DeletedUser43193
Guest
Hello tout le monde!
Alors côtoyant des gens qui ont déjà écrit des RP ou des histoires, je me suis intéresser à la rédaction, et j'ai voulu me tâter avec cette Introduction à un éventuel RP .
Bonne lecture!
[SPR]Allongé dans son lit confortable, le vieil homme est serein, reposé, dans son palais rien ne peut l'atteindre...
Mais il n'en fut pas toujours comme cela, et voilà, sa le reprend, cette douce mélancolie de ses vertes années …
Sa vie n'a pourtant pas été facile, à ses 17 ans, soit un an avant la majorité dans les Plaines Rouges, son village avait été victime d'une razzia , les pillards étaient des soldats déserteurs de l'armée de la «*Reine folle*» Uclézya , notre ancienne reine …
Sa mère fut tuer sous ses yeux lors de ce raid et son père se sacrifia par la suite, pour lui permettre de s'enfuir …
Il erra ensuite, hagard, pendant tout une lune, ne se nourrissant presque pas, et marchant jusqu'à l'épuisement, tout les jours, aussi un matin il n'eut même pas la force de se lever …
C'est dans cet état que le trouvèrent une bande de brigand, qui écumaient cette forêt.
Ils hésitèrent longuement puis le ramenèrent finalement dans leur campement.
Il oscilla entre la vie et la mort pendant 4 jours, mais les soins qu'il reçut le remirent finalement sur pied.
Ce n'est pas pour autant qu'il était guéri … il ne bougeait toujours pas et regardait fixement le plafond de la tente.
Le vieux sage du campement, qui l'avait soigné, confia au chef des bandits, qu'il avait parfaitement soigner son corps, mais qu'il lui serait difficile de soigner son âme , à ceci, le chef lui ordonna tout de même d'essayer.
Il alla alors chercher des herbes qu'il gardait secrètement, en absorba certaines, et il sentit son esprit s'envoler … il flotta jusqu'à Tseufos, qui, toujours, regardait le plafond de la tente, il le toucha, et d'un coup, il fut prit dans l'océan de détresse qu'était l'esprit du jeune homme, il fut au courant de tout ce qu'il avait vu, entendu, et pensé, à ce premier contacte, Tseufos tressaillit.
Toute la nuit durant il consola le jeune homme, et finalement, au matin, sentant le pouvoir de ses plantes s'épuiser, le vieux sage passa à la vitesse supérieure, et lui dit d'une voix puissante*:
«*Fait en sorte que ton père ne se soit pas sacrifier pour rien, et VIS*!*»
Il mit tellement d'autorité dans ce dernier mot, que Tseufos fut obliger d'obéir, il s’assit brusquement et se mit a pleurer, et à pleurer encore, et ses sanglots déchirant l'apaisèrent.
Le lendemain, Sarven, le vieux sage, alla le voir physiquement dans sa tente, Tseufos le vit arriver, il se leva, s'habilla, et le suivit.
Sarven le mena jusqu'au chef du campement, qui lui dit*:
«*Je suis Détor, chef des Bandits Joyeux, et dorénavant, tu est des nôtres*!*»
Une année durant, Tseufos resta parmi eux, il apprit le rudiment du maniement des armes, mais avec un type d'arme bien précis il se sentit a l'aise, celle de l'épée longue.
Il appris aussi, à pister et chasser, mais au fond de lui, cette vie ne lui convenait pas, il ne voulait pas devenir ce qui ressemblait le plus aux pillards qui avait réduit sa vie a néant un an plus tôt …
Aussi un beau matin, il alla voir Détor et lui dit qu'il lui serait à jamais redevable, mais qu'il devait partir, pour savoir qui avait assassiné ses parents, pour essayer de se venger.
Détor sembla comprendre, car tout les bandits ont eut une histoire difficile, on ne naît pas bandit, on le devient …
Il lui offrit une épée, et lui donna des vivres pour 1 mois.
Tseufos, reconnaissant, fit ses adieux, puis partit, sans se retourner.
La solitude ne le dérangeais pas outre mesure, mais la présence rassurante de Sarven, elle, lui manquait …
Il avait décider de camper dans une clairière, de façon à pouvoir entendre et voir arriver les ennemis de loin, il l'avait fait par instinct, encore aujourd'hui il ne saurait comment expliquer ce sixième sens .
Mais cela lui fut fort utile, en effet, il entendit un bruissement dans les buissons environnants, il dégaina promptement son épée, puis alla se cacher derrière le tronc d'arbre couché, qui lui servait jusque-là de siège.
L'assaillant arriva calmement, pourquoi était-il si sur de lui*? Si confiant*?
Tseufos s’apprêtait a bondir, quand soudain, à la lueur des flammes, il vit le visage de l'intrus, c'était Sarven*!
Étonné, il se releva, rengaina son épée et lui demanda ce qu'il faisait là.
:«*Je ne pouvais pas te laisser partir seul, tu n'aurais pas survécu longtemps dans des contrées que tu ne connais pas, lui répondit ce dernier.
-*«Je suis parfaitement capable de me débrouiller seul Sarven.
Pendant une année tu m'a appris à chasser pour me nourrir et à me servir de cette épée, tu as même dit que j'étais ton meilleur élève*!
-Tu est mon meilleur élève,oui, mais cela n'empêche pas qu'un simple soldat pourrait te tuer sans transpirer*!
Et prenons l'exemple de ce soir, quand tu as entendu du bruit, tu n'a pas révéler ta présence, une bonne chose, mais tu t'est cacher a un endroit où le feu rendait visible ton ombre dans toute la clairière*!
Laisse moi un an pour t’entraîner, passer ce délai je te laisserais aux portes de la première ville que nous croiserons si tu le désire.*»
Tseufos fut en réalité soulagé par cette proposition, il avait prit l'excuse de la vengeance pour fuir le campement de Détor, mais au fond de lui il était terrifié à l'idée de devoir se débrouiller seul si tôt...
Il accepta donc la proposition de Sarven, et resta en réalité deux ans en sa compagnie.
Durant ces deux années, Sarven lui enseigna tout ce qu'il savait du maniement de l'épée au camouflage, en passant par le déplacement furtif …
Tseufos excella dans cette discipline, pourtant de forte carrure, il était capable de se déplacer à une vitesse qui impressionnait même Sarven*!
Chaque soir, son mentor observais un étrange rituel, il prenait un objet assez encombrant et emballé dans de l'étoffe avec lui, puis il s'isolait pendant une heure.
Il revenait ensuite, et rangeait l'objet dans son étui.
Il demanda cependant à Tseufos de ne jamais regarder de quoi il s'agissait, et comme il avait confiance en lui, jamais il ne lui vint l'envie de le faire.
Un matin, Tseufos commença a s'étirer, quand il remarqua que Sarven rangeait ses affaires, intrigué, il lui demanda si ils partaient quelque part, et Sarven lui répondit que oui, ils allaient à Hectanis, la grande cité portuaire des Plaines Rouges.
Arrivés aux portes, Tseufos , impatient , s'engouffra dans la ville, Sarven lui marcha plus calmement, Tseufos se demanda pourquoi il était si distant ces derniers temps, mais les détails de la ville accaparèrent bientôt ses pensées.
3 jours plus tard, Sarven lui apprit qu'il lui avait réserve une place sur la Vaillante, un bateau qui partait pour Iota.
Il l'emmena aux docks et lui donna un étui, les larmes aux yeux.
«*Voici Quel'Selar lui dit-il, c'est mon plus grand trésor mais je te la confie, tu en feras un bien meilleur usage que moi*!
Mais … commença à répondre Tseufos, mais le capitaine de la Vaillante hurla de se dépêcher d'embarquer, car la marée allait changer.
Sarven le fit donc embarquer , mais lui, resta sur les quais.
Tseufos, ayant compris mais refusant l'évidence, lui demanda ce qu'il fabriquait, le bateau allait partir d'une seconde a l'autre*!
Sarven lui répondit*: "*Ton entraînement est finit Tseufos et tu est certainement le combattant le plus exceptionnel qu'il m'ait été donner de former*!
-Ne fait pas l'idiot Sarven*! Monte*! J'ai encore besoin de toi*!
-Non répondit Sarven d'un ton amusé, tu n'a plus du tout besoin de moi Tseufos, Va maintenant et que les dieux t'accompagnent*!"
Et sans laisser le temps à Tseufos de répondre, il se fondit dans la foule.
Le bateau se mit lentement en mouvement et Tseufos, intrigué par le présent de son mentor, s'empara de l'étui, l'ouvrit, et prit Quel'Selar, c'était donc ça, l'objet du rituel de Sarven chaque soir, cette merveille*!
L'épée était imposante mais ne semblait rien peser*!
Son long manche devait la rendre très maniable et sa lame, parfaite, renvoyait le reflet des milles lueurs du soleil couchant vers lequel la Vaillante se dirigeait … [/SPR]
Voila voila, il y aura surement une suite, mais pour qu'elle soit la mieux possible n'hésitez pas à me donnez vos avis et à critiquer si besoin est!
Merci d'avoir prit le temps de lire!
Alors côtoyant des gens qui ont déjà écrit des RP ou des histoires, je me suis intéresser à la rédaction, et j'ai voulu me tâter avec cette Introduction à un éventuel RP .
Bonne lecture!
[SPR]Allongé dans son lit confortable, le vieil homme est serein, reposé, dans son palais rien ne peut l'atteindre...
Mais il n'en fut pas toujours comme cela, et voilà, sa le reprend, cette douce mélancolie de ses vertes années …
Sa vie n'a pourtant pas été facile, à ses 17 ans, soit un an avant la majorité dans les Plaines Rouges, son village avait été victime d'une razzia , les pillards étaient des soldats déserteurs de l'armée de la «*Reine folle*» Uclézya , notre ancienne reine …
Sa mère fut tuer sous ses yeux lors de ce raid et son père se sacrifia par la suite, pour lui permettre de s'enfuir …
Il erra ensuite, hagard, pendant tout une lune, ne se nourrissant presque pas, et marchant jusqu'à l'épuisement, tout les jours, aussi un matin il n'eut même pas la force de se lever …
C'est dans cet état que le trouvèrent une bande de brigand, qui écumaient cette forêt.
Ils hésitèrent longuement puis le ramenèrent finalement dans leur campement.
Il oscilla entre la vie et la mort pendant 4 jours, mais les soins qu'il reçut le remirent finalement sur pied.
Ce n'est pas pour autant qu'il était guéri … il ne bougeait toujours pas et regardait fixement le plafond de la tente.
Le vieux sage du campement, qui l'avait soigné, confia au chef des bandits, qu'il avait parfaitement soigner son corps, mais qu'il lui serait difficile de soigner son âme , à ceci, le chef lui ordonna tout de même d'essayer.
Il alla alors chercher des herbes qu'il gardait secrètement, en absorba certaines, et il sentit son esprit s'envoler … il flotta jusqu'à Tseufos, qui, toujours, regardait le plafond de la tente, il le toucha, et d'un coup, il fut prit dans l'océan de détresse qu'était l'esprit du jeune homme, il fut au courant de tout ce qu'il avait vu, entendu, et pensé, à ce premier contacte, Tseufos tressaillit.
Toute la nuit durant il consola le jeune homme, et finalement, au matin, sentant le pouvoir de ses plantes s'épuiser, le vieux sage passa à la vitesse supérieure, et lui dit d'une voix puissante*:
«*Fait en sorte que ton père ne se soit pas sacrifier pour rien, et VIS*!*»
Il mit tellement d'autorité dans ce dernier mot, que Tseufos fut obliger d'obéir, il s’assit brusquement et se mit a pleurer, et à pleurer encore, et ses sanglots déchirant l'apaisèrent.
Le lendemain, Sarven, le vieux sage, alla le voir physiquement dans sa tente, Tseufos le vit arriver, il se leva, s'habilla, et le suivit.
Sarven le mena jusqu'au chef du campement, qui lui dit*:
«*Je suis Détor, chef des Bandits Joyeux, et dorénavant, tu est des nôtres*!*»
Une année durant, Tseufos resta parmi eux, il apprit le rudiment du maniement des armes, mais avec un type d'arme bien précis il se sentit a l'aise, celle de l'épée longue.
Il appris aussi, à pister et chasser, mais au fond de lui, cette vie ne lui convenait pas, il ne voulait pas devenir ce qui ressemblait le plus aux pillards qui avait réduit sa vie a néant un an plus tôt …
Aussi un beau matin, il alla voir Détor et lui dit qu'il lui serait à jamais redevable, mais qu'il devait partir, pour savoir qui avait assassiné ses parents, pour essayer de se venger.
Détor sembla comprendre, car tout les bandits ont eut une histoire difficile, on ne naît pas bandit, on le devient …
Il lui offrit une épée, et lui donna des vivres pour 1 mois.
Tseufos, reconnaissant, fit ses adieux, puis partit, sans se retourner.
La solitude ne le dérangeais pas outre mesure, mais la présence rassurante de Sarven, elle, lui manquait …
Il avait décider de camper dans une clairière, de façon à pouvoir entendre et voir arriver les ennemis de loin, il l'avait fait par instinct, encore aujourd'hui il ne saurait comment expliquer ce sixième sens .
Mais cela lui fut fort utile, en effet, il entendit un bruissement dans les buissons environnants, il dégaina promptement son épée, puis alla se cacher derrière le tronc d'arbre couché, qui lui servait jusque-là de siège.
L'assaillant arriva calmement, pourquoi était-il si sur de lui*? Si confiant*?
Tseufos s’apprêtait a bondir, quand soudain, à la lueur des flammes, il vit le visage de l'intrus, c'était Sarven*!
Étonné, il se releva, rengaina son épée et lui demanda ce qu'il faisait là.
:«*Je ne pouvais pas te laisser partir seul, tu n'aurais pas survécu longtemps dans des contrées que tu ne connais pas, lui répondit ce dernier.
-*«Je suis parfaitement capable de me débrouiller seul Sarven.
Pendant une année tu m'a appris à chasser pour me nourrir et à me servir de cette épée, tu as même dit que j'étais ton meilleur élève*!
-Tu est mon meilleur élève,oui, mais cela n'empêche pas qu'un simple soldat pourrait te tuer sans transpirer*!
Et prenons l'exemple de ce soir, quand tu as entendu du bruit, tu n'a pas révéler ta présence, une bonne chose, mais tu t'est cacher a un endroit où le feu rendait visible ton ombre dans toute la clairière*!
Laisse moi un an pour t’entraîner, passer ce délai je te laisserais aux portes de la première ville que nous croiserons si tu le désire.*»
Tseufos fut en réalité soulagé par cette proposition, il avait prit l'excuse de la vengeance pour fuir le campement de Détor, mais au fond de lui il était terrifié à l'idée de devoir se débrouiller seul si tôt...
Il accepta donc la proposition de Sarven, et resta en réalité deux ans en sa compagnie.
Durant ces deux années, Sarven lui enseigna tout ce qu'il savait du maniement de l'épée au camouflage, en passant par le déplacement furtif …
Tseufos excella dans cette discipline, pourtant de forte carrure, il était capable de se déplacer à une vitesse qui impressionnait même Sarven*!
Chaque soir, son mentor observais un étrange rituel, il prenait un objet assez encombrant et emballé dans de l'étoffe avec lui, puis il s'isolait pendant une heure.
Il revenait ensuite, et rangeait l'objet dans son étui.
Il demanda cependant à Tseufos de ne jamais regarder de quoi il s'agissait, et comme il avait confiance en lui, jamais il ne lui vint l'envie de le faire.
Un matin, Tseufos commença a s'étirer, quand il remarqua que Sarven rangeait ses affaires, intrigué, il lui demanda si ils partaient quelque part, et Sarven lui répondit que oui, ils allaient à Hectanis, la grande cité portuaire des Plaines Rouges.
Arrivés aux portes, Tseufos , impatient , s'engouffra dans la ville, Sarven lui marcha plus calmement, Tseufos se demanda pourquoi il était si distant ces derniers temps, mais les détails de la ville accaparèrent bientôt ses pensées.
3 jours plus tard, Sarven lui apprit qu'il lui avait réserve une place sur la Vaillante, un bateau qui partait pour Iota.
Il l'emmena aux docks et lui donna un étui, les larmes aux yeux.
«*Voici Quel'Selar lui dit-il, c'est mon plus grand trésor mais je te la confie, tu en feras un bien meilleur usage que moi*!
Mais … commença à répondre Tseufos, mais le capitaine de la Vaillante hurla de se dépêcher d'embarquer, car la marée allait changer.
Sarven le fit donc embarquer , mais lui, resta sur les quais.
Tseufos, ayant compris mais refusant l'évidence, lui demanda ce qu'il fabriquait, le bateau allait partir d'une seconde a l'autre*!
Sarven lui répondit*: "*Ton entraînement est finit Tseufos et tu est certainement le combattant le plus exceptionnel qu'il m'ait été donner de former*!
-Ne fait pas l'idiot Sarven*! Monte*! J'ai encore besoin de toi*!
-Non répondit Sarven d'un ton amusé, tu n'a plus du tout besoin de moi Tseufos, Va maintenant et que les dieux t'accompagnent*!"
Et sans laisser le temps à Tseufos de répondre, il se fondit dans la foule.
Le bateau se mit lentement en mouvement et Tseufos, intrigué par le présent de son mentor, s'empara de l'étui, l'ouvrit, et prit Quel'Selar, c'était donc ça, l'objet du rituel de Sarven chaque soir, cette merveille*!
L'épée était imposante mais ne semblait rien peser*!
Son long manche devait la rendre très maniable et sa lame, parfaite, renvoyait le reflet des milles lueurs du soleil couchant vers lequel la Vaillante se dirigeait … [/SPR]
Voila voila, il y aura surement une suite, mais pour qu'elle soit la mieux possible n'hésitez pas à me donnez vos avis et à critiquer si besoin est!
Merci d'avoir prit le temps de lire!
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