[Récit sans titre] une oeuvre produite par Liloo Production

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Hello tout le monde,

bon désolée pour le titre mais je n'en ai pas encore et j'aime bien le label "liloo production" ça me fait rire toute seule dans mon coin.
Bref à part ça j'espère que vous allez bien et pour une fois je crois que j'ai une idée de récit... vouiii je sais il a plu toute la semaine.. c'est ma faute désolée ^^

donc sur ce je vous laisse avec le début de cette histoire... le reste est dans ma tête faut juste que je trouve le temps de la mettre sur papier.. mais je commence à la partager avec vous dès maintenant histoire de me motiver (et pour que vous me forciez à la finir aussi o_O).
bonne lecture, et bonnes critiques.

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L'histoire sans titre de Liloo


Adossée contre la porte, Létie regardait d’un œil morne les ruisseaux de boue qui dévalaient dans la rue. Une semaine déjà que la pluie tombait sans discontinuer entrainant dans son sillage inondations et glissements de terrain. Les récoltes sont fichues, pour sûr, pensa Létie. Il n’y aurait pas grand-chose à manger cet hiver encore. Cinq ans déjà que cette fichue malédiction transformait leur vie en enfer. Tout ça parce que Martego s’était cru plus malin que les autres. Dommage qu’il soit mort celui-là, en cet instant Létie lui aurait bien botté l’arrière-train comme elle le faisait autrefois lorsqu’il lui tirait les cheveux dans la cour de l’école.

Le babil de Claire qui se réveillait la sortie de ses sombres pensées. Elle se dirigea promptement vers la chambre de l’enfant. Le visage chafouin de Claire s’illumina lorsqu’elle aperçut sa mère, en souriant elle lui tendit les bras. Claire n’avait que 6 mois mais un caractère déjà bien trempé capable d’un seul regard de vous faire fondre ou de vous geler sur place. Changram le sorcier disait qu’elle était promise à faire de grandes choses et que de la pureté de son cœur dépendrait le sort de La Grande Terre. Létie haussa les épaules devant ce qu’elle qualifiait de sombres superstitions datant de l’âge d’émeraude.
-pffff des âneries tout ça, siffla t’elle entre ses dents, mais elle ne pu retenir ses doigts qui déjà formaient un pentagramme dans l’air sensé éloigner le mauvais sort. Létie grimaça devant sa propre crédulité.
Elle prit Claire dans ses bras et tout en lui parlant doucement commença à l’habiller.

Une porte claqua à l’arrière de la maison et une voix d’homme s’éleva :
-Létie, tu es là ? je suis rentré !
-Essuies toi avant de tremper toute la maison, j’ai posé une serviette à côté de la porte !

Callant Claire sous le bras, Létie prit la direction de la cuisine ou Kenhart son époux tentait de se sécher.
- Quelles sont les nouvelles ? demanda-t-elle anxieuse.
- Le Conseil s’adressera ce soir au village. Tout le monde doit se réunir dans la Grande Salle. On a peut-être une solution.

A cette bonne nouvelle, la première depuis cinq ans, Létie sourit, mais son sourire se figea lorsqu’elle rencontra le regard désespéré de son époux. Apparemment la solution du Conseil ne l’enchantait guère.


***


L’information avait bien circulé et tout le village était réuni dans la Grand Salle. Les conversations allaient bon train chacun tentant d’imaginer ce que le conseil souhaitait annoncer. Tandis que le visage des plus anciens ne reflétait qu’une triste résignation celui des plus jeunes s’éclairaient encore d’une lueur d’espoir. Tous cependant portaient les stigmates de cinq longues années de malnutrition, de maladies nouvelles et d’épuisement dues aux longues nuits peuplées de cauchemars.

Le Conseil s’avança dans la Grand-Salle et monta sur l’estrade. Lock-Chen grand chef du village leva les mains pour réclamer le silence. Sa voix s’éleva alors profonde et grave pour conter une fois encore la terrible histoire de son peuple :

-Voilà cinq ans que Martégo mon propre fils, obnubilé par sa soif de pouvoir provoqua la colère de Thargäh la sorcière des Marais.
Vous savez tous comment désireux de régner sur l’ensemble du pays, il décida de renverser le roi Lheng. Nul ici n’ignore se qu’il se passa ensuite. Afin d’obtenir le trône il invoqua le Voleur Blanc qui en rêve lui ordonna de voler les pouvoirs de Thargäh seuls capables d’ouvrir les portes d’Airain protégeant le trône et le sceptre de Lheng. Vous savez comment avec l’aide du Voleur Blanc il brouilla les esprits de nombre de nos vaillants guerriers et combien après les avoir circonvenus leur fit commettre l’impensable. Leur ordonnant de tuer ceux du village qui voulaient les arrêter, ses hommes s’en prirent à leurs frères, leurs parents passant au fil de l’épée tout ceux qui s’opposaient à eux. Nous sommes un peuple paisible peu habitué à la guerre et à ses tourments, Martégo et ses hommes, plus aguerris et soutenus magiquement par les charmes du Voleur Blanc, eurent facilement le dessus et marchèrent sur Claire-Onde demeure de Thargäh.

En s’attaquant ainsi à la dernière représentante des sorcières bleues et au peuple des Eaux chargé de son bien-être et de sa protection, Martégo et ses acolytes brisèrent le fragile équilibre de notre monde. Les peuples de l’air et du feu durent unir leurs forces à celles de Thargäh et du peuple des Marais pour stopper Martégo avant qu’il ne s’empare des pouvoirs de la sorcière. Thargäh épuisée par la bataille qu’elle venait de mener aux côtés des défenseurs ne put empêcher les agissements du Voleur Blanc qui profitant de cette opportunité répandit sa peste blanche. Celle-ci pollua notre monde et Thargäh elle-même Sorcière des marais et protectrice de la Grande Terre fut atteinte du mal blanc. Le peuple des Eaux pourtant fin guérisseur ne put rien pour Thargäh et dû se résoudre à l’enfermer dans une prison de Glace au sommet du mont Glorieux dans l’attente d’une solution.

Cependant ils ne réagirent pas assez vite, atteinte jusqu’à son cœur par le mal blanc, celui-ci déclencha la fureur dévastatrice de Thargäh contre nous. De part nos lois, Martégo et ses amis furent condamnés à mort afin de servir de sacrifice expiatoire mais cela ne suffit pas à calmer la colère du cœur malade de la sorcière. Elle nous maudit tous, nous, nos enfants et les enfants de nos enfants. Nous vouant à une vie de misère et de souffrance tandis que le mal blanc progresse et ronge peu à peu l’ensemble de la Grande-Terre condamnant les autres peuples à une disparition inéluctable.



Mais il existe aujourd’hui un faible espoir, celui de racheter notre honneur bafoué en ramenant un semblant d’équilibre dans ce monde. Les risques encourus seront grands et les chances de succès infimes mais c’est là notre seul espoir de ne pas voir disparaître toute vie sur cette Terre.
 
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Bonjour :)

Alors un petit texte agréable à lire et j'ai hâte d'avoir la suite pour savoir qui est ce fameux Martego et en quoi consiste cette malédiction ...

Par contre un seul petit défaut. Il y a un mot qui m'a assez déplu : "foutues" . C'est un peu trop familier et trop moderne car si j'ai bien compris c'est un texte fantastique/fantasy ...

Voilà ! Maintenant on veut voir la suite !
 

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slt

je trouve ton texte pas mal du tout ;) je veux vraiment voir la suite ...

Une seul chose me déplais: Martego ressemble trop à Mangelo :p

tkt pas pour le titre car si tu en trouve un au début tu peux revenir sur ton choix au final au fil de tes idées donc le mieux est de le mettre à la fin !!

Voilà ! Maintenant on veut voir la suite !
 

DeletedUser

Guest
partie 2 ajoutée dans le premier message, critiques bienvenues.

sinon j'ai remplacé "foutues" par "fichues" :p

pour Martégo pour l'instant je le laisse mais faudra que je fasse plus attention la prochaine fois ^^
 

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Guest
j'y travaille, mais retranscrire les idées que j'ai dans la tête.. pfff c'est compliqué on croirait pas comme ça hein !!!
 

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Guest
a quoi ressemble les personnages sont ils différents des uns des autres ?
 

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Guest
parce qu'en plus faut que je les décrive, quelle angoisse !! :p

tu as tout à fait raison, va falloir que j'y consacre quelques passages, merci galactus.
 

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Guest
Bref passage.

Je tiens parole : j'avais dit m'intéresser à ce que tu ferais par la suite, me voilà donc.
Déjà, heureux que tu aies persévéré. L'écriture a quelques aspects d'une galère quand on est pas encore rôdé à la rame, justement. Heureusement, elle apporte quelque jouissance, là où les galériens (à moins qu'il y en ait eu des SM, je ne sais pas) souffrent un peu, m'a-t-on dit.

Hello tout le monde,

bon désolée pour le titre mais je n'en ai pas encore et j'aime bien le label "liloo production" ça me fait rire toute seule dans mon coin.

On se fout du titre tant que l'histoire est bonne. Il devient nécessaire d'en trouver au moment où tu mettras un point final à ton projet, mais aujourd'hui, c'est pure contingence. Maintenant si tu y trouves de l'intérêt, libre à toi d'en trouver un. De bons titres attirent toujours les lecteurs.

Bref à part ça j'espère que vous allez bien et pour une fois je crois que j'ai une idée de récit... vouiii je sais il a plu toute la semaine.. c'est ma faute désolée ^^

donc sur ce je vous laisse avec le début de cette histoire... le reste est dans ma tête faut juste que je trouve le temps de la mettre sur papier.. mais je commence à la partager avec vous dès maintenant histoire de me motiver (et pour que vous me forciez à la finir aussi o_O).
bonne lecture, et bonnes critiques.

Ne laisse jamais quelque chose dans ta tête trop longtemps. Les idées et l'inspiration sont des choses si fugaces..

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L'histoire sans titre de Liloo


Adossée contre la porte, Létie regardait d’un œil morne les ruisseaux de boue qui dévalaient dans la rue. Une semaine déjà que la pluie tombait sans discontinuer entrainant dans son sillage inondations et glissements de terrain. Les récoltes sont fichues, pour sûr, pensa Létie. Il n’y aurait pas grand-chose à manger cet hiver encore. Cinq ans déjà que cette fichue malédiction transformait leur vie en enfer. Tout ça parce que Martego s’était cru plus malin que les autres. Dommage qu’il soit mort celui-là, en cet instant Létie lui aurait bien botté l’arrière-train comme elle le faisait autrefois lorsqu’il lui tirait les cheveux dans la cour de l’école.

Le babil de Claire qui se réveillait la sortie de ses sombres pensées. Elle se dirigea promptement vers la chambre de l’enfant. Le visage chafouin de Claire s’illumina lorsqu’elle aperçut sa mère, en souriant elle lui tendit les bras. Claire n’avait que 6 mois mais un caractère déjà bien trempé capable d’un seul regard de vous faire fondre ou de vous geler sur place. Changram le sorcier disait qu’elle était promise à faire de grandes choses et que de la pureté de son cœur dépendrait le sort de La Grande Terre. Létie haussa les épaules devant ce qu’elle qualifiait de sombres superstitions datant de l’âge d’émeraude.
-pffff des âneries tout ça, siffla t’elle entre ses dents, mais elle ne pu retenir ses doigts qui déjà formaient un pentagramme dans l’air sensé éloigner le mauvais sort. Létie grimaça devant sa propre crédulité.
Elle prit Claire dans ses bras et tout en lui parlant doucement commença à l’habiller.

Une porte claqua à l’arrière de la maison et une voix d’homme s’éleva :
-Létie, tu es là ? je suis rentré !
-Essuies toi avant de tremper toute la maison, j’ai posé une serviette à côté de la porte !

Callant Claire sous le bras, Létie prit la direction de la cuisine ou Kenhart son époux tentait de se sécher.
- Quelles sont les nouvelles ? demanda-t-elle anxieuse.
- Le Conseil s’adressera ce soir au village. Tout le monde doit se réunir dans la Grande Salle. On a peut-être une solution.

A cette bonne nouvelle, la première depuis cinq ans, Létie sourit, mais son sourire se figea lorsqu’elle rencontra le regard désespéré de son époux. Apparemment la solution du Conseil ne l’enchantait guère.


***


L’information avait bien circulé et tout le village était réuni dans la Grand Salle. Les conversations allaient bon train chacun tentant d’imaginer ce que le conseil souhaitait annoncer. Tandis que le visage des plus anciens ne reflétait qu’une triste résignation celui des plus jeunes s’éclairaient encore d’une lueur d’espoir. Tous cependant portaient les stigmates de cinq longues années de malnutrition, de maladies nouvelles et d’épuisement dues aux longues nuits peuplées de cauchemars.

Le Conseil s’avança dans la Grand-Salle et monta sur l’estrade. Lock-Chen grand chef du village leva les mains pour réclamer le silence. Sa voix s’éleva alors profonde et grave pour conter une fois encore la terrible histoire de son peuple :

-Voilà cinq ans que Martégo mon propre fils, obnubilé par sa soif de pouvoir provoqua la colère de Thargäh la sorcière des Marais.
Vous savez tous comment désireux de régner sur l’ensemble du pays, il décida de renverser le roi Lheng. Nul ici n’ignore se qu’il se passa ensuite. Afin d’obtenir le trône il invoqua le Voleur Blanc qui en rêve lui ordonna de voler les pouvoirs de Thargäh seuls capables d’ouvrir les portes d’Airain protégeant le trône et le sceptre de Lheng. Vous savez comment avec l’aide du Voleur Blanc il brouilla les esprits de nombre de nos vaillants guerriers et combien après les avoir circonvenus leur fit commettre l’impensable. Leur ordonnant de tuer ceux du village qui voulaient les arrêter, ses hommes s’en prirent à leurs frères, leurs parents passant au fil de l’épée tout ceux qui s’opposaient à eux. Nous sommes un peuple paisible peu habitué à la guerre et à ses tourments, Martégo et ses hommes, plus aguerris et soutenus magiquement par les charmes du Voleur Blanc, eurent facilement le dessus et marchèrent sur Claire-Onde demeure de Thargäh.

En s’attaquant ainsi à la dernière représentante des sorcières bleues et au peuple des Eaux chargé de son bien-être et de sa protection, Martégo et ses acolytes brisèrent le fragile équilibre de notre monde. Les peuples de l’air et du feu durent unir leurs forces à celles de Thargäh et du peuple des Marais pour stopper Martégo avant qu’il ne s’empare des pouvoirs de la sorcière. Thargäh épuisée par la bataille qu’elle venait de mener aux côtés des défenseurs ne put empêcher les agissements du Voleur Blanc qui profitant de cette opportunité répandit sa peste blanche. Celle-ci pollua notre monde et Thargäh elle-même Sorcière des marais et protectrice de la Grande Terre fut atteinte du mal blanc. Le peuple des Eaux pourtant fin guérisseur ne put rien pour Thargäh et dû se résoudre à l’enfermer dans une prison de Glace au sommet du mont Glorieux dans l’attente d’une solution.

Cependant ils ne réagirent pas assez vite, atteinte jusqu’à son cœur par le mal blanc, celui-ci déclencha la fureur dévastatrice de Thargäh contre nous. De part nos lois, Martégo et ses amis furent condamnés à mort afin de servir de sacrifice expiatoire mais cela ne suffit pas à calmer la colère du cœur malade de la sorcière. Elle nous maudit tous, nous, nos enfants et les enfants de nos enfants. Nous vouant à une vie de misère et de souffrance tandis que le mal blanc progresse et ronge peu à peu l’ensemble de la Grande-Terre condamnant les autres peuples à une disparition inéluctable.



Mais il existe aujourd’hui un faible espoir, celui de racheter notre honneur bafoué en ramenant un semblant d’équilibre dans ce monde. Les risques encourus seront grands et les chances de succès infimes mais c’est là notre seul espoir de ne pas voir disparaître toute vie sur cette Terre.

Passons l'originalité des débuts fantasy avec prophétie et conseil, deux clichés récurrents, tu en es à tes débuts, on ne peut pas encore te reprocher ça (on peut toutefois te demander d'y réfléchir, mais avant tout : fais ce qu'il te plaît et améliore-toi, ta patte viendra naturellement et l'originalité avec elle).

" Nul ici n’ignore se qu’il se passa ensuite. "
Étrange remarque, puisqu'elle est suivie d'un très détaillé résumé de ce qui " se passa ensuite ". Pour donner des informations au lecteur sur ton monde, tu as convenu à une incohérence. Surtout que s'ils souffrent comme tu le dis, les villageois doivent bien connaître la cause et faire macérer quelque colère du fond de leurs tripes vides. Du coup, l'exposé est un peu inutile pour eux.

L'exposé en lui-même, puisqu'il nous est plus destiné qu'aux personnages réunis autour du Conseil, est certes excellent pour des critères d'exposé, mais pas des critères "littéraires". Par là, j'entend déjà le peu de naturel qu'induit un pareil discours. Ensuite, il y a beaucoup d'informations, tu noies le lecteur. Il faut s'accrocher ou passer son chemin. J'ai pris la seconde option et j'ai tout bonnement survolé ces paragraphes.
Je ne dis pas qu'il n'y a pas de bonnes idées, d'ailleurs je ne critique pas les informations en elles-même. Je te reproche ici cet étalage déplaisant.
Il faut, à mon sens, que tu t'essayes plutôt à inclure ces explications aux ressentis d'un personnage en particulier. Ça permettra de nous y identifier, et donc ça gagnera en impact, en efficacité. Par exemple, au début, Létie commence à évoquer le sujet. Pourquoi n'avoir pas pousser un peu plus loin ? La séparation avec le regard perdu dans les éléments déchaînés (cette sorte de contemplation morose introductive) est trop brute, également. On peut imaginer un mélange des deux, une interaction, une similarité au niveau du jeu sur les sentiments du personnage. Le paysage évoquant le malheur d'autrefois (des batailles, la fureur, le déchaînement des passions ?). Un peu de lyrisme, en fait.
Bref, c'est à retravailler en prenant en compte ton lecteur, la cohérence et plus d'insistance sur les personnages. Un narrateur interne qui te prend aux tripes, tu vois ?
En réalité, tout est affaire de suggestion. Tu dois évoquer les choses, les faire venir doucement, qu'elle glisse naturellement, petit à petit. Faire un tendre modelé qui finalement fera un très beau portrait.

Pourquoi précipiter les choses ? Nous faire venir directement à l'action ? Connaître mieux tes personnages ne nous fera que mieux ressentir l'action, non ?

En tout cas, j'attend ta réponse et la suite de ce texte qui, d'ailleurs et je ne l'ai pas encore dit, n'a rien de mauvais. Quelques maladresses le parsèment encore, mais tu ne peux pas t'en vouloir, si tant est que tu les prennes en compte et t'appliques à les réduire tout le long de ce beau chemin de l'apprentissage (qui s'arrêtera à ta mort si tu n'arrêtes pas l'écriture avant).
J'approuve donc ce récit, qui me semble prometteur,
Merci pour la lecture et à la prochaine fois,

Bises,
Tranoscu
 

DeletedUser

Guest
Coucou !^^

bon alors :

"La Grande Terre"
"la Grande Salle"
pour les noms de lieux, ça s'annonce mal^^'

"grand chef du village"

"Claire"
"Claire-Onde"

Je retire ce que j'ai dis... la totalité des noms s'annoncent mal partis^^'
ya énormément de répétition !!

"stopper"
Je t'ai déjà puni pour cet anglicisme... Mais tu n'as pas retenu la leçon.
N'as-tu pas honte ?...
Une seconde punition s'impose... Je verrai laquelle, mais bien pire encore que la précédente. xD

réaction aux commentaires :

"" Nul ici n’ignore se qu’il se passa ensuite. "
Étrange remarque, puisqu'elle est suivie d'un très détaillé résumé de ce qui " se passa ensuite ". Pour donner des informations au lecteur sur ton monde, tu as convenu à une incohérence. Surtout que s'ils souffrent comme tu le dis, les villageois doivent bien connaître la cause et faire macérer quelque colère du fond de leurs tripes vides. Du coup, l'exposé est un peu inutile pour eux."

Bah, ça dépend de la manière dont tu l'imagines. Un bon rhéteur pourra utiliser ce genre de discours pour faire naître des sentiments d'indignation parmi la foule et par la suite les manipuler, les convaincre d'un opinion X.

" Ensuite, il y a beaucoup d'informations, tu noies le lecteur."

Pour ça par contre, je suis totalement d'accord. J'ajouterais même que non seulement c'est déplaisant présenté ainsi mais que pour la suite, ça gâche bien des surprises qu'on aurait pu avoir et savourer pleinement^^'


alors au final, je suis d'accord avec Tran sur bien des choses et je ne peux que le plussoyer et dire....
Je ne l'ai que rarement vue aussi généreux dans ses commentaires !! Il te drague !!
*fuit*
XD

Mais j'aime bien ton début de texte :)
Continue ainsi !^^
 

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Guest
"stopper"
Je t'ai déjà puni pour cet anglicisme... Mais tu n'as pas retenu la leçon.
N'as-tu pas honte ?...
Une seconde punition s'impose... Je verrai laquelle, mais bien pire encore que la précédente. xD

stopper c'est pas français? o_O

owiii une punition *w*
 

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"stopper" provient de l'anglais^^
"arrêter" est le vrai mot français^^

mais bon.. on a beaucoup de mot de l'anglais dans notre langue, selon l'endroit où l'on habite^^
par exemple, en France, vous dites "parking" alors que le mot français est "stationnement" ^^
 

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Guest
ah ouéééé ^^

faut dire, on est tellement habitué à ce langage ^^
 

DeletedUser

Guest
mais où vas le monde? :D

bon, trêve de plaisanterie (lol c'est moi qui dit sa ^^) :
c'est quoi la punition que tu lui donnes? :p
 

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Guest
Salut Liloo :)
Le premier anglicisme que tu avais utilisés, je t'avais fait écrire un message d'excuse à Molière.

Cette fois, je veux que tu écrives un texte qui décrirait un monde où les francophones** dominent le monde et que certains peuplent vouent même un culte au français dont ils ignorent les fondements réels. :)
Tu dois donner au moins 3 preuves de la supériorité du français et démontrer l'épanouissement et la joie qu'aurait un "non-francophone" à découvrir cette langue :)
 

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Guest
t'aurais dû ouvrir un nouveau sujet non?

ouyah ^^' chaud bouillant ^^
 

DeletedUser

Guest
ce fut une excellente idée de donner des punitions :-o
continue à épier toutes les pitites fautes qu'elle fait! :-o
 
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