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4 choses clochent pour le secondaire :
- aucune participation des élèves, c'est le royaume du monologue : tu te tais, tu notes, plus tard, tu restitues. c'est le prof qui détient la vérité.
Inadapté pour les sauvageons actuels.
- le système est centré sur les profs, deux exemples : les emplois du temps ne sont pas fabriqués pour le bien-être de l'élève, mais en fonction des voeux des enseignants formulés en fin d'année.
Un seul stress pour celui qui fabrique l'emploi du temps, que les profs soient content de leur putain d'horaires : en gros lundi et vendredi de libre. Spour ça que depuis que vous êtes en 6ème, le mardi et le jeudi sont total blindés, c pour que Mme Michu agrégée puisse faire son marché le vendredi matin et son tennis le lundi. Je caricature à peine.
Deuxio on fait déplacer les gosses d'une salle à l'autre pour que M.X puisse avoir ses petits repères dans SA classe. Faut arrêter. Il est évident que ce sont les profs qui doivent se déplacer de classe en classe, c'est du bon sens et on gagnerait une place énorme.
On pourrait faire des bahuts avec moins de salle et pluss d'endroits pour la vie commune (salles d'expos, foyers et autres).
La pédagogie des langues est à revoir, on met le fric en l'air, 700 heures de première langue entre la 6ème et la terminale, pour savoir à peine dire quelques mots au final.
Il faut remplacer les 3 heures par 2 heures de conversation en demi groupe avec un assistant anglais qui sera bien content de faire 25 heures au smic et on maintient 1 heure de grammaire avec un vieux certifié à l'accent d'Oxford picardisant, on peut pas flinguer tout le monde non plus.
- renoncement collectif à faire respecter les règles de vie commune de base : on laisse cracher les élèves sans leur dire que dans un bureau ou une usine ça se fait pas. On banalise la violence verbale et physique entre élèves et sur le matos commun, toussa parce qu'on a honte de donner un balai à un gosse ou à lui faire ramasser sa merde. On préfère attendre que ce soit la vie qui lui donne des mandales, vers 16 ans quand il sera sorti du cocon éducatif.
Il suffirait de dire aux gosses qu'ils sont responsables de leur environnement et d'équiper chaque salle de 3 balais et d'un seau (50 euros) pour que le ménage soit fait en un quart d'heure par les gosses après les cours.
Ils claqueraient moins d'encre par terre et on ferait des écos monstrueuses.
On pourrait même réouvrir les chiottes dans les collèges de l'Oise, car pour l'instant ça chie à côté et des pauvres bougres sont encore payés pour ramasser.
A part ça, y'a rien à changer, ça flotte comme le Titanic sortant du port.
- aucune participation des élèves, c'est le royaume du monologue : tu te tais, tu notes, plus tard, tu restitues. c'est le prof qui détient la vérité.
Inadapté pour les sauvageons actuels.
- le système est centré sur les profs, deux exemples : les emplois du temps ne sont pas fabriqués pour le bien-être de l'élève, mais en fonction des voeux des enseignants formulés en fin d'année.
Un seul stress pour celui qui fabrique l'emploi du temps, que les profs soient content de leur putain d'horaires : en gros lundi et vendredi de libre. Spour ça que depuis que vous êtes en 6ème, le mardi et le jeudi sont total blindés, c pour que Mme Michu agrégée puisse faire son marché le vendredi matin et son tennis le lundi. Je caricature à peine.
Deuxio on fait déplacer les gosses d'une salle à l'autre pour que M.X puisse avoir ses petits repères dans SA classe. Faut arrêter. Il est évident que ce sont les profs qui doivent se déplacer de classe en classe, c'est du bon sens et on gagnerait une place énorme.
On pourrait faire des bahuts avec moins de salle et pluss d'endroits pour la vie commune (salles d'expos, foyers et autres).
La pédagogie des langues est à revoir, on met le fric en l'air, 700 heures de première langue entre la 6ème et la terminale, pour savoir à peine dire quelques mots au final.
Il faut remplacer les 3 heures par 2 heures de conversation en demi groupe avec un assistant anglais qui sera bien content de faire 25 heures au smic et on maintient 1 heure de grammaire avec un vieux certifié à l'accent d'Oxford picardisant, on peut pas flinguer tout le monde non plus.
- renoncement collectif à faire respecter les règles de vie commune de base : on laisse cracher les élèves sans leur dire que dans un bureau ou une usine ça se fait pas. On banalise la violence verbale et physique entre élèves et sur le matos commun, toussa parce qu'on a honte de donner un balai à un gosse ou à lui faire ramasser sa merde. On préfère attendre que ce soit la vie qui lui donne des mandales, vers 16 ans quand il sera sorti du cocon éducatif.
Il suffirait de dire aux gosses qu'ils sont responsables de leur environnement et d'équiper chaque salle de 3 balais et d'un seau (50 euros) pour que le ménage soit fait en un quart d'heure par les gosses après les cours.
Ils claqueraient moins d'encre par terre et on ferait des écos monstrueuses.
On pourrait même réouvrir les chiottes dans les collèges de l'Oise, car pour l'instant ça chie à côté et des pauvres bougres sont encore payés pour ramasser.
A part ça, y'a rien à changer, ça flotte comme le Titanic sortant du port.
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