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Il y a quelques jours, quelque part près de Zazapolis
"Messire, on nous attaque !"
"Capitaine Yílippos, je suis loin d'être un sire mais passons qui est le fou qui ose s'aventurer sur nos terres ?"
"Un certain Mithridate, c'est votre dauphin il appartient à une alliance d'ile très puissante d'après ses dires"
"Avec 177 confédérés on en attends pas moins non ? Bon dites aux hommes de partir prélevez la taxe, armez les citoyens ils ont besoin d'un peu d'entrainement. Mettez le fanatique Valérios en première ligne, si il pouvait lui arriver malheur, ça nous soulagerait."
La milice armée, l'armée conventionnelle envoyée, les Zazapolisiens étaient prêts à recevoir Mithridate
Après avoir enterré leurs morts, les Zazapolisiens écoutèrent leur seigneur :
"Citoyens, aujourd'hui nombre de vos frères sont tombés pour défendre notre cité, en particulier Valérios, cet homme qui vouait sa vie à Zeuz. Ils seront vengés, gardez simplement à l'esprit que ces hommes ont été courageux et qu'il vous ont sauvés, je décrète une journée de deuil. Gloire à Zazapolis"
*en chœur* " Gloire à Zazapolis"
Le temps passa et aucune contre attaque n'était en préparation, le peuple commençait à douter de son chef
"Messire la grogne monte, vous n'avez toujours pas versé le sang de nos ennemis, vous devriez envoyer les plus vindicatifs dans un bateau de colonisation, ce serait l'occasion pour nous de fonder une autre cité et de se séparer de ces troublions."
"Vraiment ? Vous voulez peut être qu'on prenne possession des villages environnants ? Vous avez vu leur développement ce serait ruiner notre économie, combien de cavaliers ne sont pas partis prélever la taxe chez les paysans ?"
"Une centaine monseigneur, je leur donne l'ordre d'arrêter vos opposants ?"
"Capitaine , capitaine, ce ne sont pas "mes" opposants, je leurs ai promis une chose, je vais tenir cette promesse, prenez la tête de ces cavaliers et tuait le plus de monde !"
"A vos ordres chef !"
Le détachement du capitaine Yílippos partit en quête de l'armée ennemi , la trouva et la réduisit en cendres
Le travail était fait, le reste importait peu ...
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"Messire, on nous attaque !"
"Capitaine Yílippos, je suis loin d'être un sire mais passons qui est le fou qui ose s'aventurer sur nos terres ?"
"Un certain Mithridate, c'est votre dauphin il appartient à une alliance d'ile très puissante d'après ses dires"
"Avec 177 confédérés on en attends pas moins non ? Bon dites aux hommes de partir prélevez la taxe, armez les citoyens ils ont besoin d'un peu d'entrainement. Mettez le fanatique Valérios en première ligne, si il pouvait lui arriver malheur, ça nous soulagerait."
La milice armée, l'armée conventionnelle envoyée, les Zazapolisiens étaient prêts à recevoir Mithridate
Après avoir enterré leurs morts, les Zazapolisiens écoutèrent leur seigneur :
"Citoyens, aujourd'hui nombre de vos frères sont tombés pour défendre notre cité, en particulier Valérios, cet homme qui vouait sa vie à Zeuz. Ils seront vengés, gardez simplement à l'esprit que ces hommes ont été courageux et qu'il vous ont sauvés, je décrète une journée de deuil. Gloire à Zazapolis"
*en chœur* " Gloire à Zazapolis"
Le temps passa et aucune contre attaque n'était en préparation, le peuple commençait à douter de son chef
"Messire la grogne monte, vous n'avez toujours pas versé le sang de nos ennemis, vous devriez envoyer les plus vindicatifs dans un bateau de colonisation, ce serait l'occasion pour nous de fonder une autre cité et de se séparer de ces troublions."
"Vraiment ? Vous voulez peut être qu'on prenne possession des villages environnants ? Vous avez vu leur développement ce serait ruiner notre économie, combien de cavaliers ne sont pas partis prélever la taxe chez les paysans ?"
"Une centaine monseigneur, je leur donne l'ordre d'arrêter vos opposants ?"
"Capitaine , capitaine, ce ne sont pas "mes" opposants, je leurs ai promis une chose, je vais tenir cette promesse, prenez la tête de ces cavaliers et tuait le plus de monde !"
"A vos ordres chef !"
Le détachement du capitaine Yílippos partit en quête de l'armée ennemi , la trouva et la réduisit en cendres
Le travail était fait, le reste importait peu ...
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