Sans titre futuriste

  • Auteur de la discussion Okami-san
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DeletedUser

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Bonjour ! :-D

Je viens poster ici le texte de ma toute première Battle ayant pour thème : "Comment voyez-vous le monde en l'an 7541 ?"

J'aimerai quelques petits commentaires pour m'améliorer :-o

Je me réveillais en sursaut, agacé par la sonnerie aiguë qui retentissait dans toute la chambre. Grommelant après ces fichus réveils automatiques je fini par me lever et la sonnerie cessa dès que j'eus les deux pieds sur le sol de ma chambre. Une partie du mur s'alluma automatiquement et la présentatrice robot de la météo terrestre commença son monologue : « Nous sommes en l'an 7541, 52ème jour de l'année. Il est 6h30. Aujourd'hui, les basses sphères seront dans brouillard et l'humidité ».

-"Comme d'habitude", grognais-je tout en m'habillant machinalement.

Une combinaison anti-froid d'une couleur uniformément crème, une veste de la même teinte, la présentatrice continuait imperturbablement sa litanie, « En haut le ciel sera au beau fixe et le soleil tapera fort malgré quelques petits nuages de gaz violet, nous conseillons à la population des zones 52 et 64 de porter des masques aujourd'hui, des nuages toxiques survoleront également ces zones. », une paire de bottes, un masque, un fois que je fus prêt je commandais la fermeture de mon placard par un claquement de doigts. La présentatrice ayant fini sa météo le mur-écran s'était éteint.

Je sorti alors de ma chambre et me dirigeai vers les cantines communes à tout mon bloc. Arrivé dans la cantine je pris un plateau et ma nourriture avant de m'asseoir seul à une table. Je vis de loin ma voisine, la femme de la chambre 964, s'approcher vers moi, son plateau à la main et un sourire aux lèvres. Elle vint s'asseoir à côté de moi en ne se formalisant pas de mon air renfrogné et de ma mauvaise humeur visible.

-"Bonjour Monsieur comment allez-vous aujourd'hui ?, dit-elle toujours le sourire aux lèvres.
- Hum ça peut aller," grognai-je dans un vain espoir de la décourager.

De toute évidence ce n'était pas mon caractère bourru qui allait la dissuader puisqu'elle se lança dans une discussion animée à propos de tout et de rien, du temps qu'il allait faire, du nuage de gaz qui allait survoler la section dans la journée, et de l'élection prochaine du nouveau Grand Maître de la Terre - d'en haut et d'en bas. Débattant seule des différents candidats en lice, de ce qu'ils pourraient apporter pour la Terre du Bas, et ce qu'ils tenteraient pour la Terre du Haut.

Ah oui, La Terre du Bas et la Terre du Haut, une belle connerie ça encore, diviser la Terre en deux... N'importe quoi. Comme si mettre les plus pauvres et les rebuts de la société en bas, là où la vie est atroce à cause des brouillards toxiques omniprésents et du manque de soleil allait arranger les choses. Et leur donner comme travail de trier les déchets eux aussi toxiques et dangereux des « gens d'en haut » était tout simplement inhumain. Même les plus pauvres de ceux d'en haut était mieux traités que les gens d'en bas, ceux laissés au ban de la société et haït par tous comme les lépreux l'étaient aux balbutiements de la race humaine.

Les gens d'en haut racontaient des histoires à propos des gens d'en bas aux enfants méchants ou trop turbulents en les menaçant de les envoyer là-bas pour les dissuader de faire des bêtises. Des quasi-hommes vivants dans le noir des fondations supportant les constructions colossales qui permettaient aux gens d'en haut d'avoir du soleil et de l'air pur. Se ramassant sur la gueule toute la journée les vapeurs toxiques émises par les machines pour permettre à ces mêmes constructions de rester en équilibre et de faire vivre tout le monde d'en haut dans de bonnes conditions. Pauvres eux...

Le changement de Grand Maître terrestre ne changerai rien à la condition de vie d’en bas. Certes tous les candidats promettaient des améliorations des conditions de vie des Gens d'en Bas pour faire joli et motiver les électeurs à voter pour eux mais ils passaient toujours en second plan. Ils n'avaient même pas le droit de voter alors qu'importait ce qui leurs arrivaient... On disait toujours que c'était de leur faute si ils étaient en bas... Mais grâce à la politique de la menace de "la descente en bas" les gens d'en Haut se tenaient tranquilles, les rares délinquants étaient très vite "descendus" et tout le monde travaillait dur pour ne pas risquer de manquer d'argent ou de laisser des impayés sous peine de devoir descendre aussi. Oh, oui le monde d'en Haut était bien beau ainsi débarrassé de tous les troubles fêtes ou autres gêneurs en tout genre.

Quand à la Terre du Haut.... Un monde divisé par sections, puis blocs, des centaines de personnes vivant recluses dans une pièce individuelle, deux pour les couples, tout le reste étant collectif, des cuisines aux douches en passant par les sanitaires.

Un peuple de moutons se réveillant tout les matins à la même heure, prenant le même petit déjeuné insipide tous ensemble avant d'aller au travail. Puis le soir la même chose, le retour dans son bloc, le dîner du soir, une douche puis retour dans sa chambre pour s'abrutir devant les émissions du soir sur la seule chaîne de projection du monde. Puis tous au lit, et tout ce petit monde se réveillait le lendemain matin, répétant inlassablement les mêmes gestes, le même travail tous les jours. Tellement abrutissant. C'était à se demander si en bas il n’était pas mieux lotis, au moins ils sont libres de toutes contraintes et ils n'ont pas à...

-"Monsieur M. vous m'écoutez ? Monsieur M. ?
- Hum oui ?
- Vous étiez perdu dans vos pensées à ce que je vois, dit gentiment ma voisine, m'interrompant dans ma réflexion. Est-ce les élections prochaines qui vous rendent si pensif ?
- Certes, répondis-je machinalement.
- Et que pensez-vous du candidat que les sondages donnent gagnant ? Vous savez le dirigeant du Bloc 46 ?"

Je fus dispensé de répondre à ma voisine par la même sonnerie qui m'avait réveillé et qui retentissait cette fois-ci dans toute la cantine commune, signalant le départ général pour le travail.

-"Ho on doit déjà y aller ! Quel dommage, j'aurai tant aimé continuer cette discussion si intéressante avec vous ! Que diriez-vous de nous retrouver au repas de ce soir ?", conclut ma voisine avant de partir rapidement vers la sortie sans attendre ma réponse et avec un petit geste de la main à mon égard.

Je la regardais partir avec un froncement de sourcils puis sorti par la porte Sud de la cantine, me dirigeant vers la sortie et enfilant mon masque avant de franchir la porte qui me séparait de l'extérieur. Je rejoignis un module de vol aligné proprement, inséra ma carte électronique et rentra dans celui-ci. Le module décollât, ayant toutes les informations nécessaires au vol grâce à ma carte.

Je profitais du vol pour regarder l'extérieur à travers les parois vitrées du module. Quel paysage... Morne, constitué des mêmes bâtiments à perte de vue, tous carrés, tous alignés, toute végétation depuis longtemps disparue de la surface de la Terre. Les seules touches de natures artificielles que l'ont pouvait voir étant les plantes artificielles qui se trouvaient dans les cantines communes et l'unique plante se situant dans chaque chambre individuelle.

J'eus un gros soupir de découragement, j'aurai tellement aimé vivre à l'ancienne époque... Où la Terre n'était pas encore divisée et où il y avait encore de vraies plantes. Mon trajet vers mon lieu de travail touchait à sa fin, le module atterrit silencieusement comme des centaines d'autres modules atterrissant non loin du mien, tous alignés. Je sorti de mon module et récupérait ma carte. Je levais les yeux vers le grand bâtiment qui se dressait devant moi et qui n'était autre que mon lieu de travail.

"- Et bien c'est parti pour une journée comme les autres..." murmurai-je pour moi-même.
 

DeletedUser

Guest
Oui je l'avais lu mais le sujet était déjà fermé n_n

La pensée que j'avais c'était "s'ils n'avaient pas fermé le sujet avant que je lise les textes je me serais plaint de ce que leur vision du futur était toujours nécessairement un désastre, aucune utopie, aucune confiance en l'humanité et en sa capacité de s'améliorer, ils sortent tous un récit de misère, de malheur et de chaos".

Et bah, je suis bien content que tu ressortes ton texte puisque je peux te le dire maintenant ^^

L'an 7500 !! C'est dans 5500 ans ! Et les humains seront parqués dans des tours ? Encore ça, ça passe, même cette banalité de dichotomie sociale entre les gens d'en haut qui ont la belle vie et les gens d'en bas qui triment pour eux et pour rien. Mais tu crois vraiment qu'en 5 millénaires (pour info en 5000 ans on est passé de la charrue à la navette spatiale) personne n'aurait trouvé de moyen d'améliorer tout ça ? Style, recycler l'air, lutter contre la pollution, coloniser d'autres mondes pour lutter contre la surpopulation ?

Bon bien sûr on ne connait pas l'arrière plan de cet univers : y a t-il eu des guerres, des catastrophes climatiques énormes, etc. Mais tout de même ! Je ne sais plus combien il y avait de textes à cette battle mais quasi tous voyez le futur de la même façon : une technologie qui n'avait pas vraiment évoluée et un monde condamné. Plus de plantes sur Terre ? Pas possible d'en refaire avec l'évolution de la génétique, dans des parcs, des jardins ?

Tu vois c'est ce pessimisme sans réflexion qui m'agace, sans méchanceté ^^ Moi je suis un optimisme, le futur je l'imagine radieux, je veux y croire, je veux croire en la capacité de l'Humanité de s'améliorer, je veux croire en tous les cerveaux qui naitront et résoudront les graves problèmes qui se posent, pour changer positivement le monde. Alors forcément, avec ce point de vue là, si j'avais eu à vous noter j'aurais baissé la note pour divergence d'opinion !

Mais je pense que c'est la forme qui t'importe plus. Honnêtement je n'y trouve rien à redire. C'est bien écrit, on ressent la lassitude du narrateur, de même qu'on s'imagine très bien dans quel genre de monde il vit. Mais l'originalité grrrrr...
 

DeletedUser

Guest
Je plaide coupable pour l'originalité ....

Il faut aussi savoir que j'ai fait ce texte en deux heures et je n'en suis pas particulièrement satisfaite d'ou mon envie de commentaires n_n

Et je plaide aussi coupable pour le fait que j'aurai pu faire plus poussé niveau technologie. :-o
 

DeletedUser16174

Guest
Alors retravaille ton texte. Comme je te l'ai par skype, il y a de quoi faire quelque chose de sympathique. Etoffe le background et je suis sûre que le manque d'originalité qui t'est reproché, en sera largement estompé. ;)
 

DeletedUser7903

Guest
Un texte rassemblant une bonne petite idée à exploiter ! A retravailler comme le souligne Athéna et je suis sûr qu'on aura quelque chose de surprenant ;)

Je me réveillais en sursaut, agacé par la sonnerie aiguë qui retentissait dans toute la chambre. Grommelant après ces fichus réveils automatiques je finiS par me lever et la sonnerie cessa dès que j'eus les deux pieds sur le sol de ma chambre. Une partie du mur s'alluma automatiquement et la présentatrice robot de la météo terrestre commença son monologue : « Nous sommes en l'an 7541, 52e [abréviation fautive dans sa forme ème] jour de l'année. Il est 6h30. Aujourd'hui, les basses sphères seront dans brouillard et l'humidité ».

-"Comme d'habitude", grognais-je tout en m'habillant machinalement.

Une combinaison anti-froid d'une couleur uniformément crème, une veste de la même teinte, la présentatrice continuait imperturbablement sa litanie, « En haut le ciel sera au beau fixe et le soleil tapera fort malgré quelques petits nuages de gaz violet, nous conseillons à la population des zones 52 et 64 de porter des masques aujourd'hui, des nuages toxiques survoleront également ces zones. », une paire de bottes, un masque, une fois que je fus prêt, je commandais la fermeture de mon placard par un claquement de doigts. La présentatrice ayant fini sa météo le mur-écran s'était éteint.

Je sortis alors de ma chambre et me dirigeai vers les cantines communes à tout mon bloc. Arrivé dans la cantine je pris un plateau et ma nourriture avant de m'asseoir seul à une table. Je vis de loin ma voisine, la femme de la chambre 964, s'approcher vers moi, son plateau à la main et un sourire aux lèvres. Elle vint s'asseoir à côté de moi en ne se formalisant pas de mon air renfrogné et de ma mauvaise humeur visible.

-"Bonjour Monsieur comment allez-vous aujourd'hui ?[, pas besoin de la , après le ?] dit-elle toujours le sourire aux lèvres.
- Hum ça peut aller," grognai-je dans un vain espoir de la décourager.

De toute évidence ce n'était pas mon caractère bourru qui allait la dissuader puisqu'elle se lança dans une discussion animée à propos de tout et de rien, du temps qu'il allait faire, du nuage de gaz qui allait survoler la section dans la journée, et de l'élection prochaine du nouveau Grand Maître de la Terre - d'en haut et d'en bas. Débattant seule des différents candidats en lice, de ce qu'ils pourraient apporter pour la Terre du Bas, et ce qu'ils tenteraient pour la Terre du Haut.

Ah oui, La Terre du Bas et la Terre du Haut, une belle connerie ça encore, diviser la Terre en deux... N'importe quoi. Comme si mettre les plus pauvres et les rebuts de la société en bas, là où la vie est atroce à cause des brouillards toxiques omniprésents et du manque de soleil allait arranger les choses. Et leur donner comme travail de trier les déchets eux aussi toxiques et dangereux des « gens d'en haut » était tout simplement inhumain. Même les plus pauvres de ceux d'en haut étaient mieux traités que les gens d'en bas, ceux laissés au ban de la société et haïs par tous comme les lépreux l'étaient aux balbutiements de la race humaine.

Les gens d'en haut racontaient des histoires à propos des gens d'en bas aux enfants méchants ou trop turbulents en les menaçant de les envoyer là-bas pour les dissuader de faire des bêtises. Des quasi-hommes vivants dans le noir des fondations supportant les constructions colossales qui permettaient aux gens d'en haut d'avoir du soleil et de l'air pur. Se ramassant sur la gueule toute la journée les vapeurs toxiques émises par les machines pour permettre à ces mêmes constructions de rester en équilibre et de faire vivre tout le monde d'en haut dans de bonnes conditions. Pauvres eux...

Le changement de Grand Maître terrestre ne changerait rien à la condition de vie d’en bas. Certes tous les candidats promettaient des améliorations des conditions de vie des Gens d'en Bas pour faire joli et motiver les électeurs à voter pour eux mais ils passaient toujours en second plan. Ils n'avaient même pas le droit de voter alors qu'importait ce qui [ leurs arrivaient = pouvaient leur arriver ]... On disait toujours que c'était de leur faute si ils étaient en bas... Mais grâce à la politique de la menace de "la descente en bas" les gens d'en Haut se tenaient tranquilles, les rares délinquants étaient très vite "descendus" et tout le monde travaillait dur pour ne pas risquer de manquer d'argent ou de laisser des impayés sous peine de devoir descendre aussi. Oh, oui le monde d'en Haut était bien beau ainsi débarrassé de tous les troubles fêtes ou autres gêneurs en tout genre.

Quant à la Terre du Haut.... Un monde divisé par sections, puis blocs, des centaines de personnes vivant recluses dans une pièce individuelle, deux pour les couples, tout le reste étant collectif, des cuisines aux douches en passant par les sanitaires.

Un peuple de moutons se réveillant tout les matins à la même heure, prenant le même petit déjeuné insipide, tous ensemble, avant d'aller au travail. Puis le soir la même chose, le retour dans son bloc, le dîner du soir, une douche puis retour dans sa chambre pour s'abrutir devant les émissions du soir sur la seule chaîne de projection du monde. Puis tous au lit, et tout ce petit monde se réveillait le lendemain matin, répétant inlassablement les mêmes gestes, le même travail tous les jours. Tellement abrutissant. C'était à se demander si en bas il n’était pas mieux loti, au moins ils sont libres de toutes contraintes et ils n'ont pas à...

-"Monsieur M. vous m'écoutez ? Monsieur M. ?
- Hum oui ?
- Vous étiez perdu dans vos pensées à ce que je vois, dit gentiment ma voisine, m'interrompant dans ma réflexion. Est-ce les élections prochaines qui vous rendent si pensif ?
- Certes, répondis-je machinalement.
- Et que pensez-vous du candidat que les sondages donnent gagnant ? Vous savez le dirigeant du Bloc 46 ?"

Je fus dispensé de répondre à ma voisine par la même sonnerie qui m'avait réveillé et qui retentissait cette fois-ci dans toute la cantine commune, signalant le départ général pour le travail.

-"Ho on doit déjà y aller ! Quel dommage, j'aurai tant aimé continuer cette discussion si intéressante avec vous ! Que diriez-vous de nous retrouver au repas de ce soir ?", conclut ma voisine avant de partir rapidement vers la sortie sans attendre ma réponse et avec un petit geste de la main à mon égard.

Je la regardais partir avec un froncement de sourcils puis sortit par la porte Sud de la cantine, me dirigeant vers la sortie et enfilant mon masque avant de franchir la porte qui me séparait de l'extérieur. Je rejoignis un module de vol aligné proprement, inséra ma carte électronique et rentra dans celui-ci. Le module décolla, ayant toutes les informations nécessaires au vol grâce à ma carte.

Je profitais du vol pour regarder l'extérieur à travers les parois vitrées du module. Quel paysage... Morne, constitué des mêmes bâtiments à perte de vue, tous carrés, tous alignés, toute végétation depuis longtemps disparue de la surface de la Terre. Les seules touches de natures artificielles que l'ont pouvait voir étant les plantes artificielles qui se trouvaient dans les cantines communes et l'unique plante se situant dans chaque chambre individuelle.

J'eus un gros soupir de découragement, j'aurais tellement aimé vivre à l'ancienne époque... Où la Terre n'était pas encore divisée et où il y avait encore de vraies plantes. Mon trajet vers mon lieu de travail touchait à sa fin, le module atterrit silencieusement comme des centaines d'autres modules atterrissant non loin du mien, tous alignés. Je sortis de mon module et récupérait ma carte. Je levais les yeux vers le grand bâtiment qui se dressait devant moi et qui n'était autre que mon lieu de travail.

"- Et bien c'est parti pour une journée comme les autres..." murmurai-je pour moi-même.

Quelques coquilles ...

« Nous sommes en l'an 7541, 52e jour de l'année. Il est 6h30. Aujourd'hui, les basses sphères seront dans brouillard et l'humidité ».

Il faudrait revoir rapidement la formulation météorologique et voir s'il ne manque pas un le avant brouillard ou s'il s'agit juste d'une formulation hasardeuse ?
 

DeletedUser11638

Guest
J'aurais pu faire le thème en 30s : O

La Terre a été définitement détruite en l'an 3657 lors de la 7ème Guerre Mondiale.

/me fuit au loin
 

DeletedUser16174

Guest
Non, parce qu'il aurait fallu que tu décrives l'hypothétique vie qui réside sur les cailloux issus de l'explosion.
 

DeletedUser

Guest
Peut-être bien que la vision pessimiste n'est pas des plus originales, mais il y a la petite touche personnelle d'Okami qui décrit le monde qu'elle a imaginer. Pour moi, c'est suffisant pour que le récit ne soit pas dans le manque d'originalité. On peut au contraire aimé lire la description de son monde.

Ensuite, Ombre, ton exemple avec la charrue et la navette spatiale n'en est pas un bon. Il s'agit de 2 choses complètement différentes. Pour ce qui est des techniques d’agriculture avec des outils manuels, nous en avons des automatiques, faciles d'utilisation, mais la différence n'est pas si grande que la charrue et la navette. Pour ce qui est de la navette, l'homme a toujours regarder l'espace, elle l'intriguait. Cependant, il avait d'autres préoccupations alors des investissements pour développer ce genre de choses étaient inutiles, alors il est normal que nous étions pas développer dans ce domaine.

Non seulement nous ne sommes pas aussi développer aussi rapidement que ton exemple le présume, mais nous investissons dans le développement de choses qui sont utiles à l'économie. Exemple simple : Nous aurions pu depuis longtemps aider les pauvres en Afrique,ce serait utile d'un point de vue humain pour sauver un nombre de vie incroyable, hélas cela ne rapporte aucunement de profit à l'économie des pays. C'est la même chose pour les investissements qui pourraient aider l'environnement, utiles pour l'humain, mais dévastateurs pour l'économie. Alors, avec quelques évènements, il serait possible d'envisager et d'expliquer le futur qu'Okami a envisagé.

"recycler l'air"
...l'air est formé d'une certaine manière, de plusieurs éléments (composite), notamment l'oxygène et le co², et une fois utilisée, par exemple lorsqu'on respire, sa composition (en % de chaque) est changée ! on ne peux donc pas recycler ce qui a été changer définitivement. Cependant, il y a une équilibre entre les différentes espèces qui permet une composition de l'air qui soit stable.

un autre petit détail...
j'aurai tellement aimé vivre à l'ancienne époque... Où la Terre n'était pas encore divisée
hu-humm...
là par contre, je ne suis pas d'accord. La Terre est divisé même de nos jours, et cela date depuis longtemps. Même dans les divisions (par exemple les pays, où le bien être varie de l'un à l'autre), il y a d'autres divisions, par exemple les classes sociales. Bref...

Ensuite, la contrainte du nombre de caractères n'a pas dû être facile. Okami a dû décrire tout un monde dans son récit avec un limite de mots très dure à respecter. On dirait plus un prologue qu'un récit, mais c'est tout de même agréable à lire.

Sinon, j'ajouterais que le texte est assez bien écris.... et que moi ça ne me dérangerait pas qu'une jolie voisine enthousiaste vienne me parler à tout les jours ^.^
 

DeletedUser

Guest
Merci Patoche pour les corrections :x J'en ai fait des fautes ._. Et la dernière phrase était bien une coquille, j'ai oublié le "le" ._.

@Nyctal : J'aime pas trop la vie des cailloux je préfère encore celle des humains désolée ! :-D

Je pense faire une suite à ce texte :) En un peu plus développé et avec moins de fautes (je l'espère :-D). J'ai pensé faire une suite au moment ou j'écrivait ce texte, je me suis sentie inspirée. ^^
 

DeletedUser

Guest
je dois avouer que la science fiction est mon point faible en écriture ^^, mais sinon:

Comme Ombre, je suis friand de nouveauté ^^ et là l'originalité est à travailler :)... Pourquoi toujours une terre dévastée, surpeuplée, et divisée en 2 classes seulement ?

Après, lord-riku a raison, cette situation est parfaitement possible, même s'il faut réfléchir aux conséquences. S'il n'y a plus de plantes, d'où vient le renouvellement de l'oxygène ?, et les animaux ?, et la nourriture servie à la cantine ? Si ceux d'en haut peuvent descendre, pourquoi ceux d'en bas n'ont jamais tenté une révolte ou du moins une possibilité de monter ^^ ?

L'écriture est néanmoins très agréable, et là-dessus c'est gagné. De plus, avec la limite de caractère, tu t'es très bien débrouillée ;-).

Bref, la forme est bien, maintenant faut bosser le fond !
 

DeletedUser

Guest
Comparaison charrue/navette spatiale je parlais niveau moyen de transport ^^ Tu avoueras qu'entre la roue et un réacteur capable de t'emmener dans l'espace, il y a un énorme bond technologique. J'aurais pu citer d'autres exemples, comme le passage du bronze à celui de nanotubes de carbone ultra résistants.

Il serait par exemple concevable qu'il y ait eu une régression technologique, comme après la chute de l'Empire romain en Europe. La charrue réinventée au Moyen Age n_n

Quant au recyclage de l'air, je parlais de sa purification, qui est déjà possible de nos jours... Tout simplement comme le font les arbres, tu consommes le carbone d'un coté et tu recraches de l'oxygène de l'autre.

Effectivement, pourquoi ne pas avoir parlé de la passionnante vie des blattes radioactives ? Ou des micro-organismes vivant dans les failles océaniques ? ça aurait été tellement original :eek:
 

DeletedUser

Guest
J'ai lu, j'ai relu, et je vais écrire. :D

Alors... Bon en dehors de petites choses qui manquent pour moi pour bien comprendre l'univers, comme par exemple l'absence de plantes, mais le fait qu'il y ait encore de l'air pour respirer, sans explication particulière.

Sinon, je regrette un peu ce manque d'originalité haut/bas, et sauf erreur de ma part, les gaz étant expansif, il se répandrait automatiquement dans tout l'air à disposition, et ne se terrerait donc naturellement pas en bas.

J'ai bien aimé l'intervention de la voisine de chambre, ça met un peu de soleil dans l'histoire, même si on se demande d'où elle peut trouver l'envie de sourire dans un tel univers...

Et mon dernier constat serait de savoir pourquoi, ou comment les gens d'en haut en sont venus à accepter une façon de vivre si militaire, parce que ça me semble aberrant, à moins qu'il y ait en place une force armée colossale.

En dehors de ces petites choses, ça se laisse lire sans trop de problème malgré les quelques fautes parsemées ci et là. ;)

Au final, la forme était là au vu des contraintes, mais pas le fond à mon goût. :)
 

DeletedUser

Guest
Sinon, je regrette un peu ce manque d'originalité haut/bas, et sauf erreur de ma part, les gaz étant expansif, il se répandrait automatiquement dans tout l'air à disposition, et ne se terrerait donc naturellement pas en bas.

Sauf que la la pression entre en haut et en bas est différente, et les gazs toxiques ici présents sont "lourds" (plus lourd que l'air) donc ils restent en bas. Un peu comme lorsqu'il y a un incendie : on dit que l'air frais est près du sol car la fumée plus légère monte "au dessus" de la couche d'air. Ici c'est la même chose mais à l'inverse :)


Et mon dernier constat serait de savoir pourquoi, ou comment les gens d'en haut en sont venus à accepter une façon de vivre si militaire, parce que ça me semble aberrant, à moins qu'il y ait en place une force armée colossale.

Mon idée était de parler de l'embrigadement de la population (mais au final c'est passé à la trappe ><), de plus la menace de descendre en bas les fait se contenter de ce qu'ils ont.
 

DeletedUser219

Guest
J'aime le texte, la mise en forme et l'histoire.

On ressent bien que certains passages démontre pas mal de chose de notre société actuel même si ce n'était pas voulu comme les riche en haut et les pauvre en bas.

On voit également que ce n'est pas parce que nous avons accès au confort que nous sommes bien en nous et que finalement ne rien avoir n'est pas plus mal car la liberté n'est pas contrôlé.
 
Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.
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