Rixme

  • Auteur de la discussion Wervel
  • Date de début
Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.

DeletedUser

Guest
Faible, esseulé me laisse en effet cette rose
Malgré toutes mes pensées au travers de ma prose.
Tel le drame d’un volcan de tendresse délaissé
Je me lamente désormais de cette complicité brisée.
 
Dernière édition par un modérateur:

DeletedUser43193

Guest
S'est-il perdu dans les méandres de la tristesse?
Aurais-t-il lâché prise?
Je doute car bien que je le connaisse,
Sa réponse est une bien grande surprise.
 

DeletedUser

Guest
prison qu'est le cœur enfermant tant d'espoirs
lesquels brisés ne nous font plus rêver
dans son malheur il ne doit pas se laisser choir
car l'amour est dans le pré :rolleyes:

PS: Bon ok c'était facile, j'ai pas pu résister xD
 
Dernière édition par un modérateur:

DeletedUser43193

Guest
Présentées ainsi les choses ne paraissent,
Mais dans le coeur blessé de notre barbare,
Se déchaîne je pense un ouragan de détresse,
Un coeur qui pourtant est bien loin d'être avare.
 

DeletedUser

Guest
Etrave arriviste dans ces eaux belliqueuses,
Chaque tirade ici est simpliste ou mielleuse.
Où sont donc vos combatives pulsions ?
Ou à défaut, où est votre imagination ?!
 

DeletedUser42587

Guest
Imagine, Nation guerrière, tes lettres de noblesse
Ton cœur vaillant et fier dirigeant ton bras aguerri,
éloignant, de tes plumes toutes ces mièvreries.
Soit subtile et réfléchie dans tes élans de hardiesse.

[SPR]Il est énervant de justesse ce Wervel :-o
Et passer juste après ... c'est moche[/SPR]
 
Dernière édition par un modérateur:

DeletedUser

Guest
Dix espiegleries sur un fond de maturité,
Voilà ce que cette rixme aurait bien mérité.
Chassez donc ses pensées abstraites qui s'enchaînent,
Que la rixe commence, que les coups se déchaînent !
 

DeletedUser43193

Guest
Des chaînes tu ne seras pas prêt d'en manquer,
Au fond tu cachot dans lequel je vais te précipiter,
Très vite tu n'aura non plus soif de souffrance,
Quand à la vue du sang j'entrerais en transe!
 

DeletedUser

Guest
Entre en silence devant moi, morveux,
Tu appelles la souffrance de tes vœux ?
J'ai passé l'âge de craindre les ténèbres et le sang,
Ainsi que ceux qui ne sont plus rien, une fois sans.
 

DeletedUser43193

Guest
Cent fois je pourrais t'apprendre que la souffrance s'inflige par bien des manières,
Que tout n'est question que de savoir faire,
Mais je n'ai ni l'envie ni le temps,d'apprendre à un faible arrogant,
Qui crois que sans armes, fils et barbelé, nous ne pouvons le piétiner.
 

DeletedUser

Guest
Yéti né à une époque qui lui est révolue,
Tu crois donc au thème que tu t'es dévolu.
Comme si la noirceur était un manteau sécurisant,
Alors qu'infantile, futile, il t'est juste dévalorisant.
Retourne dans l'ombre, toi qui ne veut instruire.
Et médite que le noir n'est bien que pour dormir.
 

DeletedUser

Guest
Pour d'or miroitant, je ne quitterai les ténèbres ;
C'est là que git l'empire des rêves, à l'imagination princière.
Il n'en est pas moins un enseignant, qui n'a rien de funèbre.
Qui méprise l'ombre, est peut-être trop aveuglé par sa propre lumière !
 

DeletedUser

Guest
Mièvre pensée que de louer les vertus des ombres,
Qui paraissent peu de choses hors de la pénombre.
J'ai suffisamment suivi mes rêves dans leur principauté,
Pour voir qu'ils sont bien peu de chose face à la réalité.
Les rêves sont peut-être princes en leur domaine,
Mais soumis ou fuyants devant la vie, leur reine.
 

DeletedUser2929

Guest
L'heure règne au quotidien mais insoumis sont les songes,
Qui, intemporels vagabondent puis dans la nuit s'allongent,
Nous délivrant des supplices éternels de l'aube au crépuscule,
Là-bas les délices de l’irréel irriguent les esprits occultes.
 

DeletedUser

Guest
Au culte de l'irréel il faut cependant renoncer,
Si l'on veut une vrai vie pouvoir commencer.
Tu fais des illusions de la nuit le meilleur d'un jour d'été ?
Celui-ci doit être bien triste, ou seulement mal exploité...
 

DeletedUser

Guest
A l'exploit téméraire de rêver sans vivre, faut-il donc préférer
Un espoir fabulaire d'une vie aussi bien que rêvée ? J'ose conférer
Aux vagabondages de l'esprit sous une nuit étoilée, l'éclat d'un soleil
Dissipant toute morosité, et qui à tout jour d'été n'a nulle autre pareil.
 
Dernière édition par un modérateur:

DeletedUser

Guest
Au trépas rayonnant, mais sans plus d'avenir,
Qu'est le temps passé dans de feints souvenirs,
Je préfère garder mes rêves, mais à leur juste place :
Présents dans ma vie, mais qui jamais ne la remplacent.
 

DeletedUser

Guest
J'amène la rampe, lace tes souliers vernis,
Savoure le triomphe d'un piédestal mérité ;
Je m'avoue vaincu ! Il est une flamme dont je n'ai pas hérité,
C'est celle d'une vie que jamais le rêve ne ternit.
 

DeletedUser

Guest
Ne te renie pas pour autant, ami.
Rêver sans vivre m'est une infamie.
Mais c'est un choix, une vision personnelle,
Une façon d'être qui se veut intentionnelle,
Et dont j'ai franchi le seuil.

Je ne veux l'imposer à un autre,
Peut-être juste en être l'apôtre,
Regrettant de voir d'inconscients rêveurs,
Passer à coté d'une vie qui pourrait la leur
Pour peu qu'ils le veuillent.
 

DeletedUser

Guest
Veuillez trouver ci-joint avec ces quelques vers
Une façon de penser un peu passée de mode ;
De ma vie j’ai soustrait les moments incommodes
Et entassés stockés dans une boite en verre.

Mais ils la malmènent et tels des esprits vengeurs
Reviennent me hanter seuls ou accompagnés
Par la noire tristesse et ses pleurs en poignées
Ou bien le désespoir abject et ravageur.

La boite ne veut pas demeurée sous scellé ;
Elle se débat pour conserver le droit
De s’ouvrir sur un monde assombri par le froid
Où le néant remplace un éther constellé.

Mes rares rêves en sont les courageux gardiens,
Qui la tiennent fermée par une magie pure
Une innocence que le temps qui passe épure ;
Mais c’est là un combat intense et quotidien.
 
Dernière édition par un modérateur:
Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.
Haut