la grande bretagne n'y perdra pas au niveau europeen ; je pense que ca reste moyen de se faire entendre
Erasmus et autre projet secondaire de ce type ? (attention je dis secondaire dans le sens pour l'economie d'un pays ou une zone comme l'Europe) ca ne changera pas grand chose. Les universités britanniques restent et demeureront attractives par les moyens donnes a leurs étudiants (si ca n'a pas changer, commence a me faire vieux ptdr). J'ai été etudiant (mes belles annees ^^) et j'ai etudie a l'etranger : ce qui m'a importe le plus a été les relations entre fac et pas Erasmus : quand un etudiant veut partir il ira s'il s'en donne les moyens. J'ai etudie au Japon : pas d'Erasmus, l'argent : j'ai fais un credit et negocie pour le rembourser une fois mes etudes finies. Non pas de parents avec salaires (j'avais les bourses au max pour donner une indication sur mes moyens financiers). Tout simplement un etudiant pour une banque est un investissement enorme et une securite quelque part (bien sur j'ai pas eu le credit au debut de mes etudes mais fais quand je suis arrive en maitrise donc pour mon bac +4 et +5), donc pour une banque j'etais déjà un "projet viable".
Ce n'est donc pas Erasmus qui m'a importe mais les relations que j'avais pu créer (je m'etais spe ou du moins je tendais a cela des ma premiere annee) et que mon universite avait créer avec des enseignants et des universités au japon. La ca m'a beaucoup plus aide que juste Erasmus.
Donc l'Angleterre ne perdra pas son attractivite vu les moyens donnes a ces étudiants vis a vis des universités en europe (notamment francaise). A cote de cela pour en rester au projet Erasmus, le supprimer sera t il plus un inconvenient pour les jeunes britanniques ou pour les jeunes européens desirant etudier en angleterre ? ce type de projet restera. C'est en cela ou je dis l'Angleterre pourra renegocier sans trop y perdre et sans que personne ne desire rompre réellement les echanges.
Le vrai soucis pour le Royaume-Uni est un retour des idees de separation de la part de l'Irlande et de l'ecosse : idees jamais abandonnees mais qui restaient en sommeil, un peu comme nous avec les corses. Et la qui pourrait reprendre le chemin politique et redevenir un des sujets sur la scene.
Mais la sortie de l'Europe ne sera pas une veritable sortie comme tout le monde l'entend : on ira pas rompre nos echanges comme cela, il restera des relations.
Pour le monde financier, oui comme pour l'economie reelle : il y aura un choc mais pour le monde financier ceci sera un fait normal et de plus dans la vie des spéculateurs. Une fuite de la bourse de londres ? j'y crois pas trop
On parle beaucoup d'une sortie qui sera la fin du monde pour l'Angleterre comme si elle allait se retrouver seule : en gros on annonce plus aucune relation, plus aucun accord du jour au lendemain. Ca ne sera jamais cela : on a meme des relations avec les pays diriges par des dictateurs ^^ (bon ok parfois ce sont les occidentaux qui les ont mis en place ^^).
L'Angleterre subira a court terme des effets politiques, économiques, touristiques sans doute aussi si elle sort mais ca restera que du court terme, je ne crois pas qu'a long terme ca sera un effondrement de leur economie. Donc je ne crois pas que les places financieres bougeront comme cela : on a déjà cru pouvoir la recuperer lors du passage a l'euro et que l'Angleterre avait refuse, Euronext n'a pas été fait uniquement en disant plus simple vu que l'Europe est grande ^^ : il y avait un objectif derriere. Et la place est reste anglaise ^^.
La sortie de l'Angleterre est un pied de nez pour moi a tous ceux qui veulent une europe bureaucratique et donc plus un non a une europe dirige par bruxelles. Le veritable soucis de leur sortie n'est pas pose : on se focalise sur l'avenir de l'Angleterre mais sans regarder le pourquoi ? l'Angleterre dit non a ceux que tous disent non : une perte d'autonomie, et etre dirige non pas par des politiques mais par des hauts fonctionnaires. Je pense que le veritable enjeu est la et pause de nouveau la veritable question : que voulons nous comme europe ? il faut des hauts fonctionnaires qui ont en charge des dossiers dans la duree, mais comment concilier cela avec des politiques des différents pays. La question de la sortie est plus a se redemander que faire .
la le debat a été mis sur l'Angleterre et on evite ainsi de parler des raisons de sa sortie : bien sur reste des raisons liees a l'identite nationales mais pas que cela je pense.
Donc je ne pense pas que l'Angleterre subira un contre choc et une descente aux enfers sur le long terme (a court terme tout le monde le reconnais mais la c'est logique) ; personne ne fermera totalement sa porte aux anglais.
Et apres tout cela , si le non l'emportait ^^ : nos chers dirigeants t'en aime et adore (xd) se pencheront ils vraiment sur les raisons de cela ou alors en retourneront ils a leur petit train train quotidien et a leurs propres intérêts.
Donc la sortie qu'elle se fasse ou non ne changera pas vraiment : la sortie d'autres pays, je pense plus aux pays du nord, mais en ont ils vraiment l'interet ? déjà dit pour les autres pays plus haut.
Ceci est un pied de nez a l'Europe telle qu'elle se construit et une facon a l'Angleterre de se faire entendre : qu'elle reste ou sorte on ne verra plus je pense au niveau des discussions entre hommes politiques l'Angleterre de la meme facon. Mais le cataclysme tend redoute ou desire par certains pour ne pas qu'elle sorte : pas sur qu'il se fasse. Je maintien que personne n'ira rompre totalement ses echanges avec le royaume uni. Effet conjoncturel : c'est sur mais l'economie britannique sait se relever et a la difference des pays comme la France ou l'allemagne qui n'ont que des partenaires commerciaux, le Commonwealth est plus que de simple partenaire pour l'Angleterre donc sa zone economique est déjà plus grande.
Ca reste un joli pied de nez a tous comme l'Angleterre a déjà su en faire a l'Europe depuis sa creation, a la difference que la nos dirigeants pensent tellement qu'a eux qu'ils ne cherchent pas ou ne veulent pas discutter sur les véritables causes de tout cela
et pourquoi s'en faire : le mot de la fin reste a notre president : ca va mieux, tout va mieux (alors pourquoi chercher plus loin ptdr)