J'ai eu raison de l'OTAS ? Ah bon ? L'OTAS n'est plus ?
Il faut rester un minimum logique : si l'OTAS n'est plus (encore faut-il confirmer ça), c'est uniquement la conséquence d'une succession de décisions et de déclarations des membres de l'OTAS.
Quand un scandale ou un échec frappe une organisation, soit le chef de cette organisation démissionne, soit, quand il n'y a pas de chef (donc pas de bouc-émissaire possible), c'est l'organisation qui se (est) dissout(e).
Ni moi, ni personne d'autre d'extérieur à l'OTAS n'a causé de tords à l'OTAS. Faut-il rappeler encore une fois que la décision, hier, d'accepter dans une structure démocratique des alliances qui n'ont pas la philosophie de l'OTAS rendait possible la survenue du scandale d'aujourd'hui ? Faut-il rappeler ce pourquoi l'OTAS a été créée ? Faut-il rappeler que l'OTAS n'était pas, initialement, qu'un outil de dissuasion, mais aussi une force de représailles et un outil de défense ?
Je ne peux, à mon niveau, que vous inciter à repartir sur des bases plus saines, plus claires, et des objectifs et principes plus élémentaires, afin de créer une organisation qui, cette fois, assurera ses fonctions pleinement, et non à demi-mesures, en fonction de la tête du client.
Merci beaucoup.
Extrait du discours de John Star, au sommet de l'Himalaya.