elle avait mise le matin même et qu’elle avait oublié avec toute cette histoire. Elle prit la pile laissant ce fou collé au sol par des litres de miel.
Manon se dépêcha de rejoindre le lieu où Maxime était étendu au sol. C’était le plus long trajet quelle avais fait en courant... Elle vit Maxime complètement HS, lui changea rapidement la pile pour la seconde fois en ce jour. Maxime se réveilla alors, il ouvrit les yeux tout doucement, puis vit Manon à ses côtés. Content de pouvoir continuer à vivre avec une nouvelle pile et tout heureux à l’idée que Manon lui ait sauvé la vie à deux reprises, il bredouilla ses quelques paroles :
-Comment pourrais-je te remercier ? Tu es la plus merveilleuse des oursonne en peluche !
-Seulement en me promettant que tu ferras attention à toi la prochaine fois. Il y a des gens qui tiennent à toi.
-Promis, mais je ne vois pas qui tient à moi.
-Manon répondit par : peut-être que celle qui tient à toi se trouve juste en face de toi.
Maxime tout ému serra fort dans ses bras Manon, puis ils s’en allèrent en direction de la fête où ils croisèrent Alexis qui pour lui la fête était finie. Il se trouvait maintenant dans un Casse ruche (maison avec plein de barreau autour). Il paraissait vraiment crétin avec tout ce miel sur lui surtout quand ont le mit dans la ruche.
-Bien fait pour lui dit Maxime, au fait Manon je voudrais te dire quelque chose.
-Ah ?
-Voilà je voudrais vraiment maintenant que tout est fini te dire que je tiens à toi. Puis j’aimerais t’inviter maintenant à cette fête.
-Oh ! T’es mignon !
Chapitre 5 : Une nuit de folie ?
Nos deux compagnons passeraient une nuit de folie à cette fête. Après avoir marché pendant plusieurs minutes en direction de celle-ci, ils y arrivèrent enfin tous les deux patte dans la patte. Ils prirent la direction de la grande roue qui se trouvait à l’opposer de là où ils se trouvaient, marchant le plus lentement possible tous les deux pour passer le plus de temps ensemble. Ils Passèrent devant le marchant de carotte, puis celui du miel jusqu’à même passer devant le marchant de pile, mais ça il n’en avait plus besoin maintenant qu’il avait trouvé son héroïne, Manon. Nos deux compagnons passèrent devant une grande tour, haute d’environ 50 fois la taille de notre lapin en peluche. Maxime décida alors de faire un cadeau à sa nouvelle amie, il se dirigea vers un marchand de soucoupe volante et avec les économies qu’il avait faites pour acheter des piles de rechange, il eut assez d’argent pour acheter la dernière soucoupe volante mise sur le marché. Celle-ci était bien plus grande et bien plus spacieuse que celle que possédait Manon. Il voulait lui offrir pour la remercier de lui avoir sauvé la vie deux fois dans la même journée. Cette soucoupe pouvait faire plus de choses comme aller sous terre et sous l’eau, c’était la nouvelle technologie au niveau des soucoupes. Manon ne savait pas trop comment remercier notre lapin crétin en peluche. Elle se rapprocha de Maxime, puis lui fit un petit bisou sur la joue. Maxime était étonné et surtout, il devint rouge comme la soucoupe qu’il venait justement d’acheter ! Après plusieurs minutes de marche, ils étaient enfin devant la grande roue et ils y montèrent. Toutes les attractions de la fête étaient gratuites et ils purent donc regarder le merveilleux paysage baigné par les deux lunes bien visibles du haut de la grande roue. Ils aperçurent la montagne que Maxime avait évitée de justesse. Maintenant tout ému de se retrouver en cette soirée avec sa nouvelle amie, il versa une larme. Après quelques tours la fête était finie. Ils se dirigèrent donc vers la soucoupe qu’ils venaient d’acheter, puis rentrèrent chez eux... Manon déposa notre ami Maxime devant son terrier puis lui fuit un signe de la patte et lui dit :
-A demain petit lapinou, Manon rentra alors à sa boutique qui lui servait aussi de logement.
La regardant partir maxime sortie quelques mots hésitants :
-À demain... Manon, je t’... en lui faisant un signe de la patte, versant une petite larme.
Elle était déjà bien loin avant qu’il puisse finir sa phrase.
À suivre…
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Bon, comme toujours, on va vous raconter une histoire, qui se commence bien, puis un méchant intervient et à la fin, tout ce finit bien ! (Ca ma saoul ces histoires comme ça ! Alors pourquoi je fais ça moi ? Répondez-moi, j’ai l’impression de parler seul et je ne suis pas fou ! (Moi !))
J-1 avant l’anniversaire du joli Lapinou. Chez lui, la fête ce prépare, alors que chez ces invités, c’est les cadeaux. Il a invité Teddy Bear l’ourson, son meilleur ami, un dauphin nommé Loleau et un loup, Louis.
H-4. Mousse la souris, apprenant que Lapinou fêtait son anniversaire sans lui, fut vraiment énervé. Il prit alors sa batte et partit…
H-1. Alors que Lapinou finissait de mettre la table, il entendit du bruit derrière la porte. Il se dit que les invités étaient déjà arrivés. Le lapin ouvrit la porte et vit Mousse. Mais, pas le temps de réagir, la souris l’assomma avec sa batte.
H-0. Les invités sonnèrent à la porte, mais personne n’ouvrit. Au bout de plusieurs minutes, ils se dirent qu’ils allaient rentrer par la fenêtre. Entré dans la maison, ils ne virent personne. Enfin, se dirigeant vers la porte, ils tombèrent sur la batte de Mousse. Ce que la souris avait oublié, c’est qu’il neigeait ce jour-là. Teddy partit à la recherche de Lapinou, en laissant Loleau et Louis dans sa maison, pour voir s’il ne revenait pas.
Chez Mousse, Lapinou, encore sonné, est enfermé dans une cage. Teddy, arrivé chez la souris, entra par la cheminée. Mais, malheureusement, elle était allumée, l’ourson se brula et rentra dans la maison en sautillant car sa brûlure lui faisait vraiment mal. Une fois dans le salon, il vit la cage où était enfermé Lapinou. Le lapin, se réveillant, l’aperçue. Mousse, qui préparait un mélange très étrange, fredonnait une chanson cruelle. Elle devait parler de Lapinou.
«Lève ton bras, lève ton bras, lève ton bras.
Je porte une hache, j’vais la mettre sur ta tête,
Sortez les fusils, on vient fêter un décès... »
La suite était complétement incompréhensible, surement à cause sa haine. Dans son liquide, il mit des carottes, du melon, des sushis, du jambon, des choux de Paris, une langue de crapaud, un crayon de papier, du scotch, 5l d’azote liquide.
Puis, il appuya sur un bouton rouge sur la cage. La geca, euh, la cage se souleva, le sol s’ouvrit, dans le sol, un bassin, rempli d’eau. Vu que Lapinou savait nager, Teddy se dit que tout allait bien se passer. Mais, la souris prit son liquide étrange, prit une paille, la trempa dedans et la paille devint violette avant de se dissoudre quelques secondes après. Mousse avança vers le bassin puis jeta son mélange dans l’eau. C’est alors que l’eau se souleva, puis, un monstre prit vie de cette eau.
Mousse partit, laissant le monstre et Lapinou seul, enfin, c’est ce qu’il pense puisque Teddy était là. Le monstre d’eau envoya le lapin dans le bassin qu’il avait remplis d’eau .Puis, il l’attacha, Lapinou, ne pouvant plus respirer, bougeait dans tous les sens pour se détacher. Le monstre se désintégra, l’ours détacha Lapinou et partit. Arrivé chez Lapinou, ils se rendirent compte que plus personne n’était là.
En effet, Mousse les avait kidnappés pendant que le monstre s’occupait de Lapinou, il avait en fait tout calculé. Lapinou et Teddy décidèrent alors de le poursuivre, ils partirent pour la montagne où se trouvait la maison de vacance de Mousse. Ils s’avancèrent dans la montagne pleine de neige mais le monstre du Loch Ness était là ! (Quoi ? C’est pour le lac celui-là ?) Alors le Yeti était là !
Alors que Lapinou et Teddy visitaient une grotte (On n’avait pas dit qu’ils devaient allez chercher leurs amis ?), ils tombèrent pieds à pieds face à l’abominable homme des glaces, euh des neiges. Une course poursuite commença alors entre les deux copains et le Yeti. Lapinou et Teddy coururent après le Yeti, enfin, l’inverse, il (quoi vous ne savez pas qui c’est ? « Il » n’a pas de « s », c’est donc le Yeti !) criait tellement fort qu’une avalanche tomba juste derrière le Yeti. Les peluches sautèrent d’une falaise à une autre, mais le Yeti, ne sachant pas sauter (il est trop lourd on va dire…) et allant trop vite tomba dans le précipice et mourut. (Non, il ne sait pas voler !)
Les 2 enfants arrivèrent devant la maison des trois ours. (N’importe quoi !) Ils rentrèrent dans la maison, la première soupe était parfaite, la deuxième aussi mais la troisième était mangé. Puis, ils voulurent s’asseoir, la première et la deuxième n’étaient ni trop hautes, ni trop basses. Quand ils montèrent à l’étage pour aller se reposer, ils virent une petite fille. Ces cheveux était dorés et elle était sublime. Les deux peluches entendirent un bruit venant de la porte d’entrée. Trois ours, un enfant, sa mère et son père montèrent à l’étage. Les enfants, sans perdre de temps, sortirent par la cheminée, laissant les trois ours et la petite fille seule. (Voilà la vraie histoire !)
Courant toujours, ils rencontrèrent une sorcière, leur demandant si ils voulaient manger une poire. Mais, n’ayant pas faim, ils refusèrent. La vieille (Quoi ?) entra dans une colère bleu (Ce n’est pas ça que l’on dit ?) et voulu leur faire manger la poire mais, Lapinou l’aveugla en lui mettant les deux doigts dans chaque œil. Puis, il lui fit avaler la poire. La sorcière commença à être toute verte et tomba en poussière juste après.
Ils arrivèrent enfin chez Mousse où la porte était à moitié ouverte. (C’est quoi ce propriétaire qui laisse la porte ouverte !) Ils entrèrent alors par la fenêtre (Mouais… Ça ne sert à rien !) et ils virent une centaine de ninjas. Les plumes allaient volées ! (Jusqu’à preuve du contraire, une peluche est remplie de plumes !)
CE PASSAGE ETANT D’UNE EXTRÊME VIOLENCE, LA SCENE QUI SUIT NE SERA PAS SANSURE.
Les ninjas répétaient leurs cries.
« Ahouga, gaouo, lililo, poucastu, mouahhh ! » (Non, ne chercher pas, cela ne veut rien dire !)
Les ninjas virent Lapinou et Teddy, ils foncèrent donc sur eux. En poussant un cri terrifiant (« aaaaa »), j’ai dit un cri terrifiant ! (« AAAAAAAH ») Et bah voilà ! Lapinou prit son fouet qu’il cache quelque part. (Je ne sais pas où, où alors je ne veux pas vous le dire…) Il recula alors d’un pas, puis, s’élança dans les ninjas, il les fit tomber par terre un par un, jusqu’à tomber sur le boss. (Comme dans les jeux vidéo !) Il était grand, costaud et son regard pouvais vous tuer, alors surtout un petit conseil (juste un petit), ne le regarder jamais dans les yeux.
Teddy prit un couteau posé sur une table et s’élança sur le boss et lui coupa une phalange. Le méchant ne sentit rien, il poussa juste un petit cri. Lapinou, avec son fouet, lui attrapa le bras en enroulant son arme autour. Il tira, il mit toute sa force et il le fit tomber. Teddy lui enfonça son couteau dans les deux yeux. Le boss poussa un cri horrible. Mais il n’était qu’aveugler, au toucher, il prit Lapinou et le jeta contre le mur. Lapinou plumais (Plumer : verbe signifiant saigner des plumes.) et le boss, mourut de ses blessures. Teddy courut vers Lapinou pour voir si il allait bien, Lapinou se releva avec quelques égratignures mais sans rien de cassé.
Ils avancèrent, jusqu’à tomber sur (Nous nous permettons de faire une courte pub, merci de lire tout ! J’ai dit tout !)
Pour des os solides, je prends germonimaud, le clown trop rigolo !
Envoyer BISOUS, au 14163, pour savoir si elle pense toujours à vous... BISOUS, au 14163, BISOUS, au 14164 ! (C’est 163 ? Alors nous avons changé !) Coût d’un sms : 50 euros par secondes.
« Nous revoilà dans l’histoire ! (Je suis obligé de dire tout ça, et puis, arrêtez de pointé se revolver sur moi, il me gratte !) »
Voilà ce qu’il se passait juste avant la pause. Lapinou se relevant et Teddy s’avançaient jusqu’à tomber sur… Mousse. Il était habillé d’un pantalon noir et d’un sweat noir. (En noir quoi !) Il avait une scie dans une main. Loleau et Louis étaient attachés contre un poteau, les yeux bandés. Mousse vu Lapinou et Teddy. Il fonça donc sur eux et les fit tomber. Lapinou pleurait, alors que Teddy se releva tout de suite. Mousse recula d’un pas, puis, Teddy le poussa. Il passa à travers la fenêtre. Il fut emporté dans la descente de la montagne. Quand il arriva en bas, il remonta chez lui rapidement. Juste le temps pour Lapinou et Teddy de détacher leurs deux amis. Mousse attrapa Lapinou par derrière et le traina jusqu’à une cage puis il l’enferma dedans. Teddy tua Mousse d’un coup de couteau porté dans le ventre, alors qu’il se retournait. C’est alors qu’une ombre (sombre si cela vous intéresse), portant une cape, se libéra et monta au ciel. Loleau alla libérer Lapinou. Les quatre peluches dansèrent de joie et chantèrent.
Sur le chemin du retour, ils rencontrèrent un cygne, ou peut-être un canard, je ne sais pas, sept nains trainant une fille, quelqu’un qui était jeune faisait du skate bord suivie d’un gros chauve, une couronne sucrée dans la main, une bière dans l’autre. Il s’écria « Pinaise ! » puis « D’Oh ! ». Arrivé chez Lapinou, ils mangèrent le gâteau en chocolat et en nutella. Puis, ils chantèrent une chanson portant sur un jeu, mais ne chercher pas, il est nul ! Vous voulez savoir lequel c’est ? C’est grepolis ! Vraiment nul, surtout la communauté ! (/me se cache)
Vous voulez vraiment savoir les paroles, alors voilà !
J'suis pas ton Prince Charmant
Ouhouhou, Ouhouhou, Ouhouhouhou
x2
J'suis pas ton Prince Charmant
J'veux juste t’attaquer un bon moment, j'suis désolé mais je n'suis pas vraiment proches des sentiments.
J'suis pas ton Prince Charmant
J'suis bien meilleur en tant qu'attaquant car si tu crois en la milice je serais ton médicament
J'suis pas du genre nettoyé,
j'passe mon temps à t’attaquer,
tu passeras pour mon frigo, là au moins t'es fixée.
Jt'aidr'ais pas à évoluer, au mieux j’raterais des attaques, c'est pas gagné pour m'décoller du « attaqué ».
T'aim'rais que je sois un gros looser,
qu'à la Saint Valentin je t'offre des fleurs, qu'pour une fois j’en pleur, mais j'frais rien d'tout ç’est toi le looser.
J'suis pas ton Prince Charmant
Ouhouhou, Ouhouhou, Ouhouhouhou
x2
J'suis pas ton Prince Charmant
J'veux juste t’attaquer un bon moment, j'suis désolé mais je n'suis pas vraiment proches des sentiments.
J'suis pas ton Prince Charmant
J'suis bien meilleur en tant qu'attaquant car si tu crois en la milice je serais ton médicament
T'aim'rais qu’choix dans ton alliance, qu'avec tes amis j'sois marrant, que j'sois sensible et élégant mais pas romantique évidemment, que j'fasse tout pour te satisfaire, que joue pas juste pour te plaire, qu'joublie de t’attaquer mais j'suis radin j'peux rien y faire.
T'aim'rais qu'j'te dise
"j’arrête" et cela pour la vie, que j'écoute tes problèmes mais je n'suis pas ton psy', que chaque jour j'te soutienne, que je combatte tes ennemies.
J'suis pas prêt ça j’crois qu't'as pas compris.
J'suis pas ton Prince Charmant
Ouhouhou, Ouhouhou, Ouhouhouhou
x2
J'suis pas ton Prince Charmant
J'veux juste t’attaquer un bon moment, j'suis désolé mais je n'suis pas vraiment proches des sentiments.
J'suis pas ton Prince Charmant
J'suis bien meilleur en tant qu'attaquant car si tu crois en la milice je serais ton médicament
Pas d'dîner(ça c'est sûr)
Ni d'friandises(ça c'est sûr)
Pas défense(ça c'est sûr)
Mais en attaque j'assure.
Des d'ménage(ça c'est sûr)
Des balayage(ça c'est sûr)
Pas d'marage(ça c'est sûr)
Parc’qu’après tu crois q'j'assure.
J'suis pas ton Prince Charmant
Ouhouhou, Ouhouhou, Ouhouhouhou
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J'suis pas ton Prince Charmant
J'veux juste t’attaquer un bon moment, j'suis désolé mais je n'suis pas vraiment proches des sentiments.
J'suis pas ton Prince Charmant
J'suis bien meilleur en tant qu'attaquant car si tu crois en la milice je serais ton médicament.
Et voilà, c’est la fin, même pour les quatre qui vont se faire écraser par un météorite !
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[SPR]
La pluie venait tout juste de cesser, laissant apparaître le jardin, baigné par la lumière de la lune qui illuminait les gouttes restantes… Henry, lui, pleurait toujours. Il avait beau être très mature et très courageux du haut de ses huit ans, perdre son père l’avait totalement anéanti. Cela avait eu lieu bien trop tôt pour lui, il n’était pas encore prêt pour faire face à la mort d’un des membres de sa famille. Sa mère avait beau être constamment auprès de lui pour tenter de le consoler, rien n’y faisais, il ne pouvait se résoudre à quitter cette fenêtre où, plus tôt dans la journée, il avait vu son père rendre son dernier soupir. Heureusement pour lui, il n’avait vu ni l’agresseur, ni la scène, mais il savait que cette image resterait gravée en lui à jamais. Il ne bougea pas de la soirée, il ne voulait pas quitter cette fenêtre, il pensait que la quitter serait comme dire adieux à son père, il n’avait pas encore compris qu’il était déjà trop tard pour cela… Lorsque minuit vint, sa mère compris finalement que jamais il ne partirait de lui-même. Elle le prit alors dans ses bras, comme pour lui montrer qu’elle serait toujours là pour lui, et qu’elle le protégerait jusqu’à la nuit des temps, puis l’amena tendrement jusqu’à sa chambre, où elle le borda avant de partir aussi vite que possible, car elle ne pouvait plus retenir ses propres larmes.
Henry n’arrivait pas à s’endormir, il se sentait perdu, abandonné. Il avait beau se tourner et se retourner sans cesse, il n’y avait rien autour de lui pour combler ce vide formé dans son cœur, rien, à part ce lapin en peluche, ce lapin en peluche que Henry détestait tellement, parce qu’il lui rappelait à quel point il était encore jeune. Mais là, il ne peut résister à l’envie de le saisir et de l’enlacer, il en avait vraiment besoin, comme un ultime appel à l’aide.
-Je n’ai plus que toi maintenant Titou, tu es le seul qui me soit toujours resté fidèle, murmura-t’il à son lapin en peluche, avant de s’assoupir.
Quelques minutes plus tard, une autre voix si fit entendre dans cette pièce où tout semblait dormir paisiblement.
-Enfin, enfin je suis de retour, s’extasia la voix. Après presque un an à vivre comme un damné, je suis enfin de retour ! Qui aurait pu croire que la mort de son père m’aurait ramené ? J’aurai tellement souhaité que cela se passe différemment, mais en sachant que cela aurait pu être pire, je suis quand même un peu soulagé.
En effet, c’était ce petit lapin en peluche que tenait Henry qui venait de rompre le silence de la nuit. Ce dernier se glissa lentement pour sortir de l’étreinte du petit garçon tout en étant sûr de ne pas le réveiller, puis avança vers la cuisine
-Quand j’y repense, tout cela est arrivé bien trop tard, j’ai trop de choses à vérifier, trop de travail à faire pour une seule nuit… soupira Titou.
Arrivé à la cuisine, le lapin en peluche s’empressa de sautiller jusqu'à la déchiqueteuse, qui ne semblait pas avoir été utilisée depuis plusieurs mois. Il l’activa, puis sauta sur l’hélice, laissant de petits morceaux de coton. C’était le prix à payer, il le savait, cela faisait parti du contrat.
Titou arriva ainsi dans une pièce sombre où une odeur nauséabonde régné. Il s’empressa d’aller allumer un ventilateur
-Faudra vraiment que je pense à installer un système de ventilation ici…Espérons que cela fasse quand même l’affaire, grogna-t’il.
Il alla ensuite allumer. C’est alors qu’une immense salle apparu, jonché de jouer pour enfants, et, au milieu de celle-ci, un gigantesque ordinateur, composé de trois écrans et de trois claviers.
- Aller vite, au travail, je n’ai pas de temps à perdre, s’exclama Titou en fonçant vers l’ordi.
Dès que Titou s’assit sur le siège, l’ordinateur s’alluma de lui-même, jusqu’à ce qu’il se fixa sur un écran bleu
-Agent T, cria Titou vers l’écran.
-Ravi de vous revoir agent T, répondit l’écran d’une voix féminine. Cela faisait longtemps que vous ne m’aviez pas réveillé.
-Cela faisait longtemps que l’on ne m’avait pas réveillé non plus, répliqua-t’il. Mais ce n’est pas le moment de parler de ça, il y a plus urgent. Fais moi un rapport rapide de la situation je te prie Clothide.
-Bien sûr agent T. Votre fidèle ennemi sème la zizanie dans la ville depuis que vous êtes inactif, comme vous pouvez vous en douter.
-Evidement que je m’en doute, quelle est l’ampleur des dégâts ?
-Pour le moment, une dizaine de personne sont disparues, mais beaucoup d’autres s’en sont sorties de peu.
-As-tu réussi à localiser sa dernière activité ? Ou bien est-il chez lui ?
-Je l’ai repéré en effet…
-Heureusement qu’il n’a toujours pas réussi à repérer l’émetteur que je lui ai mis la dernière fois
-Je vous envoie les informations directement ?
-Oui je te prie, comme ça je peux directement aller le retrouver.
A peine eu Titou quitter le siège, l’écran s’éteignit. Il ressorti de sa cachette par le mixeur, qui cette fois, éteint, le propulsa vers le haut dès qu’il arriva en dessous. A cette instant, il su où il devait aller
-Ces passations de données via la mémoire sont vraiment très bien trouvées, murmura Titou.
Il fila donc vers l’usine abandonné qui se située à deux virages de son domicile. Il était chanceux, se disait-il, de nuit il pouvait se déplacer tranquillement dans la ville sans risquer d’être surpris par qui que ce soit. Il ne pouvait sortir comme ça le jour, il n’osait s’imaginait ce qui se passerai si des passants voyait un lapin en peluche gambader comme si de rien était. Cela provoquerait surement la ruine de l’organisation.
Une fois arrivée, Titou inspecta l’usine de fond en comble, à la recherche d’un signe de vie, la preuve que son ennemi était ici. Cependant, il ne trouva rien du tout, l’endroit était totalement désert.
-Il a déjà du filer, murmura-t’il en sortant de l’usine, il me faut pourtant absolument l’arrêter aujourd’hui.
C’est à cet instant qu’une cage tomba sur Titou, l’emprisonnant, l’empêchant de faire le moindre mouvement
-Tu es enfin là, rugit une voix dans l’obscurité, depuis le temps que je t’attendais. On peut dire que tu sais te faire attendre toi.
-J’espère que tu as bien profité de ces vacances très cher, car c’est ici que tout se termine, répliqua Titou.
-Et comment comptes-tu te délivrer ? Interrogea la voix. Car de ce que je peux voir, il me semble que tu ne peux pas bouger.
-C’est la preuve que j’ai réussi ma manœuvre.
-De quoi veux-tu parler ? Car, à moins que ton but soit d’être mon esclave à jamais, je ne pense pas que tu aies réussi quoi que ce soit.
-Les apparences sont parfois trompeuses.
A ce moment là, Titou disparu.
-Quoi ? Un hologramme ? S’étonna la voix.
-Oui exactement, je me doutais que Clothide n’était plus dans notre camp depuis bien longtemps… Montre toi maintenant, cela ne sert plus à rien de te cacher.
A ce moment, un ours en peluche sortie de l’ombre.
-Je n’aurai jamais pensé que tu puisses démasquer Clothide, repris l’ours.
-Je n’aurai jamais pensé que tu puisses un jour être mon adversaire non plus Winnie… Toi qui étais une référence pour la jeunesse, je ne comprendrai jamais comment tu as pu tous les abandonner… Et je ne parle même pas de ce que tu as fait à Tigrou. Nous qui étions frère d’arme, tu as fini par me trahir…
-Tu ne pourras jamais comprendre Titou, il y a tellement d’avantages à faire ce que je fais ahahaha
-Je ne vois pas l’utilité d’enlever des gens, tu ne sèmes que la peine chez ceux que tu rendais joyeux auparavant, et je te ferai payer pour cela !
-C’est là que l’on voit que tu ne connais rien, le pouvoir qu’offres ces personnes et inépuisable !
-Je ne comprends pas ce que tu veux dire, toutes ces personnes sont mortes, Henry a vu mourir son père dans le jardin !
-Tu oublies un détail.
-Lequel ?
-Clothide, qui est capable de manipuler l’esprit de n’importe qui.
-Tu me dégoutes.
-Il me tarde de voir si ton goût me dégoutera aussi.
Winnie s’avança vers Titou, prêt à le dévorer. Il bavait en pensant à ce futur repas qui représentera sa victoire.
-Heureusement que j’ai pris l’arme essentielle contre toi avant de venir… Sinon je ne donnais pas cher de ma peau, grommela Titou.
-De quoi parles-tu ? Je n’ai pas de point faible, ricana Winnie. Mon propre, la folie te guète
-Ah oui ? Et même pas… Ca ? cria Titou en envoyant du miel à Winnie.
-Naaaaan, comment as-tu pu prendre ceci avec toi ? Monstre ! Tu sais que je ne peux m’empêcher de manger tout le miel que je vois !
Winnie se jeta alors sur le miel, et, pendant ce temps, Titou en profita pour le mettre dans la cage qui l’avait bloqué auparavant.
-Je vais t’empêcher de nuire à jamais, pour que plus personne ne souffre à cause de toi, s’exclama Titou. J’ai été ravi de t’avoir comme collègue…
-Tu ne feras jamais croire cela, toi, agent T, me fera disparaitre ? Tu penses vraiment que je vais te croire ?
-Moi ? Te faire disparaitre ? Non je n’ai jamais dit ça enfin, je n’ai que seulement parlé de t’empêcher de nuire.
-Et comment comptes faire cela sans me tuer ?
-Tout simple, je sais d’où te tiens ton pouvoir. Nous avons tous les deux le besoin d’être aimé par quelqu’un pour vivre.
-Et tu comptes faire en sorte que des milliers d’enfant à travers le monde me détestent ? Tu as de l’espoir dis moi.
-Il y a un moyen tout simple à cela, qui est de leur faire oublier qui tu es.
-Sauf que seule Clothide peut le faire, et elle est dans mon camp je te rappelle.
-C’est là que tu te trompes, Clothide est un agent double depuis le début.
-Je ne te crois pas, prouve moi cela !
-C’est tout simple, d’ici cinq minutes, tu redeviendras une peluche inoffensive.
Et, en effet, quelques minutes plus tard, Winnie s’arrêta de grommeler dans sa cage, tout était fini… Titou, content d’avoir effectuer sa mission, rentra chez lui, tout en regrettant cet ami avec qui il avait fait tant de missions.
[Quelques jours plus tard]
-Le calme semble être revenu sur notre tendre ville, s’exclamait le présentateur à travers la télévision. Tous nos disparus ont refait surface, plus ou moins fatigués en fonction de la durée de leur disparition, et plus aucune agression n’est à déplorer……
Henry était dans le jardin, avec son père. Il avait retrouvé le sourire, il n’avait même jamais été aussi heureux.
-Dis-moi Papa, que c’est-il passé pendant que tu as été enlevé ? Interrogea Henry.
-Je n’en ai malheureusement aucune idée, tout ce que je me rappelle c’est de m’être réveillé devant le portail au petit matin, répondis son père. Mais ce n’est pas si important, le plus important c’est que je ne te quitterai plus jamais mon garçon, je te le promets.
-Merci papa ! s’exclama Henry en lui sautant dans les bras.
Titou, quant à lui, était resté sur le lit d’Henry. Il avait accompli ce qu’il devait accomplir, tout était fini, pour son ennemi, mais également pour lui, car il se doutait que tout reviendrai comme avant et qu’Henry ne ferait plus attention à lui. Cela ne lui importait pas beaucoup, il savait qu’il n’avait plus rien à faire. Du moins, jusqu'à son prochain réveil.
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[SPR]
Londres, 1886.
Un fin crachin tombait sur la ville, humidifiant l'air et la scène de crime, rendant l'atmosphère encore plus lugubre. A cette heure, le soleil pointait à peine son nez au dessus des immeubles.
L'inspecteur Sherlap Holmpinou accompagné de son fidèle ami le Docteur Bear, venaient d'arriver sur la scène de crime. Ils avaient été mis au parfum par les agents déjà sur place donc ils furent peu surpris de la violence de ce qu'ils avaient sous les yeux. Un ours était étendu sous leurs yeux sur les pavés humides, éventré, la mousse souillée sortant de son corps en flocons morbides. Le Docteur Bear devins tout blanc et il fit un effort visible pour se retenir de rendre son petit déjeuner.
Il regarda l'inspecteur Sherlap Holmpinou tourner autour du cadavre avec professionnalisme. Examiner la scène sous tous les angles avec son regard scrutateur habituel, remarquant des détails invisibles à un œil humain lambda et les enregistrant dans son cerveau surdéveloppé et les mettant dans un coin jusqu'à ce qu'elles lui soient utiles. Ses grandes oreilles bougeant délicatement comme à chaque fois qu'il était dans une phase de réflexion intense. Puis il fit un tour des agents sur place pour recueillir les informations sur ce que les riverains ou les éventuels témoins avaient vus.
Puis l'inspecteur se retourna vers lui visiblement déçu (à en croire ses oreilles basses et sa moue dépitée).
- ''Alors qu'est-ce qu'ils ont trouvés ? Demanda le docteur Bear.
- Rien d'exploitable malheureusement, il semblerais que les seules personnes dans le coin à cette heure-ci soient des putains lapines et nous n'en tirerons rien.'' Répondit amèrement l'inspecteur Sherlap Holmpinou. La décadence de certains membres de son espèce révulsait de tout évidence Sherlap.
- ''C'est tout de même le troisième crime de ce genre et suivant le même mode opératoire en trois jours, il remettra sans doute ça ce soir. Mon cher Docteur Bear que diriez-vous d'une petite expédition nocturne ?''
Les yeux de Holmpinou s'allumèrent de cette lueur propre à lui seul et qui annonçait de folles turpitudes et un Bear couché très tard.
Une fois de retour dans leur quartier général, les deux compères réunis autour d'une tasse de thé British convinrent d'un plan d'action.
- ''On doit à tout pris coincer cet éventreur, la presse s'est déjà assez emparée de l'affaire !'' Dit Sherlap.
Il jeta sur la table basse un des journaux du matin dont la une clamait : ''Jack l'éventreur sévit encore dans la ville, l'inspecteur Sherlap Holmpinou est sur l'affaire''. Puis il se leva brutalement et se mis à faire rageusement les cents pas dans la pièce, tournant et retournant dans sa tête toutes les possibilités de pouvoir attraper Jack.
- ''On dirait qu'il se moque ouvertement de moi ! Il me défie je le sens... Il nous FAUT le coincer au plus vite !
- Nous n'avons qu'à lui tendre un piège ce soir ?
- Mon cher Teddy bien sûr que nous allons lui tendre un piège, un piège dont il ne pourra pas s'échapper. Voilà ce à quoi j'avais pensé...''
Londres était de nouveau plongée dans le noir, le crachin s'était arrêté en fin de matin permettant au Docteur Bear de pouvoir sortir sans avoir à porte un manteau imperméable qui à coup sûr l'aurai ralenti et aurai exaspéré Sherlap plus qu'autre chose.
Cela faisait maintenant deux heures qu'ils attendaient dans le noir, en planque et toujours aucun mouvement suspect mis à part le va et viens des putains et de leurs clients. Sherlap paraissait convaincu de pouvoir reconnaître grâce à ses exceptionnelles facultés mentales Jack parmi les autres clients.
Soudain un cri de femme retenti dans la nuit, les deux compères se précipitèrent vers la source du cri et découvrirent une ourse, étendue sur le sol éventrée comme les autres. Sherlap se précipita à côté d'elle et lui ouvrit la main il trouva un bout d'étoffe noire, comme un bout de manteau. Le Docteur Bear était lui en train de demander aux lapines autour d'eux si elles avaient vu quelque chose. Toutes lui répondirent qu'elles n'avaient rien vu et s'empressèrent de s'en aller.
Bear se retourna vers Holmpinou et croisant son regard y vit une lueur de rage mêlée d'espoir. Sherlap se releva lentement, tenant dans sa main le bout de tissu et dit :
- ''Tu commence à commettre des erreurs Jack, je t'aurais très bientôt...''
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Code de notation :
Bonne chance à chacun !
Voici enfin mis dans l'arène les lapins en peluches. Qui sortira vainqueur de cette rixe ? C'est à vous, public, d'en décider.
Participants: Okami-san VS MoodyI VS magnusgallus VS lucaus VS gregl82 VS [STRIKE]léoh[/STRIKE]
Thème : Les aventures d'un lapin en peluche-D)
Contraintes :
- Présence d'un Teddy Bear
- Apparition d'un ennemi du lapinou
- Cinq pages word maximum (Arial ou Calibri 11)
leoh ayant déclaré forfait, ce sont donc cinq textes qui vous sont présentés.
Texte n°1
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DoudouxX s’amusait.
Vous vous demandez comment un lapin en peluche peut s’amuser ? Il y a pourtant des centaines de jeux. Il se coiffer de façon toujours plus comique, se balancer le long de la tête de lit. Sauter de celui-ci et atterrir sur son petit ventre mou… il y a des milliers de passe temps, quand on a de l’imagination.
La porte s’ouvrit. DoudouxX s’immobilisa en ronchonnant. Déjà ? Pourquoi est-ce que son tyran rentrait toujours plus tôt ? Il pensait qu’il lui restait au moins une heure ! DoudouxX vit la petite fille lui tourner le dos. Il en profita pour un dernier saut.
Prenant son élan, il quitta d’un bond l’étagère où il était perché, atterris sur le dossier du fauteuil de bureau, vacilla, repris son équilibre de justesse et regarda derrière lui. La silhouette, lui tournait toujours le dos. Il repartit sur le dossier de chaise, sauta, se posa en souplesse sur le lit, rebondit, et, usant à la fois l’élasticité de son ventre et celle du matelas, monta jusqu’à la table de nuit perchée quelques centimètres plus haut. Il se plaça au bord du meuble et attendit.
La dictatrice se retourna. Claqua la porte :
« C’est parti ! » pensa-t-il.
Dans un saut de l’ange parfait, il se lança sur le matelas. Tombant comme une pierre, il resta immobile sur la couverture. La porte se rouvrit :
« Maman ! Dydy était encore tombé de la table de nuit !
-Si tu le mets toujours en équilibre, répondit une voix lointaine, il tombera à chaque fois !
-Oui, mais bon, si c’est pas moi qui l’y place !
-Je ne suis pas entré dans ta chambre aujourd’hui ! »
La porte se referma à nouveau. La petite fille grommelait. Pestant contre sa mère et contre le fait qu’elle avait posé son lapin en peluche sur son oreiller le matin en partant à l’école, elle prit DoudouxX et s’étala son lit.
Celui-ci retint un soupir. Ca recommençait. Encore une fois. Il allait subir des tortures horribles. Elle commença par triturer ses oreilles. Les yeux de la petite tyran parcoururent la pièce. Ils tombèrent une sur brosse, traînant par terre :
« Tiens, j’ai une idée ! On va jouer à un jeu, devine quoi !
-Qu’est ce qu’elle est prévisible, pensa le lapin en peluche en ajoutant ironiquement, c’est génial !
-Je vais te coiffer !
-Non ? Vraiment ? Je ne m’y attendais pas du tout, songea-t-il, narquois, mais c’est qu’on va s’amuser ! »
La princesse attrapa l’objet de sa convoitise et la lui passa dans les poils sans délicatesse, lui arrachant des spasmes de douleur. La torture dura ainsi près d’une heure. A chaque passage, il avait l’impression que sa peau allait partir. A chaque passage, elle tenait in-extremis.
Le supplice cessa enfin. La petite fille le regarda fixement. Elle lui avait raconté pendant cette heure toute sa journée inutile, à aller jouer avec des copines qu’elle détestait ou jalousait.
Elle se retourna, le passant en dessous d’elle. Bien entendu, un lapin en peluche ne respire pas. Mais il se sent enfermé, écrasé, et il sait qu’au bout d’un moment, la pire des séquelles sera là : il sera déformé. Il devra rester dans cette position gênante toute sa vie. La minute qui suivit, DoudouxX n’eut pas mal. Il eut peur, peur de rester infirme toute sa vie, cette marque ineffaçable l’empêchant de jouer pour le reste de ses jours. La petite tyran était cruelle. Est-ce qu’elle s’en rendait compte ?
Elle se retourna à nouveau, et lui mit une de ses oreilles dans la bouche, pensive.
La salive commença à couler le long de ses poils. Ses oreilles s’humidifiaient à vitesse grand V pour se remplir comme des éponges. Le liquide attaquait sa peau, la fragilisait, la transperçait. En quelques secondes, il sentit le produit chaud couler dans son corps. La fillette continua à sucer son oreille, en rentrant de toujours plus gros morceaux dans sa bouche. Soudain, elle s’arrêta. Sa langue venait de toucher quelque chose d’une autre matière.
Attrapant son lapin par les pieds, elle le sortit violemment de sa bouche. Sa tête percuta de plein fouet le bord du lit. Lui ouvrant légèrement le crâne. Elle trouva se qu’elle cherchait. Une étiquette, il restait une étiquette. Elle l’arracha comme on arrache une jambe. Vous avez déjà essayé de vous amputer sans anesthésie ? Pour lui, c’était du pareil au même, il avait l’impression qu’on lui enlevait violemment une partie existante de son corps. Il ne saignait pas, il était juste ouvert :
« Zut, jura-t-elle, Maman ! Dydy a un trou !
-Je le recoudrai plus tard ! Je cuisine !
-Maieuh !
-Plus tard »
Enervée, la petite lança DoudouxX de toutes ses forces sur la porte. Il atterrit, sans grâce, devant le nez du chat qui s’était faufilé à travers la fenêtre ouverte. Celui-ci ne résista pas à l’envie de le mordre à pleine dents. La princesse cria :
« Maman ! Tigrou joue avec Dydy !
-Chasse-le !
-Banzai ! »
Elle lança son oreiller sur le chat qui s’enfuit à toutes jambes. Elle se leva enfin et vint le récupérer.
Il haussa un des ses sourcils en coton. Qu’allait-il subir ? Elle allait logiquement le faire danser maintenant.
DoudouxX pensait juste. La petite le pris dans ses bras :
« Qu’allons nous faire maintenant ? Devine !
-Je ne sais pas voyons, c’est évident ! pensa ironiquement DoudouxX, Mais qu’allons nous donc faire ?
-On va danser, tu m’invites à faire un slow ?
-NON, hurla le petit lapin
-Quoi ? Tu parles ?
-Non bien sûr ! Tu rêves, dit simplement la peluche en sautant sur le lit, je ne suis que le pur fruit de ton imagination !
-Quoi ? Tu bouges ?
-Non bien sûr ! Tu rêves, répondit DoudouxX en commençant un slow avec lui-même, je ne suis là que pour te faire peur !
-Quoi ? Tu danses ?
-Non bien sûr ! Tu rêves ! Je jardine ! Voyons tu ne voulais pas danser ?
-Euh… si mais…
-Bon ba si tu ne veux plus, je pars ! »
Il bondit sur une chaise puis sur le bureau. En prenant son élan, il finit par atteindre la poignée de la porte d’un troisième saut. La porte s’ouvrit. Il se glissa à l’extérieur.
La vie lui souriait, il venait de prendre ses responsabilités, il pouvait maintenant sortir ! Il se dirigea vers la forêt.
Sa vie serait enfin heureuse.
Le lendemain matin...
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Texte n°2
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L’histoire de Maxime le lapin en peluche !
Chapitre 1 : Le chagrin de vie.
Tout commença un beau samedi matin du mois de Warner, le soleil se leva sur la plaine de pictures. En ce beau matin, tout était si calme et si paisible qu’on avait envie de rester dans son terrier toute la matinée.
Ce fut impossible pour ce lapin nommé Maxime, une chose l’embêtait ce matin-là. Il était à plat sûrement la pile qu’il avait derrière son dos qui allait se décharger. Effectivement, il ne lui restait plus beaucoup de temps avant qu’il soit à plat, l’indicateur de pile indiquait qu’il restait un peu moins de deux heures avant que sa pile cesse de fonctionner. Maxime fût paniqué à l’idée de ne plus vivre dans ce monde merveilleux peuplé de tous les habitants imaginaires que l’on ne voit qu’à la télévision. Surtout que cette journée là tout était fermer, c’était le jour de la fête nationale, la fête de la ville de Bros. Une grande fête s’organisa dans la ville les habitants plus étrange les uns que les autres étaient joyeux et festifs à l’idée de cette fête. On voyait des trains voler dans les airs, des avions qui roulaient sur des rails, mais rien n’y fait notre lapin en peluche Maxime, n’avais pas l’esprit festif. Il décida alors d’aller voir tous ces voisin pour demander une pile de rechange pour pouvoir tenir jusqu’à lundi, jour où les boutiques serraient enfin ouvertes. Il pourrait alors acheter la pile dernière génération. La dernière pile qui était sortie avait une durée illimitée, elle se rechargeait pendant la nuit ce qui permettait de tenir un bon nombres années. On était samedi un jour exceptionnel, on appelait ça un jour férié. Maxime frappa à tous les terriers ainsi qu’à toutes les portes qu’il trouva sur son passage pour demander de l’aide, mais aucun des habitants ne lui venaient en aide en ce jour. À vrai dire, il avait une mauvaise réputation dans cette ville, pour des faits qui se sont passé plusieurs années auparavant. Il fallait bien s’en douter, c’était un crétin…
Maxime rentré très désespérer vers son terrier, tête baissée, ne retrouva même plus son chemin tellement qu’il était crétin. Il avait pourtant un outil indispensable pour retrouver son chemin, un SPG que ses parents lui avaient offert pour ses 19 ans. Le SPG permet de se retrouver quand on est perdu, mais il ne savait pas comment ça marchait puisque c’était la première fois qu’il s’en servait. Maxime aperçu alors une soucoupe volante dans la rue abandonnée. Il décida de s’en servir pour rentrer plus vite chez lui. Mais par où aller se demanda-t-il ? Il réussi à activer son SPG qui voulait dire ‘’Suis Pas Garantie’’. Mais ça, il ne comprenait absolument pas ce que ça voulait dire. Alors il mit le SPG sur le tableau de la soucoupe puis la démarra. Le SPG devait lui dire quelle route prendre, mais au lieu de ça il ne prenait, il le faisait tourner sur lui-même. Quand le SPG disait tourner à droite, Maxime tournait sur lui-même vers la droite comme un vrai crétin ! Jusqu’au moment où le SPG lui dit de faire demi-tour. Maxime était face à la route, mais c’était trop tard, il fonça droit vers une immense falaise. Il paniqua, il ne savait pas quoi faire. Il tenta d’appuyer sur tous les boutons possibles et en trouva un qui donnait du miel à volonté. Il se demanda pourquoi du miel. Un peu après, la soucoupe se mit à trembler, puis se propulsa dans les airs. Notre lapin était peut être crétin, mais grâce à son courage à taper sur tous les boutons, il avait appuyé sur celui qui permettait de voler. Il avait toujours un problème de taille, il se dirigeait droit vers une immense montagne. De plus en plus paniqué, il tapa sur un autre bouton qui eu pour effet de diriger la soucoupe automatiquement vers la position de départ c’est-à-dire là où il avait trouvé le véhicule.
Chapitre 2 : La rencontre inattendue.
De retour de ce petit voyage, revenu à son point de départ, notre ami Maxime, malade de cette petite ballade, sorti de la soucoupe volante. Une personne se trouvait devant lui, mais sans savoir, il vomit sur ses pieds. Soudain, il senti que ça allait mal aller pour lui. Il releva la tête et vît une jeune et jolie oursonne en peluche qui lui donna une claque si forte qu’il s’envola jusqu’à son terrier. En fait, son terrier se trouvait juste à côté de la où il avait prit la soucoupe. Il décida d’aller s’excuser au près de la jeune oursonne en peluche qui s’appelait Manon. Le dialogue entre eux deux commença alors ! Maxime s’approcha de cette jeune oursonne puis lui dit.
-Euh. Bonjour jeune fille. Moi c’est Maxime et toi… ?
Manon se tourna vers lui puis avança rapidement dans sa direction. Elle était toute brune avec plein de miel sur ses doigts ainsi que sur sa bouche. C’était donc la soucoupe de cette jeune fille, se dit-il, ravi. Il avait bien raison puisque Manon lui cria dessus.
-Pourquoi avez-vous prit ma soucoupe ? Vous êtes un crétin!
Maxime répondit tout simplement :
-Oui tout à fait, un lapin crétin qui va mourir s’il ne trouve pas une nouvelle pile dans moins d’une heure à présent.
Manon, choquée par ce qu’il venait de dire, se tourna vers sa soucoupe, puis se dirigea vers l’arrière de celle-ci. Elle retira quelque chose de son « car place », endroit situé à l’arrière de la voiture et qui permet de ranger pleins de choses. Maxime encore sous le choc de la claque ne vit rien venir. Voyant Manon retirer une chose dans son coffre, il se demanda ce qu’elle fabriquait. Curieux, il décida de la rejoindre. Il vit plein de pile dans le « car place » de cette jeune oursonne. Alors, pleins de questions lui vinrent en tête. Au moment même où il voulu poser la première question, Manon, lui changea la pile qu’il avait dans son dos. Elle lui mit la pile dernière génération, celle qui permettait de se recharger pendant la nuit qui permettait de tenir un bon nombre année.
-Mais, mais d’où vienne toutes ces piles ? Puis, pourquoi m’en donnez-vous une ?
Manon répondit simplement :
-Merci !
-Pourquoi merci ? Demanda Maxime.
-Tout simplement, car je n’arrivais pas à trouver le bouton du miel sur ma soucoupe répondit Manon. Grâce à vous je vais pourvoir me nourrir pendant que je conduis, puis je dirige la boutique de pile dans le centre-ville.
-Mais, j’ai appuyé sur tous les boutons, donc je n’ai pas vraiment fait exprès, puis je vous est vomi dessus, je ne mérite pas ça.
-Bien sûr que si répondit Manon, vous êtes peut-être crétin, mais vous êtes mignon, ça serrait dommage de vous perdre.
Maxime, retrouva soudainement le sourire, c’était la première personne qui lui faisait un compliment. Il décida alors de l’inviter à la fête de ce soir qui aurait lieu au centre-ville. Mais comment l’inviter étant trop timide !
Chapitre 3 : La fête de la ville Bros !
Le soir approchait sur la pleine de pictures Bros. Les deux compagnons avaient passés toute l’après-midi à discuter de tout et surtout de n’importe quoi. Ils se racontaient leur vie chacun leur tour, puis ils se trouvèrent rapidement des points en commun. Tous les deux aimaient le sport de combats, en particulier le Karaté. La première lettre de leur prénom commençait par un « M », comme par hasard. Il ne pouvait pas laisser passer cette fête sans être accompagné. Il fallait qu’il lui demande de venir à la fête ensemble, mais il était trop timide. Manon le voyait sur son visage, puis soudain Manon dit à Maxime.
-Oui je veux bien venir avec toi.
Sans rien dire Maxime était le plus heureux, car il allait passer sa première soirée accompagnée depuis 19 ans ! Mais surtout il se demanda comment elle avait deviné, peu importe, il allait avoir une soirée avec cette jeune oursonne. La fête vient juste de commencer, dit-elle à Maxime, allons-y ! Elle prit la patte de notre lapin, puis se dirigea vers le centre-ville.
Patte dans la patte, ils se dirigèrent vers la fête, à pied pour passer le plus de temps ensemble c’était bien sur une idée de notre lapin crétin ! Qui n’était pas si crétin sur ce coup! À la sortie de la ville, sur la plaine, on entend déjà le bruit, la foule, les cris de joie fussent de partout. Les deux compagnons étaient alors en pleine nuit ne voyant que la grande fête avec pleins de lumières éparpillées au loin. Il n’était plus très loin quand soudain ils virent un lapin crétin déguisé en ours avec une arme. On aurait dit Manon et Maxime, mais en une seule personne. Les deux compagnons décidèrent de l’éviter, mais cette étrange personne les suivit. Alors. une course pour lui échapper commença !
Nos deux compagnons, se dirigèrent sur un chemin inconnu, prenant toutes les rues possibles pour lui échapper au plus vite. Rien n’y faisait, il était toujours en train de les suivre ! Maxime se retourna alors vers lui et pour protéger Manon du danger il la poussa derrière lui. En cette pleine nuit de samedi, dans une ruelle abandonnée personne ne pouvais venir les aider. Notre ami lapin s’avança vers le fou qui les suivait partout. Il ne l’avait pas reconnu au début, mais plus il s’approchait vers lui plus il commençait à reconnaitre son vieil ennemis qui était dans sa classe dans le passé. Ce lapin en peau d’ours se nommait Alexis !
Alexis était un crétin pire que notre ami maxime, c’était le plus crétin de la classe. Ils se détestaient, car il ne faisait qu’embêter toute la classe. Maxime dit alors à Manon de partir le plus loin possible pour qu’elle soit en sécurité, mais Manon voulait rester auprès de lui. Maxime se retourna pour insister sur le fait qu’elle devait partir au plus vite pour qu’elle ne soit pas blesser !
Alexis en profita alors pour tirer une décharge électrique sur notre ami Maxime. Il tomba au sol, Manon s’enfuit en direction du centre-ville, abandonnant raid sur le sol Maxime à son plus grand regret ! Maxime avais juste perdu beaucoup d’énergie et ne pouvant plus rien faire il attendit le retour de Manon. Alexis prit la direction du centre-ville là où Manon était partie pour trouver de l’aide.
Chapitre 4 : La fête est finie !
Manon avançait en direction de la fête qui avait lieu en centre-ville, elle avait en tête d’aller à sa boutique de pile pour en prendre une nouvelle pour notre ami Maxime qui avait subie une décharge électrique réduisant l’énergie de sa pile à zéro. Elle courrait le plus vite possible pour rejoindre sa boutique. Alexis était juste à quelque mètre derrière elle, prenant toutes les rues qu’elle prenait sans savoir où elle allait. Soudain, elle se retrouva vite en plein milieu d’un défilé qu’il y avait lieu en plein centre-ville, c’était le défilé de la fête de la ville de Bros. Alexis la perdit de vue pendant quelques secondes à cause de tout ce monde, ce qui permit à notre chère Manon de se diriger vers sa boutique. Elle reconnut la place où elle était et elle su qu’elle n’était plus très loin. Pendant ce temps, notre petit lapin toujours étendu sur le sol essayait d’appeler de l’aide, mais personne ne l’entendait avec le bruit provenant de la fête, c’était peine perdu ! Il s’écroula au sol pour ne pas utiliser trop vite ses dernières minutes de vie.
À ce moment là, Manon entra dans sa boutique, puis referma la porte derrière elle. Elle chercha pendant plusieurs minutes dans la dernière livraison la toute dernière pile reçue, quand soudain, elle entendit un fracas horrible. C’était Alexis qui avait défoncé la porte. Une alarme se déclencha ! Puis des litres de miel se déversèrent alors sur lui. Manon avait installé cette alarme pour qu’on ne puisse pas voler dans sa boutique, ainsi Alexis était piégé par le miel. L’alarme fonctionnait très bien. Elle remarqua la vitrine où était exposée la toute dernière pile qu’elle avait mise le matin même et qu’elle avait oublié avec toute cette histoire. Elle prit la pile laissant ce fou collé au sol par des litres de miel.
Manon se dépêcha de rejoindre le lieu où Maxime était étendu au sol. C’était le plus long trajet quelle avais fait en courant... Elle vit Maxime complètement HS, lui changea rapidement la pile pour la seconde fois en ce jour. Maxime se réveilla alors, il ouvrit les yeux tout doucement, puis vit Manon à ses côtés. Content de pouvoir continuer à vivre avec une nouvelle pile et tout heureux à l’idée que Manon lui ait sauvé la vie à deux reprises, il bredouilla ses quelques paroles :
-Comment pourrais-je te remercier ? Tu es la plus merveilleuse des oursonne en peluche !
-Seulement en me promettant que tu ferras attention à toi la prochaine fois. Il y a des gens qui tiennent à toi.
-Promis, mais je ne vois pas qui tient à moi.
-Manon répondit par : peut-être que celle qui tient à toi se trouve juste en face de toi.
Maxime tout ému serra fort dans ses bras Manon, puis ils s’en allèrent en direction de la fête où ils croisèrent Alexis qui pour lui la fête était finie. Il se trouvait maintenant dans un Casse ruche (maison avec plein de barreau autour). Il paraissait vraiment crétin avec tout ce miel sur lui surtout quand ont le mit dans la ruche.
-Bien fait pour lui dit Maxime, au fait Manon je voudrais te dire quelque chose.
-Ah ?
-Voilà je voudrais vraiment maintenant que tout est fini te dire que je tiens à toi. Puis j’aimerais t’inviter maintenant à cette fête.
-Oh ! T’es mignon !
Chapitre 5 : Une nuit de folie ?
Nos deux compagnons passeraient une nuit de folie à cette fête. Après avoir marché pendant plusieurs minutes en direction de celle-ci, ils y arrivèrent enfin tous les deux patte dans la patte. Ils prirent la direction de la grande roue qui se trouvait à l’opposer de là où ils se trouvaient, marchant le plus lentement possible tous les deux pour passer le plus de temps ensemble. Ils Passèrent devant le marchant de carotte, puis celui du miel jusqu’à même passer devant le marchant de pile, mais ça il n’en avait plus besoin maintenant qu’il avait trouvé son héroïne, Manon. Nos deux compagnons passèrent devant une grande tour, haute d’environ 50 fois la taille de notre lapin en peluche. Maxime décida alors de faire un cadeau à sa nouvelle amie, il se dirigea vers un marchand de soucoupe volante et avec les économies qu’il avait faites pour acheter des piles de rechange, il eut assez d’argent pour acheter la dernière soucoupe volante mise sur le marché. Celle-ci était bien plus grande et bien plus spacieuse que celle que possédait Manon. Il voulait lui offrir pour la remercier de lui avoir sauvé la vie deux fois dans la même journée. Cette soucoupe pouvait faire plus de choses comme aller sous terre et sous l’eau, c’était la nouvelle technologie au niveau des soucoupes. Manon ne savait pas trop comment remercier notre lapin crétin en peluche. Elle se rapprocha de Maxime, puis lui fit un petit bisou sur la joue. Maxime était étonné et surtout, il devint rouge comme la soucoupe qu’il venait justement d’acheter ! Après plusieurs minutes de marche, ils étaient enfin devant la grande roue et ils y montèrent. Toutes les attractions de la fête étaient gratuites et ils purent donc regarder le merveilleux paysage baigné par les deux lunes bien visibles du haut de la grande roue. Ils aperçurent la montagne que Maxime avait évitée de justesse. Maintenant tout ému de se retrouver en cette soirée avec sa nouvelle amie, il versa une larme. Après quelques tours la fête était finie. Ils se dirigèrent donc vers la soucoupe qu’ils venaient d’acheter, puis rentrèrent chez eux... Manon déposa notre ami Maxime devant son terrier puis lui fuit un signe de la patte et lui dit :
-A demain petit lapinou, Manon rentra alors à sa boutique qui lui servait aussi de logement.
La regardant partir maxime sortie quelques mots hésitants :
-À demain... Manon, je t’... en lui faisant un signe de la patte, versant une petite larme.
Elle était déjà bien loin avant qu’il puisse finir sa phrase.
À suivre…
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Texte n°3
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Bon, comme toujours, on va vous raconter une histoire, qui se commence bien, puis un méchant intervient et à la fin, tout ce finit bien ! (Ca ma saoul ces histoires comme ça ! Alors pourquoi je fais ça moi ? Répondez-moi, j’ai l’impression de parler seul et je ne suis pas fou ! (Moi !))
J-1 avant l’anniversaire du joli Lapinou. Chez lui, la fête ce prépare, alors que chez ces invités, c’est les cadeaux. Il a invité Teddy Bear l’ourson, son meilleur ami, un dauphin nommé Loleau et un loup, Louis.
H-4. Mousse la souris, apprenant que Lapinou fêtait son anniversaire sans lui, fut vraiment énervé. Il prit alors sa batte et partit…
H-1. Alors que Lapinou finissait de mettre la table, il entendit du bruit derrière la porte. Il se dit que les invités étaient déjà arrivés. Le lapin ouvrit la porte et vit Mousse. Mais, pas le temps de réagir, la souris l’assomma avec sa batte.
H-0. Les invités sonnèrent à la porte, mais personne n’ouvrit. Au bout de plusieurs minutes, ils se dirent qu’ils allaient rentrer par la fenêtre. Entré dans la maison, ils ne virent personne. Enfin, se dirigeant vers la porte, ils tombèrent sur la batte de Mousse. Ce que la souris avait oublié, c’est qu’il neigeait ce jour-là. Teddy partit à la recherche de Lapinou, en laissant Loleau et Louis dans sa maison, pour voir s’il ne revenait pas.
Chez Mousse, Lapinou, encore sonné, est enfermé dans une cage. Teddy, arrivé chez la souris, entra par la cheminée. Mais, malheureusement, elle était allumée, l’ourson se brula et rentra dans la maison en sautillant car sa brûlure lui faisait vraiment mal. Une fois dans le salon, il vit la cage où était enfermé Lapinou. Le lapin, se réveillant, l’aperçue. Mousse, qui préparait un mélange très étrange, fredonnait une chanson cruelle. Elle devait parler de Lapinou.
«Lève ton bras, lève ton bras, lève ton bras.
Je porte une hache, j’vais la mettre sur ta tête,
Sortez les fusils, on vient fêter un décès... »
La suite était complétement incompréhensible, surement à cause sa haine. Dans son liquide, il mit des carottes, du melon, des sushis, du jambon, des choux de Paris, une langue de crapaud, un crayon de papier, du scotch, 5l d’azote liquide.
Puis, il appuya sur un bouton rouge sur la cage. La geca, euh, la cage se souleva, le sol s’ouvrit, dans le sol, un bassin, rempli d’eau. Vu que Lapinou savait nager, Teddy se dit que tout allait bien se passer. Mais, la souris prit son liquide étrange, prit une paille, la trempa dedans et la paille devint violette avant de se dissoudre quelques secondes après. Mousse avança vers le bassin puis jeta son mélange dans l’eau. C’est alors que l’eau se souleva, puis, un monstre prit vie de cette eau.
Mousse partit, laissant le monstre et Lapinou seul, enfin, c’est ce qu’il pense puisque Teddy était là. Le monstre d’eau envoya le lapin dans le bassin qu’il avait remplis d’eau .Puis, il l’attacha, Lapinou, ne pouvant plus respirer, bougeait dans tous les sens pour se détacher. Le monstre se désintégra, l’ours détacha Lapinou et partit. Arrivé chez Lapinou, ils se rendirent compte que plus personne n’était là.
En effet, Mousse les avait kidnappés pendant que le monstre s’occupait de Lapinou, il avait en fait tout calculé. Lapinou et Teddy décidèrent alors de le poursuivre, ils partirent pour la montagne où se trouvait la maison de vacance de Mousse. Ils s’avancèrent dans la montagne pleine de neige mais le monstre du Loch Ness était là ! (Quoi ? C’est pour le lac celui-là ?) Alors le Yeti était là !
Alors que Lapinou et Teddy visitaient une grotte (On n’avait pas dit qu’ils devaient allez chercher leurs amis ?), ils tombèrent pieds à pieds face à l’abominable homme des glaces, euh des neiges. Une course poursuite commença alors entre les deux copains et le Yeti. Lapinou et Teddy coururent après le Yeti, enfin, l’inverse, il (quoi vous ne savez pas qui c’est ? « Il » n’a pas de « s », c’est donc le Yeti !) criait tellement fort qu’une avalanche tomba juste derrière le Yeti. Les peluches sautèrent d’une falaise à une autre, mais le Yeti, ne sachant pas sauter (il est trop lourd on va dire…) et allant trop vite tomba dans le précipice et mourut. (Non, il ne sait pas voler !)
Les 2 enfants arrivèrent devant la maison des trois ours. (N’importe quoi !) Ils rentrèrent dans la maison, la première soupe était parfaite, la deuxième aussi mais la troisième était mangé. Puis, ils voulurent s’asseoir, la première et la deuxième n’étaient ni trop hautes, ni trop basses. Quand ils montèrent à l’étage pour aller se reposer, ils virent une petite fille. Ces cheveux était dorés et elle était sublime. Les deux peluches entendirent un bruit venant de la porte d’entrée. Trois ours, un enfant, sa mère et son père montèrent à l’étage. Les enfants, sans perdre de temps, sortirent par la cheminée, laissant les trois ours et la petite fille seule. (Voilà la vraie histoire !)
Courant toujours, ils rencontrèrent une sorcière, leur demandant si ils voulaient manger une poire. Mais, n’ayant pas faim, ils refusèrent. La vieille (Quoi ?) entra dans une colère bleu (Ce n’est pas ça que l’on dit ?) et voulu leur faire manger la poire mais, Lapinou l’aveugla en lui mettant les deux doigts dans chaque œil. Puis, il lui fit avaler la poire. La sorcière commença à être toute verte et tomba en poussière juste après.
Ils arrivèrent enfin chez Mousse où la porte était à moitié ouverte. (C’est quoi ce propriétaire qui laisse la porte ouverte !) Ils entrèrent alors par la fenêtre (Mouais… Ça ne sert à rien !) et ils virent une centaine de ninjas. Les plumes allaient volées ! (Jusqu’à preuve du contraire, une peluche est remplie de plumes !)
CE PASSAGE ETANT D’UNE EXTRÊME VIOLENCE, LA SCENE QUI SUIT NE SERA PAS SANSURE.
Les ninjas répétaient leurs cries.
« Ahouga, gaouo, lililo, poucastu, mouahhh ! » (Non, ne chercher pas, cela ne veut rien dire !)
Les ninjas virent Lapinou et Teddy, ils foncèrent donc sur eux. En poussant un cri terrifiant (« aaaaa »), j’ai dit un cri terrifiant ! (« AAAAAAAH ») Et bah voilà ! Lapinou prit son fouet qu’il cache quelque part. (Je ne sais pas où, où alors je ne veux pas vous le dire…) Il recula alors d’un pas, puis, s’élança dans les ninjas, il les fit tomber par terre un par un, jusqu’à tomber sur le boss. (Comme dans les jeux vidéo !) Il était grand, costaud et son regard pouvais vous tuer, alors surtout un petit conseil (juste un petit), ne le regarder jamais dans les yeux.
Teddy prit un couteau posé sur une table et s’élança sur le boss et lui coupa une phalange. Le méchant ne sentit rien, il poussa juste un petit cri. Lapinou, avec son fouet, lui attrapa le bras en enroulant son arme autour. Il tira, il mit toute sa force et il le fit tomber. Teddy lui enfonça son couteau dans les deux yeux. Le boss poussa un cri horrible. Mais il n’était qu’aveugler, au toucher, il prit Lapinou et le jeta contre le mur. Lapinou plumais (Plumer : verbe signifiant saigner des plumes.) et le boss, mourut de ses blessures. Teddy courut vers Lapinou pour voir si il allait bien, Lapinou se releva avec quelques égratignures mais sans rien de cassé.
Ils avancèrent, jusqu’à tomber sur (Nous nous permettons de faire une courte pub, merci de lire tout ! J’ai dit tout !)
Pour des os solides, je prends germonimaud, le clown trop rigolo !
Envoyer BISOUS, au 14163, pour savoir si elle pense toujours à vous... BISOUS, au 14163, BISOUS, au 14164 ! (C’est 163 ? Alors nous avons changé !) Coût d’un sms : 50 euros par secondes.
« Nous revoilà dans l’histoire ! (Je suis obligé de dire tout ça, et puis, arrêtez de pointé se revolver sur moi, il me gratte !) »
Voilà ce qu’il se passait juste avant la pause. Lapinou se relevant et Teddy s’avançaient jusqu’à tomber sur… Mousse. Il était habillé d’un pantalon noir et d’un sweat noir. (En noir quoi !) Il avait une scie dans une main. Loleau et Louis étaient attachés contre un poteau, les yeux bandés. Mousse vu Lapinou et Teddy. Il fonça donc sur eux et les fit tomber. Lapinou pleurait, alors que Teddy se releva tout de suite. Mousse recula d’un pas, puis, Teddy le poussa. Il passa à travers la fenêtre. Il fut emporté dans la descente de la montagne. Quand il arriva en bas, il remonta chez lui rapidement. Juste le temps pour Lapinou et Teddy de détacher leurs deux amis. Mousse attrapa Lapinou par derrière et le traina jusqu’à une cage puis il l’enferma dedans. Teddy tua Mousse d’un coup de couteau porté dans le ventre, alors qu’il se retournait. C’est alors qu’une ombre (sombre si cela vous intéresse), portant une cape, se libéra et monta au ciel. Loleau alla libérer Lapinou. Les quatre peluches dansèrent de joie et chantèrent.
Sur le chemin du retour, ils rencontrèrent un cygne, ou peut-être un canard, je ne sais pas, sept nains trainant une fille, quelqu’un qui était jeune faisait du skate bord suivie d’un gros chauve, une couronne sucrée dans la main, une bière dans l’autre. Il s’écria « Pinaise ! » puis « D’Oh ! ». Arrivé chez Lapinou, ils mangèrent le gâteau en chocolat et en nutella. Puis, ils chantèrent une chanson portant sur un jeu, mais ne chercher pas, il est nul ! Vous voulez savoir lequel c’est ? C’est grepolis ! Vraiment nul, surtout la communauté ! (/me se cache)
Vous voulez vraiment savoir les paroles, alors voilà !
J'suis pas ton Prince Charmant
Ouhouhou, Ouhouhou, Ouhouhouhou
x2
J'suis pas ton Prince Charmant
J'veux juste t’attaquer un bon moment, j'suis désolé mais je n'suis pas vraiment proches des sentiments.
J'suis pas ton Prince Charmant
J'suis bien meilleur en tant qu'attaquant car si tu crois en la milice je serais ton médicament
J'suis pas du genre nettoyé,
j'passe mon temps à t’attaquer,
tu passeras pour mon frigo, là au moins t'es fixée.
Jt'aidr'ais pas à évoluer, au mieux j’raterais des attaques, c'est pas gagné pour m'décoller du « attaqué ».
T'aim'rais que je sois un gros looser,
qu'à la Saint Valentin je t'offre des fleurs, qu'pour une fois j’en pleur, mais j'frais rien d'tout ç’est toi le looser.
J'suis pas ton Prince Charmant
Ouhouhou, Ouhouhou, Ouhouhouhou
x2
J'suis pas ton Prince Charmant
J'veux juste t’attaquer un bon moment, j'suis désolé mais je n'suis pas vraiment proches des sentiments.
J'suis pas ton Prince Charmant
J'suis bien meilleur en tant qu'attaquant car si tu crois en la milice je serais ton médicament
T'aim'rais qu’choix dans ton alliance, qu'avec tes amis j'sois marrant, que j'sois sensible et élégant mais pas romantique évidemment, que j'fasse tout pour te satisfaire, que joue pas juste pour te plaire, qu'joublie de t’attaquer mais j'suis radin j'peux rien y faire.
T'aim'rais qu'j'te dise
"j’arrête" et cela pour la vie, que j'écoute tes problèmes mais je n'suis pas ton psy', que chaque jour j'te soutienne, que je combatte tes ennemies.
J'suis pas prêt ça j’crois qu't'as pas compris.
J'suis pas ton Prince Charmant
Ouhouhou, Ouhouhou, Ouhouhouhou
x2
J'suis pas ton Prince Charmant
J'veux juste t’attaquer un bon moment, j'suis désolé mais je n'suis pas vraiment proches des sentiments.
J'suis pas ton Prince Charmant
J'suis bien meilleur en tant qu'attaquant car si tu crois en la milice je serais ton médicament
Pas d'dîner(ça c'est sûr)
Ni d'friandises(ça c'est sûr)
Pas défense(ça c'est sûr)
Mais en attaque j'assure.
Des d'ménage(ça c'est sûr)
Des balayage(ça c'est sûr)
Pas d'marage(ça c'est sûr)
Parc’qu’après tu crois q'j'assure.
J'suis pas ton Prince Charmant
Ouhouhou, Ouhouhou, Ouhouhouhou
x2
J'suis pas ton Prince Charmant
J'veux juste t’attaquer un bon moment, j'suis désolé mais je n'suis pas vraiment proches des sentiments.
J'suis pas ton Prince Charmant
J'suis bien meilleur en tant qu'attaquant car si tu crois en la milice je serais ton médicament.
Et voilà, c’est la fin, même pour les quatre qui vont se faire écraser par un météorite !
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Texte n°4
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La pluie venait tout juste de cesser, laissant apparaître le jardin, baigné par la lumière de la lune qui illuminait les gouttes restantes… Henry, lui, pleurait toujours. Il avait beau être très mature et très courageux du haut de ses huit ans, perdre son père l’avait totalement anéanti. Cela avait eu lieu bien trop tôt pour lui, il n’était pas encore prêt pour faire face à la mort d’un des membres de sa famille. Sa mère avait beau être constamment auprès de lui pour tenter de le consoler, rien n’y faisais, il ne pouvait se résoudre à quitter cette fenêtre où, plus tôt dans la journée, il avait vu son père rendre son dernier soupir. Heureusement pour lui, il n’avait vu ni l’agresseur, ni la scène, mais il savait que cette image resterait gravée en lui à jamais. Il ne bougea pas de la soirée, il ne voulait pas quitter cette fenêtre, il pensait que la quitter serait comme dire adieux à son père, il n’avait pas encore compris qu’il était déjà trop tard pour cela… Lorsque minuit vint, sa mère compris finalement que jamais il ne partirait de lui-même. Elle le prit alors dans ses bras, comme pour lui montrer qu’elle serait toujours là pour lui, et qu’elle le protégerait jusqu’à la nuit des temps, puis l’amena tendrement jusqu’à sa chambre, où elle le borda avant de partir aussi vite que possible, car elle ne pouvait plus retenir ses propres larmes.
Henry n’arrivait pas à s’endormir, il se sentait perdu, abandonné. Il avait beau se tourner et se retourner sans cesse, il n’y avait rien autour de lui pour combler ce vide formé dans son cœur, rien, à part ce lapin en peluche, ce lapin en peluche que Henry détestait tellement, parce qu’il lui rappelait à quel point il était encore jeune. Mais là, il ne peut résister à l’envie de le saisir et de l’enlacer, il en avait vraiment besoin, comme un ultime appel à l’aide.
-Je n’ai plus que toi maintenant Titou, tu es le seul qui me soit toujours resté fidèle, murmura-t’il à son lapin en peluche, avant de s’assoupir.
Quelques minutes plus tard, une autre voix si fit entendre dans cette pièce où tout semblait dormir paisiblement.
-Enfin, enfin je suis de retour, s’extasia la voix. Après presque un an à vivre comme un damné, je suis enfin de retour ! Qui aurait pu croire que la mort de son père m’aurait ramené ? J’aurai tellement souhaité que cela se passe différemment, mais en sachant que cela aurait pu être pire, je suis quand même un peu soulagé.
En effet, c’était ce petit lapin en peluche que tenait Henry qui venait de rompre le silence de la nuit. Ce dernier se glissa lentement pour sortir de l’étreinte du petit garçon tout en étant sûr de ne pas le réveiller, puis avança vers la cuisine
-Quand j’y repense, tout cela est arrivé bien trop tard, j’ai trop de choses à vérifier, trop de travail à faire pour une seule nuit… soupira Titou.
Arrivé à la cuisine, le lapin en peluche s’empressa de sautiller jusqu'à la déchiqueteuse, qui ne semblait pas avoir été utilisée depuis plusieurs mois. Il l’activa, puis sauta sur l’hélice, laissant de petits morceaux de coton. C’était le prix à payer, il le savait, cela faisait parti du contrat.
Titou arriva ainsi dans une pièce sombre où une odeur nauséabonde régné. Il s’empressa d’aller allumer un ventilateur
-Faudra vraiment que je pense à installer un système de ventilation ici…Espérons que cela fasse quand même l’affaire, grogna-t’il.
Il alla ensuite allumer. C’est alors qu’une immense salle apparu, jonché de jouer pour enfants, et, au milieu de celle-ci, un gigantesque ordinateur, composé de trois écrans et de trois claviers.
- Aller vite, au travail, je n’ai pas de temps à perdre, s’exclama Titou en fonçant vers l’ordi.
Dès que Titou s’assit sur le siège, l’ordinateur s’alluma de lui-même, jusqu’à ce qu’il se fixa sur un écran bleu
-Agent T, cria Titou vers l’écran.
-Ravi de vous revoir agent T, répondit l’écran d’une voix féminine. Cela faisait longtemps que vous ne m’aviez pas réveillé.
-Cela faisait longtemps que l’on ne m’avait pas réveillé non plus, répliqua-t’il. Mais ce n’est pas le moment de parler de ça, il y a plus urgent. Fais moi un rapport rapide de la situation je te prie Clothide.
-Bien sûr agent T. Votre fidèle ennemi sème la zizanie dans la ville depuis que vous êtes inactif, comme vous pouvez vous en douter.
-Evidement que je m’en doute, quelle est l’ampleur des dégâts ?
-Pour le moment, une dizaine de personne sont disparues, mais beaucoup d’autres s’en sont sorties de peu.
-As-tu réussi à localiser sa dernière activité ? Ou bien est-il chez lui ?
-Je l’ai repéré en effet…
-Heureusement qu’il n’a toujours pas réussi à repérer l’émetteur que je lui ai mis la dernière fois
-Je vous envoie les informations directement ?
-Oui je te prie, comme ça je peux directement aller le retrouver.
A peine eu Titou quitter le siège, l’écran s’éteignit. Il ressorti de sa cachette par le mixeur, qui cette fois, éteint, le propulsa vers le haut dès qu’il arriva en dessous. A cette instant, il su où il devait aller
-Ces passations de données via la mémoire sont vraiment très bien trouvées, murmura Titou.
Il fila donc vers l’usine abandonné qui se située à deux virages de son domicile. Il était chanceux, se disait-il, de nuit il pouvait se déplacer tranquillement dans la ville sans risquer d’être surpris par qui que ce soit. Il ne pouvait sortir comme ça le jour, il n’osait s’imaginait ce qui se passerai si des passants voyait un lapin en peluche gambader comme si de rien était. Cela provoquerait surement la ruine de l’organisation.
Une fois arrivée, Titou inspecta l’usine de fond en comble, à la recherche d’un signe de vie, la preuve que son ennemi était ici. Cependant, il ne trouva rien du tout, l’endroit était totalement désert.
-Il a déjà du filer, murmura-t’il en sortant de l’usine, il me faut pourtant absolument l’arrêter aujourd’hui.
C’est à cet instant qu’une cage tomba sur Titou, l’emprisonnant, l’empêchant de faire le moindre mouvement
-Tu es enfin là, rugit une voix dans l’obscurité, depuis le temps que je t’attendais. On peut dire que tu sais te faire attendre toi.
-J’espère que tu as bien profité de ces vacances très cher, car c’est ici que tout se termine, répliqua Titou.
-Et comment comptes-tu te délivrer ? Interrogea la voix. Car de ce que je peux voir, il me semble que tu ne peux pas bouger.
-C’est la preuve que j’ai réussi ma manœuvre.
-De quoi veux-tu parler ? Car, à moins que ton but soit d’être mon esclave à jamais, je ne pense pas que tu aies réussi quoi que ce soit.
-Les apparences sont parfois trompeuses.
A ce moment là, Titou disparu.
-Quoi ? Un hologramme ? S’étonna la voix.
-Oui exactement, je me doutais que Clothide n’était plus dans notre camp depuis bien longtemps… Montre toi maintenant, cela ne sert plus à rien de te cacher.
A ce moment, un ours en peluche sortie de l’ombre.
-Je n’aurai jamais pensé que tu puisses démasquer Clothide, repris l’ours.
-Je n’aurai jamais pensé que tu puisses un jour être mon adversaire non plus Winnie… Toi qui étais une référence pour la jeunesse, je ne comprendrai jamais comment tu as pu tous les abandonner… Et je ne parle même pas de ce que tu as fait à Tigrou. Nous qui étions frère d’arme, tu as fini par me trahir…
-Tu ne pourras jamais comprendre Titou, il y a tellement d’avantages à faire ce que je fais ahahaha
-Je ne vois pas l’utilité d’enlever des gens, tu ne sèmes que la peine chez ceux que tu rendais joyeux auparavant, et je te ferai payer pour cela !
-C’est là que l’on voit que tu ne connais rien, le pouvoir qu’offres ces personnes et inépuisable !
-Je ne comprends pas ce que tu veux dire, toutes ces personnes sont mortes, Henry a vu mourir son père dans le jardin !
-Tu oublies un détail.
-Lequel ?
-Clothide, qui est capable de manipuler l’esprit de n’importe qui.
-Tu me dégoutes.
-Il me tarde de voir si ton goût me dégoutera aussi.
Winnie s’avança vers Titou, prêt à le dévorer. Il bavait en pensant à ce futur repas qui représentera sa victoire.
-Heureusement que j’ai pris l’arme essentielle contre toi avant de venir… Sinon je ne donnais pas cher de ma peau, grommela Titou.
-De quoi parles-tu ? Je n’ai pas de point faible, ricana Winnie. Mon propre, la folie te guète
-Ah oui ? Et même pas… Ca ? cria Titou en envoyant du miel à Winnie.
-Naaaaan, comment as-tu pu prendre ceci avec toi ? Monstre ! Tu sais que je ne peux m’empêcher de manger tout le miel que je vois !
Winnie se jeta alors sur le miel, et, pendant ce temps, Titou en profita pour le mettre dans la cage qui l’avait bloqué auparavant.
-Je vais t’empêcher de nuire à jamais, pour que plus personne ne souffre à cause de toi, s’exclama Titou. J’ai été ravi de t’avoir comme collègue…
-Tu ne feras jamais croire cela, toi, agent T, me fera disparaitre ? Tu penses vraiment que je vais te croire ?
-Moi ? Te faire disparaitre ? Non je n’ai jamais dit ça enfin, je n’ai que seulement parlé de t’empêcher de nuire.
-Et comment comptes faire cela sans me tuer ?
-Tout simple, je sais d’où te tiens ton pouvoir. Nous avons tous les deux le besoin d’être aimé par quelqu’un pour vivre.
-Et tu comptes faire en sorte que des milliers d’enfant à travers le monde me détestent ? Tu as de l’espoir dis moi.
-Il y a un moyen tout simple à cela, qui est de leur faire oublier qui tu es.
-Sauf que seule Clothide peut le faire, et elle est dans mon camp je te rappelle.
-C’est là que tu te trompes, Clothide est un agent double depuis le début.
-Je ne te crois pas, prouve moi cela !
-C’est tout simple, d’ici cinq minutes, tu redeviendras une peluche inoffensive.
Et, en effet, quelques minutes plus tard, Winnie s’arrêta de grommeler dans sa cage, tout était fini… Titou, content d’avoir effectuer sa mission, rentra chez lui, tout en regrettant cet ami avec qui il avait fait tant de missions.
[Quelques jours plus tard]
-Le calme semble être revenu sur notre tendre ville, s’exclamait le présentateur à travers la télévision. Tous nos disparus ont refait surface, plus ou moins fatigués en fonction de la durée de leur disparition, et plus aucune agression n’est à déplorer……
Henry était dans le jardin, avec son père. Il avait retrouvé le sourire, il n’avait même jamais été aussi heureux.
-Dis-moi Papa, que c’est-il passé pendant que tu as été enlevé ? Interrogea Henry.
-Je n’en ai malheureusement aucune idée, tout ce que je me rappelle c’est de m’être réveillé devant le portail au petit matin, répondis son père. Mais ce n’est pas si important, le plus important c’est que je ne te quitterai plus jamais mon garçon, je te le promets.
-Merci papa ! s’exclama Henry en lui sautant dans les bras.
Titou, quant à lui, était resté sur le lit d’Henry. Il avait accompli ce qu’il devait accomplir, tout était fini, pour son ennemi, mais également pour lui, car il se doutait que tout reviendrai comme avant et qu’Henry ne ferait plus attention à lui. Cela ne lui importait pas beaucoup, il savait qu’il n’avait plus rien à faire. Du moins, jusqu'à son prochain réveil.
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Texte n°5
[SPR]
Londres, 1886.
Un fin crachin tombait sur la ville, humidifiant l'air et la scène de crime, rendant l'atmosphère encore plus lugubre. A cette heure, le soleil pointait à peine son nez au dessus des immeubles.
L'inspecteur Sherlap Holmpinou accompagné de son fidèle ami le Docteur Bear, venaient d'arriver sur la scène de crime. Ils avaient été mis au parfum par les agents déjà sur place donc ils furent peu surpris de la violence de ce qu'ils avaient sous les yeux. Un ours était étendu sous leurs yeux sur les pavés humides, éventré, la mousse souillée sortant de son corps en flocons morbides. Le Docteur Bear devins tout blanc et il fit un effort visible pour se retenir de rendre son petit déjeuner.
Il regarda l'inspecteur Sherlap Holmpinou tourner autour du cadavre avec professionnalisme. Examiner la scène sous tous les angles avec son regard scrutateur habituel, remarquant des détails invisibles à un œil humain lambda et les enregistrant dans son cerveau surdéveloppé et les mettant dans un coin jusqu'à ce qu'elles lui soient utiles. Ses grandes oreilles bougeant délicatement comme à chaque fois qu'il était dans une phase de réflexion intense. Puis il fit un tour des agents sur place pour recueillir les informations sur ce que les riverains ou les éventuels témoins avaient vus.
Puis l'inspecteur se retourna vers lui visiblement déçu (à en croire ses oreilles basses et sa moue dépitée).
- ''Alors qu'est-ce qu'ils ont trouvés ? Demanda le docteur Bear.
- Rien d'exploitable malheureusement, il semblerais que les seules personnes dans le coin à cette heure-ci soient des putains lapines et nous n'en tirerons rien.'' Répondit amèrement l'inspecteur Sherlap Holmpinou. La décadence de certains membres de son espèce révulsait de tout évidence Sherlap.
- ''C'est tout de même le troisième crime de ce genre et suivant le même mode opératoire en trois jours, il remettra sans doute ça ce soir. Mon cher Docteur Bear que diriez-vous d'une petite expédition nocturne ?''
Les yeux de Holmpinou s'allumèrent de cette lueur propre à lui seul et qui annonçait de folles turpitudes et un Bear couché très tard.
Une fois de retour dans leur quartier général, les deux compères réunis autour d'une tasse de thé British convinrent d'un plan d'action.
- ''On doit à tout pris coincer cet éventreur, la presse s'est déjà assez emparée de l'affaire !'' Dit Sherlap.
Il jeta sur la table basse un des journaux du matin dont la une clamait : ''Jack l'éventreur sévit encore dans la ville, l'inspecteur Sherlap Holmpinou est sur l'affaire''. Puis il se leva brutalement et se mis à faire rageusement les cents pas dans la pièce, tournant et retournant dans sa tête toutes les possibilités de pouvoir attraper Jack.
- ''On dirait qu'il se moque ouvertement de moi ! Il me défie je le sens... Il nous FAUT le coincer au plus vite !
- Nous n'avons qu'à lui tendre un piège ce soir ?
- Mon cher Teddy bien sûr que nous allons lui tendre un piège, un piège dont il ne pourra pas s'échapper. Voilà ce à quoi j'avais pensé...''
***
Londres était de nouveau plongée dans le noir, le crachin s'était arrêté en fin de matin permettant au Docteur Bear de pouvoir sortir sans avoir à porte un manteau imperméable qui à coup sûr l'aurai ralenti et aurai exaspéré Sherlap plus qu'autre chose.
Cela faisait maintenant deux heures qu'ils attendaient dans le noir, en planque et toujours aucun mouvement suspect mis à part le va et viens des putains et de leurs clients. Sherlap paraissait convaincu de pouvoir reconnaître grâce à ses exceptionnelles facultés mentales Jack parmi les autres clients.
Soudain un cri de femme retenti dans la nuit, les deux compères se précipitèrent vers la source du cri et découvrirent une ourse, étendue sur le sol éventrée comme les autres. Sherlap se précipita à côté d'elle et lui ouvrit la main il trouva un bout d'étoffe noire, comme un bout de manteau. Le Docteur Bear était lui en train de demander aux lapines autour d'eux si elles avaient vu quelque chose. Toutes lui répondirent qu'elles n'avaient rien vu et s'empressèrent de s'en aller.
Bear se retourna vers Holmpinou et croisant son regard y vit une lueur de rage mêlée d'espoir. Sherlap se releva lentement, tenant dans sa main le bout de tissu et dit :
- ''Tu commence à commettre des erreurs Jack, je t'aurais très bientôt...''
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Code de notation :
Bonne chance à chacun !
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