DeletedUser
Guest
.•'´¯) ¸,ø¤°``°¤ø,¸(¯`'•.¸
¸ .•'´¯),ø¤°``°¤ø,¸¸,ø¤°`°¤ø,¸(¯ `'•.¸
¸¸,ø¤°``°¤ø,¸¸,ø¤°``°¤ø,¸,ø¤°` `°¤ø,¸¸
(¯`•.¸ (¯`•.¸ _________ ¸.•´¯)¸.•´¯)
(¯`•.¸(¯`•.¸~~~~~~~~~~~¸.•´¯)¸.•´ ¯)
Le recueil de Papy-Stolet
(_¸.•'(_¸.•' ¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯ '•.¸_)'•.¸_)
``°¤ø,¸#¸,ø¤°`°¤ø,¸¸,ø¤°`°¤ø,¸ #¸¸,ø¤°´´
(_¸.•°´'`°¤,¸.•*´`*•.¸,¤°´'`°• .¸_)
~~°`°¤ø,¸¸,ø¤°`°~~
¸ .•'´¯),ø¤°``°¤ø,¸¸,ø¤°`°¤ø,¸(¯ `'•.¸
¸¸,ø¤°``°¤ø,¸¸,ø¤°``°¤ø,¸,ø¤°` `°¤ø,¸¸
(¯`•.¸ (¯`•.¸ _________ ¸.•´¯)¸.•´¯)
(¯`•.¸(¯`•.¸~~~~~~~~~~~¸.•´¯)¸.•´ ¯)
Le recueil de Papy-Stolet
(_¸.•'(_¸.•' ¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯ '•.¸_)'•.¸_)
``°¤ø,¸#¸,ø¤°`°¤ø,¸¸,ø¤°`°¤ø,¸ #¸¸,ø¤°´´
(_¸.•°´'`°¤,¸.•*´`*•.¸,¤°´'`°• .¸_)
~~°`°¤ø,¸¸,ø¤°`°~~
Poème inspiré du tableau "Cygnes reflétant des éléphants" de Dali:
Je t´ai imaginé, tel un idéal...
Toi, le frère qui m´a été enlevé,
Que j´ai rêvé à en devenir fou.
Toi, le frère qu´on ne m´a pas laissé,
Laissant en moi une sensation de vide et de flou.
Je t´ai imaginé, tel un idéal...
Je pleure la nuit, je nous imagines tous les deux.
Mon coeur se brise, je sombre dans la mélancolie.
Je vois ton fantôme me regarder par delà les cieux.
Je me demande alors pourquoi c´est moi qui suis en vie.
Je t´ai imaginé, tel un idéal...
Tu n´as pas eu la chance de découvrir,
Tout le bonheur qui nous est offert.
Mais notre âme finit toujours par mourir,
La mienne a déjà quitté la Terre.
Je t´ai imaginé, tel un idéal...
Vas-tu continuer à m´épier le reste de mon existence,
Tel un prédateur chassant sa proie?
J´aimerais tellement faire pencher la balance,
Et qu´ainsi, tu recommences à croire en moi.
Je t´ai imaginé, tel un idéal...
J´ai cru, tout d´abord, te comprendre.
Pour ainsi, pouvoir t´oublier.
Mais l´on ne peut pas par lacheté, vendre...
La conscience de son frère ainé.
Je t´ai imaginé, tel un idéal...
Aujourd´hui, pris de remords,
Toujours obnubilé par toi, mon frère,
Je ne me soucie plus de mon sort,
Et laisse le destin faire.
Je t´ai imaginé, tel un idéal...
Je m´ai jamais eu le courage d´être père,
Jamais eu le courage de te résister.
Je rêvais d´une vie prospère,
Mais ton deuil m´en a empêché.
Je t´ai imaginé, tel un idéal...
Je suis seul, je garde le silence.
Je suis seul, j´accepte ma pénitence.
Poème en alexandrins, sur le thème des vampires:
Folie enivrante ! Folie du deséspoir !
Ho ! Bon dieu ! Que ce sang si impur les nourrissent.
Que cette folie s´achève, qu´elle finisse.
Que les vampires ne me hantent plus le soir!
Je les vois partout et nulle part, qu´ai-je fait ?
Cette question que je me pose sur ma vie ...
Je les vois, leurs yeux couleur sang qui m´épient.
Que la chaleur humaine les enivraient !
Je n´ai pas eu le courage de m´opposer.
A leur âmes possédés s´abreuvant de sang,
A leur âme possédés venant du néant.
Humain, j´ai été, en vampire transformé.
Ha ! Je n´oublierais jamais tous ces cauchemars,
Haïssant à tout jamais, leur cruelle ivresse.
A ma famille, le lourd fardeau que je laisse.
Sûr ! Ils pleureront ma mort jusque´à tard ce soir.
Poème créé pour l´évent "Le Secret d´Hermès", les mots imposés sont: caducée, sandales, voleur, messager, voyage, Olympe:
Hermès, messager aux cieux
Mais rien d´autre qu´un voleur des Dieux
Ce personnage plus qu´antique,
Entre autre,un symbole mythologique.
Parcourant les paysages,
Entreprenant son voyage.
Du Mont Atlas à celui d´Olympe,
Avec ses sandales, il grimpe.
Mais Hermès, son beau coté,
Est, à l´aide de son caducée,
De soigner du venin,
Est d´ainsi soigner les siens.
Poème sur la montagne/neige:
Que la montagne est imposante,
Lorsqu´un manteau blanc lui recouvre ses pentes…
Faisant alors le bonheur des skieurs,
Descendants les pistes avec ardeurs.
Que la montagne est magnifique,
Offrant alors des coins idylliques.
Neige verglacée ou poudreuse,
Annonçant une journée heureuse.
Que la montagne est difficile,
Lorsqu´elle touche dans le mille,
De son avalanche violente,
Tout ce qui se trouve sur sa descente.
Que la montagne est enneigée,
Abritant tout ses petits protégés,
Marmotte, chamois et autres animaux,
De leur trace suscitent l´intérêt de nos marmots.
Ne laissons pas ce beau paysage se dégrader,
Et ainsi arrêter de nous offrir tout cette joie partagée.
Poème sur la Guerre:
Déesse de la mort, reine des religions,
Annonçant la fin des hommes sur Terre.
Les séparants, eux et leur condition,
Laissant toujours un peu plus de misère
Depuis la Création, elle nous brise,
Nous, nos ethnies et nos préjugés.
Depuis la Création, elle nous méprise,
L´espèce humaine est en danger !
Elle vient nous chercher au plus profond de nous,
Au fin fond de notre conscience .
Elle ne laisse rien, elle prend tout ,
Ce n´est pas ce que les caligineux pensent.
Elle rabaisse les races,
Empoisonnent les fanatiques.
Laissant bien des traces,
Mais sans problème d´éthiques.
Vous l´avez bien compris,
C´est de la Guerre dont je parle
Pourtant, vous n´essayez pas de sauver vos vies,
C´est de la Guerre dont je reparle.
Merci,
Papy-Stolet
Dernière édition par un modérateur: