DeletedUser
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[ 20 ans en arrière ]
Au temps où les rois n'avaient de cesse d'étendre leur empire par delà les îles et les mer, un soir où les dieux étaient déchainés, où le ciel crachait la colère de Zeus, où les vagues s'élevaient tel des colosses déchirant l'horizon sous la main de Poséidon, où la mort pris possession de la mer reflétant les cadavres de ses soldats partis pour les enfers, Un bateau bravait la tempête sous les pleurs des cieux.
Celui de Léhos, roi de la cité de Dorus, de retour après de long mois passés a guerroyer dans les mers du nord.
C'est ainsi qu'il retrouva ses terres, bercé par la colère des Dieux, après une défaite humiliante qui ne lui apporta que Haine et déshonneur. Le cortège de soldats qui l'accompagnait n'était que le reflet d'une bataille sans merci, où, selon le roi, seuls les blessés et les lâches s'en étaient sortis.
Le fracas de leur pas sur les pavées sortait les villageois de leurs sommeil, qui se penchèrent a leur fenêtre afin de regarder passer le cortège au feux des torches sans mot dire.
La honte et la colère se lisait sur le visage de Léhos alors que la douleur et la tristesse entaillaient celui de ses hommes.
Son regard était connu de tous, celui habité par Hadès, celui d'où ne surgit que violence laissant de coté l'amour et l'humanité.
C'est sous des trombes d'eau que le roi se présenta aux portes de son palais, accueilli par le regard apeuré de sa femme du haut de la fenêtre de leur chambre, serrant leur fils âgé de quelques mois dans ses bras.
Connu pour être un époux violent lors de ses mauvais jours, la reine se rendit d'un pas hésitant à la rencontre du roi. Ne lui adressant aucunes paroles, il passa outre l'effort de sa femme et continua sa route dans le sanctuaire destiné aux dieux.
La pluie qui s'éternisait sur son armure et sa cape, faisait couler sa honte sur le sol du palais rendant humide ses pas.
Une fois la porte claquée, Hélène accompagnée de son enfant posa délicatement son oreille contre afin de surveiller les faits de son roi.
Son coeur était aussi noir que les paysage dehors, sa bouche prononçait bon nombre de menaces en vers l'Olympe compléter par le vacarme que faisait les coupes et assiettes en or en heurtant le sol.
Ne pensant qu'a la gloire, la richesse, et le pouvoir, et n'ayant plus d'armée, le roi pleurait les larmes de son corps, faisant crier la lame de son épée sur les piliers en pierre qui habitaient le sanctuaires ainsi que les offrandes en criant le sacrifice de son fils unique en échange d'un soutient Divin.
Entendant la nouvelle la reine partit en courant en direction de l'entrée du palais, appela sa gouvernante chargé de sa toilette et aussi confidente a ses heures perdues, et lui confia l'enfant ainsi qu'une bourse remplie de pièces d'or.
Trônant sur les marches du palais, elle regardait la lueur de la torche les descendre et s'engouffrer dans les rues en direction du port, resserrant les dents au fur et a mesure que les pas du roi se rapprochaient d'elle.
Arrivé a sa hauteur, Léhos agrippa l'avant bras de sa femme, et, le regard noir, le visage grimaçant lui dit :
Où est il ?!!!
Essayant de se débattre en martelant son visage de gifles, ne le quittant pas des yeux, la reine se refuser de le lui dire leur laissant ainsi du temps pour fuir ces terres.
Léhos, reconnu pour ne pas connaitre le mot "Patience", frappa Hélène qui tomba a terre, et après s'être penché sur elle et lui avoir pris le cou dans sa main droite lui redit :
Où est il ?!!!
Regardant du coin de l'oeil la mer qui s'était calmée, elle aperçut la lueur de la torche sur l'eau faisant route vers des terres meilleurs et ses yeux se mirent a sourire avant de répondre :
Ton fils est partit scellant ainsi ta destiné de roi maudit !
Fou de rage il resserra son étreinte autour de son cou, la releva, et, accompagnant le tonnerre de Zeus par un cri, dégaina son épée et avant de la planter dans le ventre de sa reine.
La tête sur l'épaule de Léhos, elle regardait la ville éteinte devant elle, repensant a tous ces moments de peur et de douleur que lui avait apporté se mariage, et alors que son ventre et ses lèvres coulé du sang, elle reposa son regard sur la lueur de son fils, sourit en coin et murmura dans les cheveux du roi qui volaient sous les vents :
Adieu.
Au temps où les rois n'avaient de cesse d'étendre leur empire par delà les îles et les mer, un soir où les dieux étaient déchainés, où le ciel crachait la colère de Zeus, où les vagues s'élevaient tel des colosses déchirant l'horizon sous la main de Poséidon, où la mort pris possession de la mer reflétant les cadavres de ses soldats partis pour les enfers, Un bateau bravait la tempête sous les pleurs des cieux.
Celui de Léhos, roi de la cité de Dorus, de retour après de long mois passés a guerroyer dans les mers du nord.
C'est ainsi qu'il retrouva ses terres, bercé par la colère des Dieux, après une défaite humiliante qui ne lui apporta que Haine et déshonneur. Le cortège de soldats qui l'accompagnait n'était que le reflet d'une bataille sans merci, où, selon le roi, seuls les blessés et les lâches s'en étaient sortis.
Le fracas de leur pas sur les pavées sortait les villageois de leurs sommeil, qui se penchèrent a leur fenêtre afin de regarder passer le cortège au feux des torches sans mot dire.
La honte et la colère se lisait sur le visage de Léhos alors que la douleur et la tristesse entaillaient celui de ses hommes.
Son regard était connu de tous, celui habité par Hadès, celui d'où ne surgit que violence laissant de coté l'amour et l'humanité.
C'est sous des trombes d'eau que le roi se présenta aux portes de son palais, accueilli par le regard apeuré de sa femme du haut de la fenêtre de leur chambre, serrant leur fils âgé de quelques mois dans ses bras.
Connu pour être un époux violent lors de ses mauvais jours, la reine se rendit d'un pas hésitant à la rencontre du roi. Ne lui adressant aucunes paroles, il passa outre l'effort de sa femme et continua sa route dans le sanctuaire destiné aux dieux.
La pluie qui s'éternisait sur son armure et sa cape, faisait couler sa honte sur le sol du palais rendant humide ses pas.
Une fois la porte claquée, Hélène accompagnée de son enfant posa délicatement son oreille contre afin de surveiller les faits de son roi.
Son coeur était aussi noir que les paysage dehors, sa bouche prononçait bon nombre de menaces en vers l'Olympe compléter par le vacarme que faisait les coupes et assiettes en or en heurtant le sol.
Ne pensant qu'a la gloire, la richesse, et le pouvoir, et n'ayant plus d'armée, le roi pleurait les larmes de son corps, faisant crier la lame de son épée sur les piliers en pierre qui habitaient le sanctuaires ainsi que les offrandes en criant le sacrifice de son fils unique en échange d'un soutient Divin.
Entendant la nouvelle la reine partit en courant en direction de l'entrée du palais, appela sa gouvernante chargé de sa toilette et aussi confidente a ses heures perdues, et lui confia l'enfant ainsi qu'une bourse remplie de pièces d'or.
Trônant sur les marches du palais, elle regardait la lueur de la torche les descendre et s'engouffrer dans les rues en direction du port, resserrant les dents au fur et a mesure que les pas du roi se rapprochaient d'elle.
Arrivé a sa hauteur, Léhos agrippa l'avant bras de sa femme, et, le regard noir, le visage grimaçant lui dit :
Où est il ?!!!
Essayant de se débattre en martelant son visage de gifles, ne le quittant pas des yeux, la reine se refuser de le lui dire leur laissant ainsi du temps pour fuir ces terres.
Léhos, reconnu pour ne pas connaitre le mot "Patience", frappa Hélène qui tomba a terre, et après s'être penché sur elle et lui avoir pris le cou dans sa main droite lui redit :
Où est il ?!!!
Regardant du coin de l'oeil la mer qui s'était calmée, elle aperçut la lueur de la torche sur l'eau faisant route vers des terres meilleurs et ses yeux se mirent a sourire avant de répondre :
Ton fils est partit scellant ainsi ta destiné de roi maudit !
Fou de rage il resserra son étreinte autour de son cou, la releva, et, accompagnant le tonnerre de Zeus par un cri, dégaina son épée et avant de la planter dans le ventre de sa reine.
La tête sur l'épaule de Léhos, elle regardait la ville éteinte devant elle, repensant a tous ces moments de peur et de douleur que lui avait apporté se mariage, et alors que son ventre et ses lèvres coulé du sang, elle reposa son regard sur la lueur de son fils, sourit en coin et murmura dans les cheveux du roi qui volaient sous les vents :
Adieu.