DeletedUser
Guest
J'ai vu mais ça ne m'inspire mais alors pas du tout, du tout, du tout :s
(mais si tu écris bien ;-) )
(mais si tu écris bien ;-) )
Comme prévu lors du contact, le message racontant les derniers instants a été directement envoyé par l’ordinateur de bord en direction de la Terre. Si jamais quelque chose devait m’arriver, au moins ce message raconterait mes derniers moments. Ce n’était pas forcément réconfortant, mais tout de même, on pourrait peut-être savoir ce qu’il s’était produit si jamais je venais à mourir.
Revêtir la combinaison dans cet espace exigu fut la pire expérience de ma vie. Déjà que sur Terre elle était encombrante, imaginez-vous en train de la porter dans un placard à balai. Mettre une jambe après l’autre, se glisser ensuite sous le plastron tout en glissant les bras dans les protections. Et laisser le système robotique assembler les dernières parties, le laisser vérifier l’étanchéité de la combinaison. Ramasser le casque, le mettre. Entendre le clic et tester à nouveau l’étanchéité complète de la combinaison. En tout et pour tout, vingt longues minutes. Enclencher le système d’enregistrement vocal.
" Système vocal enclenché : suite du journal du 28 mars. La combinaison est entièrement sécurisée Houston. Ce fut juste rude et exténuant de la mettre, mais maintenant tout est bon. J’ordonne à présent au système de me descendre au niveau du sas, de façon à ce que je puisse pénétrer dans l’OSI #1.
Ouverture interne du sas. Je rentre à l’intérieur. Le système verrouille automatiquement la porte derrière moi comme prévu. L’analyse de la composition atmosphérique de l’OSI révèle la présence de carbones, souffre et nitrate. L’oxygène y ait également présent, mais à un taux inférieur à deux pour cent.
L’atmosphère du vaisseau est extraite pour remplir mon sas, de façon à ce que je n’emporte aucune souche virale avec moi. La seconde porte s’ouvre.
Je pénètre dans l’objet Houston.
L’intérieur est sombre avec une légère lueur bleuâtre. J’active la sonde lumineuse pour y voir plus clair.
Oh mon … C’est impressionnant, Houston … Incroyable. L’objet semble être un vaisseau, construit en une seule et même matière. Une sorte de composé carboné simili métal. Toutefois, ce n’est pas du métal. Je prélève un échantillon.
Aussi loin que mon regard porte, je ne vois aucune ligne droite, aucun angle. Tout est rond, arrondi. Même les portes, si ce sont bien des portes, sont rondes. Je vais voir si je peux trouver quelque chose d’intéressant.
Je me trouve dans une grande salle. Plus ou moins au centre de celle-ci se trouve une sorte de console … je présume. Je vais voir si je peux en tirer quelque chose.
C’est incompréhensible. Tout du moins actuellement. Houston, je prends quelques photos, que j’envoie dans la base de données de l’ordinateur. Je vais continuer d’inspecter l’intérieur. "
L’intérieur du vaisseau était vraiment impressionnant, incroyable et complètement impossible à comprendre. La disposition était aléatoire, de petites salles s’emboîtant avec des grands, ou des plus petites. Et le tout sans aucune ligne droite, sans aucun angle.
" Cette salle est différente. Il y a au centre, trois … longues caisses. Je vais m’en approcher. On dirait comme une sorte de couvercle au dessus, mais impossible de voir à travers. C’était comme s’il y a avait du brouillard. Ça ne peut pas … attendez. C’est impossible …
Houston … ce sont des extraterrestres. "
Copyright Patoche2404
Hum, des petites précisions :
en planchant sur le texte, j'aimerais savoir à quoi correspond le style d'heroic fantasy ? Je me demande si ce n'est pas, plus largement, un genre plus qu'un style.
Ensuite, il est dit que le texte ne doit pas être inchangé, mais peut-on faire de nombreux ajouts ? (avant ou après par exemple, mais pas pendant par contre)
Comme prévu lors du contact, le message racontant les derniers instants a été directement envoyé par l’ordinateur de bord en direction de la Terre. Si jamais quelque chose devait m’arriver, au moins ce message raconterait mes derniers moments. Ce n’était pas forcément réconfortant, mais tout de même, on pourrait peut-être savoir ce qu’il s’était produit si jamais je venais à mourir.
Revêtir la combinaison dans cet espace exigu fut la pire expérience de ma vie. Déjà que sur Terre elle était encombrante, imaginez-vous en train de la porter dans un placard à balai. Mettre une jambe après l’autre, se glisser ensuite sous le plastron tout en glissant les bras dans les protections. Et laisser le système robotique assembler les dernières parties, le laisser vérifier l’étanchéité de la combinaison. Ramasser le casque, le mettre. Entendre le clic et tester à nouveau l’étanchéité complète de la combinaison. En tout et pour tout, vingt longues minutes. Enclencher le système d’enregistrement vocal.
Choisissez (ou écrivez) une histoire infiniment banale.
Extrait de : http://www.oulipo.net/contraintes/document19637.html[/SIZE]