Votes du Concours de Janvier 2011

  • Auteur de la discussion Memosia
  • Date de début

Votez pour votre texte préféré

  • Texte n°1

    Votes: 28 54,9%
  • Texte n°2

    Votes: 4 7,8%
  • Texte n°4

    Votes: 1 2,0%
  • Texte n°5

    Votes: 6 11,8%
  • Texte n°6

    Votes: 1 2,0%
  • Texte n°7

    Votes: 2 3,9%
  • Texte n°8

    Votes: 5 9,8%
  • Texte n°9

    Votes: 3 5,9%
  • Texte n°10

    Votes: 1 2,0%

  • Total de votants
    51
Statut
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DeletedUser

Guest
Bonjour,

Je vous invite dès à présent à voter pour votre texte préféré. Pour rappel le thème est "Les bonnes résolutions d'un guerrier issu du monde de Grepolis".

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Bonne lecture !
 
Dernière édition par un modérateur:

DeletedUser

Guest
~ Texte n°1 ~ DISQUALIFIE

Après avoir profité de cette fête du nouvel an je me mis à penser à la Grèce il y a encore tant d’espace vide, je ne suis qu’un simple soldat mais pourquoi ne pas fondé ma propre cité ? Oui j’y construirais une caserne et aussi une grande et superbe académie ! Mais comment trouver les ressources nécessaires à ces constructions ? Je sais ! Je n’aurai cas m’installé sur la cote à cet endroits les ressources y sont abondantes ; et sur la cote je pourrai installer un port d’où partirai des ressources que j’aurai proposé sur le marché !
Il me faudra également un temple pour vénérer les dieux et bien sur que je n’oublie pas sa un magnifique sénat ; il me faudra aussi une ferme pour y loger mes paysans. Ce sera une cité neutre enfin qui sera quand même prête à prendre les armes ! Mais j’y pense il faudra la défendre cette cité pour cela j’y construirai une énorme et puissantes tour !
Oui c’est décidé cet année je n’aurai qu’une seule résolution construire ma propre cité ! Ma bonne et seule résolutions décidé il fallait maintenant passer à l’acte, je décidai donc de profiter du copieux repas qu’avait avalé mes compagnons pour m’enfuir de la caserne, les gardes devait eux aussi avoir profité de cette soirée. J’allai d’abords dans mon coin de chambre ou je récupérai mes quelques affaires ; je m’avançais en direction du portail en essayant de ne pas êtres vu. Je réussi à sortir de la caserne mais le plus dur était à venir il me fallait prendre un bateau ; comment allais-je faire ? Je n’aurais cas prendre une barque, oui c’est ce que j’ai essayai de faire mais un garde fessait la ronde je devais passai inaperçu ; des qu’il passa dans l’ombre je courus, mais au moment de monter dans la barque il me vu sonna l’alarme ! Je commençais à sentir la peur s’épreignez de moi, je commençais à voir disparaitre la cité quand tout à coup je vis des flèches volets ! Une me toucha à l’épaule, elle avait perdu assez de vitesse pour ne pas me blesser gravement mais je perdais du sang, je me dits que je n’en mourrais pas alors je me mis à me concentrais sur mon objectifs atteindre une terre inhabité mais fertile. Ne pensants pas m’éloigner de mon objectifs je n’avais pris que quelques provisions ; je commençais à dépérir quand ma fin sonna ! Une tempête je savais que je ne pourrais en sortir vivant ; je commençais à perdre connaissances et avant de m’évanouir avant la mort j’entendis un cri un grand cri. Quand je me réveillai je croyez être mort
Il y avait de la nourriture des terres qui n’attendait qua être cultivés ; mais je me rendis compte que c’était la réalité, je n’étais donc pas mort, comment ais-je pu survivre me mis-je à réfléchir.
Quand tout à coup un hydre apparue j’eu si peur que quand il commença à me parlait je pensait que c’était une hallucinations mais non c’était réel il me dits qu’il s’appelait Poséidon et qu’il m’avait secourus la veille, il me dit aussi qu’il me fournirait tout ce que j’avais besoin si je le vénérai ; j’était d’accord je lui exposa donc mon désir de fondé une cité il me répondit qu’ils m’apporterais des matériaux tout les jours, et que quand la ville serais fondé il me ramènera des femmes et des hommes pour peuplés la cité.
C’est ainsi que commença la fondation de cette cité je l’appelas Sparte !



~ Texte n°2 ~

« Putain de bancs de pierre, tu m’étonnes que personne ne vienne au théâtre.
- Arrête de te plaindre Bellikon
- Si j’arrête, tu crois que je n’aurai plus de sujets contre lesquels me plaindre ?
- Pas vraiment.
- Alors je continue. »

Sur ces mots d’encouragement, entre le chœur, puis un premier acteur, ça chante, ça danse, ça déclame. Un tragédien multiplie les prières aux dieux, sa pièce va être jouée juste après celle-ci. La journée passe, c’est la pièce d’Agathon qui est déclarée la meilleure, un banquet est organisé chez lui, Socrate n’ira que le lendemain.
Bellikon, lui, s’en va, les festivités l’emmerdent. C’est un guerrier qui n’aime que la guerre. C’est dans trois jours la fête du Nouvel An à Cronysme et il doit s’y rendre car sa garnison est là. Avant de partir, il se moque de la Lysistrata d’Aristophane. Puis il part.
Le trajet est long et il a tout le temps de penser, il n’a pas à être vigilant, il ne risque pas d’être attaqué, ce moment de l’année est celui d’une trêve sacrée. Cela aussi l’ennuie, il aurait bien aimé tué un bandit prétentieux, ça l’aurait détendu.
Au lieu de cela il pense, le Nouvel An à Cronysme est une cérémonie étrange. Chaque citoyen doit prendre place dans une procession immense quasiment comparable à celle des Grandes Panathénées. Elle fait le tour de la ville, depuis l’Agora (qu’on apelle Sénat à cause du Nouvel An à Cronysme) jusqu’au Temple, en passant par les fermes (pour cela elle doit contourner les remparts) et la caserne. Le trajet en lui-même n’a rien de très intéressant, tout au plus permet-il d’admirer la beauté de ces cinq constructions architecturales.
Ce qui est par contre intéressant, c’est l’aboutissement de cette procession. Contrairement aux Panathénées, ce n’est pas un sacrifice de chair, ni même une libation, c’est un sacrifice moral, un sacrifice des mauvaises habitudes, un sacrifice du mauvais pour que le bon puisse mieux pousser. Un trait de génie des dieux selon les philosophes, une connerie de supersitieux selon Bellikon, qui, le lecteur l’a probablement remarqué, est un peu aigri.
Son problème est donc de trouver quelle habitude chez lui est mauvaise. Cette partie du problème n’est pas très difficile. Il y a les beuveries fréquentes, les viols occasionnels, les attaques habituelles, l’hybris omniprésente… Non, le vrai problème de Bellikon c’est de trouver ce qui chez lui n’est pas vertueux et sacrifiable. Chaque année, il doit faire une nouvelle concession aux dieux sous peine d’être un impie, ce qui n’est pas un sort enviable en Grêce. Il n’y a qu’à demander à Anaxagore.
Pendant un certain temps, il avait inventé des mauvaises habitudes pour se débarasser de la corvée. La confession de la mauvaise habitude et la promesse de ne plus recommencer se faisant seulement en présence supposée des dieux, Bellikon n’avait que faire d’inventer des histoires. Il ne croyait pas à leur immanence, il ne croyait pas aux mythes et il savait qu’il ne finirait pas dans la partie la plus enviable des Enfers à sa mort. Aussi se débrouillait-il pour ne pas la précipiter en se montrant comme l’impie qu’il était à ses concitoyens.
Donc il lui fallait soit inventer une nouvelle chose. Mais il avait plutôt fait le tour de son imagination. Après avoir renoncé à manger les nourrissons, les cadavres, les animaux vivants, les pierres et le bois, à boire l’urine et l’eau des marais, à ne plus se reproduire avec des animaux, des nourrissons, des vieillards, des déesses, des titans, des lépreux et caetera, et caetera. C’est en fait surtout de question de reproductions dont son imagination est prolixe.
Cette année, rien à faire, il ne trouvait rien.
Après plusieurs heures de marche, il n’avait pas réussi à maintenir son esprit dans les bonnes conditions pour trouver une solution à son problème, aussi se résolut-il à dormir là.
Il y eut un soir, il y eut un matin, deuxième jour.
Pour couper court à tout ce suspense que je sais vous étreindre à la gorge, je vous révèlerai que rien ne lui vint à l’esprit durant le jour suivant, ni durant le jour d’après.
Malheur ! Rien en tête et c’est bientôt la fête. Notre héros est désespéré, il ne lui reste qu’une solution. Un ami lui a conseillé un remède contre le manque d’imagination, c’est ce qui fait les prophéties de la Pythie paraît-il. Il aspire quelques bouffées d’une fumée odorante.

Flash. Le monde disparaît.
Bellikon ouvre de grands yeux, se relève.
Flash, un monde apparaît.

Rien de commun avec celui que Bellikon connaît. Il commence à se poser des questions, il est tout sauf lent à la détente, quelque chose cloche. Un murmure apparaît qui petit à petit se transforme en hurlement :
« Ah arrière, monstres ! Laissez cette charogne.
Contentez-vous de voir, de sentir, de toucher.
Ecoutez, disséqueurs, dites-vous qu'elle grogne ?
Elle est morte, il est mort, le poème est couché.

Elle était vivante sous le stylo habile
Blessée de ratures mais blessures fertiles
Ce qui ne le tue pas, le rend toujours plus fort
C'est l'élever aux nues et l'élever encore.

Mais la voilà charogne, offerte à vos regards
Vous avez pour elle, de bien curieux égards
Car vous la disséquez sans virtuosité

Et vous l'idolâtrez ! Ô Monstruosité !
Malheureux inspecteurs, ne croyez pas comprendre,
Ce qui la fit vivre, ni ce qui la fit pendre. »

Bellikon s’enfuit, il court, il court. Le hurlement ne perd pas sa force, le même texte est répété en boucle. Tout à coup, il s’arrête. Un drôle d’objet apparaît au-dessus de la tête de Bellikon. C’est une espèce de boule transparente avec un genre de queue droite, de couleur grise, arrondie au bout et sculptée en spirale. Tout à coup, le machin devient aussi brillant que le soleil et Bellikon n’en supporte pas la lumière, il s’enfuit de nouveau. Mais il sait ! Il sait ! Voilà ce qu’il ne doit plus faire, il ne doit plus tuer les morts ! Il court encore euphorique.

Flash, un bruit de corps qui tombe sur un sol dur.
Un cadavre sur un rocher au milieu de la mer, à côté s’élève une falaise. En haut, un homme qui regarde un bref instant le corps avant de secouer la tête et de se retourner. Il se fait engueuler par un autre homme, et répond que le cadavre courait trop vite pour qu’il le rattrappe, l’autre demande si le cadavre est quelqu’un de connu. L’un hausse les épaules, le second aussi. Ils retournent surveiller leurs chèvres. Rideau.



~ Texte n°3 ~ DISQUALIFIE

Britannicus, un soldat grec.


Je me nomme Périclès, je suis chef d’un brave groupe de soldats. Nous sommes au Nord Est de la Gaulle, mes soldats et moi sommes stationnés aux abords des territoires civilisés, aux limites des terres de L’Empire Romain, ce qui est derrière cette limite est l’habitat de barbares que nous nommons communément Germains. Nous surveillons et aidons les romains à protéger leur patrie et la notre . Chaque nuit nous nous faisons attaquer, aujourd’hui nous sommes le nouvel an donc voici dans les lignes suivantes qui parleront de mes résolutions et de mes vœux.

Tout d’abord je voudrais revoir ma femme, Pénélope et mes deux enfants. Ensuite je voudrais que cette nouvelle année soit plus paisible, une de mes résolutions que je n’ai pas pu tenir l’année précédente étant de protéger l’empire romain. Les invasions ont été fréquentes, de plus en plus nombreuses et de plus en plus dures, nous avons subi de lourdes pertes, beaucoup de mes compagnons sont morts sous les coups de l’ennemi.

Une partie des hommes est morte en mangeant de la nourriture empoisonnée. Donc pour cette nouvelle année je tiens à être vigilant. Ces barbares nous font souffrir, de plus nous mourons littéralement de froid, nous n’avons qu’une simple peau de mouton pour nous abriter du froid mordant du Nord. Voici une de mes nouvelles résolutions avoir plus de matériels, je ne pensais pas que ce maudit pays était aussi frileux.

Pour terminer, ma résolution principale, mon vrai but serait d’éradiquer ces monstres et cela en brûlant leurs forêts. Cela nous permettrait de revoir nos villes, de revoir ma ville, de revoir la forêt près de la scierie ou je m’entrainais au combat ou encore me promener près de l’agora, en entendant le bruit des discutions, des sabots des chevaux, des marchands en tout genre crier le prix de leur marchandises près du Marché. Revoir ma mère, revoir ma maison d’enfance près du port où accostaient des bateaux de marchandises, d’esclaves et des vaisseaux de guerres telle que les trières … Ou encore m’asseoir auprès de la merveilleuse statut de Zeus pour contempler la mer . Pouvoir revoir mes anciens compagnons d’armes toujours stationnés dans la caserne.

Pouvoir revoir mon pays, le plus beau pays du monde, la Grèce .Toutes ces bonnes résolutions seront-elles appliquées ? Pourrais-je toutes les tenir ? Je crains que non et je prie donc tous les dieux pour qu’ils m’accordent ces chères résolutions que je désire depuis tant de trop longues années …



~ Texte n°4 ~

Comme je n'ais trouvée aucun membres je vais dire mes bonne résolutions sur Grepolis :

-Tout d'abord j'ais pris la décisions de restée dans l'alliance ou je suis actuellement.J'ais pris aussi l'habitude et la résolution d'augmentée fortement mes troupes naval et terrestre cette année.Puis je vais recommencée a coloniser des gens et des personnes forte.J'ais pris la résolution de bien restée sur mes gardes quand j'attaque et de toujours espionner celui que je veut attaquée.Ceci est une façon de mieux combattre sur Grepolis.J'ais pris la bonne résolution de ne pas provoquer les joueurs sur le forum ou sur Grepolis et nottamment en temps de guerre contre [...] et [...].J'ais choisit de choisir une bonne alliance avec qui je me sens bien et que je respecterais toujours.La seul chose qu'un guerriers devrais savoir ses de restée fair-play même quand il a la possibilitée de d'écrasée l'autres.Comme je le dit souvent une bonne résolution serais pour chaque guerriers une sorte d'étape,un challenge que seul les guerriers qui réussissent a respectée l'adversaire dans l'adversitée serais une bonne chose pour chacun d'entre vous.Non seulement la bonne résolution serais de respectée sont alliance,sont adversaire bref tout le monde serais pour moi la meilleurs des résolutions.Je n'ais pas choisit le jeux de Grepolis pour insulter,menaçer ou corrompre un joueurs ou joueuse.J'ais décidée que ma bonne résolution serais celle ci et je la tiendrais.J'en fait serment a tous ceux qui me lisent.Je vois souvent des gens qui ne tiennent jamais leurs promesse et j'aimerais que au moins cette année il sois comme je le dit fair-play et respectes l'adversaire dans l'adversitée des choses telle que les guerres,les coups entre membres d'alliance ou même chez vous.Car voyez vous se n'est pas parce qu'un guerriers monte un max sont entrepot,sa scierie,sa mine d'argent,sont temple,sa caserne ou sont académie qu'il est fort et qu'il respecte l'adversaire.Il peut avoir une statue divin mais je pense que seul le respect et le fair-play font la force et que seul certains d'entre vous réussiront cette résolutions.Tout comme moi d'ailleurs et j'espère a tous que vous tiendrez mes paroles.Donc merci a tous et encore une chose...
Faites du mieux que vous pouvez pour tenir vos résolution.Si vous y arrivez pas se n'est pas grave mes aissayer quand même.

Voila.



~ Texte n°5 ~

Journal intime d'un guerrier
Qui date du 1er janvier


Cette année comme chaque année
J'ai décidé de rédiger
Ma liste de résolutions
Pour devenir chef d'une belle nation

En premier lieu je me forcerai
A attaquer toutes les villes
De mes différentes îles
Grâce à mes cavaliers chevronnés

Toutes mes villes je spécialiserai
Dans les navales, mon port, j'agrandirai
Tandis que sur la terre ma caserne me permettra
D'entraîner moult petits soldats

Pour guider mes navires le soir
Par ciel bleu ou grand brouillard
S'élevera, près du port, un phare immense
Qui n'aura pas de concurrence

Mais comme Samson sans ses cheveux
Que feraient mes soldats valeureux ?
Sans mes nobles villageois à la ferme
Encore plus forts qu'un pachyderme

A la carrière ou à la scierie
Par temps sec ou sous la pluie
Mes citoyens travailleurs
Ne manqueront pas de labeur

Chaque jour Zeus je prierai
Afin qu'il soit de bonne humeur
Et qu'ils m'accordent de ses faveurs
Sans lesquelles jamais je ne survivrai

Héra également m'accompagnera
De grands mariages elle permettra
Ma végétation elle surveillera
Surtout ne la décevons pas

Lors de mes périples maritimes
Poséidon sera au centre de mes pensées
Afin que mes navires ne plongent pas dans les abîmes
Et que je rentre au bercail intouché

Je combattrai sous le signe d'Athéna
Tout comme le firent les héros de Saint Seiya
Je lui dédierai mes plus belles victoires
Pour qu'elle reçoive, sur elle, toute la gloire

Enfin, pour que mes hommes n'aillent pas dans son Royaume
Et qu'il pallie à mes faiblesses
Je ferai un culte de grande ampleur à Hadès
En son honneur je chanterai des psaumes

Tous les païens vénérant un autre culte que moi
Subiront mon courroux et seront dans l'effroi
Et pour prouver ma puissance et celle de mes pairs
J'attaquerai une grande alliance proche de mes terres

Si par malheur je ne tiens pas mes résolutions
Et que je succombe à la tentation
Que les Dieux de l'Olympe me maudissent
Et me jettent dans les profondeurs des Abysses.



~ Texte n°6 ~

Η πρόκληση του θανάτου (En Français : Le défi de la Mort)


Nick était un jeune guerrier grec qui aimait sa ville de Thiva. Son destin avait été tracé par ses parents qui s’étaient inspirés du mot niké et qui signifiait la victoire. De ce fait, personne ne fût surpris quand Nick devint soldat.

En cette nouvelle année grecque, notre valeureux guerrier s’entrainait au corps à corps dans la caserne avec d’autres compagnons. C’est pour cette raison qu’il ne remarqua pas immédiatement la Pégase et le messager qui se tenaient derrière lui afin de lui transmettre un message. Une fois que Nick eu pris possession du message, la Pégase repartit, sans un bruit. Le guerrier senti un air frais lui donner des frissons et pensa au départ de l’animal et à l’air soulevé par ses ailes. Mais en relisant le message une deuxième fois il comprit que c’était la peur qui s’emparait de lui. En effet, son plus cher ami, Come, était mort lors d’un combat qui s’annonçait pourtant facile.
Nick était un fidèle adepte du temple et de la religion. Il connaissait les pouvoirs des divinités mais honorait tout particulièrement Athéna. De ce fait, il comprit que cette mort était due à l’acte d’un Dieu, les soldats de Thiva étant les meilleurs de Grèce. Il se rendit donc à l’Oracle afin d’obtenir des réponses grâce à « ceux qui savent tout ». Une fois sur place, une jeune femme lui dit de se rendre sur le lieu du combat afin de trouver les réponses mais que cette tâche serait dangereuse. Nick était prêt à relever le défi. Ce guerrier, assoiffé de sang n’avait qu’une seule peur, perdre sa famille, ses amis et son peuple. La mort n’était pour lui rien d’autre qu’un sentiment quotidien.
Il se rendit donc au Sénat où il fit part de son intention de se rendre sur les lieux de la bataille où Come était mort. Personne ne s’opposât à cette idée et Nick se redit au port afin d’embarquer sur la birème de son unité. La nouvelle année venait tout juste d’être fêtée que 15 soldats partirent sur l’ile d’Arthos, théâtre de nombreux conflits.

Le voyage dura toute la nuit et les guerriers virent la terre aux premières lueurs du jour. Nick savait exactement où avait eu lieu le combat de l’avant-veille et parti immédiatement dans cette direction une fois pied à terre. Après deux heures de marche, la quinzaine d’homme d’arriva dans le bois où Come avait rendu son dernier souffle. Ils découvrirent les corps de leurs frères avec le visage terrassé par la peur. Personne ne savait ce qu’il s’était réellement passé. Le seul soldat qui avait pu fuir était mort peu de temps après son retour à Thiva pouvant simplement avertir que personne d’autre n’était revenu.
Lorsque Nick découvrit le corps de Come, un nouveau frisson le parcourût. Cependant il s’avait que ce n’était pas la peur cette fois-ci. Il se pencha sur le corps de son ami comblé par la tristesse. Absorbé par cette découverte, l’épisode de la caserne se répéta. En effet, il ne vit pas que le ciel venait de se couvrir brusquement, cachant le soleil.
Entendant les paroles affolées des autres soldats, il releva la tête et ressenti une nouvelle fois ce frisson qu’il n’avait pu expliquer auparavant. Des ombres noires volaient dans le ciel et se rapprochaient du groupe de soldat. Gardant son sang froid, Nick leur ordonna de se tenir prêt au combat. Il connaissait les unités mythiques, mais il n’avait jamais vu ce type de chose.
Tout à coup, une vingtaine de créatures affreusement laides sortirent de ces ombres noires au milieu des arbres. Elles commencèrent à encercler les hommes qui cramponnaient leurs boucliers contre leur corps. Une ombre plus grosse arriva à son tour au sol et à la vue de la créature qui en sorti, Nick compris. Il s’était trompé en pensant à l’acte d’un Dieu, en face de lui se trouvait une grande silhouette encapuchonné, une faux à la main. Il avait affaire à la Mort. Elle avait été bannie de l’Olympe par les autres Dieu qui la trouvait trop assoiffée de sang et de mort. Celle qui avait été bannie et oubliée par les peuples prit la parole. Sa voix terrifiante annonça qu’elle était là pour punir la ville de Thiva de toutes les tortures et les morts qu’elle avait causée. Elle trouvait en effet, que plus de personnes mouraient par les mains des guerriers Thiviens que par ses propres mains. Elle finie sa phrase par un « Je savais que vous viendriez ici » puis lança l’ordre à ses créatures d’attaquer.
La lutte était inégale et très difficile. Nick parvînt malgré tout à tuer deux des serviteurs de la Mort avant de jeter un coup d’œil autour de lui et de remarquer la défaite qui arrivait à grand pas. Sur les 15 soldats, ils n’étaient plus que 3 et seules 4 créatures avaient été tuées. Pendant qu’il affrontait deux adversaires, le jeune guerrier vît les trois autres hommes de son unité mourir. Il tua l’un des serviteurs et vit la Mort en personne se jeter sur lui.
Pendant quelques instants, il revît sa vie défiler devant lui. Ses parties de jeu avec Come, ses parents, les victoires des temps passés. Quand soudainement, une grosse boule orange frappa la Mort de plein fouet et la propulsa une dizaine de mètres plus loin. Nick repris ses esprits et reconnu Athéna, la déesse qu’il vénérait depuis des années. Elle lui dit de fuir et de corriger ses erreurs pour se sauver et sauver son peuple de la Mort. Pendant qu’il courrait vers le navire, Nick vît Athéna repousser celle qui avait tué ses hommes.

Grâce à son aide, il pût embarquer et se dirigea vers Thiva, aidé par Poséidon qui lui donnât des vents favorables.
A la vue de son arrivée seul, les habitants comprirent que le scénario qui c’était produit deux jours auparavant c’était reproduit. L’ensemble de la population se retrouva dans le Sénat, où Nick raconta ce qu’il avait vécu. Les sages, prêtres, espions et autres soldats furent d’accord avec les paroles d’Athéna. Le jeune guerrier devait partir à travers la Grèce pour sauver des peuples de la torture et de la mort, renonçant totalement à son passé de terreur.
En ce quatrième jour de la nouvelle année, Nick prit donc la résolution de changer pour devenir un homme bon, qui défendrait les autres au péril de sa vie. Il ne le faisait pas pour lui, mais pour son peuple qui aimait et qu’il voulait protéger. Il se rendit auprès de la Statue divine d’Athéna qu’il remercia pour son aide. Après un petit passage au marché pour acheter de nouvelles armes et armures, il prit la mer en compagnie des 30 meilleurs hommes restants de Thiva. Nick n’avait qu’une seule idée en tête : sa résolution de changer et de lutter contre le mal. Après plusieurs heures de voyage, il fît une halte dans une ville alliée pour se ravitailler et raconter son histoire. On lui annonça alors qu’un village, nommé Gythio et se trouvant à quatre heures de marche, était sous l’emprise d’un tyran mais que son armée était spectaculaire. Nick savait que les hommes sous ses ordres n’étaient pas les meilleurs de Grèce, ceux-ci ayant rendus l’âme face à la Mort, il ne pouvait donc pas attaquer de face cet ennemi. Il savait pourtant qu’il devait délivrer ce peuple pour sauver sa vie et celle de Thiva. Il se rappela alors les paroles de son père, mort quelques années plus tôt, qui lui avait dit que si la force ne suffisait pas, il fallait utiliser son cerveau et la ruse. Cette même ruse qui avait permis à la Mort d’attaquer par surprise son unité, celle qui avait permis à Thiva d’être l’une des plus grandes cités de Grèce, celle qu’il allait utiliser…

N’ayant pas l’habitude d’utiliser des stratagèmes lors de combats, Nick voulu profiter de la nuit pour lui porter conseil et afin de trouver des idées. Ses rêves l’emportèrent sur les terres des grandes batailles grecques, rien qui ne lui permettait d’élaborer une ruse. Le lendemain, lorsqu’il se réveilla, le jeune guerrier se retrouva sans idées mais dans une ville en fête. En effet, c’était jour de carnaval et tous les enfants étaient déguisés. Cette vision de l’évènement donna une illumination à Nick, qui se précipita pour rejoindre les 30 soldats qui l’accompagnait. Lorsqu’il exposa son idée, tout le monde fut charmé et approuva sa décision. Avec l’aide des espions de la ville alliée, il apprit qu’un groupe d’une trentaine de soldats devaient rejoindre un village de paysans dans l’objectif de le piller. Les soldats Thiviens prirent donc la route afin de se positionner en travers du chemin de leurs ennemis pour leur tendre une embuscade. Ils trouvèrent le lieu parfais. Une zone forestière, où le chemin était très étroit, parfait pour tomber sur les soldats adverses avant qu’ils ne puissent riposter. Nick ordonna donc à ses hommes de se mettre en position. Plus d’une heure passa avant que l’ennemi soit visible. Lorsqu’il s’engagea dans le chemin étroit, rien ne laissait à penser ce qui allait arriver. Un coup de sifflet distinct se fit entendre dans les bois et une trentaine d’hommes déboula de la forêt, encerclant leurs ennemis, tout en brandissant leurs glaives à la main. La bataille fut courte et efficace. Parmi les soldats de Thavi, seul un fut blessé à l’épaule mais son envie de se battre était plus forte que la douleur, ce qui lui permit de continuer la bataille. Nick avait employé sa première ruse et préparait sa deuxième. Il demanda alors à ses hommes de changer d’armures afin de mettre celles des soldats qu’ils venaient de tuer. Ainsi, ils pourraient pénétrer dans le village de Gythio sans être repérés.
Après avoir équipé les armures et réalisé quelques heures de marche, ils arrivèrent à l’entrée du village. Personne ne remarqua que cette trentaine d’homme n’appartenait pas réellement à l’armée qui terrifiait les villageois. Malheureusement, ils étaient 30 contre près de 150 adversaires, mais Nick procéda encore à l’aide d’une ruse. Il reparti ses hommes en trois groupes égaux qui se dispersèrent dans des zones à l’abri des regards. L’objectif consistait à attirer les patrouilles de 5 hommes dans des zones discrètes afin de les éliminer un par un. Tout marchait à merveille, les hommes de Nick tuèrent une centaine d’homme, comme leur avait demandé leur chef. Ils se retrouvèrent à la scierie pour faire un bilan de leur action, mais bien que les cadavres aient été cachés, l’alerte fut donnée dans le même temps par un soldat ennemi. L’armée adverse se regroupa à son tour sur la place de l’Agora et se retrouva terrorisée en se rendant compte que sur les 180 hommes présents au début, plus que 50 n’étaient présents. Ils ne connaissaient pas leurs ennemis mais avaient appris par des habitants qu’ils s’étaient regroupés dans la scierie. Ils partirent donc dans cette direction et furent étonnés de voir des hommes munis de leurs vêtements. Le chef barbare donna l’ordre à ses troupes d’attaquer mais le moral n’était pas le même chez les attaquants et les défenseurs. En effet, avec plus de 130 morts dans leurs rangs, les soldats occupant la ville étaient très démoralisés et craignaient de mourir. En revanche les hommes de Nick étaient au meilleur de leur forme. Plus de 130 personnes tuées sans aucune perte !
Cette différence de moral fut l’élément qui décida probablement de l’issue de la bataille. Bien que les soldats de Thavi aient des pertes durant l’affrontement, celles de l’adversaire étaient supérieures. Peu avant la fin du combat, le ciel se couvrit rapidement et des ombres noires descendaient du ciel, comme sur l’ile d’Arthos. Seul Nick comprit ce qui arrivait ; la Mort venait le chercher. Alors que l’armée adverse reculait de peur, notre héros ordonna à ses hommes de tenir les rangs et de ne pas déserter. Ils avaient confiance en lui et exécutèrent donc les ordres. Lorsque la Mort et ses serviteurs touchèrent le sol et furent visibles, un long frisson parcouru l’ensemble de la ville de Gythio. La Mort regarda Nick et lui annonça qu’elle était revenue le chercher. En entendant sa voix terrifiante, les quelques soldats adverses restants prirent la fuite et libérèrent ainsi le village de l’oppression. Le jeune guerrier avait anticipé leur réaction et annonça à la Mort qu’il s’était racheté de ses actes en libérant ce village d’un règne de torture, de pillage et de violence. En se rendant compte de cela, la Mort lança un long cri de colère avant de repartir aussi vite qu’elle était arrivée.

Nick avait réussi, il avait tenu sa résolution et avait réussi à changer. En sauvant le village de Gythio, il avait aussi sauvé sa vie et celle de son propre village. La dizaine de soldats Thiviens restants furent acclamés comme des héros et furent à l’occasion d’une grande fête qui dura toute la nuit. Le lendemain, au moment pour les Thiviens de repartir chez eux, quelques hommes de Gythio voulurent les accompagner pour être aux cotés de ces hommes courageux qui avaient défié la Mort en face. C’est donc au nombre d’une vingtaine qu’ils arrivèrent à Thavi ou leur retour signifiait la victoire de Nick. A peine les soldats posèrent le pied au sol, que les habitants se précipitèrent sur eux pour les féliciter et leur demander ce qu’il c’était passé durant ces 3 jours.
Depuis ce jour, Nick est devenu le héros de Thavi, remportant victoires sur victoires pour libérer les peuples de l’oppression de villes barbares. Certains survivants de ses attaques auraient même dit que sur son bouclier était représenté Athéna remportant une victoire face à la Mort.



~ Texte n°7 ~

Uni grâce à lui...

Dans une petite vallée, sur les bords d'un petit ruisseau, j'ai aidé à l'évolution de mon fidèle village. Depuis mon plus jeune âge, je suis resté parmi les miens, fier de faire parti de cette alliance. J'ai pris la suite de mon père qui nous a quitter avant de réussir à mener nos troupes où il l'avait souhaité. Maintenant devenu la fierté de ma tribu, je n'ai plus qu'un seul but : que ma tribu ait enfin une place aux cotés des plus grandes tribus.
2010 n'aura pas été facile pour nous. J'ai eu beaucoup de mal à me faire respecter par les miens. La peur au ventre et pleins d'appréhensions, j'ai réussi à leur faire comprendre que notre seule chance de survivre dans ce monde de brutes, étaient de se forger une défense pour garder notre territoire intact et de s'entrainer à l'attaque pour conquérir de nouveaux territoires plus prometteurs.
Le manque d'expérience nous a mené vers de nombreux échecs au départ. Revenant couverts de sang de nos premières batailles, et très affaiblis par la perte de nos proches amis, il a fallu revoir notre système de conquête. Il a fallu développer des nouvelles armes et oublier nos précédentes armes devenues obsolètes. La construction de la scierie a plus a beaucoup d'entre nous. La chasse et la pêche devenaient lassante pour nos hommes qui retrouvaient enfin le sourire avec ses nouvelles activités. La chasse fut elle remplacer par l'exploitation d'animaux sauvages, devenus domestiques, dans nos quelques fermes. La joie était revenu parmi les nôtres et les défaites étaient déjà oublier. Le village s'agrandissait à vu d'œil. Je me sentais grandir avec lui. Heureux d'être enfin utile à notre société.
Alors que tout allait pour le mieux, nos plus proches voisins commençaient à nous voir nous rapprocher de leur territoire et à prendre beaucoup d'ampleur. Ayant peur de se faire conquérir par notre nouvelle équipe, ils s'allièrent pour mener une attaque fracassante contre nos troupes. A cette époque nous commencions tout juste la construction de nos remparts essentiels pour notre défense.
Mes troupes m'ont donné la plus grande satisfaction. Ayant retrouvé leur joie de vivre, ils ont défendu avec bravoure les couleurs de notre tribu. Nous étions devenus unis pour le meilleur et pour le pire et notre évolution à fait la différence face aux alliances combattant avec des armes peu puissantes face aux nôtres.
Quelques jours, plus tard nos troupes arborées de noir et jaune revenaient vers notre territoire, en portant fièrement leurs couleurs. Ils avaient vaincu les ennemis grâce à notre évolution et surtout grâce à notre union! La nuit fut longue, les femmes avaient préparé un grand banquet devant la grotte autour d'un feu pour féliciter nos troupes. Je fus remercier par l'ensemble du village. Selon eux, j'étais leur sauveur. Les larmes aux yeux, je ne savais que répondre. Pour moi, le sauveur n'était plus de ce monde et c'était lui qui m'avait tout appris.
Dès le lendemain, je me rendis au temple où nous célébrons les plus grandes fêtes, telles que les mariages et les baptêmes. Mais cette fois, ce n'était pas pour une fête que j'étais ici. Je voulais le remercier. Lui qui m'a tout appris, lui qui m'a toujours suivi, lui qui m'a conseillé durant cette bataille, lui qui a prier pour nous voir revenir vivant au village: Mon père. M'agenouillant devant la statue divine qu'il honorait avant les grands évènements, je sentis encore quelques douleurs de la bataille des jours précédents. Mais peu importe, j'étais là vivant, parmi les miens. Une tribu qui était fier de moi et de notre parcours. Mais je savais que lui aussi était fier de moi, qu'il m'avait toujours soutenu durant cette bataille. J'avais suivi ses conseils, et ils nous ont menés vers la victoire.
C'est grâce à lui, si nous étions revenu vainqueur de cette dure bataille. Malgré les blessures, nous recommencerons et nous rejoindrons les plus grands. Mais avant cela, il faudra attendre quelques temps. Pour 2010, déjà beaucoup de choses ce sont passées. Attendons 2011, pour apprendre encore de nouvelles technologies. C'est décidé, pour le bien de notre peuple, je devrais mettre mes compétences manuelles de côté. Il est temps de passer à une phase plus intellectuelle. Je vais passer une année à l'académie pour y apprendre de nouveaux procédés d'évolution. J'ai confiance en ma tribu et je sais que quand je reviendrais, ils seront toujours là près à m'écouter pour se développer encore et encore jusqu'à la mort...



~ Texte n°8 ~

Le destin d'un homme Grépolisien


23 décembre 2010 :
Ça fait maintenant 2 années que j'ai eu ma formation de ' Combattant a l'épée ' dans la grosse caserne principale , j'en suis bien content.
Mon empereur est un tyran , qui ne pense qu'a avoir des villes , toujours des villes , j'ai entendu dire que des milliers de soldats sont morts dans des batailles inimaginables.
Moi je me suis jamais battu , je reste dans une cité appelé ' Ville DDLM ' avec des milliers d'autres amis , qui ont suivi la même formation que moi.



25 Décembre 2010 :
Rah ! Enfin noël , j'ai promis a ma femme de faire des efforts , et de la rendre heureuse , car elle travaille tous les jours , sans arrêts dans le champs de la ferme de notre cité , et moi dans la mine des fois, mais le plus souvent je suis au dessus des gigantesques remparts rouges , fainéant que je suis , je bronze toute la journée.



27 Décembre 2010 :
Mon générale m'a ordonné d'allé dansé , au tour de l'agora , qui a été décoré , il ressemble maintenant a un sapin de noël :O
D'habitude , j'aurai fuit dans l'académie , pour me perdre un peu dans les livres , mais j'ai décidé de changé , d'écouter mes supérieurs , peut être , un jour moi aussi je serai empereur :)



28 Décembre 2010 :
Pfffiou ! On m'envoie a la scierie , il n'y a plus assé de paysan , j'ai coupé 5 ou 10 morceaux de bois , provenant des vieilles trières usées et inutiles , il m'en reste 384 , ... Mes bonnes résolutions ? Laisse tombé , je retourne bronzé :)


30 Décembre 2010 :
Nous étions 400 il y a peu de temps , maintenant 125 , que se passe t-il ?


31 Décembre 2010 :
Vite , Vite , mais où courrons nous ? On m'a ordonné de monté dans un navire de transport , j'y était seul , mais pourquoi ?



1ier Janvier 2011 :
25 heures de voyage , enfin arrivé ... C'est la , que j'ai découvert , une lettre envoyé par mon Empereur :


Cher guerrier ,

Je vous annonce avec joie votre première mission , enfin , votre cité va me servir. Tu servira d'appâts avec 2 navires de transports transportant 2 soldat formé pour se genre de service , vous foncerez sans défense , pendant se temps , le navire principale de colonisation se dirigera vers le sénat de la cité avec une vitesse impressionnante a l'aide des phares alliées présentes.

Fin soit , je ne rentre pas dans les détails car ca ne servira a rien , vous ne serez plus la , que la statue divine de notre futur dieu Hadès construite par les mains de vos chers coéquipiers vous bénissent !





Apparemment , il y a la même lettre dans chaque navire de transport construit dans notre cité , j'ai même appris ce que voulais dire ' DDLM ' (le nom de la ville ou je suis née ) => ' Droit Dans Le Mur '. Ça me fessait rire , et même pleurer.


C'est sa , notre destin ?
Mourir pour un empereur qui ne pense qu'a monté les échelons un par un , pour anéantir toutes les menaces ?

Je n'avais pas le choix , j'aurai du écouter ma femme , et prendre les bonnes résolutions , fuir , mais ou allé ? Sur une île ou il n'y a personne ? Trop tard...

La dernière chose , que j'ai vu , finalement , c'est une trière , bien propre comparé a nos bateaux , qui fonçait droit vers moi , sans doute pour m'écraser sans pitié






La suite du récit a disparu , regardez bien dans la coque de vos trières , au cas ou !



~ Texte n°9 ~

Je suis soldat, frondeur, au sein de la garnison de Milatos.

J’étais Soldat, j’étais Frondeur.

Avant ca ? J’étais jeune, surtout. Jeune quand ils sont venus me prendre dans la ferme familiale, pour m’enfermer dans leur caserne, sombre geôle où les prisonniers ne se voyaient pas accorder plus d’égard que nous, ou l’inverse.

Je ne peux m'empêcher de penser à elle...Il est 7 heures, je suis réveillé depuis maintenant plus de 3 heures et mes pensées sont tournées vers mon petit village de campagne. Mon regard se dirige inconsciemment en direction de la grande fenêtre du marché où l’on nous laisse prendre nos repas entre deux entrainements, loin du bruit des frondes, des arcs et de l'odeur de l’acier se brisant sous le coup des épées, loin de l’odeur de sueurs rances, de sang séché et de tripes vidées à force d’efforts.

Mon cœur voit au-delà des vallons, il grimpe les collines, il évite les obstacles et va rejoindre le sien, dans sa chambre, dans son lit. Il est 7h10, elle se réveille lentement, je l'imagine s'étirer doucement, remettre un peu d'ordre dans ses cheveux emmêlés, jeter un œil vers l’est et le soleil levant, vers moi, sourire en imaginant mon visage tel qu’il était quand je l’ai quitté la dernière fois, plein d’espoir, plein d’envies, rempli de crainte de la perdre à jamais. Je l'imagine vivre, je n'imagine pas vivre sans elle, je suis fou d'elle, elle est ma Chance, mon Espérance, mon Temple, le Souffle de ma Vie, je l'aime et je suis heureux, enfin.

J'oublie cet uniforme qui m'exaspère tellement, j'enrage de perdre ces précieux moments en sa compagnie pour...pourquoi au juste ? Pourquoi avoir fait ce choix tellement à l'encontre de toutes mes valeurs ? Je me fous de la réponse, je sais juste que chaque seconde passée en compagnie de ma si tendre compagne vaut dix années passées en Enfer. Où Ἅιδης de toute façon m’attend patiemment.

Je me retourne lentement et j'observe cette masse bleue et acier grouillant dans les halles du marché. D'un côté, les soldats qui prennent le petit-déjeuner. Ils ont le regard perdu, je peux les entendre compter les jours jusqu'à leur prochaine bataille, leur prochaine perte d’un compagnon, d’un camarade, j'ai de la tendresse pour eux.

De l'autre côté de la ville, à l’abri des remparts, les hoplites, ridicules de dignité feinte… Pensent-ils vraiment que ce paravent les rend inatteignables ? Savent-ils que, derrière cette protection de fortune, leurs moindres défauts et leurs plus petites faiblesses sont rendues publiques et moquées par la troupe, par ma troupe ?

Pauvres hommes, boursouflés de suffisance, incapables de se rendre compte qu'ils ne valent pas plus que l'étron malodorant qui garnit l'assiette du troufion. Je les observe et je les plains.

Acrisius, le stratège, m'appelle, m'invite pour un café. Je ne l'entends pas, perdu que je suis dans mes pensées. Il réitère sa demande, je m'assieds machinalement, il me tend une tasse, je la saisis, le regard toujours dans le vide.

Acrisius. : "Ben, ça joue pas ? Ta bonne femme qui a ses ragnagna ?"
Tous : rires gras
« Mmmh ? Ah, ouais, si tu veux. »
Laerte :"Faut te faire une recrue, ça ira mieux. Regarde-là, la petite, on lui déchirerait bien ce qu'il lui reste à déchirer. Tu dois être le seul à ne pas être passé dessus. T'es sûr que tu préfères pas la chèvre derrière ? »
Tous : rires gras
« Ouais, si vous voulez »
Patrocle : "Ah, en causant de ça, hier j'étais au claque, il y a de ces nouvelles, deux thraces...Pour 10 créséides, j'ai eu les deux en même temps pendant deux heures. Magnifique, t'en as pour ton fric."
Acrisius : "T'as pu tout faire ?"
Patrocle : "TOUT ! Pas farouches, les petites, je te jure. Pas sûr qu'elles soient majeures, mais bon, hein, quand on aime, on compte pas !"
Tous : rires gras.
Thyeste : "Bon, c'est pas tout ça, y a du boulot ! On vient de recevoir les nouveaux filets d’attaque pour les trimères."
Patrocle :"Ah ouais ?"
Thyeste : "Oui, oui, superbes ! 8 mètres sur 8, super-résistants, on va les essayer après"
Acrisius : "Tu t'approcheras pas trop du soldat Enkidou avec, hein !"
Patrocle : "Il n’est pas dans ma compagnie, pourquoi ?"
Acrisius : "Pour pas lui rappeler sa capture !"
Tous : rires gras.

Mon regard se tourne vers la fenêtre, il me semble que le volume de la brise augmente, que leurs allusions salaces et déconcertantes s’estompent. Les paroles résonnent en tous cas dans mon esprit et me vrillent les tympans. D’autres me viennent en tête, plus obsédantes, plus dangereuses aussi…

L’amour ne disparaît jamais, la mort n’est rien.
Je suis seulement passé dans la pièce à côté.
Je suis moi, tu es toi.
Ce que nous étions l’un pour l’autre,
nous le sommes toujours.
Donne-moi le nom que tu m’as toujours donné.
Parle-moi comme tu l’as toujours fait.
N’emploie pas un ton différent,
ne prends pas un air solennel ou triste.
Continue à rire de ce qui nous faisait rire ensemble.
Prie, souris, pense à moi. Prie pour moi,
que mon nom soit prononcé à la maison
comme il l’a toujours été,
sans emphase d’aucune sorte,
sans une trace d’ombre.
La vie signifie tout ce qu’elle a toujours signifié.
Elle est ce qu’elle a toujours été,
Le fil n’est pas coupé.
Pourquoi serais-je hors de ta pensée
simplement parce que je suis hors de ta vie…
Je t’attends, je ne suis pas loin,
juste de l’autre côté du chemin.
Tu vois, tout est bien.


Je ne sais plus de quel rhapsode me viennent ces vers, je sais juste qu'il a raison.

Je me lève, m'excuse machinalement et m'enfonce dans le brouillard de l'aube. Un léger frottement attire mon attention dans la poche droite de ma tunique, j’en sors l’anneau sur lequel est gravé ces mots qui toujours me font à la fois sourire et pleurer :"Je t'aime et je veux passer ma vie avec toi.".

Le vent souffle dans les arbres et je lui offre mon cœur et mon esprit en le suppliant de les déposer aux pieds de celle qu'ils aiment...

Hier, son village a été attaqué. Aujourd’hui, elle n’est plus.

Mes pieds me portent, je passe lentement devant l’Académie, la contourne pour dépasser le sénat et leurs stériles débats, mes pieds me portent et je quitte la ville.

J’étais soldat, j’étais frondeur, fait pour mourir, dur comme la pierre. Et mes pieds me portent.

Je suis à nouveau un Homme, ton Homme, Nausicaa. Déjà j’entends leurs cris hurlant au déserteur, déjà j’entends les cordes des arcs se tendre et le sifflement des flèches me frappant une à une. Mes pieds me portent...

J’étais un homme. Je suis ton Homme, Nausicaa. Toujours et maintenant.

Toujours et maintenant... Je ne suis plus que ton homme, enfin...



~ Texte n°10 ~

Regardant cette lune belle, éclairant l'horizon et aussi pleine que fût cette bataille en rebondissant, je suis là, assis à la proue du bateau qui nous ramène au Port, l'année se termine, une nouvelle commence et quelques cicatrices inondent ma pensée...

Ma femme, depuis longtemps je ne l'ai prise dans mes bras... Mon enfant, aucunement je ne l'ai vu grandir... J'arrive bientôt à 40 ans... Je ne compte plus les batailles que j'ai mené pour défendre les idées de notre Empereur appuyées par les convictions du Sénat !!!

Je veux me retirer, mais comment ? Pour quoi faire ? Quel sera mon but ?

Je suis un guerrier, j'ai passé mon enfance à la Caserne pour me former à défendre l'honneur de mon alliance, je suis préparé pour ça...

Je me suis battu pour les idéaux d'une nation, de ma patrie, pour que les miens puissent vivre dans la paix et la fierté !

Mais, je suis tirailler par cette envie de partager l'amour de mon enfant avec cette femme, avec laquelle je me suis promis amour et fidélité... Et cette envie de batailles, de combats et de gloire qui font de nous des hommes prêts à tous pour conquérir de nouveaux territoires !

Je me souviens à la Ferme de mon père, qui me disait :

"- Fils ! La guerre n'amène que malheur et désastre ! Travailles la terre et elle te le rendra bien !"

J'étais là, avec ma fronde, chassant chaque oiseau qui vînt picorer le moindre céréale, en lui disant :

"- Père ! Si nos guerriers n'étaient point là pour défendre les terres... Nos terres !!! Comment ferais tu ?"

Les mots n'étaient point mesurer à cet âge... Et là, regardant autour de moi, sur ce bateau qui nous ramenait vers nos familles, je vis dans les yeux de chaque... Cette envie de paix et de repos ! Cependant...

Quand mes songes étaient finis, nous étions déjà revenus dans notre belle et tendre ville, nos familles étaient là, présentes pour nous accueillir !

Une fois les Remparts passés, derrière, nous attendaient nos femmes et enfants, que nous serrons dans nos bras comme si on ne pensait jamais les revoir. Les images de guerres, de mort, disparurent de nous le temps d'un instant !

Mais le rituel n'était pas finit... Nouvelle année arrivant... Nouvelle prémonition !

Règles obligent, nous devons passer voir l'Oracle, chacun son tour, pour faire le point sur notre futur... et parler du passé, positif, vu qu'on était revenu !!!

Mon tour fût venu et la question fût posée :

"- Ô grand guerrier, quelle est ta bonne résolution pour cette année nouvelle ?"

Et sans réfléchir... attiré par l'inévitable :

"- Oracle, chacun doit faire ses choix ! je ne peux donner ma résolution pour cette année sans évoquer ma famille... mais je suis formater pour ça... Je défendrai ma patrie quoi qu'il en coûte"
 
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Lourdeur

J'ai trouve que certain texte sont lourds ... Ce que je repproche à certain c'est qu'ils ont fait des textes super long et c'est ennuyant, ensuite très peu on fait d'espace dans leurs textes , ils forment un bloque compacte et c'est décourageant de lire à ce moment, mais il y a tout de même de bon texte. J
 
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DeletedUser11638

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Tout d'abord, bravo à tous ceux qui ont participer, je n'ai toujours pas compris la consigne :D

1 : Un peu trop classique, la répétition des mots des batiments donne un aspect un peu lourd.
2 : Pas mal :)
3 : Des incohérences espace-temps. On est au temps des grecs, pas des romains!
4 : Trop classsique. Si je peux donner un conseil, essaye d'aérer un peu ton texte.
5 : Un joli poème ;)
6 : Un texte plein d'aventure, le récit est bien maitrisé.
7 : Là encore, un classique, même si plus travaillé que les autres.
8 : Un récit comique, il l'aurait été encore plus sans les smileys et la couleur.
9 : Un beau récit tragique, j'adhère!
10 : Un petit texte plaisant à lire :)
 

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Félicitations à tous pour les efforts fournis, c'est sympa à lire dans l'ensemble, les styles sont variés, les options prises quant à la forme également, c'est plutôt bien, du coup :)

Mes appréciations, qui ne sont absolument pas des critiques, vous vous en douterez surement:

Texte 1:
les fautes d'orthographe sont déjà un écueil pour moi, du coup j'ai du mal à adhérer. Quelques accrocs dans le rythme, notamment du côté lexical, c'est dommage, la fuite aurait^pu prendre une tournure plus épique. Moyennement accroché.

Texte 2:
On sent le boulot, quelques anachronismes font un peu tache (des stylos?), le style est recherché, j'aime bien l'ambivalence du personnage, oscillant entre gros bourrin et psy introverti. Juste un souci avec la fin, je trouve que la juxtaposition du "il ne doit plus tuer les morts" et "le cadavre courait trop vite" jette un flou trop prononcé, et perd le lecteur. C'est dommage, j'aime bien, sinon :thumbs up:

Texte 3:
Qu'esst-ce qu'un grec vient foutre en Gaulle? l'expansion historique s'est plutôt dirigée vers Thrace ou l'est, pas vraiment vers l'ouest, même s'ils voyageaient... Du coup, je trouve que le contexte historique est difficile à assumer. Pour le rythme du texte, quelques lourdeurs, l'utilisation du personnage en narrateur est bien utilisée, mais l'introspection reste assez fade à mon goût, oscillant entre plainte et espoir, sans choisir son camp. Plus de tragédie ou plus de sang, ce n'est pas assez tranché pour que j'aime vraiment.

Texte 4:
Toujours ces fautes qui me gênent vraiment, et le bloc est trop soudé. Pas d'air dans le récit, pas d'air dans la forme. N'aime pas celui là.

Texte 5:
Cool la forme du poème, bonne idée, dommage que les pieds soient très aléatoires! Un peu répétitif dans l'utilisation des Dieux. Par ailleurs, Samson est issu du catholicisme, donc d'une religion monothéiste, c'est dommage. En tout cas très bonne idée pour la forme.

Texte 6:
Un récit un peu long, surtout pour un récit de bataille. Soit on trouve un rythme plus rapide, plus scandé pour marquer la hargne et l'acharnement, et le récit s'en trouve raccourci, soit on allonge vers l'introspection et le décalage entre l'action du personnage et le récit qui doit devenir extérieur. La concordance des temps est parfois un peu difficile à suivre, mais hormis ces quelques détails, le récit est sympa, le personnage déclenche un peu d'empathie, c'est un bon point.

Texte 7:
Colle parfaitement à l'univers Grépolis (malgré le terme de tribu qui me gêne un peu), mais justement, colle un peu trop à mon goût. Pas assez d'empathie, du coup, ca me gêne de ne pas me sentir investi dans un perso.

Texte 8:
L'utilisation du héros looser style Astier fait sourire, mais le choix cornélien d'en faire un héros tragique à la fin par sa mort fait du récit un mélange bizarre. Je l'aurais plus senti se carapate en douce, par un petit tour de passe-passe... Du coup, non.

Texte 9:
De l'empathie envers le personnage et son destin tragique, ca me va, j'aime bien, par contre des tournures un peu lourdes à la lecture, notamment sur les dialogues où le rythme aurait pu être un peu plus rapides... Ceci dit, c'est difficile d'intégrer des dialogues dans une introspection telle que celle proposée. un peu d'aération dans la forme aurait soulagé le récit. L'anaphore est un peu trop utilisée, entre le début et la fin. cela alourdit peut-être un peu, même si cela contribue à l'empathie. A affiner, je dirais.

Texte 10:
quelques fautes qui me gênent, encore, et je trouve que le récit est trop classique, que le personnage est trop stéréotypé. L'ambivalence, cela peut avoir du bon. Aime moyen.


Merci à tous en tout cas, et encore félicitations!
 

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Le texte 3 est super, certain disent que les romains et grecs 'ont rie à avoir mais vous êtes sur que vous avez fait de l'histoire les romains pour aller faire des etudes superieurs aller chez les romains et les grecs pouvaient faire un service militaire pour devenir citoyen romain . Ensuite l'antquité se termine à l'effondrement de empire romain donc le texte 3 montre que c'est quelqu'un de culive et que vous, vous ne l'êtes pas
 

DeletedUser11638

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Genre :D

Grepolis, autant que je sache, est un jeu sur les grecs, les romains, mise à part en tant que bergers, ont pas grand chose à faire là. Les grecs ont été au maximum dans la Narbonnaise, pas au delà.
L'Antiquité se termine en 476, très exactement. En attendant, je doute fortement que Grepolis soit aussi avancé. Déjà que ça m'etonnerait qu'on est dépassé le -52 :x
 

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Genre :D

Grepolis, autant que je sache, est un jeu sur les grecs, les romains, mise à part en tant que bergers, ont pas grand chose à faire là. Les grecs ont été au maximum dans la Narbonnaise, pas au delà.
L'Antiquité se termine en 476, très exactement. En attendant, je doute fortement que Grepolis soit aussi avancé. Déjà que ça m'etonnerait qu'on est dépassé le -52 :x

Lol, c'est vrai que les romains n'ont jamais exité et que grepolis a un stade d'evolution daté, et ben non désolé mais les romains existaient et grepolis n'a pas de date, ses villes ne correspondent pas en 380 ou 180 av jc . Se sont des villes grecs de l'antiquite donc elles peuvent correspondrent à mainporte quelle date durant l'antiquite, que ce soit vers la fin comme vers le debut, ou au milieu
 

DeletedUser11638

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Ok, l'un de vous peut-il m'expliquer pourquoi on à des hoplites et pas des légionnaires?
 

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Ok, l'un de vous peut-il m'expliquer pourquoi on à des hoplites et pas des légionnaires?

Tu comprends rien toi, lol je suis nouveau et même moi je comprends, les grecs ont toujours eu des hoplites durant l'antiquite mais ils ont perdu contre les macedonniens puis les romains. Et chez les romains ils pouvaient faire le service militaire romain ... Voilà mes les grecs ont toujours pu être soit hoplites soit legionnaire, gres benifice pour chacun, l'un offre des reduction d'impot et une protection ...

Nytal, je crois que tu devrais revoir tes cours d'histoires pour comprendre parce moi je ne le sis et je suis quand 6 ème donc toi ...
 

DeletedUser11638

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Mais FAKE quoi :eek:

Grepolis c'est un jeu sur les grecs, les grecs! G-R-E-C-S! Les romains ont rien à faire là!

Les périodes de dominations grecs et latines sont espacées de quelque siècles. Si c'était sur les romains, ce serait Romurbs, et pas Grepolis!
 

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3 : Des incohérences espace-temps. On est au temps des grecs, pas des romains!

Je ne vois pas forcément là un anachronisme, l'Empire romain avait conquis la Grèce, donc ça peut très bien être le discours d'un Grec qui se serait engagé dans la Légion romaine. Dans ce récit, on se place bien après la période classique grecque, on est à l'époque des Romains, et le point de vue est celui d'un Grec de l'Empire romain. Rien d'impossible ou d'historiquement invraisemblable, mais c'est vrai que du coup on est plus dans le monde Grec qui semble bien avoir inspiré le jeu Grepolis. ;)
 

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Tout d'abord au niveau du respect des consignes, les textes 3, 9 et 10 ne contiennent pas le nom d'un bâtiment spécial...

Texte 1 :

De très nombreuses fautes d'orthographe et de grammaire rendent la lecture du texte assez pénible

Texte 2:

Memosia a dit:
Bonjour,

Pas de mots vulgaires dans vos textes, merci.
Premier mot du texte " Putain "... déjà mal parti ...
Sinon le texte est bien construit. On sent par contre beaucoup trop la contrainte des 5 noms de bâtiments qui se suivent en une ligne .

Texte 3:

Memosia a dit:
Un soldat grec puisque ce sont les bonnes résolutions d'un guerrier issu du monde de Grepolis, et dans Grepolis, les soldats sont plus grecs que romains.
La Gaulle, c'est pas vraiment la Grèce. Sinon, le texte, court et assez classique

Texte 4:

Nombreuses fautes d'orthographes assez déplaisantes. Sinon, c'est vraiment dommage de ne pas avoir créé une histoire et de n'avoir parlé que de toi en tant que joueur réel au lieu d'avoir interprété un guerrier (ou autre) grec.

Texte 5:

La poésie pour les résolutions, c'est original mais j'aime beaucoup. C'est vrai que les vers n'ont pas le même nombre de pieds mais c'est agréable à lire.

Texte 6:

Je suis d'accord avec tylercms, texte un peu long pour un récit. Quelques fautes d'orthographe parsemées mais rien n'empêchant une lecture agréable. Je trouve que c'est un bon récit de bataille mais qu'on ne sent justement pas assez le thème que sont les résolutions

Texte 7:

Plusieurs fautes d'orthographe gênantes car changeant le sens d'un mot, ce qui demande une relecture de plusieurs phrases avant de comprendre quel était le sens réel. Autre problème, on est censé être dans la Grèce Antique et là, c'est l'année 2011 qui commence :rolleyes:

Texte 8:

Encore pas mal de fautes d'orthographe ( je sais, je suis casse-pieds avec ça mais pour moi l'orthographe, c'est essentiel ) ... et c'est un peu court au niveau des résolutions je trouve.

Texte 9:

Très beau texte, j'apprécie vraiment... mais par contre, je ne vois pas le lien avec le thème des résolutions. Et le poème est copier-coller d'internet, dommage également, tu aurais pu en créer un toi-même ;)

Texte 10:

Quelques fautes d'orthographe, texte assez classique mais sympathique à lire


Donc voilà, je sais que je suis dur dans mes commentaires mais bon, c'est aussi en vue de s'améliorer.
Félicitations à tous pour l'effort fourni et j'espère que le meilleur texte va l'emporter ;)
 

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Guest
Mais FAKE quoi :eek:

Grepolis c'est un jeu sur les grecs, les grecs! G-R-E-C-S! Les romains ont rien à faire là!

Les périodes de dominations grecs et latines sont espacées de quelque siècles. Si c'était sur les romains, ce serait Romurbs, et pas Grepolis!

Les Gaulois sont les gaulois mais leurs sociétés à changer à cause des romains, les grecs aussi , ils pouvaient se mobiliser chez les romains, cest vrai tu devrais VRAIMENT revoir des cours d'histoire Nyctal
 

DeletedUser11638

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Merci à ludere d'avoir sortit la phrase:

[quote="Memosia]Un soldat grec puisque ce sont les bonnes résolutions d'un guerrier issu du monde de Grepolis, et dans Grepolis, les soldats sont plus grecs que romains.[/quote]

Tout est dit!
Un soldat grec! Et dans Grepolis, partant du principe que c'est des îles, ça doit se situer dans le mer Égée, ou dans tout les cas en Grèce. La Gaule, bah merci bien!

A tous ceux qui me dise de revoir mes leçons d'histoire, serait grand temps que vous jetiez un œil à une carte de l'Europe antique!
 

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Guest
Les Gaulois sont les gaulois mais leurs sociétés à changer à cause des romains, les grecs aussi , ils pouvaient se mobiliser chez les romains, cest vrai tu devrais VRAIMENT revoir des cours d'histoire Nyctal

Sauf que le thème du texte est les résolutions d'un soldat grec et non pas les résolutions d'un soldat romain ou gaulois...
 

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Sauf que le thème du texte est les résolutions d'un soldat grec et non pas les résolutions d'un soldat romain ou gaulois...

Un soldat peut être grec mais aider les romains ^^ . Aller reviser l'histoire et on en renpalera parce que vu ce que toutes les autres personnes vous ont ecris et que vous comprenez toujours pas que c'est possible.
 

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Guest
Bonjour,

Pour en revenir au sujet (n_n) je vais faire mes commentaires:

1: Beaucoup de fautes qui gênent la lecture de ce texte, c'est dommage. Je n'ai pas particulièrement accroché. Je ne l'ai pas trouvé vraiment original.

2: J'aime bien. En effet, là également, les noms des bâtiments ont vite été placés. Mais je trouve ce texte déjà plis recherché, et vraiment bien écrit. Et puis bon, le "Putain", c'est aussi une forme d'exclamation par endroit. :eek:
Par contre, "espèce", "chose", j'adhère moins.

3: J'adhère pas au fait que l'action se déroule en "Gaulle". Les noms des bâtiments sont à mes yeux moins bien intégrés. Marchand/marchandise/marché dans la même ligne, ça sonne faux.

4: Je trouve le texte moins travaillé que les précédents. Et des fautes encore :/ Pas fan. Je trouve qu'il aurait été plus sympa d'aborder ceci depuis un personnage entièrement imaginé.

5: L'idée du poème est originale. C'est agréable.

6: Un peu, voire trop long ? é.è Mais tout a été lu o/ Et il en ressort une belle maîtrise. Un bon texte si le sujet avait été une bataille. Là, on se perd un peu.

7:Sujet bien respecté. Peut être un peu plus d'évasion aurait été agréable à lire.

8:Un texte comique sympathique. Quelques erreurs sautent néanmoins au yeux, c'est dommage. Je l'aurais bien vu moi aussi se carapater en douce n_n

9: Un très beau texte auquel j'adhère même si quelques tournures ne m'ont pas trop attirées.

10:Là également, j'aurais bien vu un peu plus d'imagination, mais en soi, le texte est bien écrit.

Au final, il est vrai que mon vote portera sur un texte qui aura fait preuve de plus d'originalité, mais je salue toutefois les participants o/

Cordialement,
 
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Bienvenue sur Grepolis : a dit:
Êtes-vous prêt pour partir à la conquête de la Grèce antique ? Suivre les traces d'Alexandre le Grand, Persée, Léonidas, Achille et autres héros grecs ? Alors rejoignez-nous et participez à une aventure unique qui vous plongera au cœur de l'antiquité grecque !

Vous dites que Rome a conquis la Grèce mais si l'on compare la description ci dessus et les faits historiques il y a bel et bien un espace temps...
Tous ces personnages sont apparus antérieurement au IVème siècle environ avant J-C, or les Romains ont envahies la Grèce à partir du IIème avant J-C.

De plus comme déjà dit, si l'on demande d'incarner un soldat grec, c'est que c'est un soldat à l'époque de la Grèce antique et non de la Grèce romaine.
 
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